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Par marialis2.2 le 4 Décembre 2012 à 23:49
4 décembre 2012 - 22H19 lien
Des Rolling Stones à Patti Smith: le retour des légendes du rock à New YorkPlusieurs légendes sexagénaires du rock'n'roll, parmi lesquelles les Rolling Stones, The Who, Patti Smith ou Neil Young, remontent sur scène cette semaine à New York.AFP - Plusieurs légendes sexagénaires du rock'n'roll, parmi lesquelles les Rolling Stones, The Who, Patti Smith ou Neil Young, remontent sur scène cette semaine à New York.
Patti Smith et Neil Young, accompagné du groupe Crazy Horse, tous représentants de l'âge d'or du rock dans les années 60 et 70, ont enflammé lundi la scène du nouveau Barclays Center à Brooklyn, devant près de 20.000 personnes. C'est aussi sur cette scène que doivent se produire samedi les Rolling Stones.
Le canadien Neil Young, âgé de 67 ans et considéré comme le parrain de la vague grunge du début des années 1990, a sorti cette année deux nouveaux albums, "Americana" en juin et "Psychedelic Pill" fin octobre, et publié en même temps une autobiographie, "Waging Heavy Peace: A Hippie Dream" ("Une autobiographie").
L'Américaine et "mère du punk" Patti Smith, 65 ans, vient quant à elle de sortir "Banga", premier album enregistré en studio depuis plusieurs années, conçu au même endroit que "Horses" en 1974, dans un studio new-yorkais.
Mercredi, le guitariste du groupe anglais The Who, Pete Townshend, 67 ans, et le chanteur du groupe Roger Daltrey, 68 ans, se produiront à leur tour pour interpréter leur opéra rock de 1973 "Quadrophenia" au Madison Square Garden.
L'an dernier, ils avaient rejoué leur premier album "Tommy", conçu en 1969.
Le groupe, qui a perdu son batteur Keith Moon et son bassiste John Entwistle, tous les deux décédés, a aussi participé cet été à Londres à la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques.
Point d'orgue de la semaine des légendes du rock, les Britanniques des Rolling Stones se produiront samedi dans le cadre de leur tournée pour fêter leur cinquante ans de carrière.
Mick Jagger, 69 ans, et Keith Richards, 68 ans, remonteront sur une scène américaine pour la première fois depuis 2006. La semaine dernière, ils se sont produits deux fois à Londres, avant trois concerts aux Etats-Unis, l'un à Brooklyn, et deux à Newark, dans le New Jersey (est).
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Par marialis2.2 le 4 Décembre 2012 à 17:01
François Hollande inaugure le Louvre-Lens
François Hollande est arrivé à Lens ce mardi matin pour inaugurer le nouveau musée du Louvre-Lens.
Le chef de l' état a été accueilli dans le hall d'accueil en forme de cube de verre par un groupe d'anciens mineurs, casqués et vêtus de leurs combinaisons de travail, clin d'oeil au passé minier de la ville de Lens.
François Hollande a ensuite visité l'immense Galerie du Temps, remplie de quelque 200 chefs-d'oeuvre, en compagnie de la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, et de la plupart de ses prédécesseurs, à l'exception de Frédéric Mitterrand.
Dessin de Ysope-Texte de Pierre-Alain
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Par marialis2.2 le 21 Novembre 2012 à 19:18
Les sept péchés capitaux de Salvador Dali
Créé le 21/11/2012 à 18h14 -- Mis à jour le 21/11/2012 à 18h41<aside>Salvador Dali. LASCH/PRESSENS BILD/SIPA
</aside>CULTURE - 20Minutes vous donne sept bonnes raisons de détester Salvador Dali, à l'occasion de l'exposition qui se tient jusqu'au 25 mars au Centre Pompidou à Paris...
La rétrospective que le Centre Pompidou consacra à Salvador Dali en 1979 est resté mythique. Plus de trente ans plus tard, le musée d’art Moderne revisite l’œuvre du plus célèbre peintre surréaliste. A la fois génial et médiocre, moderne et ringard, iconoclaste et consumériste, provocateur et timide, le personnage est d’autant plus difficile à cerner qu’il a mal vieilli. Restent ses œuvres, dont de nombreux chef d’œuvres, qui se savourent d’autant mieux que l’on sait ce que fut Dali. L’exposition est foisonnante et présente à la fois des peintures, des films, des sculptures et des installations. Dali s’y révèle l’un des plus importants artistes du XXe siècle. Si toutefois vous n’avez pas le temps d’y aller, voilà sept bonnes raisons de détester Salvador Dali. Images à l’appui, grâce au site de l’INA dédié, «Dites-le avec Dali».
La gourmandise
Incontestablement, il aimait le chocolat.
L’avarice
Dali aimait l’argent, passionnément ne s’en est jamais caché. Il aimait aussi le consumérisme à l’américaine qui l’a fasciné. Il aura de longues conversations à ce sujet avec Andy Warhol, pas encore star du pop art et vilipendeur de la société de consommation…
L’orgueil
Sans conteste, son principal péché. Dali aimait les médias parce qu’il voulait que son personnage soit lui-même une œuvre d’art. Il a vite compris que l’égocentrisme, l’autocélébration attirait les caméras.
La colère
Il en a eu de mythiques, parfois pour faire le show dans les médias, d’autres fois parce que son fameux orgueil avait été froissé.
La luxure
Outre les multiples représentations de phallus et de vagin de son œuvre, Dali multiplie, à la fin de sa vie, les sorties médiatiques incohérentes, vulgaires et absurdes. Il s’amuse et son entourage l’encourage dans ce sens. Ce n’est pas la période la plus glorieuse et l’artiste fait un peu figure de vieillard sénile, ringard et bêtement provocateur.
L’envie
Longtemps jaloux de Picasso, l’autre star de la peinture espagnole, il le copiera à ses débuts. Par la suite, il jalouse les pop stars de la chanson.
La paresse
En bon épicurien, Salvador Dali était raisonnablement paresseux. Sa plus grande paresse aura été intellectuelle lorsqu’il se laisse aller à des déclarations où il avoue sa fascination pour Hitler et les régimes autoritaires.
Benjamin ChaponPlus d'informations sur ce sujet en vidéo
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Par marialis2.2 le 17 Novembre 2012 à 20:11
Presse sans presses 19/10/2012 à 07h56
Un Manifeste pour repenser le secteur de la presse
Suppression des aides directes à la presse, création d’un crédit impôt-recherche adapté au secteur, égalité des droits pour la presse numérique... Telles sont quelques-unes des propositions du Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (Spiil) dont Rue89 est un des membres fondateurs pour bâtir « un nouvel écosystème de la presse numérique ».
Le constat du syndicat, trois ans après sa création, est que le cadre réglementaire dans lequel évolue la presse ne favorise pas son développement mais ses mauvaises habitudes. C’est un système à bout de souffle, en particulier le système d’aides qui s’avère inefficace, que le Spiil se propose de repenser.
Toutes ces propositions, contenues dans un Manifeste pour un nouvel écosystème de la presse numérique, seront détaillées ce vendredi lors de la Journée de la presse en ligne organisée à Paris par le syndicat.
Concernant le système d’aides, le Spiil constate :
« Aujourd’hui, une grande partie de la presse française ne peut vivre sans des aides de l’Etat qui représentent près de 10% du chiffre d’affaires annuel du secteur (descendu depuis 2009 sous la barre symbolique de 10 milliards d’euros). On ne retrouve une telle dépendance à l’aide publique nulle part ailleurs en Europe. Dans une démocratie, cette situation est malsaine. Malgré ces subventions, les principaux acteurs ne cessent de s’affaiblir : chiffres d’affaires en baisse, décroissance continue des diffusions, chute des recettes publicitaires, réduction de la taille des rédactions.
Or, l’écosystème actuel continue à orienter l’essentiel de ses ressources vers le maintien de modèles anciens, indépendamment de toute réflexion sur leur finalité, leur pertinence et leur viabilité. »
Le Spiil propose également :
- de favoriser les investissements, en créant de nouveaux mécanismes de financement,
- d’impulser une stratégie numérique européenne permettant de mutualiser le financement de projets, notamment dans le domaine des plateformes de diffusion et des systèmes de paiement en ligne,
- d’instaurer une véritable égalité des droits pour la presse numérique (même taux de TVA que la presse papier, même accès aux annonces légales),
- d’étendre le droit à l’information grâce à une loi fondamentale sur la liberté de l’information énonçant que tout ce qui est d’intérêt public doit être public,
- de faire émerger des start-up de presse, via des incitations fiscales et sociales,
- de moderniser le statut social et fiscal des journalistes,
- de créer un « pacte de confiance » avec les lecteurs.
Ce dernier point prévoit notamment, pour les éditeurs, l’adoption d’une charte des commentaires et de règles garantissant le respect de la vie privée des internautes.
Rue89, qui a participé à l’élaboration de ce Manifeste, espère qu’il contribuera à ouvrir un débat utile au sein de la profession et avec les pouvoirs publics sur l’avenir du secteur.
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