•  

    <header> </header>

     

    Selon Bigard, un ex-ministre PS effaçait

    les ardoises fiscales d'artistes

    Selon l'humoriste, Michel Charasse avait l'habitude d'effacer les ardoises fiscales de certains artistes qui avaient des problèmes avec le fisc. Une accusation démentie par l'intéressé.

     

    <figure id="ultimedia_image">Jean-Marie Bigard. (FRANCOIS LO PRESTI/AFP)Jean-Marie Bigard. (FRANCOIS LO PRESTI/AFP)</figure>
    <aside></aside>

    L'accusation a de quoi faire sursauter n'importe quel contribuable français. L'humoriste Jean-Marie Bigard a révélé, jeudi 1er mai sur France Info, que plusieurs artistes avaient bénéficié d'un traitement de faveur fiscal de l'ancien ministre du Budget de François Mitterrand, Michel Charasse, entre 1988 et 1992. En échange de quoi ? D'"un truc socialiste". Autrement dit : d'une participation à un meeting du PS.

    "Charasse était plutôt assez sympa avec les artistes. Il disait, si vous avez un problème d'impôt : 'Vous pouvez jouer au truc socialiste ? Quand il y a une réunion de machin... Et ça aussi vous pouvez le faire ?' Et puis il prenait la feuille et la déchirait", confie l'artiste, qui a pris depuis ses distances avec la gauche, soutenant Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2007.

    "C'est très connu", ajoute-il, précisant toutefois que "cela n'existe plus maintenant".

    "C’est totalement faux"

    Un ministre qui efface une ardoise fiscale, est-ce possible ? Accusé par Jean-Marie Bigard, l'ancien ministre socialiste n'a pas tardé à réagir pour démentir ces affirmations. "C’est totalement faux. Ce type de pratiques n’a jamais existé", assure l'actuel membre du Conseil constitutionnel sur France Info, qui ajoute être "tombé de l’armoire" en écoutant les propos de l'artiste.

    Le Sage admet néanmoins "un traitement de faveur pour les personnalités, artistes mais aussi sportifs ou syndicalistes, souvent négligentes avec leurs déclarations de revenus".

    "Je convoquais alors directement l’intéressé pour trouver un arrangement, un délai de paiement supplémentaire, une remise de pénalité. Je n’ai jamais reçu d’instructions de François Mitterrand ou de Jack Lang. C’est moi qui ai mis en place ce système. Je ne voulais surtout pas de scandale public", détaille-t-il ensuite.


    votre commentaire
  • AUDIOS. Lille : agressée

    dans l'indifférence en plein métro

     

    Publié le 25.04.2014, 07h23 | Mise à jour : 08h54   lien 

    Lille (Nord). C'est à la station de métro Oscar-Lambret que l'agression sexuelle d'une jeune femme a pris fin.

    Lille (Nord). C'est à la station de métro Oscar-Lambret que l'agression sexuelle d'une jeune femme a pris fin. | Google Street View

    Zoom
    Une jeune femme a connu un véritable calvaire pendant 20 à 30 minutes, mardi, dans le de Lille (Nord). Elle s'est faite agresser sexuellement par un individu sous le regard d'autres passagers. Aucun n'est intervenu pour lui venir en aide. 

    L'agresseur, un homme de 19 ans, a été condamné à 18 mois de prison ferme, jeudi, en comparution immédiate par le tribunal de Lille. 
    <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px;">
     
    </btn_noimpr>Placé sous mandat de dépôt, il a été condamné pour agression sexuelle par une personne en état d'ivresse et pour violences avec usage d'une arme par destination. De nationalité marocaine, il a également écopé d'une interdiction de territoire de deux ans.

    Les faits se sont d'abord déroulés mardi vers 22h30 à la station CHR B Calmette, au centre de Lille, 
    selon «la Voix du Nord». Le jeune homme, visiblement très éméché avec à la main une petite bouteille de vodka, aborde sa victime, qui avait l'air de chercher son chemin, selon une source policière. Le métro lillois est équipé de caméras de vidéosurveillance qui montrent que le jeune homme lui met la main sur la joue, se rapproche, la tient par les épaules, essaie de l'embrasser.

    AUDIO. Le témoignage de la jeune femme victime d'agression sexuelle


    La victime, arrivée sur le quai avec son agresseur à ses trousses, ne trouve pas de soutien auprès des usagers présents. Cinq personnes évitent de monter dans la même rame à l'arrivée d'un métro. «On ne leur demande pas forcément d'intervenir, mais cela ne coûte rien d'appeler la police», regrette une source policière. De plus, la victime a déclaré que son agresseur avait menacé à plusieurs reprises de la violer. L'homme a menacé de la frapper également et lui a touché la poitrine et les fesses, rapporte une source policière.


     en  pour non-assistance à personne en danger

    La jeune femme monte dans une rame où son agresseur la suit. Elle finit par sortir du métro à CHR Oscar-Lambret, la station suivante. A l'extérieur, elle tente d'arrêter les voitures. Un jeune conducteur s'arrête, dans le véhicule duquel elle s'engouffre. Une altercation éclate alors entre le conducteur et l'agresseur. Il est finalement maîtrisé par des agents de sécurité de l'hôpital adjacent.

    Interpellé, le jeune agresseur a simplement reconnu avoir dragué cette femme de 30 ans. Il était connu des services de police notamment pour des vols avec violence. 

    VIDEO. L'avocat de la jeune femme : «L'agression dérangeait les passagers».


    Devant l'attitude de certains témoins pouvant être assimilée à de la «non-assistance à personne en danger», le procureur de la République à Lille, Frédéric Fèvre, a souhaité que les faits soient vérifiés. «Pour la non-assistance à personne en danger, j'ai demandé aux policiers de mener une enquête distincte afin de déterminer si l'infraction est juridiquement constituée», a-t-il déclaré.

    «Les gens m'ont laissée me faire agresser»

    «Ça m'a fait mal, parce que personne ne m'a aidée. J'ai dû me débattre seule», 
    a-dit la jeune femme sur Europe 1. «On était au moins sept ou huit à attendre la rame. Tout le monde s'est écarté», a-t-elle ajouté.

    Interrogée par RTL
    , la victime a précisé, des sanglots dans la voix s'être «défendue toute seule. Les gens sont partis dans l'autre rame tout au fond ; ils m'ont laissée seule et me regardaient me faire agresser. J'ai appelé à l'aide. Je me suis mise près d'un homme ; il n'a rien voulu savoir, il ne m'a pas aidée», a-t-elle raconté. «Il y avait beaucoup de gens. Je suis une femme, c'est un homme. Ils auraient dû me défendre. Je demandais juste un coup de main», a-t-elle ajouté.

    <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr><btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr>

    LeParisien.fr 


    votre commentaire
  • Les Etats-Unis soupçonnent

    Damas d'une nouvelle

    attaque au gaz chimique

     

    Le Monde.fr avec Reuters | <time datetime="2014-04-21T19:43:29+02:00" itemprop="datePublished" style="box-sizing: border-box;">21.04.2014 à 19h43</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-04-21T20:09:14+02:00" itemprop="dateModified" style="box-sizing: border-box;">21.04.2014 à 20h09   </time>lien Abonnez-vous


    à partir de 1 € Réagir Classer

    Partager   google + linkedin pinterest

     

    <figure class="illustration_haut" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; position: relative;">

    Capture d'écran de la vidéo montrant la suffocation d'un homme à Kafar Zita, dans la province de Hama, le 12 avril.

    </figure>

     

    Les Etats-Unis disposent d'éléments donnant à penser qu'une substance chimique toxique, probablement du chlore, a été utilisée en avril dans la ville syrienne de Kafar Zita, a déclaré lundi 21 avril le département d'Etat. Des experts américains examinent les éléments accréditant une responsabilité du régime du président Bachar Al-Assad.

    Selon la Coalition nationale syrienne (CNS), les forces gouvernementales auraient fait usage d'armes toxiques à au moins neuf reprises depuis le début de l'année, dont six au cours du seul mois d'avril, causant quelques morts et des dizaines de blessés par suffocation. La CNS a demandé une enquête à l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), chargée de la destruction du stock syrien.

    Kafar Zita, un gros bourg des environs de Hama, dans le centre de la Syrie, est régulièrement visé par l'aviation du régime depuis que la rébellion en a pris le contrôle, il y a un an et demi.

    Lire (édition abonnés) : L'opposition accuse Damas d'attaques chimiques à l'aide de chlore à l'état gazeux

    Le régime Al-Assad a consenti à se débarrasser de son arsenal chimique pourneutraliser le risque d'une intervention militaire occidentale en septembre. L'attaque au sarin du 21 août dans la banlieue de Damas avait fait 1 500 morts.

    La télévision officielle syrienne a reconnu l'usage de ce gaz à Kafar Zita, tout en l'imputant au Front Al-Nosra, une milice djihadiste affiliée à Al-Qaida, déjà mise en cause par le régime dans l'hécatombe du 21 août, sans convaincre ni Washington ni Paris qui avaient conclu à la responsabilité de Damas.

    Le gaz chloré, agent chimique fréquemment utilisé durant la première guerre mondiale, ne figure pas sur la liste des armes chimiques que Bachar Al-Assad a déclarées à l'OIAC l'an dernier en vue de leur destruction.

    Lire aussi : Bachar Al-Assad marque des points dans la guerre d'usure


    votre commentaire
  • <article style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;"><header style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;">

    Somme : une ville privée de gaz

    après un vol de métaux

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-04-21T15:38" itemprop="datePublished" pubdate="" style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;">21/04/2014 à 15:38</time> - Modifié le <time datetime="2014-04-21T15:48" itemprop="dateModified" style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;">21/04/2014 à 15:48</time>

    Si le gaz a été rétabli sur 70 % des 2 100 points de distribution touchés à Péronne, il reste encore de nombreux foyers qui en sont privés.            lien 

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject" style="margin: 0px auto 20px; padding: 0px; vertical-align: top; width: auto; overflow: hidden; zoom: 1;">Photo d'illustration.<figcaption style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top; color: rgb(102, 102, 102);">Photo d'illustration. © Russel Kord / Photononstop</figcaption></figure>
     
     
    11
     
    19
    </header>

    La régie municipale de distribution de gaz de Péronne dans la Somme espérait lundi un retour à la normale mardi après un vol de métaux qui a privé la ville de gaz samedi soir, a-t-elle indiqué à l'AFP. Lundi midi, le gaz avait été rétabli sur 70 % des 2 100 points de distribution touchés à Péronne et dans les deux villages voisins de Doingt et Flamicourt, a indiqué à l'AFP Laurent Morelle, directeur de la régie municipale de distribution de gaz et d'électricité, Gazelec.

    Laurent Morelle a expliqué attendre un retour à la normale mardi soir au plus tard. Au moins 85 % des clients devraient être de nouveau raccordés lundi soir, avant le raccordement mardi matin des "grosses industries" fermées pour le week-end de Pâques, a-t-il précisé.

    "La ville entière a été coupée"

    Samedi vers 20 heures, un homme a sectionné une canalisation en inox du poste de livraison principal de Gazelec, vraisemblablement pour s'en servir comme d'un pied de biche pour ensuite forcer l'entrée d'un local et y voler des fils de métal, selon Laurent Morelle. Il s'est ensuite attelé à voler des câbles en aluminium et en cuivre dans une benne, où des techniciens l'ont maîtrisé en attendant les gendarmes. Au total, 5 000 à 6 000 foyers ont été touchés, a ajouté Laurent Morelle.

    "La ville entière a été coupée. Ce n'est pas comme remettre l'électricité. Pour le gaz, il y a beaucoup plus de mesures de sécurité" à observer, notamment pour éviter tout risque de dysfonctionnement, voire d'explosion, lié à un retour soudain de gaz, a-t-il expliqué.

    L'auteur présumé des faits, originaire de Péronne, "a été déféré au parquet dimanche soir et placé en détention provisoire pour une audience de comparution immédiate mercredi", a indiqué le parquet d'Amiens. L'homme pourra toutefois demander un délai supplémentaire pour préparer sa défense, a précisé le parquet.

     
    <section class="util_article bottom" style="margin: 0px; padding: 10px 0px; vertical-align: top;">
     
    19
     
    11
     
     
    </section></article>

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique