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    Chutes de neige en Cerdagne et Capcir en fin d'après-midi ce lundi

    Le 04 novembre à 18h56 par F. B. | Mis à jour il y a 3 heures    lien

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    Tous les sommets de Cerdagne et Capcir se sont recouverts de blanc ce lundi en deuxième partie d'après-midi. 

    Après une brutale chute des températures enregistrée dans les hauts cantons ce lundi dès la première heure, un temps couvert et une pluie fine ont voilé le paysage toute la journée. C'est vers 16 heures que le ciel s'est dégagé tout d'un coup, dévoilant des sommets enneigés de Porté-Puymorens jusqu'à Puyvalador. 

    Cinq centimètres de neige tombés en altitude qui donnent de suite au secteur un aspect beaucoup plus hivernal... On en frissonne. 

    Retrouvez les prévisions météo des hauts cantons en cliquant sur tamétéo.com


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    Accident dans l'Aude : un passager

    admet avoir fait dévier le car

    le Dimanche 11 Août 2013 à 06:15 mis à jour à 19:20
    Par Antoine Krempf, Clara Beaudoux

    L'accident a eu lieu vers 1h30 dans la nuit de samedi à dimanche © Maxppp

     

    Une Espagnole et un Français sont morts dans l'accident d'un autocar dans la nuit de samedi à dimanche sur l'autoroute A9 à la hauteur de Fitou dans l'Aude. L'accident a également fait une trentaine de blessés, dont deux graves. Une enquête a été ouverte. Un passager ukrainien a avoué avoir tenté de faire dévier le car.

    Vers 1h30 dimanche, un car de la compagnie Eurolines est passé par dessus la barrière de sécurité sur l'A9 à hauteur de Fitou. Le car assurait la liaison Marseille-Murcie avec ses 44 passagers russes, ukrainiens, français et espagnols. D'après le sous-préfet de l'Aude, Sébastien Lanoye, le car "est le seul impliqué dans l'accident" et il a fait "une chute d'une dizaine de mètres".

    Le bilan est lourd : une Espagnole de 55 ans et un Français sont morts sur le coup, alors que la veille déjà l'Aude avait connu un accident mortel. Deux autres passagers sont grièvement blessés et ont été transportés à l'hôpital de Narbonne mais leurs jours ne sont pas en danger. Les autres passagers ont été accueillis dans une salle polyvalente de Fitou, où une cellule psychologique a été mise en place.Partager

    Un passager reconnaît un coup brusque de volant, placé en garde à vue

    Juste après l'accident, deux versions des faits s'opposaient. Le conducteur parlait d'une altercation avec un passager qui aurait saisi le volant, d'autres témoins évoquaient une somnolence de sa part. Finalement, dimanche peu après 18h, le parquet a indiqué qu'un passager ukrainien avait avoué avoir fait donner un coup brusque au volent par le conducteur. 

    Ce passager d'une trentaine d'années a dit aux gendarmes avoir voulu, pour une raison encore indéterminée, forcer le conducteur à s'arrêter, a rapporté le procureur de Narbonne David Charmatz. D'abord entendu comme témoin, il a ensuite été placé en garde à vue comme suspect. 

    "L'explication du chauffeur paraissait improbable", "en réalité personne n'a vu" - Le procureur de Narbonne David Charmatz  
     

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    Suite des auditions lundi

    "Des auditions vont se poursuivre demain (lundi) pour établir exactement les circonstances dans lesquelles cet acte inconsidéré a été accompli", a dit le procureur. "On cherche aussi à savoir si, sur le plan psychiatrique, cet Ukrainien est parfaitement équilibré, parce que c'est un geste tellement inconsidéré qu'il faut aussi s'intéresser à sa personnalité", a ajouté le magistrat. 

    Plus tôt dans la journée de dimanche, le conducteur avait lui aussi été placé en garde à vue, mais celle-ci avait été temporairement levée. L'état de choc dans lequel ils se trouvait étant jugé incompatible avec les auditions par les gendarmes. Il sera à nouveau entendu lundi. L'anlayse des disques devrait aussi indiquer à quelle vitesse le car roulait. De son côté, Eurolines refuse de communiquer pour le moment. 

     

    Le car a franchi la barrière de sécurité avant de plonger dans le fossé © Radio France Justine Leclercq 

      

    Carte de localisation de Fitou © IDÉ

    Par Antoine Krempf, Clara Beaudoux


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    Le Canigou à la force des mollets en VTT

    Le 09 août à 6h00 par E.  C. | Mis à jour le 09 août     lien

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    Le podium "Espira du Conflent aux Cortalets vétérans" à l'arrivée aux Cortalets.

    <figcaption class="caption">Le podium "Espira du Conflent aux Cortalets vétérans" à l'arrivée aux Cortalets. PHOTO/Photo E. C.</figcaption> </figure>

    La "Montée du Canigou" en VTT, épreuve organisée par le Club de VTT de Prades, dirigé Philippe Nabonne, pour sa 2e édition s'est tenue sous un soleil magnifique et une chaleur de plomb.

    Une cinquantaine de participants, venus des clubs de Thuir, Font-Romeu, Canohès, Le Boulou et Nîmes, se sont distingués. La participation exceptionnelle de Marc Colom, ancien champion de France de relais VTT 2011, coureur de niveau national, a cautionné cette "Montée du Canigou".

    L'épreuve reine est la montée d'Espira-de-Conflent aux Cortalets avec 25 km et 2 000 m de dénivelé positif, un parcours très exigeant physiquement. Vainqueurs : 1er Philippe Port de Font-Romeu en 1 heure 54' 35' ; 2e Olivier Becco de Thuir en 1 heure 59' 32' ; 3e Marc Colom de Nîmes en 1 heure 59' 33'.

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    Disparues de Perpignan: le mystère

    du foulard noir

    de Francisco Benitez

    Par , publié le <time datetime="2013-08-10 20:18:08" itemprop="datePublished" pubdate="">10/08/2013 à 20:18</time><time datetime="" itemprop="dateModified"></time>

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    Les enquêteurs chargés de l'affaire des disparues de Perpignan sont troublés par le voile noir qui recouvrait le visage de Francisco Benitez après son suicide. Il s'agirait peut être d'une pratique liée à un rituel de légionnaire. 

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    </aside> <figure class="ouverture"> Disparues de Perpignan: le mystère du foulard noir de Francisco Benitez <figcaption>

    Francisco Benitez s'est donné la mort lundi parce qu'il ne supportait plus les soupçons qui pesaient sur lui après la double disparition de sa femme et de sa fille.

    AFP PHOTO / ALEXANDRE DURAND

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    Parmi les innombrables pistes qu'ils remontent, les policiers chargés d'élucider la double disparition de Perpignan cherchent à comprendre pourquoi le témoin numéro un dans cette affaire, Francisco Benitez, s'est couvert le visage d'un voile noir pour se suicider. 

    Un enquêteur de la cellule spéciale de la police judiciaire constituée pour faire la lumière sur les disparitions d'Allison et Marie-Josée s'est fait expliquer dans les moindres détails, par la Légion étrangère à Aubagne (Bouches-du-Rhône) où se trouve le commandement, les pratiques des légionnaires, notamment pour éliminer leurs ennemis. 

    Il a essayé de savoir comment il fallait interpréter le fait que Francisco Benitez avait dissimulé son visage sous un foulard noir au moment de se pendre, et si cela correspondait à un rituel de légionnaire.

    Selon BFMTV, plusieurs lieux à proximité de la caserne militaire de Benitez vont être passés au peigne fin dans l'espoir de découvrir de nouveaux indices. 

    Une lettre sybilline

    Francisco Benitez, père et mari d'Allison et Marie-Josée, a été retrouvé pendu lundi matin à la caserne de Perpignan où il était recruteur pour la Légion. Dans ses derniers messages, Francisco Benitez a expliqué ne plus supporter le soupçon pesant sur lui et a assuré n'être pour rien dans les disparitions. 

    "Je vous demande SVP de pas me juger, mais je suis vraiment au bout de mes forces. Souvenez-vous tout simplement du Benitez que vous connaissez", a-t-il écrit, dans un français approximatif, dans un ultime message adressé à son colonel et ses amis, et publié par TF1

    Francisco Benitez, engagé en 1986, a participé à plusieurs opérations extérieures (Golfe, Kosovo, Gabon) et ses états de service lui ont valu la Croix de guerre et la Médaille militaire. 

    Avec


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  • Perpignan : le père avait été entendu en 2004

    dans une affaire de disparition

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      • Mis à jour <time data-ago="il y a 5 heures" data-original="le 07/08/2013 à 15:13" datetime="2013-08-07T15:13:24+02:00" itemprop="dateModified">le 07/08/2013 à 15:13</time>
      • Publié <time data-ago="il y a 7 heures" data-original="le 07/08/2013 à 14:05" datetime="2013-08-07T14:05:02+02:00" itemprop="datePublished">le 07/08/2013 à 14:05</time>
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    <figure class="fig-photo"> <figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">

     

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    Les enquêteurs s'intéressaient à la disparition d'une femme décrite comme sa compagne alors qu'il était affecté à Nîmes dans le Gard. Il n'avait finalement pas été inquiété.

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    Les soupçons des enquêteurs se portent de plus en plus sur Francisco Benitez. En 2004, le mari et père des deux disparues de Perpignan avait déjà été entendu comme témoin par la police dans une précédente affaire de disparition, a-t-on appris mercredi, selon des sources proches de l'enquête. Une femme, qui aurait été sa compagne ou son amante, avait disparu du jour au lendemain. Le militaire était à l'époque affecté à la Légion à Nîmes dans le Gard. Francisco Benitez , qui s'est suicidé lundi sur son lieu de travail, n'avait finalement pas été inquiété.

    Interrogé par les policiers, il avait nié être la dernière personne à avoir vu la victime, affirme l'une des sources de l'AFP. Un autre informateur relève plusieurs similitudes entre les deux disparitions. En2004, Francisco Benitez n'aurait pas spontanément signalé la disparition. Ensuite interrogé par les policiers, il leur aurait expliqué que la disparue et lui s'étaient disputés, qu'elle avait pris ses affaires et qu'elle lui avait envoyé ensuite un texto pour lui signifier qu'elle ne reviendrait pas. La disparue n'a jamais été retrouvée depuis. Ce scénario est similaire à celui observé à Perpignan.

    Un comportement jugé intrigant

    Marie-Josée Benitez et sa fille de 19 ans, Allison, n'ont donné aucun signe de vie depuis le 14 juillet. La police ne croit guère à la thèse de la disparition volontaire qui reposait sur les seules déclarations du père de famille. Aucun témoin n'a vu les deux femmes quitter leur appartement. Les portables qui restent introuvables ont été coupés au même moment. Dans un dernier message, Marie-Josée Benitez expliquait à l'une de ses deux filles nées d'une précédente union qu'elles se rendaient à Toulouse. Mais rien n'indique que ce soit elle qui l'ait envoyé.

    Par ailleurs, le comportement de Francisco Benitez intrigue les enquêteurs, comme le souligne au Figaro le procureur adjoint du tribunal de Perpignan, Luc-André Le Normand. Le père d'Allison se rend au commissariat le 21 juillet pour la première fois - soit sept jours après la disparition de son épouse et de sa fille. «Il y reste à peine dix minutes et en repart sans faire de déposition», précise Luc-André Le Normand. Il revient ensuite le 25 juillet, accompagné de sa belle-fille Lydia, et signe alors une déposition signalant la disparition de sa femme et de sa fille. La mort du militaire prive les enquêteurs d'un «témoin capital», selon les mots du procureur adjoint. Dans ses derniers messages, Francisco Benitez clamait son innocence.


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