• Dernière modification : 13/02/2013 lien

    - Communiqué de presse


    Fréquentation record sur les environnements nouveaux médias de FRANCE 24, RFI et MONTE CARLO DOUALIYA

    Fréquentation record sur les environnements nouveaux médias de FRANCE 24, RFI et MONTE CARLO DOUALIYA

    L’ensemble des environnements Nouveaux Médias de FRANCE 24, RFI et Monte Carlo Doualiya ont enregistré une fréquentation record en janvier 2013.

     
     

    L’ensemble des environnements Nouveaux Médias de FRANCE 24, RFI et Monte Carlo Doualiya ont enregistré une fréquentation record en janvier 2013 totalisant près de 25 millions de visites auprès de 12,6 millions de navigateurs uniques pour un total de 82 millions de pages vues.

    Portés par une actualité internationale très riche - opérations militaires au Mali, prise d’otages à In Amenas, libération de Florence Cassez, Coupe d’Afrique des Nations - les sites Internet de FRANCE 24 et de RFI enregistrent respectivement une hausse de leur fréquentation de 17% et 41% par rapport au mois de décembre 2012.

    Comme les offres en langue française, toutes les versions linguistiques du groupe connaissent de fortes hausses sur Internet, et particulièrement les sites en arabe de FRANCE 24 et Monte Carlo Doualiya (+16%), ainsi que les sites en langues étrangères de RFI, notamment le russe (+72%), le portugais (+97%) et le persan (+25%).

    Les contenus audiovisuels en ligne sont particulièrement plébiscités. En janvier 2013, plus de 2,6 millions de vidéos ont été lancées sur FRANCE24.COM auxquelles s’ajoutent 3,4 millions de vidéos FRANCE 24 visionnées sur YouTube et 1 million de vidéos consommées sur d’autres plateformes, soit un total de 7 millions de vidéos visionnées en ligne en un mois. De son côté, RFI a enregistré plus de 2,4 millions de sessions audio lancées sur son site Internet.

    Le nombre de consultations depuis des mobiles et issues des réseaux sociaux des différentes chaînes stimulent la tendance générale à la hausse. FRANCE 24, RFI et Monte Carlo Doualiya totalisent aujourd’hui plus de quatre millions d’abonnés sur les réseaux sociaux.

    Source : Digital Analytix/Comscore - Janvier 2013

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    Contacts presse :
    Anthony Ravera : +33 (0) 1 84 22 93 85 / anthony.ravera@rfi.fr 
    Damien Amadou : + 33 (0)1 84 22 74 32 / damadou@france24.com 


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  • Accueil > entreprise > Les voitures de légende s'exposent au Rétromobilelien

    Les voitures de légende s'exposent au Rétromobile

    Créé le 08-02-2013 à 17h30 - Mis à jour à 17h36

    VIDEO C'est le grand rendez-vous de l'année pour ceux qui aiment les voitures de collection. Bugatti, Bentley, Rolls Royce, Mercedes-Benz sont à découvrir jusque dimanche à la Porte de Versailles à Paris.

    Une Helica, voiture à hélice exposée au salon Retromobile (c) Sipa

    Une Helica, voiture à hélice exposée au salon Retromobile (c) Sipa

    Retromobile, le salon où les yeux des grands s'écarquillent autant que ceux des enfants. Bugatti, Bentley, Rolls Royce, Mercedes-Benz, plus de 500 voitures anciennes sont exposées du 6 au 10 février au parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris. Parmi les stars de cette 38e édition: la Peugeot 205, ou encore la Citroën DS, deux Benz de course du début du XXe siècle ou encore à la Porsche 911 qui fête ses 50 ans.

    Mais aussi des modèles hors du commun comme les Helica, des voitures à hélice, une Renault balayeuse-arroseuse de 1913, l'ancêtre de la camionnette…

    Collectionneurs, passionnés mais aussi amateurs néophytes peuvent même repartir avec l'auto de leurs rêves, puisque presque tout ce qui est exposé est à vendre. Une vente aux enchères est d'ailleurs prévue, vendredi soir pour quelques spécimens, pour des prix allant de 10.000 à plus d'un million d'euros. Et les fans d'Alain Delon pourront même s'offrir la Ferrari Testaorosa de leur idole estimée entre 30 et 40.000 euros. Peut-être y flotte-t-il encore quelques effluves de son parfum…

    INTERVIEW François Melcion, directeur du salon, retrace l'histoire des modèles phares:

    VIDEO


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  • Des Victoires de la Musique enfin au diapason

    Mots clés :

    Par Olivier Nuc Publié <time datetime="09-02-2013T12:08:00+02:00;" pubdate="">le 09/02/2013 à 12:08</time> Réactions (9)

    CHRONIQUE - Le palmarès des 28es Victoires de la musique est le reflet pertinent de la scène française, dans sa diversité et son dynamisme

    La polémique n'a pas pris. En s'effarouchant que les plus gros vendeurs de disques de l'année (M Pokora, Patrick Bruel ou Johnny Hallyday) ne figurent pas dans la sélection des Victoires de la musique, la mauvaise foi et la démagogie pensaient s'inviter à une cérémonie qui ne doit pas, par essence, être une prime aux vainqueurs mais bien affirmer des choix. À ce titre, le palmarès 2013 est l'un des plus satisfaisants de l'histoire de la récompense.

    Voir Dominique A salué par la profession comme l'interprète masculin de l'année est une nouvelle réjouissante, qui signe la reconnaissance pour un auteur-compositeur-interprète d'exception, auquel il n'aura manqué que des apparitions télévisées pour accéder à un public plus large. Après vingt ans d'une carrière impeccable, le quadragénaire est enfin convié au banquet, dans la foulée d'un album salué comme l'un de ses meilleurs. En 1996, le jeune homme bousculait la cérémonie compassée, ancrée dans les vieilles manies du showbiz français.

     

    Ce palmarès 2013 marque l'accession d'une génération entièrement renouvelée aux avant-postes. La Grande Sophie, C2C, Skip the Use ou Shaka Ponk incarnent, chacun à leur manière, l'émergence de propositions nouvelles, populaires et pertinentes dans un paysage musical profondément renouvelé, ce que les Victoires de la musique prennent enfin en compte. Le bonheur de Lou Doillon était agréable à voir, même si elle aurait sans doute du repartir avec le prix pour le meilleur album de l'année plutôt qu'avec la distinction de meilleure artiste féminine. Sa prestation en direct fut l'une des plus fortes de la soirée, confirmant le caractère singulier de sa voix et sa belle musicalité. Quinze ans après ses débuts dans les bars de Marseille, la Grande Sophie a, elle, reçu le prix du meilleur album de chansons, construisant patiemment et soigneusement un parcours solide, à l'opposé des étoiles filantes de la télé-réalité.

    En écartant délibérément les vétérans de la scène française, comme les vedettes préfabriquées d'aujourd'hui, les Victoires de la musique représentent une troisième voie, plus conforme à la réalité des musiciens d'aujourd'hui: des artistes voués à leur art, écumant les scènes, et non des feux de paille médiatiques. L'exemple de Shaka Ponk, qui a séduit de plus en plus de spectateurs jusqu'à remplir Bercy le mois dernier, en est l'illustration. Tout comme celui de C2C, collectif de platinistes nantais répertorié depuis longtemps, qui a posé des jalons dans les cercles spécialisés avant de séduire le grand public. En repartant avec quatre trophées, ils ont été les véritables vainqueurs de la soirée. Dommage qu'on ne leur ait pas demandé d'animer le dîner qui suivait la commémoration. L'apparition incongrue d'un groupe de reprises des Who, Rolling Stones ou Police entre le filet de bœuf et le dessert à la framboise fut accueillie avec consternation. Les invités - notamment les lauréats - quittèrent le banquet à toutes jambes, leur statuette sous le bras, sous les yeux incrédules des organisateurs, qui espéraient lancer une jam-session nourrie. Et si les Victoires de la musique avaient évolué plus vite que ceux qui président à leurs destinées?

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    » Victoires de la musique 2013: les meilleurs moments


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  • Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-02-10T13:37" itemprop="datePublished" pubdate=""> 10/02/2013 à 13:37</time>

    VIDÉO. C'est l'un de nos plus grands chanteurs vivants, mais, pour lui, nulle consécration aux Victoires de la musique. Serge Lama, ou le grand malentendu.

    Serge Lama est à L'Olympia où il fêtera lundi ses 50 ans de carrière.

    Serge Lama est à L'Olympia où il fêtera lundi ses 50 ans de carrière. © Jean-Pierre Muller / AFP


     

    Qu'on ne se méprenne pas sur le titre. Nous n'allons pas vous raconter une nouvelle fois par le menu l'histoire de "Je suis malade", la chanson qui le rendit célèbre et que Dalida reprit à la perfection. Non, "les bobos", ce sont ceux qui, hier comme aujourd'hui, persistent à ne voir en Serge Lama que l'interprète des "Petites femmes de Pigalle".

    Ce qui caractérise le bobo, outre sa morgue, c'est son inculture crasse. Cette capacité à tout juger sans rien savoir. Et Lama, comme quelques autres, en fait les frais depuis un demi-siècle.​ Il y eut d'abord cette manière ridicule de l'étiqueter clone de Brel. À l'époque, on ne lui pardonna guère d'avoir une voix et un style, mais, de l'avis de tous, d'être un peu en dessous du Grand Jacques. Pourtant, jamais Lama ne songea à singer Brel. Ce fut là le premier malentendu.

    Un immense chanteur

    Mal entendu ou plutôt mal écouté ? Il est vrai que le Lama franchouillard n'est pas tout à fait celui que nous préférons. Il est vrai aussi que, lors de sa période napoléonienne, où il pensa être la réincarnation du Petit Tondu, il nous fit craindre le pire. Qu'importe, chez tous les grands, il y a une part de bassesse dans le génie. Mais, sincèrement, je donne tous les Nouvelle Star et The Voice pour des titres tels que "Toute blanche", "L'esclave" ou "Le 15 juillet à cinq heures".

    Non seulement je dis ici que Lama est un immense chanteur, mais également qu'il aurait sa place dans la défunte et magnifique collection de Pierre Seghers "Poètes d'aujourd'hui". Oui, Lama est un auteur de premier plan. Et le public de L'Olympia va lui réserver un triomphe demain soir, le jour même de ses 70 ans. Nous serons là et nous applaudirons à tout rompre celui qui écrivit un jour : "Je vis dans un enfer environné de glace/ Comme un cygne voguant sur les immensités/ Je vois de tous côtés mon profil et ma face/ Et n'ose plus douter de mon éternité."

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    Serge Lama est jusqu'au 17 février à l'Olympia et y fêtera lundi soir ses 70 ans et ses 50 ans de carrière.


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  • Scandale au pays de la BD

     

    Créé le 04/02/2013 à 15h58 -- Mis à jour le 04/02/2013 à 17h15

    Willem lors du vernissage de l'exposition «Archi et BD, la ville dessinée» à la Cité du patrimoine et de l'architecture au Palais de Chaillot, le 8 juin 2010. DUPUY FLORENT/SIPA

    FESTIVAL – L’élection du grand Prix de la ville d’Angoulême provoque des réactions…

    La BD et la démocratie ne font pas bon ménage. Le Festival de la BD d’Angoulême, qui s’est clos dimanche soir, a rendu son palmarès, globalement considéré comme juste et équilibré par les critiques, et révélé son traditionnel Grand Prix à l’auteur néerlandais Willem. Cette distinction, qui récompense chaque année un auteur pour l’ensemble de son œuvre, est décernée par l’Académie des Grands Prix, à savoir tous les auteurs encore en vie ayant reçu le prix par le passé.

    Suffrage censitaire

    Mais cette année, le festival avait décidé d’innover et de demander à tous les auteurs présents à Angoulême (1500 environ) de voter parmi une liste de 16 auteurs reconnus. Plus de cinq cent d’entre eux semblent avoir voté. Mais le Grand Prix n’a pas été remis à l’auteur ayant réuni le plus de suffrage. L’Académie devait en effet choisir son lauréat en tenant compte du vote.

    Or, selon des indiscrétions de Lewis Trondheim (membre de l’Académie) sur Twitter, l’élection a été mouvementée. Si l’on en croit l’auteur de «Lapinot», certains ex-Grands prix présents dimanche (ils étaient 15) ne connaissaient pas les auteurs plébiscités, comme les Japonais Katsuhiro Otomo et Akira Toriyama, le scénariste anglais Alan Moore («Watchmen», «V pour Vendetta», «From Hell»…) ou le dessinateur américain Chris Ware («Jimmy Corrigan»). Si les deux derniers sont surtout connus des amateurs mais tout de même considérés comme des monuments du 9e art, les deux auteurs japonais sont très populaires. Otomo est le créateur d’«Akira» et Toriyama de «Dragon Ball», manga le plus vendu de l’histoire…

    Ignorance ou racisme?

    Selon nos informations, une majorité de membres de l’Académie a refusé de voter pour un auteur japonais. «A la rigueur, Taniguchi, qui a un trait moins manga, aurait pu avoir une majorité, mais Otomo et Toriyama ont exacerbé à plein le racisme anti-manga de certains membres de l’Académie, nous a révélé un ex-Grand Prix. Quant à Chris Ware et Alan Moore, ils n’avaient tout simplement pas lu leurs œuvres. C’est un peu la honte.»

    Willem aurait donc été, en partie, élu par défaut comme l’a twitté Lewis Trondheim.

     

     

    Les réactions se sont poursuivies dimanche et lundi sur Twitter.

    Boulet a pointé le grand âge de certains membres de l’Académie.

     

    Pénélope Bagieu ironise sur le Prix Spécial 40e anniversaire décerné au dernier moment, et sous la pression de certains ex-Grands Prix comme Lewis Trondheim, à Akira Toriyam, qui avait reçu le plus grand nombre de voix d’auteurs.

     

    Tanxxx regrette que l’opportunité d’élire enfin un Grand Prix japonais n’ait pas été saisie.

     

    >> Que pensez-vous de ce Grand Prix? L'Académie aurait-elle dû honorer un mangaka? Est-elle encore légitime? Donnez-nous votre avis dans les commentaires.

    Benjamin Chapon

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