- Par Isabelle Griffon
- Publié le 14/01/2016 | 18:06, mis à jour le 14/01/2016 | 19:32 lien
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Par marialis2.2 le 15 Janvier 2016 à 12:07
La neige et le froid reviennent ce vendredi
Prudence sur les routes. Les premiers flocons sont tombés ce matin dans les Ardennes où la neige devrait revenir ce vendredi. Le sud de l'Aube et de la Haute-Marne seront également touchés par cet épisode neigeux. Des températures négatives sont attendues dans les prochains jours.
Le froid va s'installer ce vendredi avec un peu de neige en plaine, selon les prévisions de Météo France. Dès le début de la journée, des averses de neige se signaleront dans les Ardennes, ainsi que dans le sud de l'Aube et de la Haute-Marne. Il neigera faiblement mais localement jusqu'en plaine.
Un week-end très froid
Les gelées se généraliseront. Des températures inférieures à 3ºC sont attendues dès vendredi, avec des nuits à -1ºC. La nuit de dimanche à lundi soir devrait être particulièrement froide, les températures chutant à -4ºC et -5ºC dans la région, allant jusqu'à -6ºC sur le plateau de Langres.
Plus de détails sur notre page météo.
Vigilance "Grand froid"
La Marne passe en niveau vigilance jaune "Grand froid" à partir de ce vendredi. Appelez le 115, rappelle la préfecture si vous rencontrez une personne en difficulté.
Des maraudes nocturnes quotidiennes seront mises en place par la Croix-Rouge sur Reims et Châlons-en-Champagne avec des interventions ponctuelles sur Vitry-le-François, Épernay et Sézanne à la demande du SIAO (Service intégré d’accueil et d’orientation).
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Par marialis2.2 le 9 Janvier 2016 à 20:51
Heurts entre manifestants d’extrême droite
et policiers à Cologne
Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2016-01-09T14:59:09+01:00" itemprop="datePublished">09.01.2016 à 14h59</time> • Mis à jour le <time datetime="2016-01-09T20:23:34+01:00" itemprop="dateModified">09.01.2016 à 20h23 lien </time>
Le scandale des multiples agressions de femmes lors du Nouvel An à Cologne n’en finit pas de secouer l’Allemagne, et plusieurs manifestations en réaction à ces faits se sont déroulées samedi 9 janvier dans la ville. L’un de ces rassemblements, à l’appel du mouvement islamophone et xénophobe Pegida, a donné lieu à des heurts avec la police.
Lire aussi : 5 questions sur les agressions massives de femmes lors du Nouvel An à Cologne
- Tensions dans la manifestation de Pegida
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Au milieu d’une marée de drapeaux allemands, l’extrême droite allemande a tenté samedi de tirer profit à Cologne de l’émoi suscité par les violences dans cette ville rhénane, le tout dans une atmosphère très tendue.
« L’Allemagne a survécu à la guerre, à la peste et au choléra, mais survivra-t-elle à (Angela) Merkel ? » , clame une pancarte au milieu de la foule de partisans du mouvement Pegida des « Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident ».
Au bout de trois heures de rassemblement, les forces de l’ordre, cibles de jets de bouteilles et de pétards, ont finalement fait usage de canons à eau et de gaz lacrymogène.
Selon la police, quatre personnes, trois policiers et un journaliste, ont été légèrement blessés mais les incidents ont été brefs.Très critiquée pour son incapacité à protéger les femmes lors du Nouvel An, la police de Cologne a été conspuée par les cris des manifestants d’extrême-droite: « Où, où, où ? Où étiez-vous à la Saint-Sylvestre? ».
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Contre-manifestation de soutien aux migrants
A quelques encablures de là, un millier de contre-manifestants s’étaient regroupés au cri de « Nazis dehors ! » et avec des pancartes affichant que « le fascisme n’est pas une opinion, c’est un crime » et que « les réfugiés sont les bienvenus ».
« Nous sommes là pour les faire taire. Il est inacceptable que Pegida exploite l’horrible violence sexuelle perpétrée ici le jour de l’an et répande ses conneries racistes », a déclaré une manifestante.
- « Non à la violence contre les femmes »
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Plus tôt dans la journée, plusieurs centaines de femmes s’étaient réunies à la mi-journée sur les marches de la cathédrale de Cologne pour protester contre les violences faites à des femmes le soir de la Saint-Sylvestre.
Brandissant des pancartes portant « Non veut dire non. C’est notre loi. Restez loin de nous » ou « Non à la violence contre les femmes, que ce soit à Cologne, à la fête de la bière ou dans la chambre à coucher », ces femmes se sont fait entendre avec des sifflets et en tapant sur des casseroles.
Dans la soirée du Nouvel An, des vols et des violences sexuelles ont été perpétrés, faisant déjà l’objet d’environ deux cents plaintes selon le Spiegel, dont deux pour viol caractérisé.
La police fédérale a identifié trente-deux suspects, dont vingt-deux demandeurs d’asile. Ces faits, tout comme l’inaction des forces de l’ordre, ont scandalisé l’Allemagne, qui a vu affluer 1,1 million de demandeurs d’asile en 2015.
La chancelière Angela Merkel a réagi samedi en se prononçant en faveur d’un très net durcissement des règles d’expulsion de demandeurs d’asile condamnés par la justice, l’autorisant même pour ceux condamnés à une peine avec sursis.
Lire aussi : Après Cologne, Merkel durcit le ton sur les réfugiés
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Par marialis2.2 le 9 Janvier 2016 à 12:56
Six Ans déjà
Depuis six ans nous ne nous quittons plus,
Dans les rires, dans les larmes, tout âge confondu,
Nous échangeons, nous nous mêlons de la plus belle façon…
Vos univers remplissent le mien, mes publications accompagnent les vôtres
Et je vous en remercie : vous êtes magnifiques ! Ensemble nous gagnons
Sans chichi, sans fioritures, sans complexes , nous partageons avec les autres !
Pour tout ce chemin parcouru, pour ces folles équipées, pour tous ces rires
Et ces délires, je vous dis et vous redis MERCI et j’ai voulu vous l’écrire…
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Par marialis2.2 le 7 Janvier 2016 à 20:04
DIRECT.
L'assaillant d'un commissariat à Paris
a été identifié
Armé d'un couteau, l'homme, mis en cause pour vol en réunion en 2013 dans le Var, a été abattu, jeudi, alors qu'il tentait d'entrer dans le commissariat de la Goutte-d'Or, dans le 18e arrondissement.
<figure id="image_1309531"><figcaption>Des policiers aux abords de la rue de la Goutte-d'Or où un homme a été tué par balles devant le commissariat, jeudi 7 janvier 2016. (LIONEL BONAVENTURE / AFP)</figcaption></figure><section class="byline clearfix"> Par Mathieu Dehlinger, Vincent Daniel, Simon Gourmellet
</section><section class="share"> </section>L'homme abattu après avoir tenté d'attaquer un commissariat du 18e arrondissement de Paris, jeudi 7 janvier, a été identifié, selon des sources proches de l'enquête. Il avait été mis en cause pour vol en réunion, en 2013, dans le sud de la France. A l'époque des faits, il avait déclaré aux gendarmes chargés de l'enquête s'appeler Sallah Ali. Il se présentait comme un sans domicile fixe, né en 1995 à Casablanca (Maroc).
• Un drapeau du groupe Etat islamique (EI) et une "revendication manuscrite non équivoque en langue arabe" ont été retrouvés sur l'assaillant, indique le procureur de la République de Paris, dans un communiqué. Dans ce texte, l'assaillant affirme "prêter allégeance" au chef de l'EI et justifie son acte par une vengeance contre les "attaques en Syrie". La section anti-terroriste du parquet est saisie du dossier.
• L'homme était équipé d'un "dispositif explosif fictif" et d'une "arme blanche de type feuille de boucher", selon le parquet de Paris. L'assaillant a sorti son arme et crié "Allah akbar" avant d'être abattu par les policiers en faction devant le commissariat. Cette attaque intervient un an, jour pour jour, après les attentats contre Charlie Hebdo.
• L'assaillant "aurait agi seul", selon le porte-parole du ministère de l'Intérieur, cité par i-Télé. "La police n'est pas à la recherche d'un individu en fuite, mais on ne peut pas écarter la possibilité de complicités", fait-il savoir.
<aside class="aLireAussi">A lire Aussi
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Retrouvez ici l'intégralité de notre live #PARIS
: Des policiers en alerte, armes à la main en plein Paris... Voilà des images qui rappellent de bien mauvais souvenirs, un an jour pour jour après l'attaque contre la rédaction de Charlie Hebdo.
(LIONEL BONAVENTURE / AFP)
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Par marialis2.2 le 7 Janvier 2016 à 16:52
L'assaillant voulait venger les morts en Syrie
Un papier avec un drapeau de l'EI et une revendication «non équivoque» ont été retrouvés sur le corps de l'homme abattu par la police devant un commissariat parisien jeudi.
La section antiterroriste du parquet de Paris a été saisie de l'enquête sur l'attaque, jeudi matin, d'un commissariat du XVIIIe arrondissement de Paris. Un papier avec un dessin d'un drapeau du groupe État islamique et une revendication «non équivoque» en langue arabe, évoquant «des actes pour venger les morts en Syrie», ont été retrouvés sur le corps de l'homme abattu par la police alors qu'il tentait de pénétrer dans le bâtiment. Pas encore identifié, l'individu était porteur d'un engin explosif factice et a crié «Allah akbar», a confirmé le procureur de la République de Paris, François Molins, dans un communiqué.
Cet homme, muni d'un hachoir de boucher, s'est présenté à 11h30 devant le commissariat de la rue de la Goutte-d'Or, quartier populaire et multiethnique du nord de Paris, a exhibé son arme et crié «Allah Akbar» (Dieu est le plus grand, en arabe, NDLR) avant d'être abattu par des tirs de riposte des policiers. Il était vêtu d'un manteau sombre, dans lequel était dissimulée une petite pochette scotchée d'où sortait un fil. Un robot de déminage a permis de s'assurer que ce dispositif ne contenait pas d'explosifs.
Un an après Charlie
Un témoin a fait état de «deux à trois tirs» dans la rue de la Goutte d'or, qui a été bouclée par les forces de l'ordre. Les policiers ont ordonné aux passants de se réfugier dans les magasins de la rue, les rideaux de fer ont été baissés. Des enfants ont été confinés dans une école maternelle située à proximité, dont l'accès a été fermé. La circulation a été interrompue sur le boulevard Barbès, emprunté par plusieurs ambulances et véhicules de police qui se rendaient sur les lieux.
Cette attaque est survenue un an jour pour jour après l'attentat contre le journal Charlie Hebdo, et quelques minutes après un discours du président français François Hollande demandant aux services de sécurité, dans un discours à la préfecture de police de Paris, de mieux coopérer face au risque terroriste.
(L'essentiel/AFP)
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