• Benoît Hamon sort du gouvernement avant la rentrée scolaire

    par Matthieu Mondoloni lundi 25 août 2014 20:54
    Hamon
    Après Arnaud Montebourg et Aurélie Filippetti, Benoît Hamon a annoncé qu'il ne participerait pas au nouveau gouvernement de Manuel Valls. © Maxppp

    A une semaine de la rentrée scolaire, l’ex-ministre de l’Education nationale a annoncé, ce lundi soir, qu’il ne participera pas “au nouveau gouvernement de Manuel Valls. Après Arnaud Montebourg et Aurélie Filippetti, c’est une troisième figure de l’aile gauche du PS qui quitte le gouvernement.

    "Je ne participerai pas au nouveau gouvernement de Manuel Valls." Benoît Hamon a repris sa liberté de parole ce lundi soir. Invité du journal de France 2, l’ex-ministre de l’Education nationale a justifié sa décision, estimant “qu’il aurait été incohérent (...) [qu’il] reste au gouvernement”. Il a choisi de partir en accord avec sa "conviction" et ses "idéaux".

    "Pour que la France s'en sorte, il faut que la gauche réussisse", a-t-il dit. "Je ne vais pas passer dans l'opposition et combattre le gouvernement", a annoncé le socialiste de 47 ans. Et d’ajouter : "Ce qui m'importe c'est qu'après la gauche, ce ne soit pas le Front national". Benoît Hamon a également réaffirmé ses critiques contre la politique économique menée actuellement. Il a dit constater aujourd’hui “que nous avons plus de chômage et la croissance, ce n'est pas pour demain".

    Benoît Hamon, sur France 2 : "Nous avons été élus il y a deux ans et demi pour améliorer la situation concrète de nos compatriotes"
     
     
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    Un "frondeur" de plus à l'Assemblée

    Entrée il y a moins de cinq mois dans le “gouvernement de combat” de Manuel Valls, il devrait désormais retrouver son siège de député de Trappes, et rejoindre les rangs des députés de gauche “frondeurs”, dont certains appartiennent à son propre courant “Un monde d’avance”.

    Après l’ex-ministre de la Culture Aurélie Filippetti et Arnaud Montebourg lundi après-midi, c’est une troisième figure de l’aile gauche du PS qui annonce ainsi son départ du gouvernement. Ce week-end, c’est d’ailleurs au côté de l’ex-ministre de l’Economie qu’il est sorti de son mutisme. Invité d’honneur de la fête de la Rose à Frangy-en-Bresse, il a déclaré au Parisien qu’il n’était “pas loin des frondeurs”, expliquant que "la loyauté gouvernementale est un principe d'action, mais ce n'est ni une chaîne ni une muselière”.

    Une rentrée "bien préparée"

    Lors de sa prise de sa nomination en tant que ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Benoît Hamon avait dit “vouloir apaiser l’école”. Il quitte sa fonction à une semaine de la rentrée scolaire. Elle ”a été bien préparée, elle aura lieu (...) heureusement elle ne se prépare pas une semaine avant".

    A LIRE AUSSI ►►► Nouveau gouvernement : entrants et sortants, les rumeurs vont bon train

    Pendant ses cinq mois en tant que ministre, il a obtenu le maintien des 60.000 créations de postes promises sur le quinquennat, qu'on a cru un temps menacées.

    par Matthieu Mondolonilundi 25 août 2014 20:54

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  • Ukraine: le président Porochenko dissout le parlement 

    Créé le 25/08/2014 à 21h40 -- Mis à jour le 25/08/2014 à 21h50
    <aside>Le président ukrainien Petro Porochenko lors d'une parade militaire marquant le 23e anniversaire de l'indépendance de l'Ukraine à Kiev le 24 août 2014

    Le président ukrainien Petro Porochenko lors d'une parade militaire marquant le 23e anniversaire de l'indépendance de l'Ukraine

    à Kiev le 24 août 2014 YURIY KIRNICHNY AFP

    </aside>

    Kiev - Le président ukrainien Petro Porochenko a dissous lundi le parlement, convoquant des élections anticipées pour le 26 octobre prochain.

    «J'ai décidé de mettre un terme prématurément aux pouvoirs du Parlement», a annoncé le site internet officiel du président en le citant. «Le nouveau Parlement sera élu le 26 octobre», précise le site.

     

     © 2014 AFP

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    Au nom de la «cohérence», Hollande se prive de son aile gauche

    JOEL COSSARDEAUX / CHEF DE SERVICE ADJOINT ET ELSA FREYSSENET / CHEF DE SERVICE ADJOINTE | <time datetime="2014-08-25T20:38:12+02:00">LE 25/08 À 20:38, MIS À JOUR À 21:14</time>
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    • <figure itemid="/medias/2014/08/25/1035842_au-nom-de-la-coherence-hollande-se-prive-de-son-aile-gauche-web-tete-0203722682641_660x352p.jpg" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"><figcaption itemprop="description">

    Francois Hollande ce lundi sur l’île de Sein. - AFP

     
    </figcaption></figure>

    En désaccord avec la politique économique menée, Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Aurélie Filippetti ont quitté le gouvernement. Manuel Valls est chargé de constituer une équipe « en cohérence avec les orientations » du chef de l’Etat.

    A la crise économique s’ajoute désormais la crise gouvernementale. Les derniers représentants de l’aile gauche de la majorité ont quitté ce lundi le gouvernement. Sommés d’adhérer sans plus barguigner à la politique économique de l’offre choisie par le président et soutenue par le Premier ministre, Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Aurélie Filippetti ont rendu leur tablier. « Il ne pouvait pas y avoir de crise d’autorité au gouvernement », confiait un proche de Manuel Valls.

     

    Car c’est bien d’une démonstration d’autorité qu’il s’agit. Il est trop tôt pour savoir qui de Manuel Valls ou de François Hollande fut le plus allant, l’Elysée ayant tenu à faire savoir dès ce lundi matin qu’il y avait « un consensus absolu sur l’analyse de la situation et la réponse qu’il ­convenait d’y apporter » entre le président et le Premier ministre. Le chef du gouvernement jouait là son capital politique : « Il a compris que s’il ne bougeait pas, il se transformait en Ayrault bis », explique un proche. Quand au président, qui « va affronter le sommet européen le plus important de son quinquennat » à la fin de la semaine à Bruxelles, il n’aurait, dixit un ministre, pas apprécié « la désinvolture » d’Arnaud Montebourg à son égard et pas accepté ses phrases sur l’« alignement » de l’exécutif français sur « la droite allemande ». « Ce n’est pas une crise, c’est une remise en ordre », assurait un autre ministre, ­proche du président.

    Sauf qu’Arnaud Montebourg ne part pas seul. Dans la matinée encore, l’exécutif espérait retenir le ministre de l’Education nationale, Benoît Hamon, qui compte une douzaine de proches à l’Assemblée. Et que les termes utilisés par les démissionnaires vont faire des dégâts politiques à gauche. La ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, a dit préférer « la loyauté à ses idéaux » au « devoir de solidarité » gouvernementale.

    Taubira réfléchit

    « Les faits économiques sont têtus. Nous avons une responsabilité collective d’interrompre ce coulage économique par l’austérité. Si aucune correction n’est décidée, ce sont des chômeurs en plus que nous pourrions éviter, des entreprises en faillite en plus qui relèveraient de notre propre et lourde responsabilité » a déclaré Arnaud Montebourg, lors d’une conférence de presse à Bercy.

    Et maintenant ? Manuel Valls doit dévoiler mardi une équipe gouvernementale « en cohérence avec les orientations de François Hollande ». Plus question de s’encombrer de frondeurs ; plus question non plus de statut particulier au sein du gouvernement. Le Premier ministre a reçu tous les ministres un par un ce lundi pour s’assurer de leur fidélité et de leur discipline. A l’issue de cette série de rendez-vous, la ministre de la Justice, Christiane Taubira, en délicatesse depuis plus d’un an avec le Premier ministre, n’avait pas fait connaître de volonté de quitter ses fonctions. Elle est en réflexion, assurait ce lundi soir un proche de Benoît Hamon.

    La patronne des Verts ferme la porte

    Dans tous les cas de figure, le Premier ministre devrait faire appel à quelques nouveaux entrants. L’exécutif regarde du côté des écologistes qui ont regretté au printemps le départ du gouvernement de Cécile Duflot et Pascal Canfin. Entrer au gouvernement ? « On ne nous l’a pas proposé », a indiqué Emmanuelle Cosse, la secrétaire nationale d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV), avant de fermer la porte à cette éventualité. « Les conditions n’étaient pas réunies en avril, elles le sont encore moins aujourd’hui », a-t-elle indiqué. Une manière sans doute de couper court à toute vocation au sein de son mouvement. Il y a quelques jours encore, Jean-Vincent Placé et François de Rugy, qui président les deux groupes parlementaires d’Europe Ecologie-Les Verts, indiquaient n’être pas hostiles à un retour au gouvernement.

    Du résultat de ces tractations dépendra l’assise de l’exécutif au Parlement. Elle s’annonce dans tous les cas de figure très étroite.

    </section>

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  • Gaza : questions sur une tragédie

    Dimanche 24 Août 2014 à 12:00 |lien

     

    DANIEL SIBONY*

     

     

    Pourquoi, "d'un côté, le Hamas organise le martyre de son peuple pour gagner cyniquement en crédit diplomatique et de l'autre, Israël assume des carnages indéfendables qui lui font perdre ce même crédit" ? Pour l'écrivain et psychanalyste Daniel Sibony, "la réponse à ces questions est simple, et si beaucoup ne la trouvent pas, c'est qu'ils ont peur de la trouver".


    APA IMAGES/SIPA
    APA IMAGES/SIPA
     

    Beaucoup d'Occidentaux cherchent à comprendre deux conduites apparemment aberrantes, celle du Hamas et d'Israël, qu'un ami journaliste m'a aussi formulées : « D'un côté, le Hamas organise le martyre de son peuple pour gagner cyniquement en crédit diplomatique ; de l'autre, Israël assume des carnages indéfendables qui lui font perdre ce même crédit. » Une denrée pourtant précaire et périssable, mais tout de même : « Pourquoi Israël se moque à ce point des opinions occidentales, y compris américaine ? » 
      

    La réponse à ces questions est simple, et si beaucoup ne la trouvent pas, c'est qu'ils ont peur de la trouver. Mais oui, ça existe, la peur de comprendre, la peur d'aller aux racines, aux causes premières, aux origines ; c'est grâce à cette peur qu'on peut se fabriquer des bulles de néoréalité, où l'on peut vivre tranquille avec un discours formaté, à base de déni, quand la vraie réalité fait irruption. 
      

    La réponse est donc simple : Israël et le Hamas travaillent dans le temps long, très long, au point qu'il frôle le temps immobile de l'éternité. Plus concrètement, le Hamas met en acte un principe radical de l'islam (ou un principe de l'islam radical), qui est le credo : pas de souveraineté pour les juifs, jamais, à aucun prix. Donc, s'il a de bons projectiles à leur envoyer pour perturber cette souveraineté, il y va ; ne faisant ainsi que prolonger une longue tradition où, en terre d'Islam, les juifs étaient tolérés (moyennant impôt spécial très lourd), avec, de temps à autre, un jet de violence contre eux, avec des pierres, des coups de sabre ou des balles. Ce fut le cas jusqu'à l'arrivée des Occidentaux, qui ont d'abord laissé faire, puis ont rendu plus ou moins désuètes ces coutumes. Cela aussi, on a peur de le comprendre : les colonialistes, en même temps que leur injustice, auraient élevé la dignité dans ces pays ? Impossible. Cela remet en cause trop d'idées, notamment la culpabilité occidentale - de façade, bien sûr - envers l'islam, et cela obligerait à admettre que la vindicte antijuive y est un des fondamentaux. Ça va donc chercher loin, trop loin. Or, le Hamas ne fait que mettre en actes cette vindicte, en quoi il fait vibrer un des réflexes les plus profonds des masses musulmanes, réflexe légèrement perturbé par leurs révolutions récentes où la vie voudrait prendre le dessus. En tout cas, cela explique qu'il tire ces projectiles, peu importe qu'ils fassent mouche ou non, le fait de les tirer exprime pour lui l'essentiel. 
      

    Côté Israël, c'est aussi du temps long : celui de l'existence, avec souveraineté et dignité. Cet Etat, semble-t-il, refuse d'offrir aux siens la même chose que leur condition en terre d'Islam : encaisser des coups sans pouvoir répliquer. Donc il réplique, sans prendre en compte les conséquences proches - les carnages - et lointaines, leur effet sur les opinions occidentales dont il sait par expérience, ou par l'histoire séculaire, que calomnier les juifs n'est pas pour elles une nouveauté. Les juifs tueurs d'enfants, c'est une très vieille accusation. Certes, du point de vue occidental implicite, Israël aurait dû encaisser les coups sans répondre et supplier les chancelleries d'Europe et d'Amérique d'intervenir, de « [nous]protéger, parce que les méchants islamistes [nous] veulent du mal ». Et ça lui est impossible : pour lui, vingt siècles d'histoire (où le monde chrétien et laïc n'a pas beaucoup intercédé) rendent absurde cette hypothèse et il se sait seul. 
      

    L'embargo est compliqué. Simple exemple, le béton : comment ne pas le laisser entrer pour rebâtir ? Et, en même temps, il servira à rebâtir les tunnels. Pour Israël, c'est un symbole de la stratégie du Hamas : frapper « les juifs » d'une façon telle qu'ils ne puissent pas répliquer sans s'aliéner la sympathie occidentale. 
      

    Si l'embargo est levé, Gaza lancerait plus commodément des fusées sur « les juifs », pour célébrer, de temps à autre, le credo basique. Il y aura donc la paix le jour où ce credo sera déclaré obsolète ; ce qui mettrait fin aussi aux attaques antijuives en Europe, en France par exemple, où elles sont un camouflet pour le pouvoir, un démenti à ses beaux discours contre l'antisémitisme. 
      

    Maintenant, quelques questions : imaginez-vous des instances islamiques, même modérées, dénoncer ce credo ? Ce serait déjà le reconnaître ; or, en Europe, le seul fait de l'évoquer passe pour un acte « islamophobe ». Imaginez-vous un Etat juif vivant sa souveraineté sous des gifles récurrentes ? Imaginez-vous le Hamas négociant avec cet Etat la paix ? Ce serait déjà le reconnaître ; or, cela contredit le credo, et le rituel de sa mise en actes. Vous avez donc le temps de réfléchir, et de remanier votre approche des juifs et des musulmans, au risque de dures remises en question. 

    * Daniel Sibony est écrivain et psychanalyste, auteur de Proche-Orient. Psychanalyse d'un conflit (Seuil)et Islam, phobie, culpabilité (Odile Jacob).


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    Richard Attenborough: ses grands films devant et derrière la caméra

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      • Par Bertrand Guyard
      •  
      • Publié <time data-ago="il y a 4 heures" data-original=" le 25/08/2014 à 16:41" datetime="2014-08-25T16:41:48+02:00" itemprop="datePublished">le 25/08/2014 à 16:41        </time>lien
    <figure>Richard Attenborough ( à droite) est arrêté par un officier nazi dans <i>La Grande Évasion </i>(1963) de John Sturges.<figcaption itemprop="description">

     

    </figcaption></figure>

    VIDÉOS - L'acteur et réalisateur britannique, décédé ce dimanche, a marqué de son empreinte deux monuments du cinéma: La grande Évasion et Jurassic Park. En tant que réalisateur, il a reçu la récompense suprême avec huit Oscars pour Gandhi.

     

    Richard Attenborough appartient au cercle fermé des figures du septième art qui ont réussi à mener de front une double carrière devant et derrière la caméra. Sous son habit de comédien il fut à l'affiche de deux films cultissimes: La Grande Évasion de John Sturges en 1963 et Jurassic Park deSteven Spielberg en 1993. Il retrouve Steve McQueen en 1966 dans La Canonnière du Yang-Tse de Robert Wise. La justesse de son jeu est récompensée par le Golden Globe du meilleur second rôle.

    En 1969, il débute sa carrière de réalisateur avec un film antimilitariste sur la première guerre mondiale: Ah Dieu! que la guerre est jolie. En 1977, Il explore à nouveau le genre du film de guerre avec Un pont trop loin ( A Bridge Too Far), une adaptation du fameux livre éponyme de Cornelius Ryan. En 1982 avec son œuvre maîtresse Gandhi, qui retrace le combat pour la paix du légendaire leader politique indien, il entre de son vivant au panthéon du septième art en recevant pas moins de huit oscars dont le plus prestigieux celui du meilleur film.

    En sept extraits, nous vous proposons de parcourir la riche carrière cinématographique de Richard Attenborough.

    ● La Grande Évasion (1963) de John Sturges

    Richard Attenborough incarne le commandant Roger Bartlett, surnommé Big X. Au coté de Steve McQueen il est parfait dans la peau d'un officier britannique qui sait mêler autorité et humanisme. Un grand film de guerre à voir et à revoir sans modération.

    ● La Canonnière du Yang-Tse (1966) de Robert Wise

    Une fois encore le décor épique de la guerre - après La Grande Évasion - sert le talent d'Attenborough. Il partage de nouveau l'affiche avec son ami Steve McQueen.

    ● L'Étrangleur de la Place Rillington (1971) de Richard Fleischer

    Le scénario est inspiré de l'histoire, réelle, du tueur en série John Christie. Richard Attenborough incarne avec une justesse presque inquiétante ce terrible criminel qui sema la panique au cœur de londres dans les années quarante. Le tout filmé par la caméra chirugicale d'un Richard Fleischerau sommet de son art.

    ● Dix Petits Nègres (1974) de Peter Collinson

    Les romans d'Agatha Christie ont fait l'objet de nombreuses adaptations cinématographiques. Pour son film Peter Collinson le réalisateur a réuni une incroyable distribution. Charles Aznavour, Alberto de Mendoza, Stéphane Audran, Gert Fröbe, Richard Attenborough et Orson Welles - Qui prête sa voix au narrateur - donnent un cachet unique à cette œuvre policière au suspense impeccable.

    ● Un pont trop loin (1977) de Richard Attenborough

    Le Maréchal Montgomery voulait écourter La Seconde Guerre Mondiale en montant une formidable action aéroportée, l'opération Market Garden. Sous la direction de Richard Attenborough, Dirk Bogarde, James Caan, Michael Caine, Anthony Hopkins, Robert Redford et Sean Connery nous livrent ici une trépidante leçon d'héroïsme.

    ● Gandhi (1982) de Richard Attenborough

    Huit oscars pour ce film magistral qui retrace le parcours de l'un des hommes les plus charismatiques du XXe siècle, Mohandas Karamchand Gandhi, incarné avec justesse et conviction par Ben Kingsley.

    ● Chaplin (1992) de Richard Attenborough

    Cette biographie filmée est un hommage à l'un des plus grands acteurs du XXe siècle, Charlie Chaplin.Une œuvre qui tenait à cœur à Richard Attenborough qui vouait une admiration sans borne à ce géant du cinéma, et qui offrit à Robert Downey Jr. son premier rôle d'envergure.

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