• Concert de soutien à Aung San Suu Kyi jeudi 22 mars à Paris: réservez vite vos places ou faites un don!

     

    Tandis qu'Aung San Suu Kyi poursuit inlassablement sa campagne devant des centaines de milliers de Birmanes et de Birmans, un concert de soutien aura lieu à Paris à l'initiative de France Aung San Suu Kyi une semaine avant les élections birmanes. Objectif: lui témoigner publiquement, de toutes nos forces et de tout notre coeur, en chansons, notre solidarité internationale. Au programme: 19 h -19 h 30: accueil 19h30- 21 h : “Tout feu tout femme!” un concert de Fabell dédié à Aung San Suu Kyi et aux femmes qui font avancer le monde 21h - 22h : verre de l'amitié, discussions, rencontres Attention: le nombre de places étant limité et les réservations déjà nombreuses, il est vivement recommandé de réserver dès maintenant au 06 09 57 82 58 ou par email à : contact@aungsansuukyi.fr ou d'acheter directement votre billet par CB sur notre système Paypal sécurisé. A très vite!






    PASS CONCERT 22 MARS




     


     


    votre commentaire
  •  

     

    <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Aung San Suu Kyi ne veut pas d'un procès contre l'ancienne junte birmane

    Le Monde.fr avec AFP  <time datetime="2012-02-23T12:00:17+01:00" itemprop="datePublished"></time><time datetime="2012-03-15T15:59:00+01:00" itemprop="dateModified"></time>

     
     
    <figure class="illustration_haut"> La figure historique de l'opposition birmane, candidate aux élections partielles d'avril, déclare au quotidien italien </figure>

    L'opposante Aung San Suu Kyi s'est déclarée opposée, dans une interview publiée jeudi 23 février, à une "justice vindicative", affirmant n'être pas favorable à ce que des responsables de l'ancienne junte militaire soient traduits en justice à l'avenir.

    Interrogée par le quotidien italien La Stampa, la figure historique de l'opposition birmane, qui est candidate aux élections partielles d'avril, a déclaré "n'être pas favorable à ce que des gens soient déférés devant les tribunaux". "Je ne veux pas d'une justice vindicative, mais je désire que la justice soit reconstruite. Avant tout, notre pays a besoin que l'Etat de droit soit rétabli", a-t-elle répondu à une question sur un éventuel procès contre les chefs de l'ancienne junte.

    Alors que l'Union européenne étudie la possibilité de lever ses sanctions contre le régime en raison de son actuelle ouverture démocratique, Mme Aung San Suu Kyi estime que cette détente éventuelle ne peut être envisagée qu'après les élections. "La décision de l'Union européenne concernant les sanctions est liée au déroulement des prochaines élections. C'est seulement après que l'on décidera ce qu'il convient d'en faire. Pour le moment, on discute de la façon de commencer à les éliminer, selon un processus calibré, et je suis d'accord avec cette démarche", a-t-elle dit.

    "Les sanctions ont été plutôt efficaces pour favoriser le changement auquel nous assistons ces jours-ci. Même très efficaces ! Je le dis pour une raison simple : le gouvernement tient beaucoup au fait qu'elles soient éliminées", a précisé le Prix Nobel de la Paix.

    La junte birmane a été dissoute au printemps 2011 et ses pouvoirs transférés à un nouveau président, l'ancien général Thein Sein. Le pays s'est ouvert à l'opposition démocratique et a promis aux Occidentaux de progresser sur le front de la démocratie et des droits des minorités pour obtenir la levée des sanctions.

    >> Lire l'éditorial du Monde du 16 janvier : "En Birmanie, la France a la bonne approche"

    </article>

     

    <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Le pouvoir birman va poursuivre un moine entré illégalement dans un monastère

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2012-02-19T09:48:07+01:00" itemprop="datePublished">19.02.2012 à 09h48</time>

     
     
    <figure class="illustration_haut"> Shin Gambira (bras tendu), le 19 janvier 2012, au monastère de Shwenyawar, à Rangoun. </figure>

    Le célèbre moine birman Shin Gambira , un des leaders de la "révolte safran" de 2007 qui avait été récemment amnistié, va être jugé pour être entré de force dans des monastères fermés par les autorités, rapporte, dimanche 19 février, le quotidien officiel News Light of Myanmar.

    Gambira "va être poursuivi pour occupation illégale" d'un monastère à Rangoun et pour être entré de force dans deux autres, des infractions pour lesquelles il avait été interpellé puis libéré, le 10 février, au terme d'une journée de détention. Les autorités "ont entrepris des démarches légales pour qu'il soit jugé", selon le journal.

    Gambira, condamné à 68 ans de prison pour sa participation à la "révolte safran", a fait partie des centaines de prisonniers politiques libérés en janvier. Les manifestations de 2007, au départ contre le coût de la vie, avaient attiré jusqu'à 100 000 personnes dans les rues de Rangoun, constituant le plus sérieux défi aux généraux depuis le soulèvement populaire de 1988. Le mouvement avait été écrasé par la junte alors au pouvoir, faisant au moins 31 morts.

    L'arrestation du moine est intervenue alors que le régime birman multiplie les gestes d'ouverture depuis plusieurs mois dans l'espoir d'obtenir de sortir de son isolement. Elle a provoqué la réaction immédiate de Washington, qui a exhorté le gouvernement à libérer le moine "immédiatement et sans conditions et à apporter des explications quant à ce qui a motivé son arrestation".

     

    <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Les autorités birmanes arrêtent l'un des leaders de la "révolte de safran"

    Le Monde.fr avec AFP et AP | <time datetime="2012-02-10T08:47:56+01:00" itemprop="datePublished">10.02.2012 à 08h47</time> • Mis à jour le <time datetime="2012-03-15T15:58:36+01:00" itemprop="dateModified">15.03.2012 à 15h58</time>

     

    Shin Gambira, un des leaders de la "révolte de safran" de 2007 en Birmanie, a été interpellé dans la nuit de jeudi à vendredi dans son monastère à Rangoun pour être interrogé. Il y a moins d'un mois, il avait été amnistié avec d'autres prisonniers politiques. Depuis sa libération, il était entré de force dans trois établissements religieux fermés par les autorités après 2007.

    Selon certaines sources, ces effractions du moine "n'étaient pas en accord avec les règles des moines", et certains responsables bouddhistes lui auraient demandé d'arrêter son action. Shin Gambira aurait aussi émis des doutes sur la réalité de l'ouverture en Birmanie. Le dissident avait été condamné à 68 ans de prison. Les manifestations de 2007, au départ contre le coût de la vie, avaient attiré jusqu'à 100 000 personnes dans les rues de Rangoun, constituant le plus sérieux défi aux généraux depuis le soulèvement populaire de 1988. Le mouvement avait été écrasé par la junte alors au pouvoir, faisant au moins 31 morts.

    La junte s'est depuis autodissoute et a transmis en mars 2011 ses pouvoirs à un gouvernement dit "civil", mais toujours contrôlé par d'anciens militaires. Cette nouvelle équipe a multiplié les réformes spectaculaires, libérant notamment quelque 500 prisonniers politiques depuis octobre.

    </article>
    </article>

    votre commentaire
  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Le régime birman mis en cause pour des exactions contre les rebelles kachins

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2012-03-20T08:46:49+01:00" itemprop="datePublished">20.03.2012 à 08h46</time> • Mis à jour le <time datetime="2012-03-20T08:46:44+01:00" itemprop="dateModified">20.03.2012 à 08h46</time>

     
     
    <figure class="illustration_haut"> Une mère lave son enfant dans un camp de réfugié, dans une zone contrôlée par la rébellion kachin, le 12 février 2012. </figure>

    Les troupes birmanes se sont livrées à de multiples exactions contre les civils dans l'extrême nord du pays lors d'une offensive contre les rebelles kachins lancée l'été dernier, affirme Human Rights Watch (HRW).

    Dans une nouvelle enquête intitulée "Souffrances cachées : violences de guerre et déplacements forcés dans l'Etat kachin de Birmanie", l'organisation dénonce, sur la base de témoignages, des violations flagrantes des droits élémentaires des villageois pris dans les combats.

    Un homme raconte ainsi qu'il a  assisté au viol collectif de deux femmes par des soldats. "Je n'ai pas pu les compter. Ils les ont tous violées. Ils l'ont fait devant nous." Les combats ont repris en juin 2011 entre les militaires birmans et l'Armée pour l'indépendance kachin (KIA) dans une zone où la Chine bâtissait un barrage hydroélectrique, mettant fin à un cessez-le-feu de dix-sept ans.

    "Ils disaient que nous, les villageois, étions la KIA et que la KIA étaient les villageois et que c'est pour ça qu'ils nous tiraient dessus", a témoigné une femme de 40 ans.

    Le rapport de HRW offre un témoignage de plus sur des exactions documentées depuis des années dans les zones de guerre civile du pays. Il fait par ailleurs état d'usage des mines et du recours aux enfants soldats, par l'armée comme par les rebelles.

    Le gouvernement de Naypyidaw, dirigé par d'anciens militaires, a entrepris des réformes spectaculaires depuis la dissolution de la junte, en mars 2011. Il a notamment engagé le dialogue avec les minorités, qui représentent un tiers de la population et dont beaucoup n'ont jamais pacifié leurs relations avec le pouvoir central depuis l'indépendance, en 1948. Le dossier est considéré comme l'un des plus importants pour l'avenir du pays et constitue l'une des revendications des Occidentaux pour la levée des sanctions.

    <figure class="illustration_haut"> Des cessez-le-feu ont été signés avec plusieurs groupes rebelles. Mais les négociations avec les Kachins, minorité ethnique majoritairement chrétienne dans un pays bouddhiste, n'ont rien donné. </figure>

    Des cessez-le-feu ont été signés avec plusieurs groupes rebelles. Mais les négociations avec les Kachin, minorité ethnique majoritairement chrétienne dans un pays bouddhiste, n'ont rien donné. Selon HRW, quarante-cinq mille personnes se sont réfugiées dans des zones sous contrôle kachin, près de la frontière chinoise. Environ dix mille ont traversé la frontière et vingt mille sont parties en zone gouvernementale.
    Le groupe basé à
    New York accuse le pouvoir de bloquer l'aide humanitaire. Les agences onusiennes n'ont ainsi atteint la zone qu'une seule fois, au début du mois de décembre.

    </article>

    votre commentaire
  • Join the Refugees from Burma:
    Tell Ambassador Mitchell to Help Protect Ethnic Civilians


    Refugees from Burma are now exercising their rights and are speaking out on behalf of their friends and family who are left behind. In solidarity with them, will you sign this petition?

    So far, 4,000 signatures from ethnic Karen, Kachin, Chin and Karenni resettled in the United States have signed the petition urging Ambassador Mitchell to use his position as the US Special Representative and Policy Coordinator for Burma to push the Burmese regime and international community to “pay more attention to the plight of the ethnic people of Burma.” Add your signature
    to strengthen the call when we deliver the petition to Ambassador Mitchell next week, March 22, 2012.
     
    While these resettled refugees are grateful for the generosity of the U.S. government for the resettlement program, the ethnic people of Burma also want to exercise their rights by expressing their concerns for their relatives, friends or the people they know who are left behind, who are still displaced at the hiding areas, who are still subjected to human rights abuses and mass atrocities in ethnic areas of Burma. 


    Since Burma’s military regime put on the veneer of civilian government earlier last year, Thein Sein has shown an interest in engagement with the United States.  In an effort to exhibit his interest in a better relationship with the United States, he agreed to a key issue for the United States by meeting with Aung San Suu Kyi once, releasing some political prisoners conditionally, amending the political party registration law to allow former political prisoners to be part of a political party and participate in elections and signed preliminary peace agreement with a few ethnic armed groups.

    Unfortunately, Thein Sein has not changed the Burmese army's actions against the country's ethnic minority civilians. The Burmese regime signed preliminary ceasefire agreement with several different armed groups while fighting heavily with Kachin Independent Army. These ceasefire agreements do not guarantee safety for the civilians. Instead, the Burmese troops use the opportunity to transport their rations and ammunitions to their front line bases located in the ethnic minority areas. Widespread human rights abuses like including forced labor, torture, human shield, rape, porter and property confiscation are still going on.
     
    Click here for more information on human rights abuses. 

    Thus, on behalf of the people who are left behind, this petition also reminds Ambassador Mitchell that the international community also has the responsibility to protect civilians and end crimes against humanity in Burma.

    We urge you to
    sign the petition to Ambassador Mitchell telling him that he must prioritize seeking an end to the Burmese Regime's systematic and widespread use of rape as a weapon of war, forced labor, forced relocation, torture, extrajudicial killings, child soldiers and use of human shields and the immediate and unconditional release of all political prisoners. Most importantly, the attacks against the Kachin must stop, the US must provide immediate assistance to the displaced Kachin and the Burmese regime must give humanitarian access for those who have been waiting for aid.

    Instruction: If you are from Burma, please identity your ethnicity by selecting the dropdown box. The petition is open you everyone. If you are not from Burma, you can choose other for your ethnic group.

    In gratitude,

    Myra and USCB Team


    Become a member of the U.S. Campaign for Burma.

    Or, make a tax-deductible donation today.


    votre commentaire
  •  

    Zarganar's Thank You Message to You:  
    "You Guys Have Been Doing a Great Job!" 

     

     

    Dear Marylise,

    Zarganar is Burma's most famous comedian, and for his relentless commitment to speaking the truth he has served more than 11 years in prison. Now he is free (released October 2011 with conditions), and today we have a special video message from him to YOU, the amazing members of U.S. Campaign for Burma. 


    In his own words he says, "Now, many political prisoners in Burma have been released, and I would like to take this opportunity to thank all of you on behalf of my fellow former political..."You guys have been doing a great job!"  While he is free and able to travel around, Zarganar is also concerned about other political prisoners who are still in jail and he urges you all to "please continue your campaign for the release of all the remaining political prisoners immediately and unconditionally."

    Upon his release, Zarganar was able to make an advocacy trip to the U.S. in February 2012. Khin Than Myint, a leading advocate for women's rights, and Bawk Jar, a Kachin activist, were also able to join Zarganar on this trip. The USCB secured many meetings for them with top U.S officials including
    Secretary of State Hillary Clinton; Senior Director for Multilateral Affairs at the National Security Council Samantha Power; Special Representative and Policy Coordinator for Burma Ambassador Derek Mitchell; and Burma's long time human rights supporter and House's Chief Deputy Whip Congressman Joseph Crowley. He was also honored at Amnesty International's 50th anniversary comedy show The Secret Policeman's Ball in New York City.

    As much as you have heard and read about the changes happening in central Burma, the situation in the ethnic areas hasn't changed. Widespread
    human rights abuses
     continue despite the fact that Burma claims to have transitioned into the civilian government. Read this recent report from the Free Burma Rangers about abuses that have happened in Karen areas since the so-called ceasefire agreement in January. USCB and the people of Burma still need your support as Zarganar says, "please continue your effort to help us achieve real freedom and sustainable national reconciliation in Burma."
     

    In Gratitude and Solidarity,

    U.S. Campaign for Burma Team


    Become a member of the U.S. Campaign for Burma.

    Or, make a tax-deductible donation today.


    Were you accidentally subscribed to our e-mail list?
    Click here to unsubscribe

    empowered by Salsa

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique