• POLITIQUE ET SOCIETE

    <btn_impr style="color: rgb(59, 58, 58); font-family: Arial, Verdana, sans-serif; font-size: 12px;"></btn_impr>

    <btn_impr>

    Trois députés PS annoncent qu'ils ne voteront pas le programme de stabilité

    25/04 | 09:18    lien 
    </btn_impr>
     
    <btn_impr>

    Trois députés socialistes, Laurence Dumont, Jean-Marc Germain et l'ancien secrétaire d'Etat Christian Paul, proches de Martine Aubry, annoncent vendredi dans une tribune à Libération qu'ils ne voteront pas le programme de stabilité mardi à l'Assemblée nationale.
    "Pour la première fois depuis juin 2012, nous n'apporterons pas notre suffrage au gouvernement issu de la majorité à laquelle nous appartenons", écrivent les trois parlementaires, qui avaient approuvé la déclaration de politique générale de Manuel Valls le 8 avril.
    "Où est la justice quand, pour financer la baisse des prélèvements des entreprises, on envisage la baisse du pouvoir d'achat des pensions de retraite, des allocations familiales, des aides au logement et du traitement des fonctionnaires, y compris les plus modestes ?", poursuivent les signataires.
    Selon eux, les 50 milliards d'euros d'économies prévues "créent un risque majeur de récession et peuvent être considérablement atténués si les aides aux entreprises sont mieux ciblées : pourquoi s'enferrer ?"
    M. Paul, ancien secrétaire d'Etat à l'Outre-mer du gouvernement Jospin (2000-2002) et député de la Drôme, Laurence Dumont, députée du Calvados et Jean-Marc Germain, député des Hauts-de-Seine - par ailleurs époux de la maire de Paris Anne Hidalgo - faisaient partie des initiateurs de la demande d'un "contrat de majorité" avec le nouveau gouvernement, puis des signataires d'une lettre adressée à Manuel Valls demandant de limiter à 35 milliards le plan d'économies d'ici 2017.
    Face à la grogne de nombreux députés, le PS a prévu d'adopter lundi soir "une position solennelle" sur le programme de stabilité du gouvernement, soumis au vote consultatif de l'Assemblée mardi.
    Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, s'est déclaré persuadé que cette position serait "très, très largement entendue" par les députés socialistes qui auront à se prononcer le lendemain.
    Bruno Le Roux, le président du groupe PS à l'Assemblée, a souhaité jeudi qu'il y ait "le moins possible" de députés PS à ne pas voter le programme de stabilité, avertissant ceux qui feraient défaut qu'il n'y a "pas de vote qui soit sans conséquences."

     

    BFM Story: Programme de stabilité: chasse aux déficits ouverte - 23/04   lien 

    </btn_impr>

    votre commentaire
  • Standard and Poor’s confirme

    la note de la France

    Par Les Echos | 25/04 | 07:15 | mis à jour à 08:42 | lien 
     

    + DOCUMENT - Dans sa note publiée vendredi, Standard and Poor’s juge le gouvernement français trop optimiste sur la réduction du déficit public.

    Standard and Poor’s a confirmé vendredi la note « AA » à long terme de la dette française. - AFP
    Standard and Poor’s a confirmé vendredi la note « AA » à long terme de la dette française. - AFP

    S&P a maintenu vendredi la note AA de la France, saluant ainsi les efforts de réformes même si elle juge Paris trop optimiste sur les déficits et l’emploi. La perspective « stable » de cette notation est également maintenue pour les deux années à venir ce qui signifie que « les facteurs de risque pesant sur la qualité de crédit de la France s’équilibrent et que la possibilité d’un relèvement ou d’un abaissement de la note dans les deux ans à venir est inférieure à une sur trois. »

    Standard and Poor’s écrit par ailleurs que la baisse des charges des entreprises contenue dans le « Pacte de stabilité » est « un facteur positif » et estime que l’actuel gouvernement « se démarque clairement » par ses efforts de réduction des dépenses tandis qu’il « semble progresser dans la voie de réformes structurelles afin d’améliorer l’environnement des affaires ».

    DOCUMENT - S&P : Note de la France maintenue, la Russie dégradée

     

    « Le plan de réduction du coût du travail et de la fiscalité des entreprises pourrait renforcer la compétitivité et le potentiel de croissance de l’économie à moyen terme », même si à court terme l’effet « sur la croissance est incertain car il dépend de l’évolution des dépenses d’investissement du secteur privé et de la manière dont elle compensera ou non la baisse de la dépense publique », juge l’agence.

    Bémol toutefois, Standard and Poor’s juge le gouvernement français trop optimiste sur la réduction du déficit public, écrivant dans son communiqué: « Nous prévoyons que le déficit public atteindra 3,8% du Produit intérieur brut en 2014 et déclinera à 2,7% en 2017 », là où Paris espère atteindre un ratio de 1,3% en 2017.

    Par ailleurs, les mesures du Pacte « pourraient s’avérer insuffisantes pour relancer l’emploi », soit le principal objectif du Pacte de responsabilité, estime Standard and Poor’s.

    S&P
    S&P

    <btn_impr style="color: rgb(59, 58, 58); font-family: Arial, Verdana, sans-serif; font-size: 14px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_impr><btn_impr style="color: rgb(59, 58, 58); font-family: Arial, Verdana, sans-serif; font-size: 14px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_impr>

     
    Notation : la Russie dégradée
    L’agence d’évaluation Standard & Poor’s a abaissé vendredi la note de solvabilité de la Russie de « BBB » à « BBB- », et a gardé sa perspective à « négative », en raison des tensions grandissantes entre la Russie et l’Ukraine.
    « La situation géopolitique tendue entre la Russie et l’Ukraine pourrait voir des sorties supplémentaires significatives de capitaux étrangers comme nationaux de l’économie russe, et pourrait du coup fragiliser les perspectives déjà faibles de croissance », a annoncé l’agence dans un communiqué.
    Elle a annoncé sa décision alors que la tension ne cesse de monter autour de la situation en Ukraine et que Moscou a écopé jeudi d’une sévère mise en garde des Etats-Unis qui ont menacé d’imposer de nouvelles sanctions à son encontre.
    S&P prévient qu’elle pourrait abaisser à nouveau la note du pays si des « sanctions plus sévères » s’appliquaient à la Russie.
    Elle pourrait aussi de nouveau abaisser la note de la Russie si elle perçoit « des risques accrus pour la solvabilité de la Russie, en raison d’une croissance économique bien plus faible que prévu ».
    L’agence note que la croissance économique russe a ralenti à 1,3% en 2013, « son plus bas niveau depuis 1999 ». « Si les tensions géopolitiques ne s’atténuent pas en 2014, il y a un important risque que la croissance tombe bien en dessous de 1% », avertit-elle.

    <btn_impr style="color: rgb(59, 58, 58); font-family: Arial, Verdana, sans-serif; font-size: 14px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_impr>

    Les Echos avec AFP

    votre commentaire
  • Ukraine: Kiev déterminé contre

    les séparatistes, S and P

    sanctionne Moscou

    2 contributions

    Créé le 25/04/2014 à 06h30 -- Mis à jour le 25/04/2014 à 10h00   lien 
    <aside>Un membre des forces spéciales ukrainiennes à un barrage routier abandonné par les pro-russes, le 24 avril 2014 à Slaviansk

    Un membre des forces spéciales ukrainiennes à un barrage routier abandonné par les pro-russes, le 24 avril 2014 à Slaviansk KIRILL KUDRYAVTSEV AFP  

    </aside>

    Slaviansk (Ukraine) - Les autorités ukrainiennes se montraient déterminées vendredi à poursuivre leur offensive contre les séparatistes de l'Est soutenus selon elles par la Russie, mise en garde par les Etats-Unis et sanctionnée par l'agence de notation Standard & Poors.

    «L'opération antiterroriste continue», a assuré le ministre de l'Intérieur Arsen Avakov. «Les terroristes ont intérêts à être sur le qui-vive 24 heures sur 24. La population pacifique n'a rien à craindre.»

    Le pouvoir de transition pro-occidental qualifie de «terroristes» les insurgés pro-russes qui occupent les bâtiments publics d'une dizaine de villes des régions russophones de Donetsk et Lougansk, souvent cagoulés, parfois armés, retranchés derrière des barricades de fortune.

    Jeudi, les blindés de l'armée ukrainienne ont lancé un assaut contre leur place forte, Slaviansk, avant de rebrousser chemin. Kiev a indiqué avoir tué cinq séparatistes, mais ces derniers ont fait état d'une victime, un jeune homme de 22 ans dont la photo est désormais affichée sur la mairie occupée. La situation y était calme vendredi matin.

    Les forces de l'ordre ont également repris jeudi matin le contrôle de la mairie de Marioupol, un port industriel de près de 500.000 habitants sur la mer d'Azov.

    Face à cette offensive, la Russie, qui a brandi cette semaine la menace d'une intervention militaire pour défendre ses intérêts et ceux de la population d'origine russe, a lancé des manoeuvres impliquant notamment son aviation le long de la frontière ukrainienne.

    Washington, qui a de son côté déployé 600 soldats en Pologne et dans les pays baltes, n'a pas tardé à répliquer.

    - Kerry dénonce «une erreur coûteuse» -

    La Russie «n'a pas pris la moindre initiative» pour mettre en œuvre l'accord conclu à Genève pour faire baisser la tension en Ukraine, a accusé jeudi soir le secrétaire d'Etat américain John Kerry, dénonçant «une erreur coûteuse».

    Il a également accusé la Russie de faire «des efforts démesurés pour saboter activement le processus démocratique par le biais d'une campagne d'intimidation grossière» en Ukraine, qualifiant les nouveaux exercices menés à la frontière par l'armée russe de «menaçants».

    Kiev cherche à organiser coûte que coûte une élection présidentielle anticipée le 25 mai pour remplacer Viktor Ianoukovitch, en fuite en Russie et obtenir une légitimité alors que les autorités de transition ne sont pas reconnues par 70% des habitants de la région de Donetsk, selon un récent sondage.

    A un mois du scrutin, sa tenue semble très périlleuse dans les conditions actuelles et les séparatistes comptent de leur côté organiser un référendum le 11 mai pour couper les ponts avec Kiev, voire rejoindre la Russie.

    A Tokyo jeudi, le président américain Barack Obama avait menacé Moscou de nouvelles sanctions, en plus de celles visant déjà des hauts responsables russes proches de Vladimir Poutine.

    Une menace réitérée jeudi soir par son secrétaire d'Etat: «Nous sommes prêts à agir», a affirmé M. Kerry.

    Selon lui, les sanctions internationales ont déjà entraîné la sortie de Russie de quelque 70 milliards de dollars de capitaux. En l'absence de changement de cap, «le monde entier s'assurera que les coûts augmentent encore pour la Russie», a-t-il menacé.

    Standard & Poor's en a tiré les conséquences vendredi en abaissant la note de solvabilité attribuée à Moscou, qui passe à «BBB-». L'agence américaine de notation a indiqué qu'elle pourrait aller plus loin si des «sanctions plus sévères» s'appliquaient, ce qui risque de compliquer l'accès de la Russie, déjà au bord de la récession, aux marchés financiers.

    En Ukraine également la situation économique se détériore. Les prix ont ainsi augmenté de 50% en moyenne.

    - Craintes d'intervention russe -

    Après quelques jours d'apaisement grâce à la signature d'un accord international la semaine dernière à Genève, resté lettre morte, la crise est repassée à la confrontation entre Moscou et les Occidentaux, comme sur le terrain entre Kiev et les insurgés.

    Les autorités ukrainiennes accusent Moscou de soutenir activement les séparatistes, appuyés à Slaviansk par des hommes cagoulés, en treillis sans insigne et armés de fusils d'assaut de pointe et de lance-roquettes. Selon Kiev, il s'agit tout simplement d'agents russes qui cherchent à préparer une invasion ou du moins déstabiliser la situation politique avant la présidentielle.

    La perte de la Crimée, rattachée en mars à la Russie en quelques semaines, est dans tous les esprits.

    Le président russe Vladimir Poutine a dénoncé jeudi l'opération lancée par Kiev comme un «crime très grave contre son propre peuple». Il a averti que cette opération aurait «des conséquences pour les gens qui prennent ces décisions».

    «Nous n'allons pas reculer devant les terroristes», a répliqué quelques heures plus tard le président ukrainien par intérim, Olexandre Tourtchinov.

    «Nous exigeons que la Russie cesse de s'ingérer dans nos affaires intérieures, cesse le chantage et les menaces, et retire ses troupes de la frontière orientale de l'Ukraine», a-t-il dit.

    VIDEO  © 2014 AFP


     
     

    votre commentaire
  • Bali : ivre, il oblige un avion à atterrir d'urgence

     

    Publié le 25.04.2014, 09h34 | Mise à jour : 10h25      lien 

     Un avion de la compagnie Virgin Blue en route vers Bali a été détourné, d'après les chaînes de télévision indonésiennes.

     Un avion de la compagnie Virgin Blue en route vers Bali a été détourné, d'après les chaînes de télévision indonésiennes. | Capture d'écran Kompass TV

    Zoom

    Réagir

    Agrandir le texte Diminuer le texte Imprimer l'article Tout leParisien.fr sur votre mobile

    <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr><btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr>

    Beaucoup de confusion ce vendredi matin autour du geste agressif d'un passager ivre interprété comme une tentative de détournement d'. «Nous avons reçu des informations selon lesquelles un  737-800 en provenance de Brisbane (Australie) et se rendant à Bali a été détourné», a déclaré un porte-parole des forces aériennes, Hadi Tjahjanto, à la chaîne de télévision MetroTV<btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px;">
     
    </btn_noimpr>La faute à un Australien de 28 ans, ivre, qui voulait pénétrer le cockpit. 

    Ce vendredi matin, un homme ivre embarque dans le 
     VA41 de Virgin Australia et après deux heures de vol, tente de rentrer dans le cockpit pour prendre le contrôle de l'avion. Malgré les interdictions de l'équipage, l'homme, agressif, insiste avec force, obligeant l'équipage à le maîtriser pendant que le pilote déclenche un «plan de détournement». Ce dernier décide d'atterrir en urgence à l'aéroport Ngurah Rai de Denpasar (Sud-Est de Bali).


    L'homme a été arrêté peu de temps après l'atterrissage et aucun des 139 passagers n'a été blessé. «Des informations erronées disent qu'un avion de Virgin Australia aurait été détourné mais c'est incorrect. L'avion en question a atterri sans problème et la sécurité de nos passagers n'a jamais été mise en danger», explique Heru Sudjatmiko, un responsable de la compagnie aérienne à l'aéroport de Denpasar. Plus de peur que de mal...

    votre commentaire
  • AUDIOS. Lille : agressée

    dans l'indifférence en plein métro

     

    Publié le 25.04.2014, 07h23 | Mise à jour : 08h54   lien 

    Lille (Nord). C'est à la station de métro Oscar-Lambret que l'agression sexuelle d'une jeune femme a pris fin.

    Lille (Nord). C'est à la station de métro Oscar-Lambret que l'agression sexuelle d'une jeune femme a pris fin. | Google Street View

    Zoom
    Une jeune femme a connu un véritable calvaire pendant 20 à 30 minutes, mardi, dans le de Lille (Nord). Elle s'est faite agresser sexuellement par un individu sous le regard d'autres passagers. Aucun n'est intervenu pour lui venir en aide. 

    L'agresseur, un homme de 19 ans, a été condamné à 18 mois de prison ferme, jeudi, en comparution immédiate par le tribunal de Lille. 
    <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px;">
     
    </btn_noimpr>Placé sous mandat de dépôt, il a été condamné pour agression sexuelle par une personne en état d'ivresse et pour violences avec usage d'une arme par destination. De nationalité marocaine, il a également écopé d'une interdiction de territoire de deux ans.

    Les faits se sont d'abord déroulés mardi vers 22h30 à la station CHR B Calmette, au centre de Lille, 
    selon «la Voix du Nord». Le jeune homme, visiblement très éméché avec à la main une petite bouteille de vodka, aborde sa victime, qui avait l'air de chercher son chemin, selon une source policière. Le métro lillois est équipé de caméras de vidéosurveillance qui montrent que le jeune homme lui met la main sur la joue, se rapproche, la tient par les épaules, essaie de l'embrasser.

    AUDIO. Le témoignage de la jeune femme victime d'agression sexuelle


    La victime, arrivée sur le quai avec son agresseur à ses trousses, ne trouve pas de soutien auprès des usagers présents. Cinq personnes évitent de monter dans la même rame à l'arrivée d'un métro. «On ne leur demande pas forcément d'intervenir, mais cela ne coûte rien d'appeler la police», regrette une source policière. De plus, la victime a déclaré que son agresseur avait menacé à plusieurs reprises de la violer. L'homme a menacé de la frapper également et lui a touché la poitrine et les fesses, rapporte une source policière.


     en  pour non-assistance à personne en danger

    La jeune femme monte dans une rame où son agresseur la suit. Elle finit par sortir du métro à CHR Oscar-Lambret, la station suivante. A l'extérieur, elle tente d'arrêter les voitures. Un jeune conducteur s'arrête, dans le véhicule duquel elle s'engouffre. Une altercation éclate alors entre le conducteur et l'agresseur. Il est finalement maîtrisé par des agents de sécurité de l'hôpital adjacent.

    Interpellé, le jeune agresseur a simplement reconnu avoir dragué cette femme de 30 ans. Il était connu des services de police notamment pour des vols avec violence. 

    VIDEO. L'avocat de la jeune femme : «L'agression dérangeait les passagers».


    Devant l'attitude de certains témoins pouvant être assimilée à de la «non-assistance à personne en danger», le procureur de la République à Lille, Frédéric Fèvre, a souhaité que les faits soient vérifiés. «Pour la non-assistance à personne en danger, j'ai demandé aux policiers de mener une enquête distincte afin de déterminer si l'infraction est juridiquement constituée», a-t-il déclaré.

    «Les gens m'ont laissée me faire agresser»

    «Ça m'a fait mal, parce que personne ne m'a aidée. J'ai dû me débattre seule», 
    a-dit la jeune femme sur Europe 1. «On était au moins sept ou huit à attendre la rame. Tout le monde s'est écarté», a-t-elle ajouté.

    Interrogée par RTL
    , la victime a précisé, des sanglots dans la voix s'être «défendue toute seule. Les gens sont partis dans l'autre rame tout au fond ; ils m'ont laissée seule et me regardaient me faire agresser. J'ai appelé à l'aide. Je me suis mise près d'un homme ; il n'a rien voulu savoir, il ne m'a pas aidée», a-t-elle raconté. «Il y avait beaucoup de gens. Je suis une femme, c'est un homme. Ils auraient dû me défendre. Je demandais juste un coup de main», a-t-elle ajouté.

    <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr><btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr>

    LeParisien.fr 


    votre commentaire