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    Attentats de Copenhague: la police a arrêté un complice présumé

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    - Publié le <time datetime="2015-02-27T11:43" itemprop="datePublished" pubdate=""> 27/02/2015 à 11:43</time> - Modifié le <time datetime="2015-02-27T12:10" itemprop="dateModified"> 27/02/2015 à 12:10</time>

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    La police de Copenhague a annoncé vendredi avoir arrêté un nouveau complice présumé de l'auteur des attaques dans la capitale danoise qui ont fait deux morts et cinq blessés les 14 et 15 février.

    "Aujourd'hui (vendredi), la police de Copenhague a arrêté un jeune homme (...), soupçonné de complicité dans les actions de l'assaillant les 14 et 15 février", a indiqué la police dans un communiqué.

    C'est la troisième arrestation pour complicité dans le cadre de l'enquête, deux hommes de 19 et 22 ans étant en détention depuis le 16 février.

     
     

    Le jeune homme sera déféré devant un juge samedi. Le Parquet a demandé que l'audience soit tenue à huis-clos et que l'identité du prévenu ne soit pas révélée, a ajouté la police dans son communiqué.

    Le 14 février, Omar El-Hussein, 22 ans, avait ouvert le feu sur un centre culturel de Copenhague où se déroulait un débat sur la liberté d'expression, tuant une personne, un réalisateur de 55 ans, avant de prendre la fuite.

    Dans la nuit du 14 au 15 février, il avait abattu un Juif de 37 ans, qui montait la garde devant la synagogue de Copenhague où était célébrée une bar-mizvah avant d'être tué à l'aube lors d'un échange de tirs avec la police.

    Ce jeune Danois d'origine palestinienne venait de purger une peine de prison pour une agression au couteau.

     

    27/02/2015 11:42:48 - Copenhague (AFP) - © 2015 AFP

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  • L'EI détruit des antiquités en Irak et retient 220 chrétiens de Syrie

    Publié le 27-02-2015 à 07h16Mis à jour à 12h15  lien

    Image tirée d'une vidéo fournie par le groupe EI le 26 février 2015 montrant un militant détruisant un taureau ailé assyrien sur un site archéologique de Mossoul (c) Afp

     

    Image tirée d'une vidéo fournie par le groupe EI le 26 février 2015 montrant un militant

    détruisant un taureau ailé assyrien sur un site archéologique de Mossoul (c) Afp

     

    Beyrouth (AFP) - Les jihadistes du groupe Etat islamique ont détruit dans le nord de l'Irak des trésors pré-islamiques et ont été la cible de frappes de la coalition dans le nord-est de la Syrie, où ils ont enlevé plus de 220 chrétiens assyriens.

    Les combattants du groupe sunnite radical ont réduit en miettes des statues, frises et autres trésors pré-islamiques, selon une vidéo mise en ligne jeudi par le groupe.

    Ils ont vandalisé à coups de masse d'imposantes pièces notamment dans le musée de Mossoul, dont les collections renferment des objets inestimables des périodes assyrienne et hellénistique, datant de plusieurs siècles avant l'ère chrétienne.

    Des experts ont confirmé et déploré ces destructions, qu'ils ont comparées à la démolition des Bouddhas de Bamiyan par les talibans en Afghanistan en 2001. La directrice générale de l'Unesco a immédiatement réclamé la convocation d'une réunion de crise du Conseil de sécurité des Nations unies.

    Thomas Campbell, le directeur du Metropolitan Museum de New York (Met), l'un des plus grands musées du monde, a qualifié la destruction de "catastrophique" et a fait part de sa "grande tristesse". "Une telle brutalité gratuite doit cesser, avant que tous les vestiges de l'ancien monde soient anéantis", a-t-il ajouté.

    - Raids autour de Tall Tamer -

    En Syrie, ces trois derniers jours, près de 1.000 familles d'Assyriens, soit quelque 5.000 personnes, ont fui leur domicile pour trouver refuge à Hassaké et Qamichli, deux villes du nord-est tenues par les forces kurdes et gouvernementales, selon un responsable assyrien.

    Joint par téléphone à Hassaké, Danny Jano, 35 ans, a expliqué à l'AFP avoir fui en pyjama avec sa femme et ses deux filles en apprenant que les jihadistes approchaient de son village. "Les combats ont commencé lundi à 04h00 du matin. Nous avons entendu le bruit des armes automatiques et des bombardements durant sept heures avant de décider d'abandonner notre maison", a-t-il raconté.

    Dans un nouveau bilan, l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a fait état du rapt de 220 personnes, contre 90 précédemment, depuis lundi.

    Les Assyriens ont été enlevés dans la région de Tall Tamer, à une vingtaine de km à l'ouest de Hassaké, où l'EI contrôle désormais 10 villages chrétiens, selon l'ONG. La ville de Tall Tamer demeure elle sous le contrôle de forces kurdes.

    Des raids de la coalition internationale contre l'EI ont eu lieu autour de Tall Tamer, selon cette même source qui n'a pas fourni dans l'immédiat un bilan des victimes des frappes.

    Selon Oussama Edward, directeur du Réseau assyrien des droits de l'Homme basé en Suède, les otages assyriens ont été emmenés à Chaddadé, un fief de l'EI au sud de Hassaké, et pourraient servir de bouclier humain.

    Au moins 35 combattants de l'EI et 25 membres des forces kurdes et assyriennes ont été tués dans les combats dans la région ces trois derniers jours, selon l'OSDH.

    Le Conseil de sécurité de l'ONU a "condamné fermement" ces enlèvements de chrétiens, qui sont les premiers de cette ampleur en Syrie, estimant que "de tels crimes montrent une nouvelle fois la brutalité de l'EI".

    - 'Tournant dangereux' -

    Jeudi, le chef du renseignement américain, James Clapper, a estimé que la "sauvagerie brutale" des combattants de l'organisation EI, avec les décapitations d'otages et l'immolation d'un pilote jordanien, avaient eu "un effet galvanisant" sur les opinions publiques à travers le Moyen-Orient.

    Toutefois, a-t-il affirmé devant la commission des Forces armées du Sénat, le combat contre l'EI n'est pas une priorité pour la Turquie, et cela favorise le transit sur son sol de combattants étrangers se dirigeant vers la Syrie.

    Par ailleurs, le Haut-commissaire des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Antonio Guterres, a déclaré que la crise des réfugiés syriens atteignait "un tournant dangereux" et a demandé aux Européens et aux pays du Golfe de se montrer plus généreux et plus accueillants.

    En Syrie, la montée en force de l'EI a grandement éclipsé la confrontation entre le régime de Bachar al-Assad, mis au banc par de nombreux pays occidentaux, et la rébellion, qui entrera le mois prochain dans sa cinquième année et a fait plus de 210.000 morts.

    Le médiateur de l'ONU pour la Syrie Staffan de Mistura sera à Damas samedi "pour y rencontrer de hauts responsables gouvernementaux à propos de la cessation des hostilités", a annoncé jeudi le porte-parole de l'ONU Stéphane Dujarric.

    Lors d'une rencontre mercredi avec trois parlementaires français, le président Bachar al-Assad a déclaré son appui à cette initiative, selon des participants à la réunion.

    L'entretien de ces parlementaires avec M. Assad, avec lequel Paris n'entretient plus de relations, a été condamné par le président français François Hollande, qui a qualifié le chef de l'Etat syrien de "dictateur".

     

     

     

     


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  • Le Charles de Gaulle entre en guerre contre l'EI en Irak

    Publié le 23-02-2015 à 08h04Mis à jour à 23h57  lien

    Les techniciens préparent un avion Rafale le 23 février 2015 sur le porte-avions Charles de Gaulle, désormais engagé dans les opérations de la coalition internationale contre le groupe Etat islamique (EI) en Irak
 (c) Afp

    Les techniciens préparent un avion Rafale le 23 février 2015 sur le porte-avions Charles de Gaulle, désormais engagé dans les opérations de la coalition internationale contre le groupe Etat islamique

    (EI) en Irak (c) Afp

     

    A bord du Charles de Gaulle (AFP) - La France a engagé lundi son porte-avions Charles de Gaulle dans les opérations de la coalition internationale contre le groupe Etat islamique (EI), à qui le nouveau chef du Pentagone a promis une "défaite irréversible".

    Sept semaines après les attentats de Paris, le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a réaffirmé la détermination de la France à combattre l'organisation extrémiste et à "arrêter la barbarie que celle-ci commet".

    "Cette menace, le terrorisme jihadiste, voudrait atteindre nos ressortissants, nos intérêts, nos valeurs. En réponse, la France sera d'une fermeté totale", a-t-il dit à bord du Charles de Gaulle qui croise dans le nord du Golfe.

    Une première vague de chasseurs -quatre Rafale et quatre Super Etendard modernisés- est rentrée à bon port, sans avoir largué de bombes, après cinq à six heures de mission.

    "Il n'y a pas eu d'engagement. L'objectif de cette première journée, c'était de rentrer dans l'opération, de se familiariser avec le théâtre, les procédures", a expliqué le contre-amiral Eric Chaperon qui commande le groupe aéronaval.

    Les appareils ont rejoint leurs objectifs en une heure et demie environ, soit deux fois moins que depuis la base émiratie d'Al-Dhafra, utilisée par la France.

    Le Charles de Gaulle sera engagé pendant huit semaines dans le Golfe, au côté du porte-avions USS Carl Vinson, et poursuivra ensuite sa route vers l'Inde où se rendra mardi M. Le Drian.

    - 'Tous les ingrédients réunis' -

    La campagne de bombardements vise à ralentir la progression de l'EI, en détruisant dépôts de munitions, véhicules et puits de pétrole, force de frappe financière des jihadistes.

    Cette mobilisation internationale est "en train de repousser" l'EI, a affirmé Ashton Carter, le nouveau secrétaire américain à la Défense qui a effectué lundi sa première visite dans la région. "Nous allons lui infliger, sans doute, une défaite irréversible", a-t-il assuré sur une base américaine dans le désert koweïtien.

    M. Carter, qui a discuté avec des généraux, des ambassadeurs et des responsables des renseignements américains, s'est félicité que "tous les ingrédients de la stratégie", une "combinaison d'efforts politiques et militaires", soient réunis.

    Il a également insisté sur l'importance de combattre l'utilisation des réseaux sociaux par les jihadistes.

    Depuis septembre 2014, les avions de combat français ont effectué une centaine de missions de reconnaissance et autant de missions de frappes en Irak, en appui des forces irakiennes et kurdes, selon l'entourage de M. Le Drian.

    La France est, avec l'Australie, l'un des principaux contributeurs militaires de la coalition anti-EI, loin toutefois derrière les Etats-Unis.

    Avec douze Rafale et neuf Super Étendard modernisés embarqués, le Charles de Gaulle renforce nettement le dispositif français, qui comptait jusqu'à présent neuf Rafale aux Emirats et six Mirage 2000D en Jordanie.

    Véritable base aérienne flottante, il est accompagné d'un sous-marin nucléaire d'attaque, d'une frégate de défense anti-aérienne (Chevalier Paul) et d'une autre anti sous-marine (le bâtiment britannique Kent), ainsi que d'un pétrolier ravitailleur, soit quelque 2.700 marins embarqués, dont 2.000 pour le seul porte-avions.

    - 1.601 morts dans les raids en Syrie -

    Au total, quelque 3.500 soldats français sont engagés dans l'opération française Chammal en Irak.

    "L'appui aérien aux opérations défensives et offensives de nos alliés irakien et kurde a permis d'endiguer la dynamique de conquête territoriale de (l'EI) et de stabiliser les lignes de front", a estimé M. Le Drian.

    Depuis août 2014, la coalition a mené plus de 2.500 frappes en Irak et en Syrie contre des positions de l'EI qui s'est emparé de larges pans de territoire dans ces deux pays voisins.

    En Syrie, les raids ont tué 1.601 personnes depuis septembre, dont 1.465 membres de l'EI et 73 de la branche syrienne d'Al-Qaïda, le Front Al-Nosra, et 62 civils, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.

    Les chasseurs français n'interviennent pas en Syrie, Paris estimant qu'un tel engagement pourrait renforcer le régime face aux rebelles.

    Parallèlement, les pays de la coalition, qui excluent l'envoi de combattants au sol, ont engagé des missions de conseil et d'entraînement auprès de l'armée irakienne afin de l'aider à se reconstituer après sa débandade au début de l'offensive jihadiste en juin 2014.

    L'état-major américain espère que les forces irakiennes seront en mesure de lancer une offensive terrestre contre la ville stratégique de Mossoul (nord) en avril-mai, avant le ramadan et les grandes chaleurs de l'été.

    Pour l'heure, quelque 800 soldats irakiens sont à l'offensive pour reprendre la ville d'Al-Baghdadi (ouest), voisine d'une base aérienne où sont stationnés des militaires américains, selon le général James Terry, commandant de la coalition.


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  • Claudia Priest raconte : "Ils me disaient : 'on va t'égorger'"

    L'Obs avec AFP <time>Publié le 24-01-2015 à 20h12Mis à jour à 20h53  lien </time>
     

    L'humanitaire française retenue cette semaine en otage en Centrafrique par des miliciens chrétiens anti-balaka, raconte avoir été frappée et menacée de mort par ses ravisseurs.

    Claudia Priest le 24 janvier 2015. (EMILIE IOB / AFPTV / AFP) Claudia Priest le 24 janvier 2015. (EMILIE IOB / AFPTV / AFP)
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    "Ils me disaient: 'on va te tuer, on va t'égorger, on va te tuer'". Claudia Priest, l'humanitaire française retenue cette semaine en otage en Centrafrique par des miliciens chrétiens anti-balaka, raconte samedi 24 janvier à l'AFP avoir été frappée et menacée de mort par ses ravisseurs.

    "Ils étaient vraiment très menaçants, ils avaient les armes, ils avaient les poignards, ils avaient les machettes, et ils me disaient: 'on va te tuer, on va t'égorger, on va te tuer'", raconte Claudia Priest, 67 ans, lors d'un entretien à Bangui.

    Enlevée lundi dans la capitale centrafricaine, elle a été libérée vendredi.

    "Nous avons marché des heures et des heures"

    La Française, qui était arrivée en Centrafrique le 6 janvier pour une mission de deux semaines pour le compte de l'ONG médicale catholique CODIS (Coordination diocésaine de la santé), avait été enlevée en même temps qu'un employé centrafricain de l'ONG, lui aussi libéré.

    Enlevés sur une des avenues principales au nord de la capitale alors qu'ils rentraient d'une mission à 70 km au nord de Bangui, ils avaient été emmenés dans le quartier Boy-Rabe, fief des anti-balaka, puis à une quinzaine de km dans la brousse à l'arrière de ce quartier.

    Ils m'ont frappée, ils m'ont traînée parce que je suis tombée forcément, ils m'ont traînée, emmenée jusqu'à une carrière un peu loin sur la colline. Ensuite nous avons marché, sur au moins 15 km, nous avons marché des heures et des heures, ils m'ont mis quelque chose pour qu'on ne reconnaisse pas que j'étais française", raconte Claudia Priest.

    "Je l'ai pris dans mes bras, il m'a pris dans ses bras"

    La libération a été "un très gros soulagement", a-t-elle confié. "Je n'y croyais pas du tout. C'est simplement quand j'ai vu Monseigneur Nzapalainga [l'archevêque de Bangui], je l'ai pris dans mes bras, il m'a pris dans ses bras, là j'ai dit: 'c'est bon'".

    Les anti-balaka sont des milices principalement chrétiennes qui se sont formées pour lutter contre les rebelles, essentiellement musulmans, de la coalition Séléka qui avait pris le pouvoir en Centrafrique en mars 2013 avant d'en être chassée en janvier 2014. Les deux camps sont accusés d'avoir commis de graves exactions.

    Les auteurs de l'enlèvement de la Française, le premier en Centrafrique depuis le début de l'intervention militaire française "Sangaris" dans ce pays en décembre 2013, protestaient contre l'arrestation de Rodrigue Ngaïbona, dit "général Andjilo", l'un de leurs chefs, soupçonné d'être l'un des meneurs de massacres de musulmans dans la capitale centrafricaine.

    Le lendemain du rapt de la Française, une employée expatriée de l'ONU avait été enlevée par des anti-balaka et libérée au bout de quelques heures.

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  • Aucune arme découverte lors

    de l'opération policière

    de Comines

    BELGIQUE | Mis à jour le mercredi 21 janvier 2015 à 11h30

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    Les habitants de 33 habitations de Comines ont été évacués de leur domicile ce mardi vers 17h45. L'intervention policière concernait un trafic d'armes, a-t-on appris mercredi matin auprès du parquet de Tournai. Si aucune arme ou engin explosif n'a été découvert lors de la perquisition, de nombreux objets pouvant être liés à l'affaire ont par contre été saisis.

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    Plus de 80 personnes évacuées à Comines "dans le cadre d'un opération policière" - © Tous droits réservés

     
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    Vers 17h45 mardi, la police a fait évacuer une série de maisons de la grand-rue du village de Ten Brielen, près de Comines. 82 personnes ont été dirigées vers l'office du tourisme de la Ville.

    Une fois les voisins en sécurité, la police locale, la police judiciaire fédérale et les services de déminage sont descendus sur place pour perquisitionner une habitation. L'opération s'est terminée vers 21h, ensuite les riverains ont commencé à pouvoir rentrer chez eux.

    On sait que l'opération menée se déroulait dans le cadre d'une commission rogatoire internationale délivrée notamment par les autorités françaises.   Ces dernières avaient requis les autorités judiciares belges afin de procéder à une perquisition au sein de l'habitation.  Ce dossier est lié à un commerce illégal d'armes.

    Les enquêteurs belges sont intervenus à la suite d'une commission rogatoire réclamée par le parquet de Lille. Celle-ci date d'avant les événements de Charlie Hebdo, a souligné le substitut tournaisien en charge du dossier.

    Flou total

    Les informations communiquées hier soir étaient très floues concernant ce dossier "Nous devons réunir tous les éléments auprès de différentes sources. Nous ne souhaitons pas communiquer actuellement car, en concertation avec le procureur du Roi, nous avons décidé de donner une information complète mercredi", avait expliqué le substitut Frédéric Bariseau à Belga, ne souhaitant pas confirmer qu'il s'agissait ou non d'une opération anti-terroriste.

    "L'opération a impliqué de nombreux services de police et nous ne communiquons pas sur des rumeurs", a-t-il conclu.

    Le parquet fédéral n'a pas été mis au courant de l'intervention.

    "Ils ont été évacués dans un centre mis à leur disposition. Nous étions en nombre et tout s'est déroulé dans le calme, l'ordre et la manière" commentait alors le commissaire Dauchy.

    L'opération a évidemment bien secoué ce petit village proche de la frontière.

    RTBF avec Belga

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