• VIDEO. A peine 18 ans et déjà des génies

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    VIDEO. Le récit de Nick D'Aloisio, 17 ans, millionnaire grâce à Yahoo!

    Edité par Clémentine MAZOYER
    le 26 mars 2013 à 10h15 , mis à jour le 26 mars 2013 à 17h43.
    Temps de lecture
    3min
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    High-Tech

    Il a créé Summly quand il avait 15 ans. Nick D'Aloisio a raconté, dans un entretien accordé à la BBC, comment il a conçu son application qui facilite la lecture d'information, rachetée lundi plusieurs dizaines de millions de dollars par Yahoo!

    Le géant du web Yahoo! a annoncé lundi l'acquisition de l'application Summly, créée par Nick D'Aloisio il y a deux ans, alors qu'il n'avait que 15 ans. On découvre maintenant son visage. Et son récit. Le jeune homme raconte à la BBC que c'est en révisant ses examens, dans sa chambre, chez ses parents, qu'il a eu cette idée à quelques millions d'euros. "J'ai eu l'idée alors que je révisais mes examens d'histoire. J'utilisais Google mais le problème avec les moteurs de recherche c'est qu'il y a beaucoup trop d'informations. L'idée c'est donc de fournir un résumé et si le résumé vous intéresse vous pouvez lire l'article en entier." L'étudiant explique avoir été distrait par le flux d'information disponible qui ralentissait ses révisions.

    Son application, Summly permet de résumer automatiquement n'importe quel article. "Les paragraphes plus courts sont plus faciles à lire que les articles complets, surtout sur un téléphone. C'est très bien notamment quand vous voulez juste rattraper un retard sur l'actualité."

    "J'espère vraiment pouvoir aller un jour à l'université"

    Pour le moment, ni  le jeune homme ni l'entreprise ne se sont exprimés sur le montant de la transaction mais selon plusieurs sources, Nick D'Aloisio pourrait recevoir entre 30 et 60 millions d'euros. Pourtant l'adolescent semble garder les pieds sur terre. "J'aime les chaussures, je vais m'acheter une paire de Nike et peut-être même un nouvel ordinateur mais pour le moment je préfère économiser et placer cet argent dans une banque," rapporte la BBC.

    Curieux, Nick D'Aloisio a déjà de belles expériences derrière lui. "J'ai commencé par faire de la réalisation de films puis je me suis lancé dans le codage informatique. J'ai fait ma première application en 2008. J'essaie de toucher un peu à tout et surtout d'apprendre des choses par moi-même." Le jeune homme toujours mineur est également plein de projets, "J'espère vraiment pouvoir aller un jour à l'université, mais pour le moment je suis très excité par Yahoo!. Parce que depuis l'arrivée de Marissa Mayer il y a tellement d'opportunités. [...] J'adorerais monter une entreprise un jour, à Londres avec Yahoo! J'ai déjà plein d'idées."

    A lire aussi : Comment Nick, 17 ans, est devenu millionnaire grâce à Yahoo!

    Edité par Jocelyn Huchet
    le 26 mars 2013 à 21h25 , mis à jour le 26 mars 2013 à 22h53.
    Temps de lecture
    2min
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    Edité par Clémentine MAZOYER
    le 26 mars 2013 à 10h15 , mis à jour le 26 mars 2013 à 17h43.
    Temps de lecture
    3min
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    High-Tech

    Il a créé Summly quand il avait 15 ans. Nick D'Aloisio a raconté, dans un entretien accordé à la BBC, comment il a conçu son application qui facilite la lecture d'information, rachetée lundi plusieurs dizaines de millions de dollars par Yahoo!

    Le géant du web Yahoo! a annoncé lundi l'acquisition de l'application Summly, créée par Nick D'Aloisio il y a deux ans, alors qu'il n'avait que 15 ans. On découvre maintenant son visage. Et son récit. Le jeune homme raconte à la BBC que c'est en révisant ses examens, dans sa chambre, chez ses parents, qu'il a eu cette idée à quelques millions d'euros. "J'ai eu l'idée alors que je révisais mes examens d'histoire. J'utilisais Google mais le problème avec les moteurs de recherche c'est qu'il y a beaucoup trop d'informations. L'idée c'est donc de fournir un résumé et si le résumé vous intéresse vous pouvez lire l'article en entier." L'étudiant explique avoir été distrait par le flux d'information disponible qui ralentissait ses révisions.

    Son application, Summly permet de résumer automatiquement n'importe quel article. "Les paragraphes plus courts sont plus faciles à lire que les articles complets, surtout sur un téléphone. C'est très bien notamment quand vous voulez juste rattraper un retard sur l'actualité."

    "J'espère vraiment pouvoir aller un jour à l'université"

    Pour le moment, ni  le jeune homme ni l'entreprise ne se sont exprimés sur le montant de la transaction mais selon plusieurs sources, Nick D'Aloisio pourrait recevoir entre 30 et 60 millions d'euros. Pourtant l'adolescent semble garder les pieds sur terre. "J'aime les chaussures, je vais m'acheter une paire de Nike et peut-être même un nouvel ordinateur mais pour le moment je préfère économiser et placer cet argent dans une banque," rapporte la BBC.

    Curieux, Nick D'Aloisio a déjà de belles expériences derrière lui. "J'ai commencé par faire de la réalisation de films puis je me suis lancé dans le codage informatique. J'ai fait ma première application en 2008. J'essaie de toucher un peu à tout et surtout d'apprendre des choses par moi-même." Le jeune homme toujours mineur est également plein de projets, "J'espère vraiment pouvoir aller un jour à l'université, mais pour le moment je suis très excité par Yahoo!. Parce que depuis l'arrivée de Marissa Mayer il y a tellement d'opportunités. [...] J'adorerais monter une entreprise un jour, à Londres avec Yahoo! J'ai déjà plein d'idées."

    A lire aussi : Comment Nick, 17 ans, est devenu millionnaire grâce à Yahoo!

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    Techniques

    Voic le portrait de deux jeunes garçons pleins d'avenir : l'un vient de vendre sa start up à Yahoo! L'autre a mis au point une méthode révolutionnaire qui va contribuer à sauver des centaines de malades du cancer.

    Ils sont à peine majeurs mais déjà si matures. Deux jeunes, deux génies. L'un a 17 ans et vient de mettre au point un logiciel qui a fait sa fortune.  son application, Summly permet de résumer automatiquement n'importe quel article.

    Nick D'Aloisio a raconté, dans un entretien accordé à la BBC, comment il a conçu son application qui facilite la lecture d'information, rachetée lundi plusieurs dizaines de millions de dollars par Yahoo!
     
    L'autre, 15 ans seulement, a mis au point une méthode révolutionnaire qui va contribuer à sauver des centaines de malades du cancer. Voici ci-dessus leur portrait.


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    Trisomie 21 : la protéine SNX27 coupable

     

    En France, il naît en moyenne moins d'un enfant trisomique sur 1.000. L'espérance de vie d'une personne trisomique a fortement augmenté et est d'environ 60 ans aujourd'hui. © Karein, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

    En France, il naît en moyenne moins d'un enfant trisomique sur 1.000. L'espérance de vie d'une personne
    trisomique a fortement augmenté et est d'environ 60 ans aujourd'hui. © Karein, Wikimedia Commons,
    cc by sa 3.0

    La trisomie 21 est la maladie congénitale la plus fréquente. Une étude récente montre que la protéine SNX27, qui stabilise certains récepteurs neuronaux, est présente en quantité insuffisante chez les personnes atteintes de

    cette maladie. Manipuler artificiellement le taux de cette protéine dans le cerveau pourrait servir de base pour de nouveaux traitements.

    Malgré les progrès des tests de dépistage lors de la grossesse, la trisomie 21, ou syndrome de Down, reste la maladie congénitale la plus courante. Les personnes atteintes de cette maladie porte trois chromosomes 21 au lieu de deux :

    l’excès de gènes affecterait la production de protéines et conduirait à la maladie. Quelles protéines contribuent à la trisomie 21 ? Quels sont les mécanismes biologiques responsables du retard mental ? Dans une étude publiée dans Nature Medicine, une équipe américaine du Sanford-Burnham Medical Research Institute apporte des éléments de réponse.

    Comme souvent dans la recherche scientifique, l’étude a commencé par une observation : des souris qui présentent des défauts d’apprentissage et de mémoire. Ces souris portent une seule copie d’un gène appelé Snx27. Les auteurs ont montré que la protéine synthétisée par ce gène, SNX27, stabilisait les récepteurs au glutamate sur les neurones, une fonction primordiale dans la transmission de l’influx nerveux.

    Schéma d'un caryotype d'une personne atteinte de trisomie 21. Le caryotype est l'arrangement des chromosomes par taille et par paires.
    Schéma d'un caryotype d'une personne atteinte de trisomie 21. Le caryotype est l'arrangement des chromosomes par taille et par paires.
    © Human Genome Project, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

    Peu de SNX27 chez les malades atteints de trisomie 21

    La protéine SNX27 joue-t-elle un rôle dans la trisomie 21 ? Les similarités entre les symptômes neurologiques observés chez les souris mutantes et chez les malades atteints de trisomie 21 ont conduit les chercheurs à se poser cette question. En d’autres termes, ils se sont demandé si tout ou partie des symptômes de trisomie 21 pouvaient être dus à un manque

    de protéine SNX27.

    Les chercheurs ont mis en évidence un petit ARN, appelé miR-155, présent sur le chromosome 21, et ont montré qu’il pouvait contrôler la synthèse de la protéine SNX27. Ainsi, chez les patients trisomiques, l’ARN miR-155 serait en excès,

    ce qui conduirait à une diminution de la quantité de SNX27 dans la cellule. Pour le professeur Xu, directeur de ces travaux,

    « le manque de SNX27 chez les malades atteints de trisomie 21 est, au moins en partie, la cause de leur retard mental ».

    Au vu de ces résultats, peut-on envisager un traitement de la trisomie 21 ? Pour répondre à cette question, de la protéine SNX27 a été implantée dans le cerveau de souris trisomiques. Les résultats sont impressionnants : les récepteurs des neurones se stabilisent et les souris récupèrent leurs capacités cognitives ! « Nous recherchons maintenant des

    molécules qui permettraient d’augmenter artificiellement la production de SNX27 à l’intérieur des cellules », explique Xin Wang, le premier auteur de cette publication.


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  • Accueil > Société > La vie a pu exister sur Mars

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    La vie a pu exister sur Mars

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    <time datetime="2013-03-12T19:20:51" itemprop="dateCreated">Créé le 12-03-2013 à 19h20</time> - <time datetime="2013-03-12T19:27:08" itemprop="dateModified">Mis à jour à 19h27  </time>
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    Le premier échantillon prélevé par Curiosity à l'intérieur d'une roche contient de l'argile, formée dans de l'eau, des minéraux et d'autres substances chimiques.

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     Image credit: NASA/JPL-Caltech/ASU

    Image credit: NASA/JPL-Caltech/ASU

    <aside class="obs-article-brelated" style="margin-left:20px;"> <header class="obs-blocktitle">Sur le même sujet</header>

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    La vie microbienne a pu exister dans le passé sur la planète Mars, selon une analyse des minéraux contenus dans le premier échantillon d'une roche effectuée par des instruments du robot américain Curiosity, a annoncé mardi 12 mars la Nasa.

    "Une question fondamentale à laquelle la mission Curiosity devait répondre était celle de savoir si Mars pourrait avoir été propice à la vie : sur la base de ce que nous savons maintenant, la réponse est affirmative", a déclaré lors d'une conférence de presse, Michael Meyer, le principal scientifique de la mission Curiosity.

    "On aurait pu boire cette eau"

    Les instruments de Curiosity ont analysé le premier échantillon prélevé à l'intérieur d'une roche sur Mars. Celle-ci se trouvait à la fin d'un ancien réseau de rivières qui aurait pu fournir des ingrédients chimiques et d'autres conditions favorables pour la vie de microbes, ont expliqué ces chercheurs.

    La roche contient de l'argile, formée dans de l'eau, des minéraux comme des sulfates et d'autres substances chimiques. "Les minéraux argileux représentent au moins 20% de la composition de l'échantillon", a précisé David Blake de la Nasa, qui travaille avec l'instrument "CheMi", qui a effectué ces analyses.

    De plus, cet ancien environnement humide, à la différence des autres déjà observés sur Mars, n'était pas fortement oxydé, acide ou très salé, ont expliqué ces chercheurs. "On aurait pu boire cette eau", a lancé John Grotzinger, un autre responsable scientifique de la mission Curiosity, précisant aussi que les instruments du robot ne permettent pas de détecter la vie comme telle.


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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-03-06T18:01" itemprop="datePublished" pubdate=""> 06/03/2013 à 18:01</time>

    Son test coûte 26 000 fois moins cher que le précédent, est 168 fois plus rapide et ne repose que sur une simple bandelette de papier.

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    Capture d'écran : Jack Andraka lors de la remise du prix Intel.

    <figcaption>Capture d'écran : Jack Andraka lors de la remise du prix Intel. © Capture d'écran </figcaption> </figure>
    Par
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    Jack Andraka est un adolescent presque comme les autres. Il apprécie les Simpson, Family Guy et la musique de son temps. Mais ce lycéen de seize ans est aussi un véritable petit génie. Il est en effet l'inventeur d'une nouvelle méthode pour détecter le cancer du pancréas. Pourtant, il y a encore trois ans, Jack Andraka ignorait tout de cet organe situé derrière l'estomac. C'est le décès brutal de son oncle, d'un cancer pancréatique, qui le pousse à s'interroger sur cette partie vitale du corps humain. Il consulte alors Google et Wikipedia, et découvre que ce type de cancer est souvent détecté lorsqu'il est trop tard. En cause, un test de dépistage vieux d'une soixantaine d'années - une éternité en médecine - et dont le prix prohibitif pousse les oncologues à s'en passer.

    En réponse à l'incompréhension suscitée par cette mort brutale, Jack Andraka, bon élève amateur de biologie - sa famille préfère les discussions scientifiques au sport -, veut révolutionner le dépistage du cancer du pancréas en le simplifiant. Son cahier des charges est simple : il faut un outil peu cher, simple, rapide et non invasif. Le lycéen se replonge alors dans ses cours de biologie et constate que 8 000 protéines spécifiques codent le cancer du pancréas. Et une seule d'entre elles permet de poser le diagnostic : ce sera la mesothéline. Il lui faut maintenant faire des expériences pour perfectionner son idée, mais sa mère s'y oppose très vite. Et pour cause, elle ne veut pas que son fils transforme la cuisine familiale en un laboratoire.

    Un test 26 000 fois moins cher et 168 fois plus rapide

    L'adolescent est donc contraint de poursuivre ses recherches ailleurs, dans un véritable laboratoire. Il en contacte 200 et reçoit, en retour, 199 refus. Seul le docteur Anirban Maitra, un professeur de médecine de Baltimore (dans le Maryland), répond positivement en l'invitant à continuer ses expérimentations au sein de son équipe. À peine déstabilisé par son nouvel environnement, Jack Andraka se replonge dans son travail et perfectionne son invention.

    Très vite, le jeune laborantin met au point une simple bandelette de papier, imitant celle utilisée par les diabétiques pour mesurer leur taux de glycémie, qui détecte, dans plus de 90 % des cas, la présence de mesothéline dans le sang, et donc le cancer du pancréas. Et cela, même aux stades les moins avancés. L'adolescent affirme que créer ce test n'a pas été plus difficile que de suivre "une recette de biscuit au chocolat". Selon Jack Andraka, son nouveau test de dépistage est 168 fois plus rapide (5 minutes), 26 000 fois moins cher (6 centimes) et 400 fois plus sensible que le précédent. Une révolution, en somme. Pour le docteur Maitra, sa nouvelle recrue est "le nouveau Thomas Edison".

    Avec son invention, Jack Andraka est devenu la nouvelle coqueluche des conférences scientifiques. Il a été invité à la prestigieuse conférence TED (Technology, Entertainment and Design), organisée jeudi dernier en Californie, ce qui lui a permis de revenir sur l'élaboration de son procédé révolutionnaire. Cette découverte lui a valu d'être récompensé par le Grand Prix 2012 de l'Intel International Science and Engineering Fair. Un titre honorifique qui s'est tout de même accompagné d'un chèque de 75 000 dollars. Pour l'heure, aucune date de commercialisation du nouveau test n'a encore été annoncée.


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  • Science

    Publié le 22 février 2013
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    Le bourdon est chargé positivement alors que la fleur émet un faible champ électrique chargé négativement.

    Le bourdon est chargé positivement alors que la fleur émet un faible champ électrique chargé négativement. Crédit Reuters

    Les fleurs émettent un faible champ électrique qui signale aux insectes pollinisateurs la présence de nectar dans leur corolle. C'est ce que dévoile une nouvelle étude publiée dans la revue Science Express et menée par les scientifiques de l'École de sciences biologiques de l'Université de Bristol.

    "Quand un bourdon s'approche d'une fleur, on voit les grains de pollen sauter sur lui avant qu'il se pose. C'est étonnant", rapporte Daniel Robert, de l'université de Bristol. Le chercheur est arrivé à déterminer que ce phénomène était dû aux différences de potentiel électrique entre la plante et l'insecte.

    Le bourdon est chargé positivement alors que la fleur émet un faible champ électrique chargé négativement. Le champ électrique fonctionne comme un signal que la fleur donne au bourdon. Quand une fleur (chargée négativement) reçoit la visite d'un bourdon (chargé positivement) pour aspirer son nectar, elle perd automatiquement une bonne partie de sa charge électrique. Si elle est chargée électriquement, cela veut dire que la fleur a du nectar. Sinon, elle n'en a plus et il ne sert donc à rien de venir la butiner. "La fleur ne peut pas décevoir les insectes. Elle a intérêt à ne pas mentir. C'est notre hypothèse", explique Daniel Robert. "On ne sait pas encore comment l'insecte perçoit ce signal. Cela fait partie de nos prochaines recherches", ajoute le chercheur.

    Pour parvenir à cette conclusion,  les scientifiques de l'École de sciences biologiques de l'Université de Bristol ont observé plus de 200 abeilles pendant la collecte de pollen de pétunias.

    En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/atlantico-light/abeilles-et-fleurs-communiquent-grace-au-courant-electrique-647742.html#8kkDkErklqqTgS8z.99


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