• Des requins dans les Pyrénées-Orientales et l'Aude ?

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    <time datetime="2014-07-16T10:53:39+02:00" itemprop="datePublished" pubdate="pubdate">Publié le 16/07/2014 à 10:53</time>, <time datetime="2014-07-16T11:04:22+02:00" itemprop="dateModified">Mis à jour le 16/07/2014 à 11:04</time>

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    lien Un requin bleu. - Mary Evans Picture Library 2008

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    Un requin bleu. Mary Evans Picture Library 2008
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    Des requins ont été aperçus au nord de Barcelone mardi. Six plages ont été fermées. Les poissons remontaient vers le nord et pourraient bien s'approcher des côtes des Pyrénées-Orientales et de l'Aude, selon France 3 Languedoc-Roussillon.

    Ce sont des touristes qui ont donné l'alerte après avoir vu deux requins bleus non loin du large. Par mesure de sécurité, les autorités catalanes ont décidé de hisser le drapeau rouge sur six plages du nord de Barcelone, dont celles de Masnou et Premia. Les deux squales remontaient vers le nord et pourraient atteindre les côtes des Pyrénées-Orientales et de l'Aude prochainement.

    Les requins bleus sont des requins pélagiques, très fréquents dans les eaux tempérées et tropicales. Ils se nourrissent de calamars, poissons, petits requins et de crustacés. De forme très effilée, ils peuvent atteindre jusqu'à 4 mètres de longueur.


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  • FÊTE DE LA MUSIQUE Les intermittents du

    Languedoc-Roussillon prennent la parole

    en direct sur France 2

    22 juin 2014  |   Classé dans: Actualité générale  |   Publié par: 
     
     lien Capture d’écran 2014-06-22 à 13.28.53
     

    Hier, samedi 21 juin 2014, la fête de la musique a pris possession de nombreux lieux en France mais aussi à la télévision. Sur France 2, les téléspectateurs ont bénéficié d’une soirée exceptionnelle en direct de la Place de la Comédie à Montpellier avec à la présentation Patrick Sébastien et Aïda Touihri.

    Lors de la soirée, les intermittents ont pris la parole par l’intermédiaire de Stéphanie Marc, la porte-parole de l’intersyndicale et une dizaine d’intermittents du Languedoc-Roussillon.

    www.objectifgard.com vous propose de revoir ce passage :

     
     
     

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    Deux enfants ensevelis dans l'Hérault, un mort


    le 04 mai 2014 à 18h47 , mis à jour le 04 mai 2014 à 18h52.  lien 
    TEMPS DE LECTURE
    2min
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    </section> </section><section id="content-list-right">FAITS DIVERSUn enfant de 12 ans est mort dimanche et un autre de 9 ans a été grièvement blessé après avoir été ensevelis sous la terre à Ceyras, dans l'Hérault.
     

    Le drame s'est produit en bordure d'une rivière. Un enfant de 12 ans est mort dimanche et un autre de 9 ans a été grièvement blessé après avoir été ensevelis sous la terre à Ceyras, dans l'Hérault.

     Selon les premiers éléments de l'enquête, les deux victimes faisaient partie d'un groupe de jeunes qui creusaient des galeries sur les berges d'une rivière, la Lergue, quand l'une d'elles s'est effondrée sur les deux enfants. Le plus jeune a été héliporté dans un état grave vers un hôpital de Montpellier.

    </section>

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  • Selon l'ARS, des pesticides interdits encore utilisés

    en 2012 en Languedoc-Roussillon

    Créé le 04/02/2014 à 15h10 -- Mis à jour le 04/02/2014 à 15h20
    Un fermier répand des pesticides dans son champ
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    Un fermier répand des pesticides dans son champ Philippe Huguen AFP

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    Montpellier - Des pesticides interdits depuis 2003 et 2004 étaient encore utilisés en 2012 en Languedoc-Roussillon, selon le rapport de la qualité de l'eau potable présenté mardi à Montpellier par l'Agence régionale de santé(ARS).

    "Bien que ces produits soient interdits depuis plusieurs années, les substances actives de la simazine et du terbuthylazin et surtout leurs métabolites sont très présentes", explique l'ARS dans son bilan.

    En Languedoc-Roussillon, "la plupart des cas de non-conformité confirmés peuvent être rattachés à la présence d'activité agricole dans le bassin versant du captage, principalement la viticulture mais aussi, notamment dans le Gard et la frange est de l'Hérault, le maraîchage et l'arboriculture", a affirmé l'ARS, au cours d'une conférence de presse.

    Rappelant que la "demi-vie (temps nécessaire pour que la moitié du produit soit éliminée, NDLR) estimée de la simazine est proche de 2 ans" et celle de la terbuthylazin est "de 46 jours", l'ARS indique que dans d'autres régions, la Bretagne par exemple, les traces de ces produits ont totalement disparu de l'eau.

    Selon l'agence, cette utilisation de pesticides interdits n'altère pas la qualité de l'eau de la région où près de 97% de la population a été desservie par une eau respectant en permanence la limite de qualité pour les pesticides contre 95,5% pour la France entière.

    Ces pesticides proscrits en France ont probablement été ramenés d'Espagne où ils ont été frappés d'interdiction plus tardivement, a estimé Dominique Keller, directeur de la santé publique et de l'environnement à l'ARS.

    Tous les départements de la région ne sont d'ailleurs pas touchés de façon égale par les pesticides. Ainsi l’ARS, note "la situation particulière" de la Lozère, où "quasiment aucune présence de pesticides n'a été détectée et "aucune situation de non conformité, même ponctuelle" relevée.

    Pour le reste (bactériologie, nitrate, arsenic), l'étude qui porte sur la période 2010-2012 révèle une qualité d'eau en progression, et plutôt au dessus de la moyenne nationale.

    © 2014 AFP

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  • Montpellier : forte mobilisation contre le projet de loi anti-IVG du gouvernement espagnol

    MICHEL MARGUIER
    10/01/2014, 06 h 00 | Mis à jour le 10/01/2014, 07 h 13
    Au-delà de l’exemple espagnol, il fut hier question d’un "recul de modèle européen".
    Au-delà de l’exemple espagnol, il fut hier question d’un "recul de modèle européen". (RICHARD DE HULLESSEN)

    Ils étaient jeudi entre 150 et 200 à dire leur opposition à cette remise en cause du droit à l'avortement tel que l'envisage le gouvernement de Mariano Rajoy.

    Forte mobilisation, hier, devant les portes du consulat d’Espagne, rue Marceau. À l’appel d’une vingtaine d’organisations syndicales et citoyennes, notamment Osez le féminisme 34 et le Planning familial, ils étaient entre 150 à 200 à manifester leur opposition à l’avant-projet de loi du gouvernement de Mariano Rajoy visant la remise en cause du droit à l’avortement tel qu’il était en vigueur outre-Pyrénées.

    À savoir que seuls deux cas de dépénalisation d’IVG risquent d’être désormais pris en compte : si la grossesse résulte "d’un délit contre la liberté ou l’intégrité sexuelle de la femme". Autrement dit d’un viol faisant l’objet d’un dépôt de plainte. Autre restriction prévue : l’existence d’un grand danger pour la vie ou la santé physique ou psychique de la mère pendant les vingt-deux premières semaines de gestation.

    "Une régression catastrophique"

    Une "régression catastrophique pour les droits de la femme en Espagne", pouvait-on entendre, hier, devant le consulat. Tout comme : "Aujourd’hui, l’Espagne et demain ?" Car, au-delà du cas ibérique, c’est du "recul d’un modèle européen" dont il semble être de plus en plus question autour de ce débat de société finalement loin d’être apaisé. "On croyait pouvoir parler d’un acquis. Alors que non. Il s’agit toujours de conquête."

    # Un nouveau rassemblement est annoncé samedi à 14 h 30, place de la Comédie.


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