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Par marialis2.2 le 1 Août 2015 à 11:18<section id="commentZone"> </section>
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Toulouse, nouvelle capitale de la région
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Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées
La ville rose renforce son statut au détriment de Montpellier. Une équipe de France 2 est allée recueillir les réactions à cette annonce.
Manuel Valls a présenté ce matin, vendredi 31 juillet, en Conseil des ministres, la nouvelle liste des capitales régionales. Toulouse a été désignée chef-lieu de la nouvelle région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, au détriment de Montpellier. Les services de l'État seront néanmoins répartis sur les deux villes. À Toulouse : l'aménagement et le logement, le travail et les entreprises, ainsi que l'agriculture. Montpellier héritera du rectorat, de la santé et de la jeunesse et des sports.
"Pas un chamboulement"
Les habitants de Montpellier ne sont pas si inquiets. "Je pense que ça ne va pas changer grand-chose", confie une Montpelliéraine au micro de France 2.
Le directeur de la Dreal du Languedoc-Roussillon, qui protège l'environnement et gère les transports et le logement, va déménager à Toulouse. Mais dans les locaux, tout le monde se veut rassurant. "Chaucn reste à son poste de travail, sauf moi. Et actuellement, les deux Dreal travaillent sur les mêmes missions donc ce n'est pas un chamboulement", explique Didier Kruger.
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Par marialis2.2 le 14 Avril 2015 à 12:04
POLITIQUE La désignation de la Ville rose comme capitale de la future région Midi-Pyrénées - Languedoc-Roussillon, révélée ce lundi dans la presse, inquiète le président de la métropole de Montpellier
Capitale de la future région: Philippe Saurel prêt à résister contre Toulouse
<figure class="oembed oembed-photo" data-src-format="photo" role="group"> <figcaption>Philippe Saurel, devant la Croix occitane - Jérôme Diesnis / Maxele Presse</figcaption> </figure>
Toulouse capitale régionale, que restera-t-il à Montpellier? Les fuites dans la presse sur l’éventuelle désignation de Toulouse comme capitale régionale ont entraîné l’ire du maire de Montpellier et président de la métropole, Philippe Saurel (DVG).
Toulouse, capitale régionale: «Logique» se réjouit le Capitole
«Je ne demande pas la lune. Je n’ai jamais demandé que Montpellier soit capitale de la région. En revanche, je souhaite que les deux villes soient traitées de façon responsable et non pas unilatérale. J’ai soutenu la reforme territoriale et la répartition des pouvoirs», indique Philippe Saurel.
Il craint que la huitième ville de France (264.538 habitants intra-muros, 419.291 dans la métropole au 1er janvier 2012), soit «vouée aux gémonies» par la future capitale de région: «Je demande un partage équitable des pouvoirs sur le territoire. Je ne laisserai pas la grande région et Solferino [siège du Parti socialiste, dont il a été exclu avant les municipales] tenir en laisse la métropole de Montpellier.»
«Rétablir l'équilibre avec Toulouse»
Damien Alaray (PS), président de la région Languedoc-Roussillon, s’associe à cette volonté de maintenir un équilibre entre les deux métropoles. «Si Montpellier n'est plus chef-lieu, alors cela appelle des engagements très forts de l'Etat pour rétablir l'équilibre avec Toulouse. J'ai vu en ce sens Bernard Cazeneuve [ministre de l’Intérieur], souligne-t-il dans un communiqué de presse. Il souhaite préserver cet équilibre entre les deux métropoles. Il viendra d'ailleurs en débattre à l'assemblée régionale prochainement.»
La candidature du maire de Montpellier de plus en plus plausible
Philippe Saurel souhaite mobiliser tous les élus du Languedoc-Roussillon pour faire barrage à un Midi-Pyrénées tout-puissant: «Je ne comprendrais pas qu’il y ait un cumul entre le siège de la capitale régionale en Midi-Pyrénées et un futur président de la région issu aussi de Midi-Pyrénées». La Toulousaine Carole Delga, secrétaire d’Etat du gouvernement Valls, portera la liste socialiste, qui dispose d’une base électorale très solide dans la future région.
La menace est à peine voilée. Philippe Saurel réfléchit à la possibilité de se présenter aux élections régionales: «Ma religion n’est pas faite, mais je n’exclue aucune hypothèse. Je me posais la question de savoir si le système politique pouvait être dupliqué. Il l’est sur la mairie, la métropole et un pôle métropolitain [d'une cinquantaine de communautés de communes]. Peut-il l'être sur un plus grand territoire, c’est la question…»
Sa candidature semble n’être qu’une question de temps. «Je suis en train de réfléchir à tout cela. Les premiers voyants pour éclairer ma prise de décision sont verts. Je dois encore en interroger d’autres.»
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Par marialis2.2 le 27 Février 2015 à 12:37
Pyrénées-Orientales : une femme de 20 ans happée par une déneigeuse
Comme chaque matin, les agents de la station de ski des Angles dans les Pyrénées-Orientales s'affairent à déblayer les rues avec leurs déneigeuses. Ce vendredi, aux alentours de 5 heures, le responsable du déneigement constate un raté dans le fonctionnement de sa machine, dans le centre du village. Descendu du véhicule, il découvre avec effroi le corps sans vie d'une jeune femme, âgée d'une vingtaine d'années, d'après une information relayée par France Bleu Roussillon. L'employé appelle alors les pompiers, qui ne peuvent que constater le décès de la jeune femme. Elle aurait été happée par les rouleaux de la déneigeuse. Impossible toutefois pour le moment de savoir si elle a été percutée par la machine alors qu'elle marchait dans la rue de la station, ou si elle était déjà décédée aux moments des faits.
D'après les premiers éléments de l'enquête menée par la gendarmerie, la jeune femme ne serait pas une touriste, mais une saisonnière de la station de ski, dont l'identité n'est pas encore connue. L'enquête n'a pas encore révélé ce que faisait la jeune femme à une heure si matinale dans les rues de la station. Visiblement marqué par cet événement, Michel Poudade, le maire des Angles s'est exprimé sur LCI : "Il n'y avait aucun souci de visibilité. Il n'y avait pas de tempête et la rue du village était éclairée. Cela pose beaucoup de questions, comment cela a pu arriver ? L'employé communal qui déneigeait était très expérimenté. On ne comprend pas. Est-ce que la personne était allongée, tombée ? Je n'ai aucune idée. C'est un moment difficile, je veux quand même avoir une pensée pour cette fille d'une vingtaine d'années."
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Par marialis2.2 le 27 Février 2015 à 12:15
Départementales : Manuel Valls bat la campagne dans l’Aude
LE MONDE | 27.02.2015 à 08h08 • Mis à jour le 27.02.2015 à 11h23 | Par Bastien Bonnefous
« Bon alors, comment ça va le moral ? »Dans la petite pièce éclairée par de méchants néons qui jouxte la salle polyvalente de Palaja (Aude) où il s'apprête à tenir son meeting, jeudi 26 février, Manuel Valls prend le pouls politique local avec les 38 candidats socialistes et radicaux de gauche aux élections départementales. Après la séance photo avec chacun des dix-neuf binômes homme-femme qui se présentent les 22 et 29 mars, André Viola, le président sortant du conseil général, tente de le rassurer : « Manuel, l'Aude ne va pas vaciller, le rural, ici, va bien tenir, mais le gros enjeu, ce sont les deux grandes villes, Carcassonne et Narbonne, où la situation est plus difficile. »
Le premier ministre a justement choisi de commencer sa tournée pour les départementales par cette commune de quelque 2 500 habitants, mi-rurale mi-urbaine, collée à la ville de Carcassonne qui a basculé à droite lors des municipales de mars 2014. Pendant les vingt prochains jours, M. Valls va enchaîner une quinzaine de déplacements électoraux, partout en France et en région parisienne : dès vendredi 27 février, il devait se rendre pour un nouveau meeting en Ille-et-Vilaine, avant d'aller, entre autres, en Indre-et-Loire, en Corrèze ou en Haute-Vienne le 5 mars en compagnie du premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis.
Manuel Valls l'avoue : « J'ai toujours aimé faire campagne », explique-t-il jeudi dans l'avion qui le conduit dans le Sud-Ouest. Mais il sait que l'issue des départementales est loin d'être acquise.« C'est un scrutin incertain, reconnaît-il. C'est la première fois qu'on vote en même temps dans tous les cantons, et il y a aussi le changement majeur de la parité intégrale. Tout cela a des effets qui sont difficiles à imaginer par avance. »
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Manuel Valls, dans l'Aude, fait du Front national sa principale cible pour les départementales
Le Premier ministre Manuel Valls a appelé ce jeudi à la vigilance face à l'extrême droite, "adversaire principal", selon lui, non seulement de la gauche mais de la France, lors de son premier meeting électoral qu'il a choisi de tenir dans l'Aude socialiste.
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TROISIÈME POSITION
Surtout, les intentions de vote ne sont pas bonnes pour les socialistes, donnés en troisième position derrière le FN et l'UMP. Résultat, M. Valls a demandé à l'ensemble des ministres de son gouvernement de s'impliquer dans la campagne. Pas pour nationaliser ces élections locales, mais pour les politiser. « Il faut politiser pour mobiliser notre électorat », explique-t-il, s'appuyant sur l'exemple de la législative partielle dans le Doubs, les 1er et 8 février, au cours de laquelle il s'est rendu lui-même sur place à deux reprises en neuf jours.
« L'élection de Frédéric Barbier face au FN a pu avoir lieu parce que les électeurs socialistes se sont mobilisés lors des deux tours. Il faut absolument mobiliser notre électorat dès le premier tour, car l'extrême droite, elle, le fait »,précise le premier ministre.
Le vote pour le Front national sera un des angles d'attaque de la tournée de M. Valls.« Je vais beaucoup cibler le FN et le danger qu'il représente, annonce-t-il, en se faisant l'avocat d'un vote utile et crédible à gauche. » « Contre l'extrême droite, l'UMP avec sa position incompréhensible du ni ni n'est pas crédible. Les socialistes sont généralement les seuls à gauche capables d'être présents au second tour et de l'emporter », affirme-t-il.
Devant les 500 militants du PS réunis jeudi soir à Palaja, M. Valls s'en est donc pris fortement au parti frontiste. « L'extrême droite est notre adversaire principal, non seulement de la gauche, mais de la République », a-t-il lancé sous les applaudissements. Dénonçant« un parti qui exploite les frustrations, le racisme et la violence », il a attaqué la formation de Marine Le Pen. « Le Front national n'aime pas la France, il n'aime pas la démocratie, il verse de l'huile sur le feu, il mène à la ruine du pays, à la sortie de l'Europe et de l'histoire », a-t-il déclaré. Face à ce « défi », Manuel Valls a lancé« un appel à tous les républicains : pour battre le FN dans chaque canton, il n'y a qu'un seul bulletin de vote, une seule position claire, celle des candidats socialistes », a-t-il expliqué.POSTURES STÉRILES
Pendant les quarante minutes de son discours, il a aussi longuement défendu le bilan de la gauche au pouvoir. Vaste gageure tant le rejet de l'exécutif par les Français est important depuis le début du quinquennat. « Je ne serai jamais dans le camp des résignés », a-t-il indiqué, listant aussi bien la retraite à 60 ans que la réforme de l'école, les mesures de lutte contre l'insécurité, la « baisse des impôts pour les classes moyennes et modestes », ou la mise en place du pacte de responsabilité.
« Nous menons une politique cohérente, qui donne des signes positifs », a-t-il expliqué, s'appuyant sur les récents bons chiffres de l'emploi en janvier qui sont « un encouragement à poursuivre notre action ».
Manuel Valls en a profité pour envoyer un message à sa propre majorité après le vote de la loi Macron à l'Assemblée, rendu possible par le recours du gouvernement au 49-3.« Je trace ma route, je ne me laisse pas impressionner car ce qui se joue en ce moment est bien plus grand que nous », a-t-il déclaré, faisant référence à« l'esprit du 11 janvier qui nous oblige à être à la hauteur ».
« Les Français soutiennent la loi Macron, car eux, ils ne se trompent pas »,a-t-il lancé aux frondeurs socialistes. A l'avenir, M. Valls ne tolérera plus de division dans son propre camp. Face à la droite qui est « l'opposition sans aucune proposition », uniquement mue par le «désir de revanche de Nicolas Sarkozy sur la gauche et sur les Français qui n'ont pas voulu de lui en 2012 », le chef du gouvernement a demandé aux socialistes de cesser leurs batailles internes. « Les Français ne supportent plus les postures stériles. Il n'y a pas un mouvement qui monte à notre gauche, le risque FN est immense, c'est donc irresponsable de nous diviser entre socialistes », a-t-il prévenu.
Lire notre séquence spéciale : Elections départementales : les enjeux département par département
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Bastien Bonnefous
Journaliste au Monde
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Bastien Bonnefous
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Par marialis2.2 le 25 Février 2015 à 23:24
Chômage : la France baisse, le Pays Catalan monte
Mercredi 25.2.2015. 22:45h Les derniers chiffres du chômage, publiés ce mercredi 25 février par Pôle emploi, révèlent pour les Pyrénées-Orientales une hausse de 0,4 % pour les demandeurs d'emploi au sens strict. En revanche, une baisse surprise de 0,5 % intervient pour ce même profil dans l'ensemble de la France. Toutes catégories confondues, le Pays Catalan compte près de 48.000 chômeurs.
Le nombre de demandeurs d'emplois a reculé en France de 19.100 en janvier, selon les statistiques de Pôle emploi. Cette amélioration concerne les chômeurs de catégorie A, qui n'ont pas du tout travaillé. L'Hexagone repasse en-dessous du seuil des 3,5 millions de demandeurs, qu'il avait franchi en décembre 2014, dans une embellie qui profite pour un tiers aux profils de moins de 25 ans. Mais le nombre de chômeurs de plus de 50 ans augmente, tandis que le volume de catégorie A a augmenté de 4,8 % en un an. Au final, le nombre de sans-emploi s'est accru de 16.100 personnes en janvier, en trenant compte des catégories B et C, qui correspondent aux temps partiels ou occasionnels. La France voit se matérialiser les "premiers effets du pacte de solidarité et de responsabilité", selon le Premier ministre, Manuel Valls. En Languedoc-Roussillon, la baisse de la catégorie A représente 0,4 %, mais on remarque 5,6 % de hausse en un an. Les trois catégories rassemblées présentent 0,6 % de plus qu'en décembre et 7 % en un an.
Les 25-49 ans constituent 61 % des chômeurs du Pays Catalan
A contre-courant de la tendance nationale, et en contraste avec le Languedoc-Roussillon, les Pyrénées-Orientales ne profitent pas de la timide reprise, car la catégorie A est en augmentation de 0,4 % par rapport à décembre 2014, soit 34 635 inscrits. En comparaison avec décembre 2013, ce nombre progresse de 9,7 %. Le cumul des trois catégories concerne 47.954 personnes en Pays Catalan, soit une hausse de 1,3 % qui équivaut à 609 demandeurs supplémentaires, 10,3 % en un an. La frange des 25-49 ans, réputée la plus dynamique, rassemble 29.409 personnes, soit 61 % des individus faisant les frais des difficultés économiques et des problèmes d'employabilité.
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