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    Rachat d'Alstom : une offre de Siemens

    se prépare pour contrer General Electric

     

    Publié le 26.04.2014, 18h27 | Mise à jour : 19h25  lien 

    L'Allemand Siemens se positionnerait dans la course au rachat du Français Alstom, convoité par l'Américain General Electric.

    L'Allemand Siemens se positionnerait dans la course au rachat du Français Alstom, convoité par l'Américain General Electric. | (AFP/Jean-Pierre Muller.)

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    Le géant industriel allemand  s'apprête à faire une offre concurrente à celle de l'américain General Eletric (GE) pour l'acquisition d'une partie des activités d'.

    «Une offre de Siemens se prépare», a indiqué une source à la veille de la venue à 
     du PDG de General Electric, Jeffrey Immelt, pour des discussions en vue de l'acquisition de la division énergie d'Alstom, un des fleurons industriels français. <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px;">
     
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    Jeffrey Immelt devrait rencontrer le Premier ministre Manuel Valls et le ministre de l'Economie Arnaud Montebourg, selon des sources concordantes qui se refusaient ce samedi à préciser le lieu et l'heure de l'entrevue.
     
     


    L'opération vise l'achat des actifs du groupe français liés à l'énergie (équipements pour centrales thermiques, lignes à haute tension, énergies renouvelables, soit les divisions «Power» et «Grid»), qui représentent plus de 70% de l'activité d'Alstom et un chiffre d'affaires de 14 Mds€. La transaction est estimée à quelque 10 Mds€. La branche transport, qui fabrique les célèbres trains à grande vitesse (TGV), ne serait, elle, pas concernée par cette acquisition.

    Préserver l'emploi

    Bien que l'Etat ne soit plus actionnaire de l'entreprise depuis 2006, Arnaud Montebourg s'est invité dans le dossier, justifiant son interventionnisme par la nécessité de prémunir la France du risque de perdre un centre de décision et d'éventuels emplois. Dès vendredi, il a reçu Clara Gaymard, la dirigeante de GE en France pour s'assurer qu'a minima l'emploi serait préservé.

    De son côté, le PDG d'Alstom, Patrick Kron, a simplement confirmé aux organisations syndicales que le groupe était en discussions «pour une opération industrielle».

    La rencontre de dimanche entre les différentes parties sera sans doute un tournant pour Alstom, qui pâtit depuis un an d'un coup de frein sur son marché principal des centrales électriques.

    «Arnaud Montebourg reçoit et recevra toutes les parties concernées», a déclaré ce samedi l'entourage du président français François Hollande. Le gouvernement entend obtenir des garanties sur trois points «l'emploi, la localisation des activités et l'indépendance énergétique», a-t-on expliqué de même source.

    Alstom devrait lui tenir dimanche un conseil d'administration, selon la presse. D'autant que le temps presse. Le cours du titre Alstom (à 27 €) a été suspendu vendredi à la Bourse de Paris et la cotation ne pourra reprendre lundi que si le groupe publie un communiqué pour éclaircir la situation et éviter les spéculations boursières.

    Opération amicale

    «GE est dans une position très amicale», assurait samedi une source proche du dossier. «Si GE souhaite faire cette opération, c'est parce qu'ils sont sensibles aux arguments d'Alstom et de son principal actionnaire Bouygues», qui détient 29,4% du capital, notamment sur la complémentarités entre les deux groupes.

    Son actionnaire majoritaire, Bouygues, ne cache pas son souhait de se désengager du capital d'Alstom pour des raisons stratégiques. Alstom souhaite, lui, se recentrer sur le ferroviaire, a précisé la même source.

    «On a une belle histoire à construire en terme d'offres à travers le monde. On veut écouter le gouvernement, sachant que l'on veut construire un projet industriel et non un projet politique», a-t-on souligné dans l'entourage de GE.


    GE n'est pas un étranger en France

    General Electric, qui a décidé de se recentrer sur son activité industrielle au détriment de sa branche financière (GE Capital), pourra faire valoir dimanche auprès du gouvernement sa présence de longue date en France et ses partenariats avec d'autres industriels français.

    GE France, ce sont en effet 11 000 employés et un siège européen à Belfort. Il est présent dans une vingtaine de villes de l'hexagone, précise-t-il sur son site internet. 

    L'industriel américain dispose en outre depuis plus de 35 ans d'une filiale commune avec Snecma (Safran) qui fabrique le CFM56, le moteur d'avion le plus vendu de l'histoire. 

    «C'est dans l'ADN de GE d'être un partenaire industriel avec la France. Sur l'aspect social, on est très à l'aise (...) GE est très respecté en terme de politique sociale», souligne-t-on.


    Si le gouvernement français peut faire pression sur d'éventuelles garanties, il lui sera difficile de faire obstruction à l'opération, faute de véritables alternatives pour garantir l'avenir d'Alstom.

    Si l'on prend la piste Siemens, l'Etat français, artisan du sauvetage d'Alstom en 2003-2004 alors au bord de la faillite, s'était opposé à un rachat par ce concurrent allemand. Patrick Kron est viscéralement opposé à un rapprochement avec l'Allemand.


    CLÉS

    GENERAL ELECTRIC
    • Chiffre d'affaires mondial : 146 Mds$ en 2013.
    • Effectifs : 305 000 employés.

    ALSTOM
    • Chiffre d'affaires : 20,3 Mds€ sur l'exercice 2012-2013.
    • Effectifs : 93 000 personnes dans le monde ; 18 000 en France.

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    LeParisien.fr


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  • Ukraine : des observateurs

    européens retenus par les

    séparatistes à Sloviansk

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2014-04-25T11:52:41+02:00" itemprop="datePublished">25.04.2014 à 11h52</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-04-25T21:50:10+02:00" itemprop="dateModified">25.04.2014 à 21h50</time>

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    <figure class="illustration_haut" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; position: relative;">Un prorusse garde une barricade à Lougansk, dans l'Est ukrainien.</figure>

     

    Après quelques jours d'un apaisement précaire à la suite de la signature d'un accord censé mettre en place une « désescalade », la crise en Ukraine est redevenue une confrontation verbale entre Moscou et les Occidentaux, et quasi militaire entre l'armée ukrainienne et les milices prorusses. Les autorités de Kiev ont déclaré, vendredi 25 avril, que l'armée allait tenter de bloquer les militants prorusses à l'intérieur de Sloviansk, ville de 100 000 habitants sous contrôle des insurgés, pour « ne pas laisser les renforts [prorusses] arriver » afin d'« éviter les victimes parmi les civils ».

    Des blindés et des hélicoptères ukrainiens stationnent autour de la ville depuis jeudi. L'éventualité d'un assaut a encore fait monter la tension. La place forte des prorusses est quadrillée par des hommes armés se revendiquant de toutes sortes d'organisations et qui peuvent arbitrairement faire descendre un automobiliste de son véhicule et le tenir à genoux sur la chaussée le temps d'une vérification.

     
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    Selon le ministère de l'intérieur ukrainien, « des inconnus ont arrêté à 11 h 40 locales un bus avec treize passagers dont sept représentants de l'OSCE [Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe], cinq militaires ukrainiens et le chauffeur (...) Les personnes capturées se trouvent au siège desservices spéciaux locaux ». La ministre de la défense allemande, Ursula von der Leyen, a affirmé dans la soirée que 13 observateurs de l'OSCE, et non sept, avaient été capturés et étaient retenus par des séparatistes prorusses. « Le tableau est encore confus mais il apparaît que 13 inspecteurs de l'OSCE ont été arrêtés, parmi ces 13 inspecteurs se trouvent par ailleurs quatre Allemands », at-elle précisé.

    Jeudi, le « maire populaire » de la ville, Viatcheslav Ponomarev, dont les conférences de presse débridées évoquent les sorties pleines de fougue du président tchétchène Ramzan Kadyrov, a annoncé être prêt à transformer la ville en un « nouveau Stalingrad ».

    Lire notre reportage à Sloviansk : Dans l'est de l'Ukraine, les forces de Kiev grignotent les positions prorusses

    « TROISIÈME GUERRE MONDIALE »

    Les responsables ukrainiens comme russes ont continué, vendredi, les déclarations souvent belliqueuses, parfois alarmistes, telle celle du premier ministre ukrainien, Arseni Iatseniouk, qui accuse la Russie :

    « Les tentatives d'agression de l'armée russe sur le territoire de l'Ukraine mèneront à un conflit sur le territoire de l'Europe. Le monde n'a pas oublié la seconde guerre mondiale, et la Russie veut lancer une troisième guerre mondiale. Le soutien de la Russie aux terroristes en Ukraine constitue un crimeinternational, et nous appelons la communauté internationale à s'unir contre l'agression russe. »

    Le ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, a répondu en reformulant des accusations maintes fois répétées, à savoir que les Etats-Unis soutiennent les manœuvres ukrainiennes et que le ton de son homologue américain, John Kerry, est « inacceptable ». Washington consultera les principaux dirigeants européens dans la journée au sujet de possibles nouvelles sanctions.

    « J'ai parlé ce matin avec le président russe, et j'ai clairement dit que d'un côté, l'Ukraine avait accompli un certain nombre de gestes afin d'appliquer l'accord de Genève, mais que de l'autre, la reconnaissance par la Russie de cet accord faisait défaut, ce qui a naturellement un impact sur les séparatistes en Ukraine », a déclaré la chancelière allemande, Angela Merkel.


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    Cascade de S pour un Papillon

     

    « Naître avec le printemps, mourir avec les roses ; Sur l'aile du zéphyr nager dans un ciel pur ; Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses, S'enivrer de parfums, de lumière et d'azur ; Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes, S'envoler comme un souffle aux voûtes éternelles : Voilà du papillon le destin enchanté. Il ressemble au désir, qui jamais ne se pose, Et sans se satisfaire, effleurant toute chose, Retourne enfin au ciel chercher la volupté !. »

    Le papillon
    [ Alphonse de Lamartine ]

    La vie est magnifique et la beauté éphémère… chacun de nous est libre de donner un beau contenu à son existence : le fait de nous savoir mortels crée une situation d’urgence pour se réaliser et cueillir tous les fruits de la vie avant que de partir... Il faut apprendre jeune l’exigence, la curiosité, l’envie de vivre pour multiplier les expériences formatrices qui nous rendent plus forts et font de notre vie, un destin ! Découvrir la vie dans tous ses états, jouir de chaque instant, participer à la fête des sens pour ne rien regretter… et partir en son temps, pleinement rassasié, vers d’autres horizons côtoyant l’éternité !

     

    Marialis

     


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  • Les chômeurs sceptiques sur

    les effets du pacte de responsabilité

    sur l'emploi

     

    Créé le 25/04/2014 à 11h56 -- Mis à jour le 25/04/2014 à 11h59      lien 
    <aside>Illustration Pôle Emploi.

    Illustration Pôle Emploi. P. MAGNIEN/20 MINUTES

    </aside>

    EMPLOI - 66% n'en attendent rien, selon un sondage OpinionWay pour le site de recherche d'emploi Qapa, publié ce vendredi...

    Pessimisme, fatalisme? Selon un sondage publié ce vendredi*, deux demandeurs d'emploi sur trois pensent que le pacte de responsabilité du gouvernement prévoyant des allègements de charges patronales sur les plus bas salaires n'aura «pas d'effet»  sur la courbe du chômage.

    Pis, 17% des chômeurs sondés redoutent un «effet négatif». Seuls 16% croient au contraire que le pacte aura un effet positif.

    Dispositif «insuffisant» pour relancer l’emploi

    Le plaidoyer de Bercy qui a évalué mercredi à 200.000 créations d’emploi supplémentaires d’ici 2017, grâce aux 10 milliards d’euros exonérations de cotisations patronales, n’a donc pas convaincu les chômeurs français. Mais ils ne sont pas les seuls à rester sceptiques.

    Dans son rapport rendu ce vendredi, l’agence de notation Standard&Poor’s  a salué la baisse des charges des entreprises contenue dans le «Pacte de stabilitécomme «un facteur positif» tout en soulignant que ces mesures du «pourraient s'avérer insuffisantes pour relancer l'emploi».

    Brin d’optimisme sur leur recherche d’emploi

    A court-terme, les demandeurs d'emploi affichent aussi leur pessimisme sur l'état global du marché du travail : 80% pensent que le nombre de chômeurs augmentera dans les trois prochains mois, dont 43% «fortement». Seuls 9% tablent sur une stabilisation et 10% sur une légère diminution.

    En pratique, toutefois dans leurs recherches d’emploi les chômeurs français font preuve d’un peu plus d’optimisme: selon le sondage OpinionWay pour Qapa.fr, 69% pensent trouver un travail dans les trois mois, dont 46% «probablement» et 23% «certainement». En revanche, 26% répondent «probablement pas», 4% «certainement pas».

    Les chiffres mensuels des inscriptions à Pôle emploi en mars qui seront dévoilés ce vendredi à 18h, diront si leur pronostic se confirme : après un rebond surprise en février, François Rebsamen, le ministre du Travail du  nouveau gouvernement Valls, a assuré jeudi sur LCI que le chômage allait baisser «certains mois» au cours de cette année, car «nous sommes sur une tendance baissière».

     Claire Planchard

    *Enquête réalisée par internet du 16 au 22 avril 2014 auprès d'un échantillon de 2.445 personnes représentatif de la population des demandeurs d'emploi en France, constitué selon la méthode des quotas.

     

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  • Challenges > Entreprise > Montebourg s'inquiète de la reprise d'Alstom par l'américain GE
    <article style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;"><header style="margin: 0px 0px 1em; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;">

    Montebourg s'inquiète de la reprise d'Alstom par l'américain GE

    Challenges.fr <time style="margin: 0px; padding: 0.6em 1em; border: 0px; list-style: none; vertical-align: top; display: inline-block; width: 19em; font-size: 0.75em; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; box-sizing: border-box;">Publié le 25-04-2014 à 09h55Mis à jour à 11h20</time>lien

    Le ministre de l'Economie va rencontrer le patron de General Electric pour lui faire part de sa "préoccupation et vigilance patriotiques". Il travaillerait "à d'autres solutions".

    </header>
    <figure id="ultimedia_image" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;">Patrick Kron, PDG d'Alstom AFPPatrick Kron, PDG d'Alstom AFP</figure>
    <aside class="top-outils" style="margin: 0px 0px 1.5em; padding: 0.5em 0px; border-width: 0px 0px 1px; border-bottom-style: solid; border-bottom-color: rgb(204, 204, 204); list-style: none; box-sizing: border-box;">
    </aside><aside class="inside-art" style="margin: 0px 0px 0px 1em; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; width: 200px; float: right; box-sizing: border-box;"><section class="social-buttons js-share-tools" style="margin: 0px; padding: 0px 0px 1em; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;"><header style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; font-size: 0.8em; font-family: raleway-medium, sans-serif; text-transform: uppercase; box-sizing: border-box;">PARTAGER</header>
     
    </section><section class="obs-article-brelated" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;">

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    </section></aside>

    Le gouvernement français "travaille à d'autres solutions et éventualités" qu'une éventuelle reprise des activités liées à l'énergie d'Alstom par le géant américain General Electric, a déclaré vendredi 25 avril au Monde le ministre de l'Economie Arnaud Montebourg.

    Le ministre a également affirmé que le gouvernement n'avait pas été informé de ce projet par Alstom mais qu'il a rencontré Patrick Kron, le PDG du groupe français jeudi 24 avril. Une rencontre entre le Premier ministre Manuel Valls, Arnaud Montebourg et le patron de General Electric est également prévue "prochainement", indique-t-il. 

    "Alstom est le symbole de notre puissance industrielle et de l'ingéniosité française. Dans ce dossier Alstom, le gouvernement exprime une préoccupation et une vigilance patriotiques", a déclaré Arnaud Montebourg.

    "Cette haute vigilance se porte sur le risque sérieux de perte d'un centre de décision, sur le désir et la nécessité de renforcer notre base industrielle française en obtenant des relocalisations industrielles en France, et sur le nombre d'emplois perdus ou créés dans de telles opérations", ajoute-t-il.

    "C'est pourquoi le gouvernement travaille à d'autres solutions et éventualités que celles imaginées seules et sans que le gouvernement n'en ait été informé par Alstom", affirme Arnaud Montebourg, sans plus de précision.

    Tandis que l'agence de presse Bloomberg avait évoqué mercredi 23 avril au soir un projet d'offre de 13 milliards de dollars pour Alstom, Le Figaro a indiqué jeudi 24 avril que c'est la partie liée à l'énergie d'Alstom, qui représente plus de 70% du groupe, qui serait dans le viseur de GE, et pas les activités ferroviaires.

    Selon Le Monde vendredi 25 avril, la partie énergie serait valorisée 10 milliards d'euros hors la trésorerie d'Alstom. Toujours selon le journal, "les discussions en vue d'un rapprochement pourraient s'accélérer ce week-end".

    L'action suspendue après un bond de 10% en une journée 

    L'action Alstom était suspendue vendredi 25 avril au matin à la Bourse de Paris, à la demande de l'Autorité des marchés financiers (AMF), après l'envol du titre jeudi sous l'effet de rumeurs de rachat par GE.

    L'action Alstom avait bondi jeudi 24 avril après les rumeurs de rachat diffusées dans la presse, pour prendre 10,93% à 27 euros à la clôture du marché parisien.

    L'industriel français, qui produit des équipements pour centrales électriques, lignes à haute tension et du matériel ferroviaire dont l'emblématique TGV, a connu un redressement salué après avoir évité la faillite en 2003-2004. Mais le groupe (93.000 employés dont 18.000 en France) a renoué avec les difficultés depuis un peu plus d'un an, sous l'effet notamment d'un marché européen des infrastructures électriques atone.

    <aside class="lire" style="margin: 1em 0px; padding: 0px; border: 1px solid rgb(179, 179, 179); list-style: none; position: relative; background-color: rgb(230, 230, 230); box-sizing: border-box;"><header style="margin: 0px; padding: 0.7em 1em; border: 0px; list-style: none; display: inline-block; background-color: rgb(0, 0, 0); font-size: 1em; font-family: raleway-medium, sans-serif; color: rgb(255, 255, 255); text-transform: uppercase; height: 2.5em; vertical-align: top; box-sizing: border-box;">LIRE</header>GE pourrait racheter la branche "énergie" d'Alstom</aside>

    Alstom a renvoyé à la publication, le 7 mai, de ses résultats annuels et d'"un point sur les perspectives de ses différentes activités".

    (avec AFP)

    </article>

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