• - Publié le <time datetime="2012-10-29T20:58" itemprop="datePublished" pubdate=""> 29/10/2012 à 20:58   </time>
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    "Nous voulons ainsi réunir la famille cheminote sous un même toit, afin d'en finir avec les rivalités passées", a déclaré le ministre délégué aux Transports, Frédéric Cuvillier, dans un entretien au journal Le Monde, à la veille de la présentation officielle des grandes lignes de la réforme ferroviaire qui aboutira sur une loi en 2013.

    "Nous voulons ainsi réunir la famille cheminote sous un même toit, afin d'en finir avec les rivalités passées", a déclaré le ministre délégué aux Transports, Frédéric Cuvillier, dans un entretien au journal Le Monde, à la veille de la présentation officielle des grandes lignes de la réforme ferroviaire qui aboutira sur une loi en 2013.

    Le gouvernement va créer un gestionnaire d'infrastructures ferroviaires, intégrant notamment le gestionnaire du réseau ferré RFF, un acte capital de la future réforme du rail français visant à le sortir de l'ornière financière et le préparer à l'ouverture totale du marché.

    "Nous voulons ainsi réunir la famille cheminote sous un même toit, afin d'en finir avec les rivalités passées", a déclaré le ministre délégué aux Transports, Frédéric Cuvillier, dans un entretien au journal Le Monde, à la veille de la présentation officielle des grandes lignes de la réforme ferroviaire qui aboutira sur une loi en 2013.

    M. Cuvillier confirme ainsi un schéma dévoilé ce week-end par la presse et aussi, même s'il s'en défend, l'ascendant pris par la SNCF sur ce dossier où s'opposaient deux visions: celle de la compagnie ferroviaire, qui préconisait la création d'une holding commune intégrant RFF, et celle de RFF, qui plaidait pour une véritable séparation entre trains et rails.

    "Je m'incris en faux" avec l'idée selon laquelle RFF serait le perdant. Il n'y a ni perdant, ni gagnant. Tout le monde va gagner à ce rapprochement", fait valoir le ministre.

    Dans les faits toutefois, la direction prise par le gouvernement rappelle l'idée du "groupe pivot" serinée depuis des mois par la SNCF à tout ce que la France, et l'Europe, comptent de décideurs en matière ferroviaire.

    Elle souhaitait la réunification du gestionnaire de l'infrastructure et de l'opérateur historique ? L'Etat crée un "pôle public unifié" rattachant les deux. "Il n'y aura plus deux entités séparées qui décideront dans leur coin", plaide le ministre qui précise que les régions seront associées à la réflexion concernant ce pôle unifié.

    "En simplifiant les liens entre les deux entités, nous allons optimiser de fonctionnement d'un système devenu complètement kafkaïen ces dernières années", assure-t-il.

    L'Etat, qui souhaite sortir le système de son endettement chronique a aussi décidé de pousser à son terme la logique issue l'an dernier des Assises du ferroviaire et qui préconisait d'unifier les différents personnels chargés de la gestion des infrastructures en vue d'une meilleure efficacité de l'ensemble.

    Les syndicats prudents

    Depuis 1997, la gestion du réseau est confiée à RFF et son exploitation assurée par la SNCF et quelques opérateurs privés.

    Mais les compétences se chevauchent et l'endettement conjugué des deux entreprises publiques, qui s'élève à plus de 32 milliards, croît de plus d'un milliard par an.

    Ce nouveau gestionnaire d'infrastructure unifié (GIU), rattaché à la SNCF, réunira RFF, la direction de la circulation ferroviaire, les cheminots de SNCF Infra (les infrastructures dépendant de la SNCF, ndlr), soit au total 50.000 personnes.

    Interrogés par l'AFP, les syndicats se voulaient prudents lundi. "Tant que nous n'avons pas de précisions sur la forme juridique du GIU, il est difficile de se prononcer", a commenté André Milan, secrétaire général de la FGTE-CFDT, qui réclame une phase de "concertation et de pédagogie" avant d'entamer les négociations sur la réforme ferroviaire.

    Le GIU sera une société publique nationale dont la nature juridique n'est pas encore tranchée, cette question étant liée au problème de la dette de l'infrastructure ferroviaire qui, dans un dispositif unifié, court le risque d'être requalifiée en dette d'Etat.

    Un danger écarté par Frédéric Cuvillier qui explique que "ce rattachement ne renchérira pas le coût de la dette".

    Hors de question, pour le ministre, "de déstabiliser l'équilibre et la confiance qui se sont construits entre RFF et ses investisseurs".

    Le ministre assure également que le schéma retenu ne compromettra pas la concurrence. "Nous veillerons (...) à ce que toutes les garanties soient données pour que tout nouvel opérateur ait, au moment où la concurrence sera ouverte pour les transport de voyageurs en France (au plus tard en 2019, NDLR), un libre accès au réseau ferroviaire", selon M. Cuvillier.


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  • Le Point.fr - Publié le <time datetime="2012-10-29T14:26" itemprop="datePublished" pubdate=""> 29/10/2012 à 14:26</time> - Modifié le <time datetime="2012-10-29T18:27" itemprop="dateModified"> 29/10/2012 à 18:27</time>lien

    Le fondateur de la société de prothèses mammaires PIP s'est dit "ruiné" à sa sortie de prison.

    Jean-Claude Mas avait fondé la société PIP en 1991.

    Jean-Claude Mas avait fondé la société PIP en 1991. © Guillaume Ruoppolo / PhotoPQR/La Provence

     

    Le doyen des juges d'instruction de Marseille Pierre Philipon a ordonné lundi la remise en liberté de Jean-Claude Mas, le président-fondateur de la société Poly Implant Prothèse (PIP), mis en examen dans les deux volets de l'affaire des prothèses mammaires présumées défectueuses, a-t-on appris de source judiciaire. Âgé de 73 ans, Jean-Claude Mas a quitté la maison d'arrêt du Pontet (Vaucluse) peu après 16 heures. "Je suis ruiné", a-t-il lancé, manifestement amaigri par sa détention, aux journalistes qui étaient venus l'accueillir à sa sortie. Il était en détention provisoire depuis le 6 mars dernier, après avoir été incarcéré pour ne pas avoir acquitté le premier versement de son cautionnement fixé par le juge. La justice ne pouvait toutefois le maintenir en détention plus de quatre mois, car il encourt au maximum une peine de 5 ans de prison, a précisé une source au tribunal de grande instance de Marseille.

    Il a été placé sous contrôle judiciaire avec obligation de ne pas quitter les départements du Var et des Bouches-du-Rhône, ainsi que de pointer une fois par semaine à partir du 5 novembre au bureau de police de Six-Fours-les-Plages (Var), commune où il réside actuellement. Jean-Claude Mas reste mis en examen pour "blessures et homicides involontaires" dans le principal dossier et pour "abus de biens sociaux, blanchiment, blanchiment de fraude fiscale et banqueroute" dans le second. "Nous sommes satisfaits que les juges marseillais aient gardé Jean-Claude Mas jusqu'au terme de la détention possible. Nous espérons simplement qu'il se présentera à son procès au mois d'avril prochain", a réagi Me Laurent Gaudon, l'avocat marseillais de plusieurs dizaines de victimes. L'avocat de Jean-Claude Mas, Me Yves Haddad, n'a eu de cesse de dénoncer "la cruauté judiciaire" du placement sous mandat de dépôt de son client, au prétexte qu'il n'avait pas acquitté le premier versement d'un cautionnement de 100 000 euros imposé par le juge.

    Jean-Claude Mas a été mis en examen le 27 janvier pour "homicides et blessures involontaires" par la juge Annaïck Le Goff dans le volet sanitaire du scandale PIP. Le juge Pierre Philipon avait à son tour ajouté en juillet dernier une mise en examen dans le volet financier de l'affaire pour "abus de biens sociaux, blanchiment et blanchiment de fraude fiscale" à la suite d'une plainte déposée par l'avocate de l'une des victimes, Me Christine Ravaz. La justice avait alors fait valoir un risque de fuite de Jean-Claude Mas à l'étranger. La société varoise PIP, installée à La Seyne-sur-Mer, a été placée en liquidation judiciaire le 30 mars 2010. Un premier procès pour "tromperie aggravée" doit se tenir au parc Chanot de Marseille du 17 avril au 14 mai 2013. Le centre de congrès de la cité phocéenne sera pour l'occasion transformé en palais de justice, les salles traditionnelles ne pouvant accueillir les quelque 4 500 victimes recensées à ce jour et leurs 180 avocats.


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Un journaliste grec victime de la "liste Lagarde"

    LE MONDE | <time datetime="2012-10-29T09:59:01+01:00" itemprop="datePublished">29.10.2012 à 09h59</time> • Mis à jour le <time datetime="2012-10-29T14:41:27+01:00" itemprop="dateModified">29.10.2012 à 14h41 </time>
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    En matière de fraude fiscale, la police grecque peut agir avec célérité. Une quinzaine de policiers ont arrêté, puis relâché, dimanche 28 octobre, le journaliste Kostas Vaxevanis, non parce qu'il a fait passer de l'argent à l'étranger, mais pour avoir publié une liste de Grecs ayant un compte en Suisse. Un mandat d'arrêt avait été lancé la veille, juste après la sortie du magazine Hot Doc, pour violation de la loi sur la publication de données privées.

    La liste, contenant plus de 2 000 noms, est présentée comme la "liste Lagarde", qui agite la Grèce depuis plusieurs semaines. Christine Lagarde, alors ministre de l'économie française, avait remis en octobre 2010 à son homologue Georges Papaconstantinou, un CD-Rom contenant une liste de Grecs ayant un compte à la banque HSBC. La liste provient des mêmes fichiers que le document brandi en 2009 à la télévision par l'ancien ministre du budget Eric Woerth.

    Les responsables politiques grecs n'ont pas montré le document à la télévision, et donnent plutôt l'impression de l'avoir rangé au fond d'un tiroir. M. Papaconstantinou avait assuré avoir demandé à la brigade financière, la SDOE, d'enquêter sur les titulaires des vingt plus gros comptes présents sur la liste. Son successeur, Evangelos Venizélos, a remis à la justice début octobre une clé USB contenant la fameuse liste, assurant qu'il ne l'avait jamais regardée. Et l'actuel ministre des finances, Iannis Stournaras, ne peut trouver le CD-Rom originel dans son ministère.

    "ARRÊTER LA VÉRITÉ"

    Fin septembre, les Grecs, qui s'apprêtent à subir de nouvelles baisses de salaires et de retraites, découvraient, médusés, que cette liste de 2 000 fraudeurs potentiels n'avait finalement pas fait l'objet de la moindre enquête. La SDOE avait fait valoir que les origines de la liste ne permettaient pas son exploitation par la justice : elle a été fournie à la justice française par un ancien employé de HSBC, poursuivi pour vol par la banque.

    Le journal Hot Doc avertit que le fait d'avoir un compte en Suisse ne signifie pas forcément que les gens ont fraudé le fisc. La liste contient les noms de nombreux hommes d'affaires, de chirurgiens, de dentistes, et de quelques hommes politiques, parmi lesquels un ancien ministre du gouvernement conservateur de Costas Karamanlis (2004-2009). "Au lieu d'arrêter les voleurs et les ministres violant la loi, ils veulent arrêter la vérité", a commenté Kostas Vaxevanis sur son compte Twitter samedi soir.

    </article> Le procès reporté à jeudi

     

    Le procès du journaliste grec accusé d'avoir dévoilé une liste controversée de détenteurs grecs présumés de comptes bancaires en Suisse aura finalement lieu jeudi 1er novembre, a-t-on indiqué lundi 29 octobre de source judiciaire.

     

    Après avoir comparu lundi devant la cour pénale d'Athènes où il devait être jugé en flagrant délit pour le délit de violation de données personnelles, le journaliste Costas Vaxevanis, 46 ans, s'est vu accorder un délai de trois jours après en avoir fait la demande, selon la même source. ( – avec AFP)


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Copé songe à une manifestation de droite et suscite l'indignation à gauche

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | <time datetime="2012-10-29T11:26:25+01:00" itemprop="datePublished">29.10.2012 à 11h26</time> • Mis à jour le <time datetime="2012-10-29T19:27:33+01:00" itemprop="dateModified">29.10.2012 à 19h27  </time>
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    <figure class="illustration_haut"> Jean-François Copé a évoqué dimanche l'idée d'une manifestation semblable à celle pour lancée "sauver l'école libre" en 1984. </figure>

    L'idée d'un appel à manifester contre la politique gouvernementale formulée par le candidat à la présidence de l'UMP Jean-François Copé a provoqué l'indignation des socialistes, lundi 29 octobre.

    "Je pense que M. Hollande sous-estime beaucoup le très grand mécontentement du pays réel", a lancé M. Copé sur le plateau du "Grand Jury" (RTL-LCI-Le Figaro) dimanche soir. "Il pourra se trouver – si je suis élu à la tête de l'UMP le 18 novembre prochain – que je propose, comme nous l'avions fait en 1984 pour sauver l'école libre, que les Françaises et les Français qui s'indignent et qui s'inquiètent pour l'avenir de notre pays et des enfants de France se mobilisent dans la rue", a déclaré l'actuel secrétaire général de l'UMP.

    M. Copé a évoqué des "projets de loi qui viendraient soit porter atteinte à l'intéret supérieur de notre pays, soit déstructurer les piliers qui assurent la cohésion de notre société ou qui font monter le communautarisme". Comme on lui demandait s'il visait en particulier le mariage homosexuel et le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales, il a répondu : "Ou tout autre sujet qui pourrait porter atteinte par exemple, à la cohésion, à la mobilisation de nos acteurs économiques."

    "SURENCHÈRE DANGEREUSE, IRRESPONSABLE ET INDIGNE"

    Cette sortie a permis à Harlem Désir d'étrenner ses nouveaux habits de premier secrétaire du PS. "En menaçant d'en appeler à la rue contre l'exécutif et les réformes de la majorité, le secrétaire général de l'UMP sort des limites du débat démocratique et républicain, estime M. Désir dans un communiqué. Le pays réel, que M. Copé prétend opposer au gouvernement de la France, a voté démocratiquement pour un changement de politique."

    "La soif de revanche de la droite ne connaît aucune limite et l'appel à la rue du principal dirigeant de l'opposition relève d'une surenchère dangereuse, irresponsable et indigne d'un républicain", estime-t-il encore.

    "M. Copé avait déjà annoncé qu'il n'appliquerait pas la loi républicaine, notamment sur le mariage pour tous. Il brandit maintenant la menace de la rue contre la politique choisie par les Français. Distancé dans le congrès UMP, il formule des propositions de plus en plus radicales, directement inspirées de l'agressivité politique de l'extrême droite", ajoute le successeur de Martine Aubry à la tête du parti présidentiel, qui "condamne cette radicalisation".

    "UNE DROITE DANS LA CARICATURE ET DANS LA DÉRIVE"

    Sur LCI, Bruno Le Roux, président du groupe PS à l'Assemblée nationale, a lui ironisé sur "ceux qui appellent à des manifestations très certainement entre Auteuil et Neuilly". "C'est une droite qui est aujourd'hui dans la caricature et dans la dérive : la dérive des mots, des idées, dans la façon dont elle dévalorise l'action publique et politique", a poursuivi M. Le Roux.

    Mêlant cette évocation d'appel à la rue par M. Copé et sa dénonciation d'un arrachage de pain au chocolat pendant le ramadan, le député PS de Seine-Saint-Denis a dénoncé "les mots qui visent à blesser, à opposer". "Débattons avant de chercher à faire manifester, à opposer, à radicaliser la société", a exhorté M. Le Roux.

    "CE N'EST PAS UN HOMME D'ÉTAT"

    Le ministre du budget Jérôme Cahuzac a quant à lui fustigé un appel "au désordre". "J'estime que cet appel est, de mon point de vue, disqualifiant pour ce personnage, a-t-il dit sur RTL. Nous avons là quelqu'un qui est candidat à la présidence de l'UMP et qui au fond a si peu confiance dans son parti, dans ses troupes parlementaires, qu'il en appelle à la rue, c'est-à-dire au désordre. [...] Il démontre que, pour l'instant en tous cas, ce n'est pas un homme d'Etat."

    Le ministre de l'économie et des finances, Pierre Moscovici, y a vu le signe d'une perte de sang-froid : "Jean-François Copé est vraiment un homme qui doit être aux abois parce qu'il perd son sang-froid, a-t-il dit sur Europe 1. Je ne pense pas que quand on est le chef d'un grand parti [...] on appelle à la rue."

    Les militants UMP éliront leur président le 18 novembre. Ils devront alors choisir entre l'actuel secrétaire général de l'UMP et l'ancien premier ministre François Fillon.

    </article> La Droite forte propose une "grande fête populaire de la droite"

    La Droite forte, l'un des mouvements de l'UMP qui soumettront une motion au congrès du 18 novembre, a plaidé lundi pour l'organisation, "chaque 1er mai", d'une "grande fête populaire de la droite républicaine" sur la place du Trocadéro à Paris.

     

    Selon la Droite forte, accusée par certains à l'UMP de vouloir "capter l'héritage" de Nicolas Sarkozy avec des propositions choc, la droite "ne doit pas laisser le monopole des fêtes populaires aux syndicats et à la gauche et doit offrir à ses militants, adhérents, sympathisants, l'occasion de se rassembler, régulièrement, chaque année, autour d'une grande fête tricolore". Une façon pour la droite, ajoutent-ils, de "plus que jamais résister à la gauche pour faire triompher ses valeurs". "C'est par cette mobilisation des hommes que nous retrouverons la victoir


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  • Ouragan Sandy : les six Français disparus sont rentrés chez eux

    Publié le 29.10.2012, 15h56 | Mise à jour : 20h10   lien

    Six ou sept Français qui naviguaient entre la Martinique et l'île de la Dominique sont portés disparus depuis dimanche soir.

    Six ou sept Français qui naviguaient entre la Martinique et l'île de la Dominique sont portés disparus depuis dimanche soir. | Idé

     

    Ils sont sains et saufs. Les six Français, deux femmes et quatre hommes, recherchés en mer depuis ce lundi matin entre les îles de la Dominique et de la Martinique, ont finalement pu rentrer chez eux.

    Des recherches avaient été entreprises après que la compagne d'un des hommes s'est inquiétée de ne pas le voir rentrer dimanche soir.

    Selon les premiers éléments, le groupe, partis sur l'île de la Dominique ce week-end pour participer à un festival de musique créole, le World Music Créole Festival, avait toujours prévu de rentrer lundi et est rentré «sans encombre», malgré la forte houle formée par le passage de l'ouragan Sandy.

    Le ministère des Transports français avait lancé des recherches dès ce lundi matin par le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage Antilles-Guyane (Cross) pour tenter de retrouver les navigateurs portés disparus depuis dimanche soir. Un du service des Douanes avait également été mobilisé, ainsi qu'un hélicoptère de la Protection civile, pour survoler le canal de la Dominique et sur le littoral martiniquais.

    Ces six Français se trouvaient à bord du «Shining Boat», une embarcation semi-rigide de plaisance de 6 mètres de long, battant pavillon français.

    LeParisien.fr


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