• La neige et le froid reviennent ce vendredi

    Prudence sur les routes. Les premiers flocons sont tombés ce matin dans les Ardennes où la neige devrait revenir ce vendredi. Le sud de l'Aube et de la Haute-Marne seront également touchés par cet épisode neigeux. Des températures négatives sont attendues dans les prochains jours.

    • Par Isabelle Griffon
    • Publié le 14/01/2016 | 18:06, mis à jour le 14/01/2016 | 19:32    lien
    © Alexis Dumoulin / France 3 Champagne-Ardenne

    © Alexis Dumoulin / France 3 Champagne-Ardenne

    Le froid va s'installer ce vendredi avec un peu de neige en plaine, selon les prévisions de Météo France. Dès le début de la journée, des averses de neige se signaleront dans les Ardennes, ainsi que dans le sud de l'Aube et de la Haute-Marne. Il neigera faiblement mais localement jusqu'en plaine.

    Un week-end très froid

    Les gelées se généraliseront. Des températures inférieures à 3ºC sont attendues dès vendredi, avec des nuits à -1ºC. La nuit de dimanche à lundi soir devrait être particulièrement froide, les températures chutant à -4ºC et -5ºC dans la région, allant jusqu'à -6ºC sur le plateau de Langres.
    Plus de détails sur notre page météo.

    Vigilance "Grand froid"

    La Marne passe en niveau vigilance jaune "Grand froid" à partir de ce vendredi. Appelez le 115, rappelle la préfecture si vous rencontrez une personne en difficulté.
    Des maraudes nocturnes quotidiennes seront mises en place par la Croix-Rouge sur Reims et Châlons-en-Champagne avec des interventions ponctuelles sur Vitry-le-François, Épernay et Sézanne à la demande du SIAO (Service intégré d’accueil et d’orientation).

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  • Heurts entre manifestants d’extrême droite

    et policiers à Cologne

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2016-01-09T14:59:09+01:00" itemprop="datePublished">09.01.2016 à 14h59</time> • Mis à jour le <time datetime="2016-01-09T20:23:34+01:00" itemprop="dateModified">09.01.2016 à 20h23   lien </time>

     

    Le scandale des multiples agressions de femmes lors du Nouvel An à Cologne n’en finit pas de secouer l’Allemagne, et plusieurs manifestations en réaction à ces faits se sont déroulées samedi 9 janvier dans la ville. L’un de ces rassemblements, à l’appel du mouvement islamophone et xénophobe Pegida, a donné lieu à des heurts avec la police.

    Lire aussi : 5 questions sur les agressions massives de femmes lors du Nouvel An à Cologne

    • Tensions dans la manifestation de Pegida

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px">  </figure>

    Au milieu d’une marée de drapeaux allemands, l’extrême droite allemande a tenté samedi de tirer profit à Cologne de l’émoi suscité par les violences dans cette ville rhénane, le tout dans une atmosphère très tendue.

    « L’Allemagne a survécu à la guerre, à la peste et au choléra, mais survivra-t-elle à (Angela) Merkel ? » , clame une pancarte au milieu de la foule de partisans du mouvement Pegida des « Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident ».

    Au bout de trois heures de rassemblement, les forces de l’ordre, cibles de jets de bouteilles et de pétards, ont finalement fait usage de canons à eau et de gaz lacrymogène.
    Selon la police, quatre personnes, trois policiers et un journaliste, ont été légèrement blessés mais les incidents ont été brefs.

    Très critiquée pour son incapacité à protéger les femmes lors du Nouvel An, la police de Cologne a été conspuée par les cris des manifestants d’extrême-droite: « Où, où, où ? Où étiez-vous à la Saint-Sylvestre? ».

    • Contre-manifestation de soutien aux migrants

    A quelques encablures de là, un millier de contre-manifestants s’étaient regroupés au cri de « Nazis dehors ! » et avec des pancartes affichant que « le fascisme n’est pas une opinion, c’est un crime » et que « les réfugiés sont les bienvenus ».

    « Nous sommes là pour les faire taire. Il est inacceptable que Pegida exploite l’horrible violence sexuelle perpétrée ici le jour de l’an et répande ses conneries racistes », a déclaré une manifestante.

    • « Non à la violence contre les femmes »

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> « Nous voulons de nouveau nous sentir en sécurité. (...) Je suis là pour toutes les mères, les filles, les petites-filles, les grand-mères, qui veulent se déplacer en toute sécurité », a expliqué une organisatrice du rassemblement. </figure>

    Plus tôt dans la journée, plusieurs centaines de femmes s’étaient réunies à la mi-journée sur les marches de la cathédrale de Cologne pour protester contre les violences faites à des femmes le soir de la Saint-Sylvestre.

    Brandissant des pancartes portant « Non veut dire non. C’est notre loi. Restez loin de nous » ou « Non à la violence contre les femmes, que ce soit à Cologne, à la fête de la bière ou dans la chambre à coucher », ces femmes se sont fait entendre avec des sifflets et en tapant sur des casseroles.

    Dans la soirée du Nouvel An, des vols et des violences sexuelles ont été perpétrés, faisant déjà l’objet d’environ deux cents plaintes selon le Spiegel, dont deux pour viol caractérisé.

    La police fédérale a identifié trente-deux suspects, dont vingt-deux demandeurs d’asile. Ces faits, tout comme l’inaction des forces de l’ordre, ont scandalisé l’Allemagne, qui a vu affluer 1,1 million de demandeurs d’asile en 2015.

    La chancelière Angela Merkel a réagi samedi en se prononçant en faveur d’un très net durcissement des règles d’expulsion de demandeurs d’asile condamnés par la justice, l’autorisant même pour ceux condamnés à une peine avec sursis.

    Lire aussi : Après Cologne, Merkel durcit le ton sur les réfugiés


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    Six Ans déjà

     

    Depuis six ans nous ne nous quittons plus,

    Dans les rires, dans les larmes,  tout âge confondu,

    Nous échangeons, nous nous mêlons de la plus belle façon…

    Vos univers remplissent le mien, mes publications accompagnent les vôtres

    Et je vous en remercie : vous êtes magnifiques ! Ensemble nous gagnons

    Sans chichi, sans fioritures, sans complexes , nous partageons avec les autres !

    Pour tout ce chemin parcouru, pour ces folles équipées, pour tous ces rires

    Et ces délires, je vous dis et vous redis MERCI et  j’ai voulu vous l’écrire…


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  • DIRECT.

    L'assaillant d'un commissariat à Paris

    a été identifié

    Armé d'un couteau, l'homme, mis en cause pour vol en réunion en 2013 dans le Var, a été abattu, jeudi, alors qu'il tentait d'entrer dans le commissariat de la Goutte-d'Or, dans le 18e arrondissement.

    <figure id="image_1309531">Des policiers aux abords de la rue de la Goutte-d'Or où un homme a été tué par balles devant le commissariat, jeudi 7 janvier 2016. <figcaption>Des policiers aux abords de la rue de la Goutte-d'Or où un homme a été tué par balles devant le commissariat, jeudi 7 janvier 2016.  (LIONEL BONAVENTURE / AFP)</figcaption></figure><section class="byline clearfix"> Par , ,

    Mis à jour le <time datetime="2016-01-07T19:39:27+01:00" itemprop="dateModified">07/01/2016 | 19:39</time> , publié le <time datetime="2016-01-07T12:39:36+01:00" itemprop="datePublished">07/01/2016 | 12:39</time>

    </section><section class="share"> </section>

    L'homme abattu après avoir tenté d'attaquer un commissariat du 18e arrondissement de Paris, jeudi 7 janvier, a été identifié, selon des sources proches de l'enquête. Il avait été mis en cause pour vol en réunion, en 2013, dans le sud de la France. A l'époque des faits, il avait déclaré aux gendarmes chargés de l'enquête s'appeler Sallah Ali. Il se présentait comme un sans domicile fixe, né en 1995 à Casablanca (Maroc).

    Un drapeau du groupe Etat islamique (EI) et une "revendication manuscrite non équivoque en langue arabe" ont été retrouvés sur l'assaillant, indique le procureur de la République de Paris, dans un communiqué. Dans ce texte, l'assaillant affirme "prêter allégeance" au chef de l'EI et justifie son acte par une vengeance contre les "attaques en Syrie"La section anti-terroriste du parquet est saisie du dossier.

    • L'homme était équipé d'un "dispositif explosif fictif" et d'une "arme blanche de type feuille de boucher", selon le parquet de Paris. L'assaillant a sorti son arme et crié "Allah akbar" avant d'être abattu par les policiers en faction devant le commissariat. Cette attaque intervient un an, jour pour jour, après les attentats contre Charlie Hebdo

    • L'assaillant "aurait agi seul", selon le porte-parole du ministère de l'Intérieur, cité par i-Télé. "La police n'est pas à la recherche d'un individu en fuite, mais on ne peut pas écarter la possibilité de complicités", fait-il savoir.

    <aside class="aLireAussi">A lire Aussi

    </aside>

    Retrouvez ici l'intégralité de notre live #PARIS

    19h39 : Selon i-Télé, il y a un doute sur l'identité de l'assaillant d'un commissariat parisien. Dans sa lettre manuscrite, l'homme revendique son action sous un nom qui est inconnu des services de police. Mais ses empreintes renvoient à un vol commis dans le Var, en 2013. Un délit commis par un certain Sallah Ali, né en 1995.

    "Or, l'homme fait beaucoup plus vieux, explique le chef du service police-justice de la chaîne d'info. Est-ce qu'il a menti le jour de son arrestation pour vol ? (...) Ou existe-t-il sous un autre nom ?"

    19h14 : #Gouttedor Dispositif allégé. Les riverains rentrent chez eux sur présentation de leur carte d'identité. @iTELE

    19h13 : Après l'attaque d'un commissariat du 18e arrondissement, retour au calme dans le quartier de la Goutte-d'Or, comme le signale un journaliste d'i-Télé présent sur place.

    18h46 : # L'assaillant du commissariat parisien avait prêté allégeance au chef du groupe Etat islamique, indique une source proche de l'enquête à l'AFP.

    18h45 : "Cela pose la question de la guerre des nerfs. (...) Cela consolide les décisions prises et appelle notre vigilance. Cela justifie les mesures de protection des Français", explique la ministre de la Justice, Christiane Taubira, sur i-Télé, après l'attaque d'un commissariat du 18e arrondissement de Paris.

    Au sujet de l'assaillant, "cet homme est connu et fiché pour des actes de petite délinquance", assure la garde des Sceaux.

    18h32 : Des précisions concernant l'assaillant du commissariat du 18e arrondissement : il est connu des services de police pour une affaire de vol en réunion en 2013, dans le sud de la France.

    A l'époque des faits, l'homme avait déclaré aux gendarmes s'appeler Sallah Ali. Il se présentait comme un sans domicile fixe, né en 1995 à Casablanca (Maroc). Ses empreintes avaient alors été entrées dans le fichier automatisé des empreintes digitales. Elles correspondent à celles de l'homme tué jeudi.

    18h11 : Il est 18 heures, voici un nouveau point sur l'actualité :




    Un homme armé d'un couteau et d'une ceinture d'explosifs factice a été abattu après avoir attaqué le commissariat de la Goutte-d'Or, dans le 18e arrondissement de Paris. Il a été identifié, indiquent des sources proches de l'enquête à l'AFP. Suivez les dernières informations dans notre direct.




    Sur l'assaillant, les enquêteurs ont découverts "un téléphone portable et un papier sur lequel figurent le drapeau [du groupe Etat islamique] et une revendication manuscrite non équivoque en langue arabe", indique le parquet de Paris.




    Christiane Taubira est accusée par l'hebdomadaire Marianne d'avoir occupé un logement social à Paris. La ministre de la Justice dément et dénonce une "polémique vaine". Elle assure avoir quitté le logement en question avant la parution de l'article.




    Bourreau présumé du groupe Etat islamique, le jihadiste français Salim Benghalem a été condamné à quinze ans de prison en son absence, dans le cadre du procès d'une filière d'acheminement de jihadistes en Syrie.

    18h09 : Selon i-Télé, l'homme abattu ce matin était, en revanche, inconnu des services de renseignement.

    17h56 : L'assaillant du commissariat de la Goutte-d'Or a été identifié, indiquent des sources proches de l'enquête à l'AFP. Il a été mis en cause pour vol en 2013.

    17h40 : Bonsoir @Victorien. Votre message me donne l'occasion de récapituler les informations dont nous disposons à l'heure actuelle sur l'attaque du commissariat de la Goutte-d'Or.




    • Vers 11h30, un homme porteur "d'une arme blanche de type feuille de boucher" et d'un "dispositif explosif factice" s'est présenté devant le commissariat, "a exhibé son arme et crié 'Allah akbar' avant d'être abattu par les policiers en faction", selon le récit du parquet.




    • L'agresseur est "en cours d'identification", a assuré, dans l'après-midi, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve : "Il sera, par conséquent, possible dans les heures qui viennent d'en savoir davantage sur son parcours et ses motivations."




    • Selon le parquet, "ont été découverts sur lui un téléphone portable et un papier sur lequel figurent le drapeau [du groupe Etat islamique] et une revendication manuscrite non équivoque en langue arabe".




    • La section antiterroriste du parquet de Paris a été saisie de l'enquête, pour tentative d'assassinat sur personne dépositaire de l'autorité publique.

    17h32 : Quelles sont les dernières infos sur ce qui s'est passé à Barbes ce midi?

    16h48 : Non, @anonyme, car nous ne le connaissons pas à l'heure actuelle : l'identification de l'assaillant du commissariat de la Goutte-d'Or est toujours en cours. Bien entendu, nous vous donnerons plus d'informations dans ce live dès que nous en aurons.

    16h48 : Est-il possible de connaître le nom et prénom ainsi que l'origine de cet individu ?

    16h45 : Une mère de famille : "J'ai découvert ce qui s'était passé ce matin sur internet. Là j'ai retrouvé mon fils, c'est tout ce qui compte."

    16h45 : Les parents vont chercher leurs enfants dans les écoles situées près du commissariat, après le confinement du midi.

    16h45 : Les parents doivent montrer patte blanche, avec des fouilles à l'entrée de la rue des Islettes.

    16h47 : Pendant ce temps, la sortie des écoles voisines du commissariat se poursuit, sous bonne garde policière, comme le montre ce cliché de notre journaliste Fabien Magnenou présent sur place.

    16h44 : Bernard Cazeneuve s'est rendu au commissariat de la Goutte-d'Or, où un homme a été abattu après avoir tenté d'entrer armé d'un couteau de boucher. Le ministre de l'Intérieur a tenu a afficher "sa solidarité, sa confiance et sa proximité". Regardez sa déclaration.

    (REUTERS)

    16h30 : Les enfants de l'école située en face du commissariat sortent, avec leur parents (et sous bonne garde policière).

    16h30 : La sortie des élèves des écoles 49 bis et 57 rue de la Goutte d'Or est en cours et se déroule dans le calme. #RT

    16h32 : La sortie des élèves des écoles 49 bis et 57, rue de la Goutte-d'Or, situées à proximité du commissariat attaqué, est en cours, signale l'Académie de Paris.

    16h11 : Les policiers fouillent les riverains qui accèdent à la zone, à deux rues du commissariat. Pièce d'identité exigée.

    16h11 : "Dans ce contexte les policiers sont en première ligne et font montre de beaucoup de courage" #barbes @francetvinfo

    16h13 : "Il sera possible d'en savoir davantage sur [les] motivations [de l'assaillant] dans les prochaines heures", promet Bernard Cazeneuve. Le ministre de l'Intérieur s'est brièvement exprimé sur l'attaque qui a visé un commissariat dans le quartier de la Goutte-d'Or.

    16h10 : Voici le récit de l'attaque livré par le parquet de Paris : "Ce jour, à 11h30, un individu, porteur d'une arme blanche de type feuille de boucher et d'un dispositif explosif fictif, s'est présenté devant le commissariat du 18e arrondissement, a exhibé son arme et crié 'Allah akbar' avant d'être abattu par les policiers en faction."

    15h52 : Pas encore, @fleur75. "L'identité de cet individu n'est toujours pas connue", indique le parquet dans son communiqué.

    15h52 : Toujours pas d'identification pour l'homme armé?

    15h50 : La section antiterroriste du parquet de Paris est saisie après l'attaque du commissariat de la Goutte-d'Or.

    15h48 : Après l'attaque du commissariat de la Goutte-d'Or, les enquêteurs ont retrouvé sur l'assaillant "un papier sur lequel figurent le drapeau de Daesh et une revendication manuscrite non équivoque en langue arabe", annonce le parquet de Paris.

    15h35 : Nous avons déboursé la modique somme de... zéro euro. Cette vidéo nous a été transmise gracieusement par une riveraine du commissariat de la Goutte-d'Or.

    15h33 : Un peu de transparence ? Combien vous avez payé pour avoir cette vidéo ?

    15h22 : Une riveraine a filmé de sa fenêtre les premiers instants après que les policiers ont abattu l'homme qui a attaqué le commissariat de police de la Goutte d'Or. Sur ce document amateur que s'est procuré franctv info, on voit les policiers et les démineurs inspecter la dépouille.

    (DOCUMENT AMATEUR / FRANCETV INFO)

    15h05 : Selon un confrère, ils veulent 15 000 euros pour une petite vidéo. Pas très Tati, comme tarif.

    15h05 : Certains tentent de vendre leurs images aux journalistes. "Tu vois, là il est par terre."

    15h05 : Le boulevard Barbès a rouvert, les rideaux se relèvent. Seules les rues adjacentes au commissariat restent bloquées.

    15h05 : La vie reprend son cours à proximité de la Goutte-d'Or. Le boulevard Barbès a rouvert, signale notre envoyé spécial Fabien Magnenou. Il a également pu assister à des négociations, au cours desquelles des riverains ont tenté de vendre leurs images de l'attaque à des journalistes.

    15h12 : L'actualité s'est accélérée en milieu de journée. Soufflons un peu et récapitulons les principaux titres développés par francetv info :




    Un homme armé d'un couteau et d'une ceinture d'explosifs factice a été abattu après avoir attaqué le commissariat de la Goutte-d'Or, dans le 18e arrondissement de Paris. Son identité n'est pas connue pour l'instant. Suivez les dernières informations dans notre direct.




    Bourreau présumé du groupe Etat islamique, le jihadiste français Salim Benghalem a été condamné à quinze ans de prison en son absence, dans le cadre du procès d'une filière d'acheminement de jihadistes en Syrie.




    Un an après la tuerie de Charlie Hebdo, François Hollande a rendu hommage aux trois policiers tués lors des attentats parisiens de janvier 2015 : Clarissa Jean-Philippe, Franck Brinsolaro et Ahmed Merabet.




    • Le chef de l'Etat a également annoncé que, depuis un an, près de 200 interdictions de sortie du territoire ont pu être prononcées à l'encontre d'individus soupçonnés de vouloir rejoindre les groupes terroristes en Syrie et en Irak.

    14h49 : "J'ai entendu quatre coups de feu, je suis sorti, j'ai vu un homme à terre, des policiers sont arrivés. J'ai pris peur et je suis rentré."

    14h49 : Un autre témoin : "Il était face au policier, les deux étaient séparés par une barrière. Il est tombé sur le dos, les bras écartés".

    14h49 : Un père de famille était à la boulangerie pour prendre du pain, devant le commissariat, avant d'aller chercher son enfant à l'école.

    14h49 : Notre journaliste Fabien Magnenou est toujours à la Goutte-d'Or, où il vient de rencontrer des témoins de l'attaque.

    14h21 : #Intox sur l'identité de l'homme abattu à #Barbès #Abdeslam. L'#AFP ne mentionne rien.

    14h27 : D'ailleurs, @Matthieu, la rumeur concernant Salah Abdeslam est partie de Twitter, où elle a été annoncée par un homme qui se présentait comme un journaliste de l'Agence France Presse. En réalité, il s'agit d'un fake, l'homme ne travaille pas du tout à l'AFP. L'identité de l'assaillant n'est, à l'heure actuelle, pas connue.

    14h32 : Bonjour @Matthieu. Des rumeurs, diffusées sur les réseaux sociaux, indiquaient que Salah Abdeslam pourrait être l'assaillant du commissariat de la Goutte-d'Or. Notre consœur de France 2, Audrey Goutard, les a évoquées lors du journal de 13 heures, mais pour inviter à la prudence : "Aucun élément, pour le moment, ne permet de le dire", avertissait-elle. Attention donc.

    14h33 : Bonjour. Des rumeurs (évoquées notamment dans le journal de 13h de France 2) évoquent Salah Abdeslam sur les lieux de l'attaque. Que pouvez-nous dire à ce sujet ? Merci.

    14h15 : Il n'était pas porteur de papiers d'identité. Son identification est en cours

    14h24 : Bonjour @Cath674. Je ne dispose, pour l'heure, d'aucune information sur l'identité de l'assaillant. Selon un journaliste du Monde, l'individu ne portait pas de papiers d'identité sur lui.

    14h15 : Avez-vous des informations sur l’agresseur?

    13h55 : Le secteur est bloqué sur un secteur d'environ 600 mètres sur 600, autour du centre de police de la Goutte d'Or.

    13h55 : Les premiers cordons de sécurité sont levés mais les policiers gardent l'arme au poing #Barbes #Gouttedor

    13h56 : La situation semble se calmer dans le quartier de la Goutte-d'Or, selon une journaliste de 20 Minutes, qui indique les premiers cordons de sécurité sont levés. Ce live va donc reprendre un cours un peu plus normal, mais je ne manquerai pas de vous tenir informé des derniers développements concernant cette attaque.

    13h51 : #barbes #gouttedor

    13h50 : Une journaliste du New York Times tweete un nouveau cliché du commissariat de la Goutte-d'Or, où a été abattu l'assaillant.

    13h45 : Des démineurs arrivent. Les explosifs découverts sur l'assaillant présumé étaient factices, selon 1ers éléments.

    13h45 : La police technique et scientifique arrive à proximité du commissariat du 18ème #Gouttedor

    13h44 : Les équipes de déminage sont toujours sur place, à la Goutte-d'Or, rapporte l'envoyé spécial de France 2, Clément Le Goff. Selon lui, la police scientifique vient d'arriver sur les lieux. L'assaillant n'a pas été identifié pour l'instant.

    13h42 : L'AFP donne des précisions sur la ceinture d'explosifs "factice" que portait l'assaillant abattu ce matin. Il portait sous son manteau une pochette scotchée d'où sortait un fil, mais le "dispositif ne contient pas d'explosifs" précise une source judiciaire à l'agence.

    13h40 : A Barbés, quartier bouclé, après l'homme abattu devant un commissariat. La foire aux vidéos amateurs a commencé. On négocie les prix

    13h42 : Dans le quartier de la Goutte-d'Or, des riverains tentent de vendre des images amateur de l'attaque, indique un journaliste du Monde. Ce discret marché n'est pas nouveau, on l'avait déjà observé en novembre, lors de l'assaut mené à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) contre les terroristes du 13 novembre.

    13h37 : Le dispositif de sécurité est élargi. Des commerçants décident de fermer boutique #barbes @francetvinfo

    13h37 : Les clients du célèbre magasin Tati sont confinés. Les rideaux métalliques sont baissés.

    13h37 : Le boulevard Barbès est bloqué. Gyrophares au loin, au niveau de la rue du commissariat.

    13h37 : Notre journaliste Fabien Magnenou vient d'arriver à Barbès, où des clients sont toujours confinés dans certains magasins du quartier. Le dispositif de sécurité est élargi, précise l'envoyé spécial de France 3, Josselin Debraux.

    13h33 : Souhila, une riveraine de la rue de la Goutte-d'Or, a assisté depuis sa fenêtre aux instants qui ont suivi les tirs au commissariat. Voici son témoignage, recueilli par francetv info : "Quand j'ai entendu les coups de feu, je me suis tout de suite approchée de la fenêtre. J'ai vu un homme par terre qui ne bougeait plus. Il était mort. Ensuite, la police a fait un périmètre de sécurité, des démineurs sont arrivés et un robot s'est approché du corps. Les démineurs ont trouvé un objet noir dans la veste de l'homme."

    13h31 : Tous les policiers ont l'arme à la main. #Barbès

    13h31 : Des policiers en alerte, armes à la main en plein Paris... Voilà des images qui rappellent de bien mauvais souvenirs, un an jour pour jour après l'attaque contre la rédaction de Charlie Hebdo.








    (LIONEL BONAVENTURE / AFP)


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    Attaque à Paris

    07 janvier 2016 16:26; Act: 07.01.2016 16:42   lien

    L'assaillant voulait venger les morts en Syrie

    Un papier avec un drapeau de l'EI et une revendication «non équivoque» ont été retrouvés sur le corps de l'homme abattu par la police devant un commissariat parisien jeudi.

    Voir le diaporama en grand »
    1|8
    07.01.2016 Un homme a été tué par la police, jeudi matin, devant un commissariat.

    La section antiterroriste du parquet de Paris a été saisie de l'enquête sur l'attaque, jeudi matin, d'un commissariat du XVIIIe arrondissement de Paris. Un papier avec un dessin d'un drapeau du groupe État islamique et une revendication «non équivoque» en langue arabe, évoquant «des actes pour venger les morts en Syrie», ont été retrouvés sur le corps de l'homme abattu par la police alors qu'il tentait de pénétrer dans le bâtiment. Pas encore identifié, l'individu était porteur d'un engin explosif factice et a crié «Allah akbar», a confirmé le procureur de la République de Paris, François Molins, dans un communiqué.

    Cet homme, muni d'un hachoir de boucher, s'est présenté à 11h30 devant le commissariat de la rue de la Goutte-d'Or, quartier populaire et multiethnique du nord de Paris, a exhibé son arme et crié «Allah Akbar» (Dieu est le plus grand, en arabe, NDLR) avant d'être abattu par des tirs de riposte des policiers. Il était vêtu d'un manteau sombre, dans lequel était dissimulée une petite pochette scotchée d'où sortait un fil. Un robot de déminage a permis de s'assurer que ce dispositif ne contenait pas d'explosifs.

    Un an après Charlie

    Un témoin a fait état de «deux à trois tirs» dans la rue de la Goutte d'or, qui a été bouclée par les forces de l'ordre. Les policiers ont ordonné aux passants de se réfugier dans les magasins de la rue, les rideaux de fer ont été baissés. Des enfants ont été confinés dans une école maternelle située à proximité, dont l'accès a été fermé. La circulation a été interrompue sur le boulevard Barbès, emprunté par plusieurs ambulances et véhicules de police qui se rendaient sur les lieux.

    Cette attaque est survenue un an jour pour jour après l'attentat contre le journal Charlie Hebdo, et quelques minutes après un discours du président français François Hollande demandant aux services de sécurité, dans un discours à la préfecture de police de Paris, de mieux coopérer face au risque terroriste.

    (L'essentiel/AFP)


     
     

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