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    Chine: Nouvelle explosion dans une zone industrielle

    P.B.


    23h50: L'explosion a eu lieu il y a plusieurs heures

    Un peu avant minuit, heure locale, il y a 6 heures. Face à l'absence de nouveaux détails, il s'agit sans doute d'un incident beaucoup moins dramatique que Tianjin, dans une zone plus reculée.


    23h45: Les vidéos qui circulent en ligne sont celles d'anciennes explosions

    Pour l'instant, il n'y a qu'une seule image fixe qui ne semble pas venir de Tianjin.


    23h45: Selon Reuters, il s'agit d'une zone peu peuplée

    Contrairement à Tianjin, cette zone industrielle se trouve relativement moins de toute zone d'habitation.


    23h40: Une image de l'explosion

    Elle circule sur le réseau social chinois Weibo. Pour l'instant, son authenticité n'a pas été confirmée.

     


    23h30: Une autre explosion avait eu lieu le 22 août dans la même zone

    Elle n'avait fait qu'une victime, alors que la double explosion de Tianjin a fait plus de 140 morts.


    Trois semaine après le drame de Tianjin, une nouvelle explosion a secoué la Chine, lundi soir. Selon les médias chinois, elle s'est déroulée dans l'Est du pays, à Lijin, également dans une zone industrielle.

    Pour le moment, on ne sait pas s'il y a des victimes.


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  • Google annonce des montres Android

    compatibles avec l'iPhone d'Apple

    31 Août 2015, 20h10 | MAJ : 31 Août 2015, 20h10  lien
     
     
    <figure> Le logo de Google <figcaption class="articleChapeau ">Le logo de Google (AFP/Georges Gobet)</figcaption> </figure>

    Le géant internet américain Google tente de mettre la pression sur l'Apple Watch avec l'annonce lundi que des montres et autres accessoires vestimentaires connectés fonctionnant avec son système d'exploitation Android seront désormais compatibles avec l'iPhone.

     


    Jusqu'à présent, les montres Android (produites par plusieurs fabricants dont Motorola, LG Electronics...) ne fonctionnaient qu'avec un smartphone lui aussi sous Android, tandis que les utilisateurs d'iPhone ne pouvaient utiliser que l'Apple Watch, lancée au printemps par la marque à la pomme.
    Mais Google a commencé à déployer lundi une mise à jour d'Android Wear, la version d'Android dédiée aux accessoires vestimentaires connectés, qui est compatible avec iOS, le système d'exploitation de l'iPhone et de l'iPad.
    "Maintenant, les montres Android Wear fonctionnent avec les iPhone", affirme le géant internet dans un message publié sur son blog officiel.
    Cela ne vaut toutefois que pour les nouveaux modèles de montres connectées. Pour l'instant, Android Wear pour iOS fonctionne uniquement pour la montre Urbane de LG.
    Mais "toutes les futures montres (utilisant) Android Wear, y compris celles de Huawei, Asus et Motorola accepteront iOS", assure Google.
    C'est susceptible de mettre la pression sur l'Apple Watch, même si Android Wear reste moins utilisé que sa version pour smartphones: le grand rival d'Apple sur le marché mobile, le sud-coréen Samsung, utilise ainsi son propre système d'exploitation, Tizen, pour la plupart de ses montres connectés.
    Apple n'a pas divulgué les chiffres de vente de sa nouvelle montre connectée, sortie en avril, mais le cabinet de recherche IDC a estimé la semaine dernière qu'il en avait écoulé 3,6 millions d'unités au deuxième trimestre, soit 19,9% des ventes mondiales sur cette période. Cela a permis au groupe américain de prendre directement la deuxième place sur le marché mondial des accessoires vestimentaires électroniques ("wearables"), derrière le fabricant de bracelets fitness Fitbit.


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    Combes arrive chez Altice sur fond de polémique après son départ d’Alcatel

    Fabienne Schmitt / Chef de service adjoint et Romain Gueugneau / Journaliste | <time datetime="2015-08-31T20:07:28+02:00">Le 31/08 à 20:07   lien </time>
    Numericable-SFR va avoir un nouveau président. - Bloomberg/Balint Porneczi
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    • <figure itemid="/medias/2015/08/31/1149347_combes-arrive-chez-altice-sur-fond-de-polemique-apres-son-depart-dalcatel-web-tete-021293968088_660x352p.jpg" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">

       

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    Le nouveau président de Numericable-SFR essuie une pluie de critiques après la révélation de sa prime de départ.

    Traditionnellement, lorsque l’on prend la tête d’une entreprise, on connaît toujours une période de grâce. Pour Michel Combes, qui devient aujourd’hui président de Numericable-SFR et directeur des opérations de sa maison mère Altice, ce ne sera pas le cas. La polémique sur les rémunérations de l’ex-patron d’Alcatel-Lucent a gonflé pendant toute la journée de lundi.

    L’intéressé reste pourtant droit dans ses bottes. Dans un entretien aux « Echos », il justifie l’octroi de 4,5 millions d’actions Alcatel-Lucent sur trois ans, pour un montant d’un peu moins de 14 millions d’euros au cours actuel, par «  le travail accompli » durant les deux ans et demi passés à la tête de l’équipementier télécoms. « J’ai réussi à créer de la valeur et à sauver l’entreprise », alors en « quasi-faillite » lorsqu’il l’a rejointe.

    Le cours de l’action a été multiplié par plus de quatre sous son « règne », rappelle-t-il. Il se défend aussi d’avoir modifié les règles d’attribution des actions « en catimini ». « Tout ce qui concerne les éléments de ma rémunération a été rendu public dès le premier jour [...]. Il y a eu une transparence absolue », estime-t-il. Si certaines règles ont été modifiées à l’issue de l’annonce du projet de cession d’Alcatel-Lucent à Nokia en avril, elles ont concerné « tous les collaborateurs » et « été présentées à l’assemblée générale des actionnaires » en mai.

    Pour les syndicats d’Alcatel-Lucent, la pilule passe très mal. La rémunération est jugée « indécente  » à la CFDT, compte tenu «  de la casse sociale de ces dernières années ». La CGT ironise de son côté sur le profil du « sauveur » généralement attribué à Michel Combes, le qualifiant plutôt « de fossoyeur  », en rappelant les fermetures de sites et les 10.000 suppressions de postes réalisées depuis 2013 dans le cadre du plan de restructuration « Shift ».

    Redresser SFR

    Malgré la pluie de critiques qui accompagne sa sortie d’Alcatel-Lucent, Michel Combes se prépare à son avenir chez Altice et Numericable-SFR, où il supervisera l’ensemble des activités opérationnelles du groupe dans le monde. Les acquisitions, elles, restent la chasse gardée de Patrick Drahi, fondateur de l’entreprise. Les défis qui s’annoncent sont nombreux. Implanté dans 15 pays, le groupe a grossi à vue d’œil ces derniers mois avalant successivement SFR, Virgin Mobile, Portugal Telecom et bientôt l’américain Suddenlink.

    Michel Combes devra faire en sorte d’intégrer ces actifs, tout en consolidant les bases. «  Nous avons pour objectif d'être des opérateurs encore plus performants et innovants dans chaque pays où nous sommes  ». Mais, pour l’heure, c’est surtout vers la France que se tournent tous les regards. SFR est mal en point. Il a perdu plus de 1 million de clients en un an, que ses concurrents ont accueillis à bras ouverts. Il y a gagné le surnom de « donneur universel » dans le secteur !

    Michel Combes, qui sera dès mardi devant les cadres du groupe à Saint-Denis, va s’employer à redéfinir avec la direction en place – dont il salue le travail d’intégration réalisé – le positionnement du deuxième opérateur français. Pour relancer la machine, le groupe devra aussi fortement investir dans le réseau qui s’est dégradé l’an passé – les investissements ont redémarré depuis le début de l’année. Le profil de Michel Combes, à la fois redresseur (chez Alcatel) et développeur d’entreprises (chez Vodafone) colle parfaitement à sa mission. Les syndicats, eux, demandent à voir. «  La direction lui a demandé de venir chez SFR. Mais on ne sait toujours pas pour quoi faire  », regrette Damien Bornerand, délégué syndical à la CGT, qui s’inquiète surtout de la réputation de redresseur d’entreprises du nouveau président.

    Fabienne Schmitt
     
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