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    Ray Harryhausen, maître des effets spéciaux, est mort

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    <time datetime="2013-05-07T21:31:18" itemprop="dateCreated">Créé le 07-05-2013 à 21h31</time> - <time datetime="2013-05-07T21:31:18" itemprop="dateModified">Mis à jour à 21h31</time>

     

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    Ray Harryhausen, ancien maître des effets spéciaux dans le cinéma américain avec des films comme "Jason et les Argonautes" ou "Le Choc des Titans", est décédé mardi à l'âge de 92 ans à Londres. /Photo d'archives/REUTERS
(c) Reuters

    Ray Harryhausen, ancien maître des effets spéciaux dans le cinéma américain avec des films comme "Jason et les Argonautes" ou "Le Choc des Titans", est décédé mardi à l'âge de 92 ans à Londres. /Photo d'archives/REUTERS (c) Reuters

    LOS ANGELES (Reuters) - Ray Harryhausen, ancien maître des effets spéciaux dans le cinéma américain avec des films comme "Jason et les Argonautes" ou "Le Choc des Titans", est décédé mardi à l'âge de 92 ans, annonce sa famille.

    Ray Harryhausen s'est illustré par ses trucages et ses créations de monstres des années 1940 aux années 1980.

    "L'influence de Ray sur les réalisateurs d'aujourd'hui a été énorme: Steven Spielberg, James Cameron, Peter Jackson, George Lucas, John Landis et le Britannique Nick Park citent Harryhausen comme l'homme dont l'oeuvre a inspiré leurs propres créations", souligne sa famille dans un communiqué.

    Né à Los Angeles, Ray Harryhausen est mort à Londres.

    Jill Serjeant, Bertrand Boucey pour le service français


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  • Netflix se fait supprimer 1749 titres MGM-

    Universal de son catalogue

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    Publié par Cyrille dans Actualité le <time datetime="2013-05-03T16:24:50+00:00" pubdate="pubdate"></time> | No comment | Liens : http://nst.im/12wnE5p

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    </section></aside><figure></figure>

    C'est vraiment trop fort. Alors que le Web vient de fêter ses 20 ans, les industriels du divertissement comme la MGM, Warner Bros, ou Universal commencent seulement à s'en servir dans leurs propres intérêts en déployant leurs propres technologies.

    Jusqu'ici, des entreprises concluaient des accords avec ces Majors pour proposer par le biais de leurs services, leurs contenus. On peut par exemple citer Spotify, Dezzer, 7Digital, Hulu, Amazon, Google, ou encore Netflix pour ne citer vraiment que les plates-formes les plus connues. Mais certaines de ces entreprises ne sont pas totalement affiliées aux Majors, et proposent depuis peu, des contenus divertissants qu'elles financent elles-mêmes. Les Majors détestant la concurrence, elles préfèrent donc s'émanciper avant que leurs catalogues finissent par devenir intéressants et pas suffisamment mis en avant.

    Les vieux lobbyistes des industries du divertissement, c'est bien connu, ils veulent tout contrôler et ce, même au travers de lois spécialement votées par les gouvernements pour eux. On est jamais si bien servi que par soi-même comme dit le vieil adage de Charles-Guillaume Etienne. Quoi de mieux donc que de contrôler tout, de la chaîne de production, à celle de la diffusion. Ainsi, 20 ans après, alors que de nombreuses entreprises innovantes ont évolué pour prendre les devants et que les internautes se sont habitués à utiliser leurs services, Les Majors se décident enfin à créer leurs propres solutions faites maison, au travers de sites de streaming et de ventes.

    Seulement, le problème, c'est que proposer ses propres services est une initiative qui, pour les majors, habituées à l'économie de la rareté, rentre donc en conflit avec les entreprises externes proposant les mêmes contenus. C'est donc pour cela que 1749 titres, notamment de la MGM et d'Universal ont été retirés du catalogue de Netflix. Du coup, les internautes qui veulent accéder à ces titres disparus de la plate-forme de streaming, Netflix devront se rediriger à nouveau vers celle, propriétaire, de la Warner Archive Instant service.

    Mais ce n'est que le début. Il y a fort à parier qu'à l'avenir, les contenus des Majors continueront de disparaître des plates-formes tierces, pour ne se retrouver que sur leurs propres plates-formes sur Internet ; et comme disait Highlander, il ne peut en rester qu'un. Après tout, c'est une bonne idée et une vision révolutionnaire pour les aider à disparaître, elles aussi, comme a disparu le bon vieux minitel où chaque entreprise détenait son propre service.

    Au final, tout le monde va finir par y perdre. Là où le rassemblement permettait de créer de la diversité, c'est toute la Création qui continuera de s'effriter. Mais la question que je me pose, c'est : est-ce que ces Majors arriveront un jour à comprendre pourquoi les internautes piratent leurs contenus ? Parce que ce n'est sûrement pas avec des services sur-protégés par des verrous numériques, comme l'Ultra-Violet, pour ne citer que lui, qu'elles vont améliorer la situation. Sinon, dans cette image, il y a déjà un début d'explication, si je peux les aider. Quant au titre de cette page, il est priceless : "regarder des titres rares et difficiles à trouver" : tu m'étonnes !


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  • Dernière modification : 03/05/2013 

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    Cinéma : l’Inde célèbre les 100 ans de Bollywood

    Cinéma : l’Inde célèbre les 100 ans de Bollywood
    © Wikimedia Commons

    L'Inde fête le centième anniversaire de son industrie cinématographique ce vendredi. Hommage à "Raja Harishchandra", le film muet en noir et blanc, précurseur de la grande histoire de Bollywood.

    Par FRANCE 24 (texte)
     

    L’Inde fête vendredi le centième anniversaire de son industrie cinématographique en commémorant la sortie le 3 mai 1913 de "Raja Harishchandra", un long-métrage muet en noir et blanc qui marqua les débuts du 7e art sur le sous-continent.

    Un film de 50 minutes bien modeste au regard des dernières superproductions de Bollywood, réputées pour leurs danses effrénées rythmées par les voix aigues d’actrices vêtues de manière extravagante.

    Inspiré d’un mythe hindou, "Raja Harishchandra" raconte l’histoire d’un roi qui sacrifie sa famille et son royaume pour accomplir une promesse faite à un vieux sage. Les prouesses du souverain maudit impressionnent les dieux, qui finissent par lui rendre sa gloire passée.

    "Raja Harishchandra" rencontra un grand succès public. Les projections se succedèrent à travers l’Inde entière, faisant du réalisateur, Dadasaheb Phalke, une icône de l’industrie naissante. Ce dernier réalisa 95 films entre 1913 et sa mort en 1944, confortant au passage son titre de père du cinéma indien.

    Le prix "Dadasaheb Phalke" est aujourd’hui la récompense la plus prestigieuse du cinéma indien. Cent ans après cette première projection, Bollywood est plus dynamique que jamais : près de 1 500 films ont été produits en 2012 et le cabinet d’audit KPMG estime que le poids financier de l’industrie du cinéma indien passera de 2 à 3,6 milliards de dollars dans les cinq prochaines années.

    Raison de plus pour célébrer ce centenaire lors du Festival de Cannes 2013, avec la projection de deux films commémorant les origines modestes du cinéma indien.


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  • Et si les Inconnus revenaient...

     

    Publié le 20.04.2013, 07h00       lien

     Que pensent-ils du retour des Inconnus ?

     Que pensent-ils du retour des Inconnus ? | LP/Frédéric Dugit

    Zoom

    Dix-huit ans après «les Trois Frères», Campan, Légitimus et Bourdon reconstituent leur trio de légende au .

    Pour Le Parisien, les trois compères s’autoparodient dans des rôles divers : la désormais incontournable Nabilla, une critique littéraire intello revenue de tout, une infirmière, un policier et même un Jérôme Cahuzac encagoulé…

    «Que pensez-vous du retour des Inconnus ?» :

    Marcel Patulacci
    48 ans,
    brigadier-chef
    Marseille (13)


    « Le retour des inconnus ? A fortiori, s’ils sont inconnus, c’est qu’ils n’ont pas de papiers… Alors, ils vont vite retourner d’où ils viennent et hop, on n’en parle plus! On n’est pas la poubelle de l’Europe, ici! »





    Djebilla
    22 ans et demi,
    professionnelle
    Nice du Sud


    « Le retour des inconnus ! Mais s’ils sont inconnus, comment on peut savoir s’ils reviennent ? Allô quoi ? C’est comme si j’te dis t’as du shampoing et t’as pas d’cheveux! Non mais allô quoi ! »

     


     

    Fabienne Rabajoy
    56 ans et des poussières,
    critique subventionnée
    intra-bobos


    « En matière d’humour, je suis très exigeante. Alors, le retour d’humoristes populaires, peu m’en chaut.

     
    Le rire, ça n’est pas donné à tout le monde. Si vous me dites Amour de Haneke, là oui, il y a des moments désopilants. »
     

     

    Jérôme C.
    63 ans,
    ancien ministre,
    SDF


    « Sans mentir, si moi aussi je pouvais revenir en inconnu, ça m’arrangerait… A propos, pour leur , s’ils ont un problème de budget, je pourrais les aider mais il faudrait qu’ils le tournent à Singapour… »

     

     
     

    Marie-Thérèse Sainte-Rose
    Prête à la retraite,
    infirmière nonchalante
    Habite entre le 9-3 et le 9-7


    « Depuis qu’ils se sont moqués de l’hôpital, ça a beaucoup changé. Déjà aujourd’hui, c’est 35 heures minimum… Plus le formulaire à remplir pour les RTT, plus… Ah, pardon, il est 15 h 59! Je pars en week-end… »


     
     

    Rigide Fardeau
    18 ans selon elle, 62 ans selon la police,
    sage-femme accouchieuse
    Vit dans le Marais, cherche à déménager


    « Le retour des inconnus ? Donc, ça veut dire qu’on ne connaît ni leur père ni leur mère! C’est bien ce que je disais, tout ça, c’est à cause de la loi sur le mariage pour tous! »






    Découvrez les coulisses des Inconnus dans la peau de Nabilla, Cahuzac et Frigide Barjot :
    VIDEO

     

     

    Le Parisien


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