• <article style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box; font-family: Georgia, serif; font-size: 16px;"><header style="margin: 0px 0px 1em; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;">

    Valls "confiant" sur le vote du pacte

    de stabilité par les députés PS

    <time style="margin: 0px; padding: 0.6em 1em; border: 0px; list-style: none; vertical-align: top; display: inline-block; width: 19em; font-size: 0.75em; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; box-sizing: border-box;">Publié le 27-04-2014 à 16h42       Mis à jour à 17h29</time>lien

    "C'est à la majorité de prendre ses responsabilités et je ne doute pas qu'elle le fera", assure le Premier ministre, au sujet du vote sur le plan de 50 milliards d'économie.

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    <figure id="ultimedia_image" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;">Le Premier ministre Manuel Valls à Matignon, à Paris, le 7 avril 2014. (AFP PHOTO/FRED DUFOUR)Le Premier ministre Manuel Valls à Matignon, à Paris, le 7 avril 2014. (AFP PHOTO/FRED DUFOUR)</figure>
    <aside class="top-outils" style="margin: 0px 0px 1.5em; padding: 0.5em 0px; border-width: 0px 0px 1px; border-bottom-style: solid; border-bottom-color: rgb(204, 204, 204); list-style: none; box-sizing: border-box;"></aside>

    "Je suis confiant pour le vote de mardi. C'est à la majorité de prendre ses responsabilités et je ne doute pas qu'elle le fera", a déclaré Manuel Valls lors d'un entretien avec plusieurs journalistes, en marge de sa venue à Rome pour la canonisation des papes Jean XXIII et Jean Paul II.

    "Cohérence" de la majorité

    Interrogé sur l'éventuel apport de voix des centristes de l'UDI, Manuel Valls a répondu "je ne compte pas sur [l'opposition] pour compenser je ne sais quel vote".

    Pour lui, c'est à la majorité - parti socialiste, radicaux de gauche et écologistes - "de soutenir le pacte de responsabilité et le programme de stabilité".

    C'est une question de "cohérence", a-t-il estimé jugeant le plan de 50 milliards d'économie "indispensable".

    Un geste pour "les petites retraites"

    "Si l'on est responsables et qu'on a une idée de l'intérêt général, il faut maîtriser le déficit et baisser la dette", a-t-il souligné tout en disant entendre "l'attente de justice", le "rejet des impôts trop lourds et une critique de la dépense publique", exprimés lors des municipales qui ont vu la déroute de la gauche.

    Dans le texte sur les orientations économiques de la France, qui sera soumis mardi au vote des députés, figureront "des mesures qui rassurent les retraités et les futurs retraités" portant sur "les petites retraites", a-t-il confirmé.

    Manuel Valls, qui a diné samedi soir avec son homologue italien, Matteo Renzi, a par ailleurs insisté sur les points de convergence entre Rome et Paris, pour remettre la croissance à l'emploi au cœur des priorités de l'Union européenne. "L'Europe traverse une crise de confiance. Pour sortir des difficultés, il faut agir vite, en profondeur", a-t-il dit.

    Le Premier ministre a cité parmi les points de convergence nécessaires "la croissance, l'énergie et la politique monétaire" pour une "Europe plus prospère".

    </article>

    Sur le web: Pacte de stabilité de Manuel Valls: la majorité socialiste continue à tanguer - 24/04
     

     

    <aside class="top-outils" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box; font-family: Georgia, serif; font-size: 16px;">

    </aside>


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    Premier League : Chelsea relance

    la course au titre !

    Le Point.fr - Publié le 27/04/2014 à 10:01 - Modifié le 27/04/2014 à 17:43

    En s'imposant 2-0 à Anfield grâce à des buts de Demba Ba et Willian, les Blues reviennent à deux longueurs de Liverpool, premier du championnat.

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    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Chelsea s'impose 2-0 face à Liverpool grâce à des buts de Demba Ba et Willian.<figcaption>

    Chelsea s'impose 2-0 face à Liverpool grâce à des buts de Demba Ba et Willian.

     © ANDREW YATES / AFP

    </figcaption></figure>

    Chelsea réalise un coup de génie. Dans le cadre de la 36e journée de Premier League, les Blues se sont imposés à Liverpool 2 à 0, grâce à des buts de Demba Ba et Willian dans les arrêts de jeu de chaque mi-temps. 

    D'entrée de jeu, Chelsea a choisi de pourrir le jeu et l'ambiance. Empêchant toute possibilité de création offensive de la part de Liverpool dans le premier quart-d'heure, les Blues n'ont pas hésité à faire de l'anti-jeu en prenant tout leur temps pour tirer des six mètres, faire une touche ou encore récupérer d'un tacle. Une attitude qui a eu le don d'énerverSteven Gerrard qui ne s'est pas privé pour échanger avec José Mourinho quelques provocations. Une petite échauffourée très vite calmée par l'intervention du 4e arbitre.

    Preuve des difficultés des Reds, après trente minutes, ils ne sont toujours pas montrés tranchant, alors que 37 de leurs 96 buts ont été inscrits avant la demi-heure de jeu. Les hommes de Brendan Rodgers ont tout tenté pour dicter le tempo devant leur public d'Anfield, mais le 4-3-3 inédit composé par José Mourinho a littéralement annihilé les offensives des attaquants de Liverpool. La rigueur, la discipline et le repli de Chelsea ont été irréprochables. Le bloc, bien en place, respecte les consignes : manger le chrono, faire des fautes intelligentes, casser les constructions en limitant les débordements de Sterling et Coutinho tout en empêchant Suarez d'être face au jeu. Et en allant même presser la relance... Une attitude qui finalement paie dans le temps additionnel de la première période. À la 47e minute, suite une mauvaise prise de balle, Steven Gerrard se fait chiper le ballon par Demba Ba qui file vers le but et ajuste facilement Mignolet pour l'ouverture du score. Les Reds sont rentrés au vestiaire sans inscrire le moindre but en première mi-temps, une première depuis 25 journées de Premier League.

    Un braquage mené à la perfection

    En seconde période, Chelsea continue de suivre son plan. Ivanovic coupe toutes les passes à destination de Suarez, Liverpool ne parvient pas à centrer, les Blues contient les assauts avec maîtrise. Et l'entrée de Sturridge (57e), de retour de blessure, n'y changera rien. Le bloc de José Mourinho n'offre pas le moindre espace, forçant des frappes de loin difficiles à l'image d'Allen (58e) qui après une longue construction se trouve obligé de tirer à environ 25 mètres, sans réel danger pour Schwarzer.
    À la 63e, les Blues récupèrent le ballon dans leur surface est lance un contre bien mené terminé par Shürrle dont la frappe est repoussée par Mignolet (63e). Un résumé parfait de la physionomie du match. Alors que Liverpool se casse les dents, Chelsea réalise un coup parfait en tenant sa chance sur des contres. 

    Steven Gerrard tente à maintes reprises de se faire pardonner, mais sa frappe (75e) puis sa tête (78e), sont facilement captés par Schwarzer. Sa défense est si bien en place que les tirs des Reds sont peu tranchants. Comme un symbole, alors que Liverpool essayait tant bien que mal de construire une ultime attaque pour arracher le nul dans les arrêts de jeu, Chelsea intercepte le ballon et mène un contre éclair. À la suite d'un une deux, Fernando Torres et Willian se retrouvent seuls face à Mignolet. L'Espagnol fixe le gardien puis offre le but au Brésilien (93e). José Mourinho sait que le match est plié et court célébrer la victoire avec les supporteurs qui ont fait le déplacement.

    À deux journées de la fin, Chelsea n'est plus qu'à deux points de Liverpool toujours leader. 


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  • ATHLE - MARATHON / BELGRADE - 

    Belgrade : La victoire pour Kipkorir Talam

     

    Publié le 27/04/2014 à 16h10                           lien
     

    Le Kenyan Bernard Kipkorir Talam remporte ce dimanche la 27eme édition du marathon de Belgrade.

    Bernard Kipkorir Talam s’impose en 2 heures, 14 minutes et 35 secondes et s’offre un nouveau record personnel sur la distance (2h17’18’’ - marathon de Nairobi, octobre 2011).


    Le jeune Kenyan, 27 ans, devance de plus d’une minute son compatriote Paul Kimeli Samoei. Un autre Kenyan, Edwin Kiplagat Kitum, victorieux l’an passé, complète le podium. 

    Victoire kenyane chez les dames également avec la victoire de Valary Jemeli Aiyabei (2h37’07’’) qui s’impose devant sa compatriote Hellen Jepkosgei Kimutai (2h42’24’’) et l'Ethiopienne Yenealem Ayano Buli (2h43’45’’).

    - See more at: http://www.sport365.fr/autres-sports/athletisme/belgrade-la-victoire-pour-kipkorir-talam-1126332.shtml#sthash.qp9efSPt.dpuf


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  • L’émouvante lettre de Tito Vilanova
    quand il a quitté le Barça

    Adjoint de Pep Guardiola de 2007 à 2012, puis entraîneur du Barça en 2012-2013, Tito Vilanova est décédé ce vendredi à 45 ans. Au mois de juillet dernier, il avait fait publier une lettre ouverte émouvante sur le site du club catalan.

    La rédaction 
    Le 25/04/2014 à 20:47
    lien

     

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    <article>

     

    Il n’a entraîné le Barça qu’une saison, mais il a écrit l’histoire du club. Décédé ce vendredi à 45 ans, après un cancer, Tito Vilanova a succédé à Pep Guardiola en 2012-2013. L’ancien adjoint de l’actuel coach du Bayern Munich (2007-2008 avec le Barça B, 2008-2012 avec l’équipe A) a mené les Catalans au titre de champion d’Espagne au printemps 2013 en atteignant la barre des 100 points. Un record co-détenu par le Real Madrid de José Mourinho. Au moment de quitter le Barça, à cause de la maladie, Tito Vilanova avait fait publier une lettre ouverte sur le site officiel du club (20 juillet 2013). Emouvante.

     

     

    « Merci Barça, merci à tous

    Après cinq années merveilleuses au sein d’une équipe de rêve pour n’importe quel entraineur, est arrivé le moment d’affronter un changement dans ma vie professionnelle pour me consacrer pleinement à la lutte contre la maladie qui m’a été diagnostiquée il y a un an et demi.

    Les traitements que je dois suivre à partir de maintenant ne sont pas compatibles à ma tâche d’entraineur principal d’une équipe telle que le FC Barcelone comme me l’ont expliqué les médecins, mais je continuerais proche du Club que j’aime tant en travaillant à d’autres tâches dans l’aire sportive.

    Ce n’est pas facile de laisser ce groupe de personnes si spéciales, les joueurs, les membres du staff et amis avec qui j’ai partagé tellement de choses. Je leur serai éternellement reconnaissant de ce qu’ils ont fait pour moi, ce qu’ils m’ont démontré. La qualité humaine et footballistique de cette équipe est capable de surpasser tous les obstacles, et je suis convaincu qu’ils sauront relever les défis sportifs de cette saison qui doit être belle pour tous.

    Je veux aussi remercier spécialement le Président, le Conseil d’Administration et le directeur sportif Andoni Zubizarreta pour toute la confiance qu’ils m’ont donné et surtout leur soutien inconditionnel, tant sur le plan sportif que sur le plan personnel. Je remercie aussi Ramon Canal et son équipe de médecins qui m’ont accompagné. Je sais que ce match je ne le joue pas seul, que je fais partie d’un Club solidaire qui m’aide à me remettre.

    À vous tous, supporters, socios, je vous suis aussi reconnaissant de vos gestes de soutiens et d’affection. Pas seulement maintenant, mais durant les nombreux mois difficiles. Je veux vous dire que je suis tranquille, fort, et que j’affronte cette nouvelle étape avec confiance.

    Merci aussi à tous les fans de football, aux collègues de la profession, sportifs, personnalités et anonymes pour leurs messages qui m’aident et aident ma famille.

    Ce sont des moments difficiles pour mes proches, et c’est pour cela que je demande du respect et de la compréhension aux médias de communication. J’espère avoir la tranquillité et l’intimité dont ma famille et moi avons besoin.

    Je souhaite terminer ce message en souhaitant bonne chance et beaucoup de succès au nouvel entraineur.

    Merci beaucoup à tous

    Tito Vilanova. »

    VIDEO

    </article>

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  • PSG: A Sochaux, Paris fait encore attendre le titre

     

    Créé le 27/04/2014 à 16h04 -- Mis à jour le 27/04/2014 à 16h17    lien
    Le Sochalien Sébasrien Corchia entre les joueurs du PSG Maxwell et Thiago Silva, le 27 avril 2014, au stade Bonal.
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    Le Sochalien Sébasrien Corchia entre les joueurs du PSG Maxwell et Thiago Silva, le 27 avril 2014, au stade Bonal.SEBASTIEN BOZON / AFP

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    FOOTBALL – Les joueurs de Blanc ont été tenus en échec par Sochaux (1-1)

    De notre envoyé spécial à Sochaux,

    Bon, ça ne change pas grand-chose au panorama, et l’affaire devrait toujours bien se terminer pour le PSG. On peut même considérer que les Parisiens ont fait un petit cadeau à leurs supporters, qui auront l’occasion de fêter le titre en direct au Parc des Princes, le mercredi 7 mai. Enfin, si les hommes de Laurent Blanc parviennent à venir à bout de Rennes, ce qui n’a plus l’air si évident que ça, vu l’état global des troupes.

    Revivez Sochaux-PSG en live comme-à-la-maison

    C’est un peu dur pour le PSG, certes, mais il est clair que cette équipe a perdu la foi depuis le coup de tibia de Demba Ba à Londres. Ca s’est vu contre Lyon, à deux reprises, contre Evian en milieu de semaine, et surtout à Sochaux ce dimanche. Sur une pelouse bien grasse et bien haute - bien vu Hervé Renard - Paris a semblé au bout du rouleau, moins physiquement que mentalement. Alors qu’il leur suffisait de l’emporter chez le 18e de L1 – mais 8e sur la phase retour quand même - pour obtenir ce deuxième titre de champion de France tant désiré et que Cavani avait bien lancé l’après-midi (25e), les coéquipiers de Lucas, à peu près le seul à son niveau, ont peu à peu basculé entre l’approximatif et le n’importe quoi.

    Sochaux croit toujours au maintien

    Evidemment, cela aurait pu relever de l’anecdote si Pelé n’avait pas sorti deux parades aussi sublimes que veinardes au milieu de la seconde période devantCavani et Verratti, mais Sochaux a trop facilement mis en difficulté le bloc parisien pour ne pas finir par en être récompensé. C’est Thiago Silva qui a fauté sur un centre dévié de Faussurier (55e), la preuve que le capitaine de la seleçao est un peu au Brésil dans sa tête quand même, mais cela aurait pu être Roudet, Ayew ou Corchia, tant le 4-4-2 décomplexé des Sochaliens a fait mal au PSG. L’un dans l’autre, ce nul permet aux Doubistes de croire encore au maintien après une seconde partie de saison remarquable, et il ne remet rien en cause pour Paris. C’est juste dommage pour Bein sport, qui pensait avoir bien choisi son match. Raté.

     Julien Laloye

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