• Attaque du RER D : des mineurs de 13 ans

    parmi les 15 interpellés à Grigny

    avec AFP
    le 27 mars 2013 à 07h06 , mis à jour le 27 mars 2013 à 11h58.

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    Faits divers

    Une opération de police a été lancée tôt mercredi matin à Grigny dans le cadre de l'enquête sur l'attaque du RER D, qui avait eu lieu le samedi 16 mars. Parmi les interpellés figurent des mineurs âgés d'à peine 13 ans.

    Entre 180 et 190 policiers dont une équipe du RAID ont investi tôt ce mercredi matin la cité de Grigny 2 dans l'Essonne. Un énorme dispositif qui a permis l'interpellation de quinze personnes soupçonnées d'avoir pris d'assaut une rame du RER D le 16 mars dernier. Ce fait divers avait provoqué la terreur des passagers et suscité de vives réactions dans l'opinion.

    La plupart des interpellés sont mineurs âgés de 15 à 17 ans mais  certains ont à peine 13 ans.  Ils ont été placés en garde à vue dans les locaux de la sûreté départementales à Evry. Une autre interpellation a eu lieu au même moment à Montreuil en Seine-Saint-Denis. Au total, 16 personnes étaient donc en garde à vue en milieu de matinée. Un effectif "incomplet" : les forces de l'ordre ciblait une vingtaine de personnes. Le motif de leur inculpation sera le vol avec violence en réunion dans les transports en commun, des faits passibles de 10 ans de prison.

    Parmi les objets saisis au domicile des suspects figurent notamment des objets ayant appartenus aux victimes agressées dans le RER. Certains auraient également été reconnus par les victimes.

    Manuel Vall a exprimé sa satisfaction après l'annonce de cette intervention et ajouté qu'il suivrait "avec attention les suites judiciaires", selon des propos rapportés par Le Parisien.

    Le RAID mobilisé en raison du profil de certains des interpellés

    C'est le profil de certains des interpellés jugés potentiellement dangereux qui a justifié l'intervention du RAID.

    La prise d'assaut de cette rame du RER D, comparée par ceux qui l'avait subie à une véritable attaque de diligence, avait eu lieu dans la gare de Grigny-centre. Lancée vers 22 heures-22h30, elle avait été commise par une vingtaine de personnes. La police avait recensé "huit à neuf victimes" de vols avec violence et six plaintes avaient été déposées. Selon les témoignages et les images de vidéosurveillance, les agresseurs avaient attaqué les passagers du RER D stationné dans la gare avant de ressortir quelques minutes plus tard. Les victimes avaient été dépouillées de leurs portefeuilles, sacs à main et téléphones portables.

    Les assaillants, qui avaient le visage dissimulé, étaient passés de wagon en wagon et avaient attaqué "le plus de monde possible", selon un témoin qui avait évoqué des menaces de coups et de gaz lacrymogènes, en commentant : "C'était rapide, violent et cela avait l'air très organisé".

    A lire aussi : RER attaqué : "C'était rapide, violent et cela avait l'air très organisé"


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  • SNCF cherche 150 wagons égarés, prime à gagner

    Franck Lefebvre-Billiez par
    le 26 mars 2013 à 14h20 , mis à jour le 26 mars 2013 à 16h29.
    lien
     
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    rails transports SNCF train réseau ferroviaire

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    Entreprises

    Egarer un wagon, voilà qui ressemble à un gag. Mais 150 wagons... La SNCF a pourtant lancé tout à fait officiellement un "avis de recherche" et promet une récompense à ses cheminots qui pourront aider à retrouver les wagons perdus. Les syndicats voient surtout là une opération de communication.

    L'avis a tout d'une blague de potache : "Wanted : à la recherche des wagons perdus". On imagine facilement des affiches placardées dans les gares, avec promesse de récompense à la clé... Ce n'est, en fait, pas si éloigné de la réalité. La SNCF recherche bel et bien 150 wagons égarés. Et elle promet une petite gratification de 80,10 euros à chaque employé qui pourra la mettre sur leur piste. Soit un budget total d'un peu plus de 12.000 euros - preuve du sérieux de l'opération. Et pour faciliter la tâche des cheminots qui se lanceraient dans cette chasse d'un genre particulier, la SNCF fournit les numéros d'immatriculation des wagons recherchés, ainsi que le lieu où ils ont été vus pour la dernière fois.

    Evidemment, les wagons en question ne se sont pas purement et simplement évaporés. Mais le réseau ferré français compte 30.000 kilomètres de rails, dont quelques milliers de kilomètres de voies de service : de quoi oublier facilement quelques wagons de temps en temps. Le pire étant le cas des voies abandonnées et des gares désaffectées, où les wagons stockés ont toutes les chances d'être délaissés des années durant. La SNCF s'est efforcée de chiffrer le coût de ce matériel stocké et inutilisé : 1 million d'euros par an. On comprend alors l'intérêt de l'opération...

    "Ils ont essayé de faire un truc un peu rigolo"

    Du côté des syndicats, d'ailleurs, l'avis ne fait pas particulièrement de remous. Chez Sud-Rail, troisième syndicat du transporteur ferroviaire, on souligne tout d'abord que cette chasse peu ordinaire concerne uniquement les wagons de fret - pas les wagons de voyageurs ; que les demandes de recherche de ce genre ne sont pas rares ; enfin, qu'il s'agit surtout d'une opération de communication interne. "Il y a tellement de communication qui n'est plus lue par les agents", explique un membre du syndicat, "qu'ils ont essayé de faire un truc un peu rigolo. Histoire d'inciter les agents à faire un peu plus attention..."

    La plupart des wagons de marchandise sont, normalement, suivis par GPS - mais pas tous. Lorsque de tels wagons, non répertoriés, sont stockés  sur des voies de garage après utilisation, leur trace pourra être perdue d'autant plus facilement - surtout si, entretemps, des travaux sur les rails obligent à les déplacer. Or, la SNCF doit régulièrement s'assurer que son matériel roulant... est bien en état de rouler. Et il faut bien, à l'occasion de ces "contrôles techniques" (le mot est d'un syndicaliste) récupérer tous les wagons oubliés... "Mais si la SNCF fait régulièrement des demandes de recherche auprès du fret, c'est la première fois qu'elle l'organise à une aussi grande échelle", reconnaît-on chez Sud-Rail.

    Voilà qui rappelle en tout cas une autre opération de communication lancée fin 2012 dans la région Centre : la SNCF avait alors annoncé son intention de récompenser les contrôleurs les plus efficaces. Parmi les objectifs de ce "challenge" figurait ainsi la découverte du "plus grand nombre de cartes et abonnements falsifiés ou utilisés par un tiers". A la clé pour les gagnants, "10 cadeaux à choisir parmi un netbook, une console de jeux, un appareil photo numérique" et "40 chèques cadeaux d'une valeur de 30 euros". Devant la polémique suscitée par ce concours, la SNCF avait finalement renoncé.


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  • Belgique : un présumé terroriste fiché en France tué

    après une course-poursuite

    avec AFP
    le 27 mars 2013 à 08h46 , mis à jour le 27 mars 2013 à 09h37.
    Temps de lecture
    3min
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    <figure class="figure underline"> Voiture de l'homme suspecté d'être lié à des groupes terroristes, 26/3/13 <figcaption class="degrade-une"></figcaption></figure>

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    Europe

    Un Algérien, connu de la DCRI et circulant avec une voiture immatriculée en France, a été tué mardi soir sur une autoroute après une course poursuite avec la police belge.

    Un homme suspecté par la Direction centrale du renseignement intérieur française (DCRI) d'appartenir à une association de malfaiteurs à des fins terroristes a été abattu mardi soir après une course poursuite avec la police belge. Agé de 30 ans, cet Algérien, domicilié à Bruxelles, était également connu de la police belge pour être lié au milieu du grand banditisme de la capitale belge.
     
    Mardi soir, il circulait à bord d'un véhicule Nissan 4x4 portant des plaques françaises entre Tournai et Bruxelles. Il a été pris en chasse par des policiers qui lui ont demandé à plusieurs reprises de s'arrêter. Il n'a pas obtempéré et a dirigé son véhicule vers celui de la police, avant de tirer sur les policiers. Ces derniers ont répliqué, le blessant mortellement.

    Des armes et des munitions découvertes à son domicile


    Manuel Valls, le ministre de l'Intérieur, a "souligné le caractère étroit de la coopération opérationnelle franco-belge qui a prévalu depuis plusieurs mois dans ce dossier, avec l'implication, côté français, de la Direction centrale du renseignement intérieur. Il a aussi "tenu à exprimer son entière solidarité avec le Royaume de Belgique et sa détermination à poursuivre la coopération bilatérale dans la lutte longue et difficile contre le terrorisme".
     
    Le parquet fédéral belge avait reçu à la fin de l'année dernière deux commissions rogatoires de la part des autorités françaises sur le suspect. L'enquête a permis de démontrer qu'il achetait du matériel militaire et divers accessoires comme des vêtements en kevlar ou des viseurs longue distance. Elle a également établi un lien avec un vol à main armé commis dans un restaurant de Bruxelles le 21 mars. Après la course poursuite et la fusillade mortelle sur l'autoroute, du matériel paramilitaire, de nombreuses armes, des munitions et des explosifs ont aussi été découverts à son domicile bruxellois.  Une femme a été interpellée dans le cadre de l'enquête.


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  • Homme carbonisé suspendu à une caténaire :

    un vol de câble qui tourne mal ?

    par avec AFP
    le 27 mars 2013 à 11h26 , mis à jour le 27 mars 2013 à 11h30.
    lien
    Temps de lecture
    2min
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    paris , sncf

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    Faits divers

    Un homme a été retrouvé mort carbonisé et accroché à une caténaire de la SNCF à Paris (XVIIIe), dans la nuit de mardi à mercredi. Selon la SNCF, il pourrait s'agir d'un accident lié à une tentative de vol de câbles en cuivre.

    Le mystère de l'homme retrouvé mort carbonisé, accroché à une caténaire dans le XVIIIe arrondissement de Paris  enfin résolu ? Selon la SNCF, il pourrait s'agir d'une tentative de vol de câbles qui aurait mal tourné.

    La macabre découverte a été faite dans la nuit de mardi à mercredi sur une voie de service de la SNCF à proximité de la porte d'Aubervilliers, au nord de la capitale. Selon un responsable de la SNCF-Paris Nord, contacté par MyTF1News, le corps a été retrouvé alors qu'une équipe de service avait été appelée sur les lieux pour un "incident caténaire". Sur place, l'équipe a découvert une section du câble en cuivre découpée. Puis, l'un des membres de l'équipe a vu le corps d'un homme sans vie, suspendu à la caténaire. Selon le responsable SNCF, il est "probable que ce soit une tentative de vol de câble qui a mal tourné".

    Interrogée, la préfecture de police a bien confirmé la découverte du corps sans vie mais n'a pas donné de précisions sur les circonstances du drame.   L'homme n'a pas encore été identifié.  "Une enquête est actuellement en cours", a-t-on précisé.


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  • Assassinat de l'avocat Sollacaro : six interpellations

    à Ajaccio et Marseille

    Edité par A.B. avec AFP
    le 27 mars 2013 à 11h38 , mis à jour le 27 mars 2013 à 11h43.
    lien
    Temps de lecture
    2min
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    <figure class="figure underline"> Antoine Sollacaro en mai 2010 au tribunal correctionnel de Paris avant l'ouverture du procès d'Yvan Colonna <figcaption class="degrade-une"></figcaption></figure>

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    Faits divers

    Six personnes ont été interpellées mercredi à Ajaccio et à Marseille dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat en octobre 2012 de l'avocat Antoine Sollacaro.

    L'assassinat à Ajaccio, le 16 octobre 2012, de l'avocat Antoine Sollacaro avait créé une onde de choc. Mercredi, six personnes ont été interpellées à Ajaccio et à Marseille dans le cadre de cette enquête, a indiqué une source proche de l'enquête.

    Quatre personnes ont été interpellées à Ajaccio et placées en garde à vue, et deux autres à Marseille, par des policiers de la Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ). Des perquisitions étaient en cours en fin de matinée. La DRPJ est appuyée par des policiers de l'Office central de lutte contre le crime organisé et de la Brigade de recherche et d'intervention.

    Me Sollacaro avait été tué par balles par un tueur en moto, alors qu'il se trouvait au volant de sa voiture dans une station-service d'Ajaccio. Cette affaire a été confiée à la Juridiction interrégionale spécialisée de Marseille (Jirs), chargée des dossiers de crime organisé.

    A lire aussi : Crime organisé en Corse : Ayrault annonce 10 mesures


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