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    Attentats de Paris: voici comment "Bouzid" et "Kayal" ont coordonné les attaques depuis Bruxelles

    Li. B. Publié le <time datetime="2016-01-05 20:47:55" title="mardi 05 janvier 2016 à 20h47"> mardi 05 janvier 2016 à 20h47 </time> - Mis à jour le <time datetime="2016-01-06 07:19:22" title="mercredi 06 janvier 2016 à 07h19"> mercredi 06 janvier 2016 à 07h19  lien </time>

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    Monde Les enquêteurs estiment que les prétendus Samir Bouzid et Soufiane Kayal contrôlaient les assaillants depuis Bruxelles.

    Les enquêteurs belges sont quasi certains d’avoir identifié les deux personnes basées en Belgique avec qui les auteurs des attentats de Paris ont longuement échangé des SMS dans la soirée du 13 novembre 2015.

    Ce n’est pas une surprise : il s’agit des deux hommes qui font l’objet d’un avis de recherche lancé dès le 4 décembre dernier.

    Les deux hommes disposaient de fausses cartes d’identité belges, au nom de Samir Bouzid et de Soufiane Kayal. Ils ont disparu de la circulation. La police ignore leur identité réelle, ainsi que leur nationalité. Mais cette information souligne le rôle central qu’auraient joué ces deux coordinateurs dans les attentats qui ont fait 130 morts et 350 blessés.

    D’apparence plus âgés que les assaillants, assurant la logistique à partir de Bruxelles et de ses environs, contrôlés le 9 septembre à la frontière austro-hongroise en compagnie de Salah Abdeslam et en provenance de Budapest, ces deux hommes semblent avoir joué un rôle pivot dans des attentats extrêmement bien préparés, ordonnés par l’État islamique à partir de la Syrie.

    C’est à eux qu’un des assaillants du Bataclan, utilisant un téléphone Samsung retrouvé dans une poubelle, envoya le SMS : "On est parti, on commence" dans la soirée fatidique à 21 h 42.

    Comme l’a détaillé le quotidien Le Monde, qui a eu accès aux 6.000 procès-verbaux de l’enquête, cette ligne, ouverte au nom de Salah Abdeslam, avait été activée le 12 novembre à 22 h 24 et sera fermée juste après la réception du fameux texto. Entre-temps, vingt-cinq échanges ont eu lieu avec le Samsung.

    Le soir des attentats, Abdelhamid Abaaoud a reçu d’un autre numéro belge un appel d’une personne géolocalisée au même endroit où se trouvait le destinataire du SMS du Bataclan.

    Les deux suspects ont aussi transféré le 17 novembre, dans une agence de la Western Union en région bruxelloise, la somme de 750 euros à Hasna Ait Boulahcen, la cousine d’Abdelhamid Abaaoud, tous les deux tués lors de l’assaut de Saint-Denis. De là sont tirées les images de surveillance.

    Enfin, le rôle central des deux hommes apparaît encore dans le fait qu’ils ont été contrôlés à la frontière austro-hongroise bien avant les attentats, le 9 septembre, dans une Mercedes où avait pris place également Salah Abdeslam, en provenance de Budapest.

    À ce jour , les enquêteurs ont retrouvé trois planques en territoire belge d’où ont été préparés les attentats. L’une d’elles a été révélée par l’avis de recherche du 4 décembre : il s’agit d’une maison louée à Auvelais.

    Les enquêteurs s’intéressent aussi beaucoup à Ahmed Dahmani, un ressortissant belge de 26 ans qui est toujours aux mains de la police turque. Son départ subit pour la Turquie, via Amsterdam et en direction d’Antalya, au lendemain des attentats, intrigue. Avait-il été, lui aussi, pressenti comme kamikaze à Paris ? Dahmani avait voyagé avec Abdeslam en août, faisant l’aller-retour dans un ferry entre Bari pour Patras.

    Au bout du compte , les enquêteurs ont acquis la conviction que l’opération de Paris était préparée "depuis plusieurs mois", de façon minutieuse. Les exécutants sont venus de Syrie, ramenant en Europe les techniques militaires apprises dans ce pays.

     

    Salah Abdeslam "n’est pas sorti par l’armoire"

    En décembre , des médias, se fiant à des sources apparemment crédibles, avaient émis l’hypothèse que le suspect avait échappé à l’attention d’une large perquisition effectuée le lundi 16 novembre au 47, rue Delaunoy à Molenbeek en se cachant dans une armoire au cours d’un déménagement. L’histoire belge a évidemment fait le tour du monde…

    Cette hypothèse ne tient pas la route , affirme une source proche de l’enquête. "Tout ce qui sortait et rentrait dans cette maison était surveillé de près" , dit-elle. "Il n’est pas sorti par l’armoire."

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  • Menaces d'attentats : Bruxelles annule

    ses festivités du Nouvel An

    <figure class="fig-photo"> Les militaires belges sur la Grand place de Bruxelles. <figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">

     

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    Le bourgmestre de Bruxelles a pris cette décision face au risque élevé d'attentat dans la capitale belge où le niveau d'alerte terroriste est à 3 sur 4 et alors que des perquisitions ont encore eu lieu ce mercredi à Bruxelles.

     

    Alors que le pays est sur le qui-vive depuis les attentats de Paris du 13 novembre, la décision du maire de Bruxelles était attendue. Le bourgmestre de la capitale belge a en effet annoncé mercredi à la télévision l'annulation des festivités du Nouvel An et du feu d'artifice prévus dans le centre-ville, invoquant des risques d'attentats.

    «Malheureusement, le feu d'artifice et tout ce qui était prévu demain (jeudi) soir et qui devait rassembler beaucoup de monde sur le centre de Bruxelles, nous sommes contraints de l'annuler compte tenu de l'analyse du risque faite par le centre de crise», a déclaré le bourgmestre Yvan Mayeur en direct sur la chaîne publique RTBF. «Il vaut mieux ne pas prendre le risque», a expliqué l'édile, alors que la situation ne permet pas de «garantir le contrôle de tout le monde venant sur l'événement».

    «Les enquêtes sont toujours en cours, le parquet bruxellois, le parquet fédéral, continuent de travailler sur cette menace», a encore indiqué Yvan Mayeur. Ce mercredi, dans le quartier sensible de Molenbeek-Saint-Jean, une perquisition liée aux attentats de Paris a eu lieu. Plusieurs terroristes qui ont fait 130 morts le 13 novembre à Paris sont issus de cette commune de Bruxelles et notamment Salah Abdeslam.

    Une sécurité renforcée partout dans le monde

    La veille, deux personnes ont été arrêtées. Elles sont soupçonnées d'avoir préparé des attentats dans la capitale belge pour les fêtes de fin d'année. Évoquant des menaces «sérieuses», le parquet a indiqué que «plusieurs lieux emblématiques de Bruxelles» étaient visés. Et d'autres enquêtes sont toujours en cours dans des dossiers liés au terrorisme, dont celui lié aux attentats de Paris. Neuf personnes ont été inculpées et placées en détention dans ce dossier en Belgique.

    Par ailleurs, la Belgique et notamment Bruxelles, qui abrite les institutions européennes et l'Otan, est placée depuis fin novembre au «niveau 3 d'alerte terroriste», soit un cran en-dessous du niveau maximal, ce qui correspond à une «menace possible et vraisemblable». La capitale belge a même vécu pendant presque six jours au niveau 4, fin novembre.

    La Belgique n'est pas le seul pays à se doter d'un arsenal sécuritaire renforcé pour le passage à la nouvelle année. À commencer par Paris où le feu d'artifice a également été annulé. L'ouverture des Champs-Élysées sera rognée et la présence des militaires dans les rues sera plus importante que les années précédentes puisque quelque 11.000 hommes - policiers, militaires, pompiers - assureront la sécurité dans la capitale française contre 9000 en 2014. De même, à Strasbourg, le dispositif de sécurité sera renforcé par la présence des militaires qui patrouilleront dans la métropole alsacienne: les poubelles seront rentrées et les vitres d'abribus retirées. Hors de France, à New-York, la sécurité sera «plus conséquente que jamais», a indiqué le maire de la ville, Bill de Blasio. Au total, «près de 6.000» officiers de police seront présents à Times Square ou dans ses environs pour assurer la sécurité des lieux, a indiqué mardi le chef de la police de New York, Bill Bratton.


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  • Un «projet d'attentat» déjoué à Orléans

    Par et <time datetime="2015-12-22T19:53:43" itemprop="datePublished">22 décembre 2015 à 19:53   lien </time>
     
    Bernard Cazeneuve dans un commissariat de police de Toulouse, mardi.
     
     
    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> </figure>

    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="read-left-padding caption" itemprop="description"> Bernard Cazeneuve dans un commissariat de police de Toulouse, mardi. Photo Rémy Gabalda. AFP

    </figcaption> </figure>

    Bernard Cazeneuve a annoncé, mardi, que deux Orléanais suspectés de préparer des attaques contre des «représentants de la force publique» avaient été interpellés la semaine dernière.

    Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a annoncé, mardi à Toulouse (Haute-Garonne), qu’un «projet d’attentat» avait été déjoué la semaine dernière, avec l’interpellation de deux Orléanais âgés de 24 et 25 ans. Ils étaient connus de la justice pour des faits de droit commun (refus d’obtempérer, infra­ctions routières), mais n’étaient pas fichés S (sûreté de l’Etat), a précisé le parquet de Paris. «L’un des deux présente toutefois de très forts signes de radicalisation, et a utilisé plusieurs voies menant à la propagande jihadiste», a indiqué le parquet. Ils ont été déférés samedi à l’issue de leurs gardes à vue.

    Mandat cash de 4 000 à 5 000 euros

    C’est une enquête menée depuis plusieurs mois par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) qui a permis ces arrestations. Lors de leurs auditions, les deux Orléanais auraient reconnu avoir réuni un financement pour acquérir des armes. 4 â€Š000 à 5  000 euros leur seraient parvenus par mandat cash, possiblement de Syrie. Bernard Cazeneuve a révélé que les deux Orléanais étaient en lien avec un Français présent en Syrie. «Ces liens méritent cependant d’être étayés par la suite des investigations», tempère le parquet, qui affirme que le mystérieux Français présent en Syrie n’a pas été identifié à ce stade.

    Selon Bernard Cazeneuve, les deux hommes visaient «des représentants de la force publique dans la région d’Orléans» (Loiret). Police, gendarmerie, armée, aucune ­cible n’était clairement définie. «Aucun repérage n’a eu lieu, rien n’était arrêté, a confirmé le parquet de Paris. Ils en étaient au stade de la réflexion et de la recherche de moyens d’action. Ils ­entamaient des démarches précises.»

    Les objectifs militaires privilégiés

    Désormais coutumier de ce type d’annonces incombant normalement au procureur, Bernard Cazeneuve a précisé qu’il s’agissait du dixième projet d’attentat déjoué par la DGSI en moins de deux ans. Parmi ceux-ci, plusieurs ciblaient déjà des objectifs militaires. Trois jours avant les attentats du 13 Novembre, le ministère de l’Intérieur confirmait qu’un homme de 25 ans, Hakim M., voulait attaquer des militaires de la marine nationale à Toulon (Var). Pendant l’été, trois hommes avaient également été interpellés pour un projet contre le sémaphore de Béar (Pyrénées-Orientales).

    Les casernes apparaissent en effet comme des objectifs privilégiés des jihadistes. Il y a, bien sûr, le précédent Mohamed Merah. En 2012, le terroriste avait assassiné trois soldats à Toulouse et à Montauban, avant de tuer trois enfants et un enseignant dans une école juive. La bande de Cannes-Torcy   a également fait des repérages aux abords de plusieurs bases. Les craintes se sont renforcées après les attentats de janvier. Dans son édition spéciale du mois de février, le magazine en français de l’Etat islamique mettait en couverture un militaire en faction devant la tour Eiffel sous-titré de ce slogan â€Š: «Qu’Allah maudisse la France.»

    Pour limiter l’exposition aux risques, le ministère de l’Intérieur demande de laisser les uniformes au vestiaire et de sortir en civil lors des déplacements privés.

    Pierre Alonso , Willy Le Devin

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  • <article class="article-box top-line " data-url="/france/2015/12/14/regionales-valls-prepare-sa-reponse-sur-le-front-de-l-emploi_1420683" itemprop="mainContentOfPage" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">
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    Régionales: Valls prépare sa réponse sur le front de l’emploi

    Par <time datetime="2015-12-14T13:16:19" itemprop="datePublished"> 14 décembre 2015 à 13:16 </time> (mis à jour à <time datetime="2015-12-14T16:18:09" itemprop="dateModified">16:18</time>) lien
     
     
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    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="read-left-padding caption" itemprop="description"> Le Premier ministre Manuel Valls lors de son discours après le 2e tour des élection régionales, le 13 décembre 2015 à Paris Photo THOMAS SAMSON. AFP

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    Reprendre la main sur le front de l’emploi: Manuel Valls veut prendre «rapidement» des « mesures nouvelles », après des élections régionales marquées par un score record du FN et le chômage qui reste premier facteur de vote.

    «Le gouvernement, autour de Matignon , travaille sur un ensemble de mesures nouvelles pour l’emploi, pour mise en oeuvre rapidement», a indiqué cette source haut placée à l’AFP.

    Contactée par l’AFP, une porte- parole de Bercy a assuré que le ministre de l’Economie Emmanuel Macron ferait des propositions au Premier ministre dans la semaine , «dans le cadre de la stratégie pour les nouvelles opportunités économiques », portée par la future loi Noé, présentée en janvier au Conseil des ministres.

    Baisse du coût du travail via le pacte de responsabilité, contrats aidés, primes à la première embauche, CDD renouvelables deux fois... Les différentes mesures prises depuis deux ans par l’exécutif n’ont pour l’heure pas permis «d’inverser la courbe du chômage», promesse présidentielle devenue rengaine sans cesse repoussée.

    Malgré le -petit- retour de la croissance , qui devrait atteindre au minimum 1,1% en 2015, les mauvaises nouvelles continuent de s’accumuler sur le front du chômage, selon les statistiques publiées depuis fin novembre.

    Le taux de l’ Insee a atteint 10,2% de la population active en métropole au 3e trimestre, du jamais-vu depuis 1997. Quant au nombre de chômeurs inscrits à Pôle emploi , il a bondi à 3,59 millions (+42.000 personnes ) en octobre , effaçant la baisse prometteuse du mois de septembre. Les prochains chiffres de l’ex-ANPE, ceux de novembre, seront publiés la veille de Noël.

    Or le «front» de l’emploi, dans les tranchées desquelles les gouvernements successifs pataugent depuis plus de 30 ans, a continué à jouer un rôle électoral massif pour les régionales, marquées par un record en pourcentage (27,7%) du FN au premier tour et en voix (6,8 millions) au second.

    Selon un sondage d’Harris Interactive , l’emploi a été l’enjeu «qui a le plus compté» pour les électeurs du premier tour, devant la sécurité (39%) et l’ immigration (34%).

    Dimanche soir, peu après les premières estimations, Manuel Valls avait déjà jugé que les résultats des élections régionales, même si le FN n’a finalement remporté aucune région, étaient une «injonction» à «agir, sans relâche, plus vite» pour l’emploi.

    - Le code du travail réécrit -

    Le Premier ministre, qui sera lundi soir l’invité du 20 heures de France 2, n’avait toutefois pas évoqué de mesures concrètes.

    L’entourage du chef du gouvernement a toutefois clairement refusé tout virage vers l’ aile gauche. Ou de changement de cap sur la baisse du coût du travail: le Smic augmentera ainsi de 0,6% au 1er janvier, sans « coup de pouce », a annoncé la ministre du Travail Myriam El Khomri.

    Sujet d’inquiétude pour la remplaçante de François Rebsamen: l’emploi a calé au troisième trimestre (-900 postes). Ce voyant reste néanmoins au vert , bien que pâle, sur un an, avec 37.600 créations de postes.

    C’est toutefois insuffisant pour compenser le dynamisme de la démographie française , et les plus de 100.000 nouveaux actifs qui affluent chaque année.

    Que fait déjà l’exécutif? En attendant que l’économie crée suffisamment d’ emplois dans le privé, le gouvernement compense avec des contrats aidés. Il prévoit d’en financer 295.000 en 2015.

    Depuis le «tournant» du quinquennat Hollande début 2014, il mène une politique de l’ offre et de réduction du coût du travail, par le biais du pacte de responsabilité, qui permettra, une fois atteint son régime de croisière en 2017, de redistribuer 40 milliards d’euros par an aux entreprises.

    Il a également pris en juin une série de mesures pour favoriser l’emploi des PME: une prime de 4.000 euros à la première embauche, le gel des seuils fiscaux et la possibilité de renouveler les CDD deux fois, au lieu d’une auparavant. Ainsi que le plafonnement des indemnités prud’homales accordées aux salariés licenciés sans cause réelle et sérieuse , mais cette mesure avait été en partie censurée par le Conseil constitutionnel.

    Pour aller plus loin , le gouvernement s’attaque désormais à la réécriture à partir de début 2016 du code du travail: il s’agira de dire clairement dans la loi ce à quoi il ne peut être dérogé et ce qui est ouvert aux négociations de branches ou d’entreprises.

    AFP

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  • Le second tour des régionales en direct. Participation en nette hausse à 17 heures

    Dimanche, 13 Décembre, 2015    lien
    Humanite.fr
    Photo : Miguel Medina/AFP
    45,3 millions de Français inscrits sur les listes électorales en métropole et outremer sont appelés à voter pour élire 1.757 conseillers régionaux et 153 conseillers territoriaux. Avec 46 listes en lice pour ce second tour, dont deux duels, dix triangulaires et une quadrangulaire pour la seule métropole. Participation : 50,54% à 17 heures contre 43,01% au premier tour.

    17 heures. Participation à 50,54% contre 43,47% lors du précédent scrutin régional de 2010 et 43,01% par rapport au premier tour, dimanche dernier, selon le ministère de l'Intérieur.

     


     
     

    16h30. Engagement

    Après avoir oscillé entre colère et dégoût, ces jeunes militants de gauche restent résolus à s’exprimer dans les urnes, ce dimanche, au second tour des régionales. Lire la suite

    15h45. Bipartisme

    Le mode de scrutin réformé en 1999 et en 2003 
pour renforcer le bipartisme PS-UMP au nom de 
la lutte contre le FN se retourne contre ses auteurs. Lire notre analyse.

    14h45. Opinion

    "Pour faire reculer le FN, il ne suffit pas de se rassembler, il faut l’affronter et le combattre. On ne le fait sûrement pas en mettant le FN au centre ou en lui empruntant ses thèses comme le font Sarkozy, depuis près de dix ans, mais aussi Valls, qui cultive un discours autoritaire et sécuritaire, et même Hollande, qui a revêtu des habits de chef de guerre, installant le pays dans la peur et l’état d’urgence", estime Alain Hayot, le délégué à la culture du PCF dans une table ronde "Comment faire reculer les idées de droite et d’extrême droite ?" parue dans l'Humanité des débats de ce week-end avec Nicolas Lebourg, historien
, chercheur 
à l’Observatoire des radicalités politiques 
de la Fondation Jean-Jaurès et 
Willy Pelletier
, sociologue Coordinateur général 
de la Fondation Copernic.

    14h30. Participation à La réunion

    Taux de participation à 17 heures : 43,92 %,. En baisse à la même heure, par rapport à 2010 et 2004.

    14 heures. Normandie

    Le Front de gauche est présent ce dimanche au second tour sur la liste conduite par le socialiste Nicolas Mayer-Rossignol en Normandie, et comptera 11 élus en cas de victoire. Pour Sébastien Jumel, le maire communiste 
de Dieppe, tête de liste Front 
de gauche dans la région au premier tour : "quand la gauche tient ses engagements, elle résiste".

    Lire l'entretien avec Sébastien Jumel

    13h30. Reportage en Bretagne

    À Pontivy dans le Morbihan, ils ne veulent pas baisser la garde devant l'extrême droite. Associations, citoyens, s'expliquent dans l'Humanité Dimanche. Lire le reportage.

    12 heures : La participation s'élève à 19,59%, en hausse par rapport au premier tour

    C'est un point de plus qu'au scrutin régional de 2010 (18,57%) selon les chiffres du ministère de l'Intérieur. Rappel au 1er tour à la même heure : 16,27%.

     


     
     

    C'est en Corse que les citoyens ont le plus voté et en Île-de-France le moins (13,60%)

    Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine : 20,86 %
    Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes : 19,73 %
    Auvergne-Rhône-Alpes : 20,95 %
    Bourgogne-Franche-Comté : 21,57 %
    Bretagne : 15,95 %
    Centre-Val de Loire : 20,31 %
    Corse : 24,75 %
    Ile-de-France : 13,60 %
    Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées :  22,44%
    Nord-Pas-de-Calais-Picardie : 21,91 %
    Normandie : 18,47 %
    Pays-de-la-Loire : 19,93 %
    Provence-Alpes-Côte-d'Azur : 23,10 %

    11h20. François Hollande a voté à Tulle

     

    "Ce n'est pas très COP21 !" . Sur les réseaux sociaux, les internautes s'interrogent sur l'aller-retour en avion du président de la République pour aller voter dans son fief corrézien au lendemain du sommet sur le climat au Bourget. À cette occasion, vous pouvez lire notre décryptage sur l'accord sur le climat voté hier.

    Photo : Régis Duvigneau/Reuters

    11 heures. Reportage en Moselle

    Les capitulations de Sarkozy, puis de Hollande face à Mittal, l’arrêt des hauts-fourneaux de Florange, après ceux de Gandrange, ont fait de gros dégâts en Moselle. L’extrême droite prospère au cœur du vide politique et de la désespérance sociale que laisse le démantèlement de la sidérurgie. Le reportage de notre envoyée spéciale entre les deux tours.

    10 heures. Participation à La Réunion

    Avec le décalage horaire, il est midi à La Réunion, avec un taux de participation de 21,86%, en hausse par rapport au premier tour mais moins élevé qu'au second tour des régionales de 2010 (22,60 %).

    9 h30. Les taux d'abstention aux régionales depuis 1986

    • 1986 (élection à un seul tour): 22,1%
    • 1992 (un seul tour): 31,4%
    • 1998 (un seul tour): 42,3%
    • 2004 (deux tours): 39,16% au premier, 34,3% au second
    • 2010 (deux tours): 53,6% au premier, 48,8% au second
    • 2015 (deux tours): 50,09% au premier

    9 heures. Pratique. La répartition des sièges pour ce 2ème tour.

    Pourquoi ce mode de scrutin est très favorable aux listes en tête ? Nos explications.

    8 heures: ouverture des bureaux de vote

    Les enjeux. Au premier tour des élections régionales, le FN a atteint un score historique et pourrait remporter plusieurs régions. Cette situation permettrait au PS, pourtant largement discrédité, et parfois à ses alliés, de conserver un nombre inespéré de régions. La droite est prise en tenaille et l'alternative à gauche a beaucoup souffert.

    Deux duels, dix triangulaires et une quadrangulaire :

    {C}{C}{C}{C}

    Infographie : Humanité
     
     

     

    Quatre régions à la loupe

    • Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées

    Au premier tour, le PS est arrivé en deuxième position dans cette région avec 24,4 %, derrière le FN (31,8 %) et devant la droite (18,8 %). La liste EELV-Front de gauche a passé les 10 %. Lire le point de vue de Gérard Onesta, chef de file 
de la liste EELV-Front 
de gauche

    • Île-de-France

    Au premier tour, les listes du PS, d’Europe Écologie-les Verts et du Front de gauche ont totalisé près de 40 % quand Valérie Pécresse («â€¯Les Républicains ») a obtenu 30,5 % et le FN 18,4 %. Lire le point de vue de Fabien Guillaud-Bataille, tête de liste PCF du Val-
de-Marne

    • Bourgogne-Franche-Comté

    La liste de gauche regroupe pour le 2e tour PS, Front de gauche et EELV. Leur total au 1er tour dépasse les 35 % (23 % au PS). Le FN a recueilli 31,48 %, la droite 32,4 %. Lire le point de vue de Marie-Guite Dufay, PS, conduit 
la liste 
de la gauche rassemblée

    • Auvergne-Rhône-Alpes

    La gauche (PS, PCF, EELV) totalise 36,22 % et part groupée au second tour. La droite a obtenu 31,73 % et le FN, 25,52 %. Lire le point de vue de Cécile Cukierman,  Sénatrice PCF, tête de liste PCF-MRC 
au 1er tour


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