•  France-Droite en tête des intentions

    de vote aux départementales

    Publié le 15-03-2015 à 17h37   lien

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    PARIS, 15 mars (Reuters) - La droite UMP-UDI-Divers droite arrive en tête des intentions de vote pour le premier tour des élections départementales avec 32%, devant le Front national à 29%, selon un sondage Harris Interactive pour M6 publié dimanche.

    Le Parti socialiste est crédité pour sa part de 26%, le Front de gauche de 7% et Europe Ecologie-Le Verts de 3%.

    A une semaine du scrutin, 51% des personnes interrogées se disent peu ou pas du tout intéressées par ces élections, soit quatre points de plus que dans une précédente enquête.

    Le sondage a été réalisé les 10 et 11 mars auprès d'un échantillon de 1.020 personnes représentatif de la population française en âge de voter et selon la méthode des quotas. (Yann Le Guernigou, édité par Jean-Stéphane Brosse)


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    EN IMAGES.

    Hommage à Boris Nemtsov à Moscou et... Kiev

    28 Févr. 2015, 22h58 | MAJ : 28 Févr. 2015, 23h39 lien

     

    EN IMAGES. Hommage à Boris Nemtsov à Moscou et... Kiev

     

    Alors que la police était toujours à la recherche du ou des assassins de Boris Nemtsov, plusieurs milliers de Moscovites ont déposé des fleurs et des bougies samedi sur le pont, à proximité des murs du Kremlin, où l'opposant de 55 ans a été tué la veille peu avant minuit alors qu'il se promenait à pied avec une jeune femme venue d'Ukraine et présentée comme sa compagne.

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    «Quand j'ai appris la nouvelle, je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit», raconte Valentina Dmitrieva. «Pour nous, les gens simples, c'est une énorme perte. C'était quelqu'un qui était de notre côté. C'est ainsi que je l'ai toujours considéré.»

    «Nemtsov était de ma génération, c'est comme si on m'avait aussi tiré dessus. C'est un coup fatal qu'on a porté sur la tête de toute notre démocratie, de tous nos espoirs», abonde Alexandre Badiev, un retraité de 59 ans. 

    A Kiev, en Ukraine, de nombreux anonymes se sont aussi déplacés square de l'indépendance pour rendre un hommage spontané à l'opposant à Vladimir Poutine. 


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  • Qui sont les nouvelles recrues de "Charlie Hebdo" ?

    Le Point - Publié le <time datetime="2015-02-24T20:20" itemprop="datePublished" pubdate="">24/02/2015 à 20:20</time> - Modifié le <time datetime="2015-02-24T23:02" itemprop="dateModified">24/02/2015 à 23:02  lien </time>

    Le nouveau numéro de Charlie Hebdo sortira demain dans les kiosques. Deux dessinateurs ont osé rejoindre la rédaction, Ali Dilem et Pétillon. Portraits.

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    Le dessinateur algérien Ali Dilem rejoint "Charlie". © IBO / Sipa

     

    Le 7 janvier dernier, la rédaction de Charlie Hebdo était décimée par les frères Kouachi. Depuis, le journal a enterré ses morts et sorti le numéro des survivants. Cinq semaines ont passé et l'hebdomadaire satirique revient ce mercredi dans les kiosques, avec son numéro 1179. "Ceux qui restent" ont réussi à s'y remettre et deux nouveaux dessinateurs ont rejoint l'équipe, Pétillon et Ali Dilem.

    Ali Dilem, habitué à être une cible

    Ali Dilem, la menace terroriste, il connaît. Dans le collimateur des islamistes durant la guerre civile algérienne, condamné à mort par une Fatwa lancée contre lui en 2004, le caricaturiste algérien publie ses dessins dans le Matin, de 1991 à 1996, puis dans Liberté, deux journaux indépendants algériens.

    Libre, révolté, il cumule près d'une cinquantaine de procès pour diffamation, des procès qui lui ont déjà coûté neuf ans de prison et de nombreuses amendes. L'insoumis de 47 ans peut même se vanter d'avoir, depuis 2001, des amendements à son nom. Les amendements Dilem prévoient une série de mesures contre les journalistes qui offenseraient le président ou l'État.

    Obstiné, Ali Dilem n'a jamais posé son crayon et son travail a été reconnu dans le monde entier. Lauréat d'une vingtaine de prix, il a notamment reçu en 2006 le Cartoonists Rights Network's Award for Courage in Editorial Cartooning (Prix du courage en caricature politique), décerné aux États-Unis. Proche de l'équipe de "Charlie", Ali Dilem saura sans aucun doute composer avec les risques que comporte son nouveau job.

    Pétillon, l'homme du Canard

    Autre recrue, René Pétillon, dit Pétillon, au parcours plus traditionnel. Ce Finistérien, 70 ans cette année, s'est fait tout seul. Dès 1968, il signe dans la revue Planète puis L'Enragé, Plexus ou encore Pilote.

    En 1974, il crée le personnage de Jack Palmer, piètre détective, toujours impliqué dans des histoires folles. Ses aventures sont l'occasion pour son papa de dresser un portrait satirique de la société. Jack Palmer se fait remarquer et traîne son incompétence dans les pages de Télérama, VSD, l'Echo des Savanes. Il est aussi l'anti-héros de ses propres albums, dont L'Enquête corse, prix du meilleur album à Angoulême en 2001.

    L'année d'après, Pétillon remporte le Grand prix de l'humour vache qu'Ali Dilem obtient lui aussi en 2007. Caricaturiste politique pour le Canard Enchaîné dès 1993, l'impertinent Pétillon rejoint aujourd'hui Charlie, d'abord pour aider les copains. Il décrit pour l'équipe de France 3 Bretagne une "collaboration temporaire, pour quelques semaines, le temps que Charlie Hebdo recrute de nouveaux dessinateurs". Ils ne sont pour l'instant pas nombreux à vouloir s'y risquer.


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Les six infos qu'il fallait retenir de ce week-end

    Le Monde.fr | <time datetime="2015-02-15T23:47:57+01:00" itemprop="datePublished">15.02.2015 à 23h47</time> • Mis à jour le <time datetime="2015-02-16T00:41:30+01:00" itemprop="dateModified">16.02.2015 à 00h41</time>

     
    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px">

     

    Que fallait-il retenir du week-end ? </figure>

    Vous avez décroché de l'actu pendant le week-end ? Petite séance de rattrapage avec les informations à retenir du samedi 14 et du dimanche 15 février.

    • Double fusillade à Copenhague dans une conférence et devant une synagogue

    Deux fusillades ont eu lieu samedi et dimanche à Copenhague, ciblant un centre culturel et une synagogue. Au total, deux personnes ont été tuées et cinq blessées. Le tireur présumé a été abattu par la police dimanche matin. L'homme, dont l'identité n'a pas été révélée par la police, était connu des services de renseignement danois. Il est soupçonné d'avoir voulu imiter les attentats de Paris, qui ont fait 17 morts entre le 7 et le 9 janvier. Selon la presse danoise, une opération de police a eu lieu dans un cybercafé dans le quartier où le tueur présumé a été tué.

    Lire : Fusillades de Copenhague : un tireur connu du renseignement

    Le groupe djihadiste a rendu publique dimanche une vidéo montrant la décapitation d'au moins dix hommes qu'il présente les Coptes enlevés à Sirte, sur la côte libyenne, en décembre 2014 et janvier 2015. Le ministère égyptien des affaires étrangères a interdit tout voyage dans le pays. Le président Abdel Fattah Al-Sissi a affirmé dans une allocution à la télévision publique que Le Caire « se réserve le droit de répliquer de la manière et au moment adéquat » à cette tragédie.

    Lire : L'EI revendique la décapitation des chrétiens d'Egypte kidnappés en Libye

    • Le cessez-le-feu respecté en Ukraine, à quelques exceptions près
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    Des militaires ukrainiens jouent au football près de Debaltseve, où le chef séparatiste prorusse a renié le nouveau cessez-le-feu dimanche peu après son entrée en vigueur, en disant qu'il ne s'appliquait pas à la ville stratégique de Debaltseve où se sont déroulés l'essentiel des combats ces dernières semaines. </figure>

    Première étape du plan de paix conclu à Minsk, jeudi, le cessez-le-feu entre Kiev et les séparatistes prorusses est entré en vigueur samedi à minuit, heure locale. Il semblait tenir, dimanche, selon les autorités ukrainiennes et les observateurs de l'OSCE, malgré quelques incidents isolés à Donetsk ou Louhansk. L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe n'a pu accéder en outre à la ville de Debaltseve, nœud stratégique de l'Est de l'Ukraine, théâtre d'affrontements depuis plusieurs semaines. Kiev et les rebelles ont deux jours après l'entrée en vigueur de la trêve pour commencer à retirer leurs armes lourdes de la ligne de front.

    Lire : Ukraine : le cessez-le-feu est respecté à quelques exceptions près


    Minsk 2 : « Beaucoup sont sceptiques sur le... par lemondefr
    •  Extension en vue de l'ouverture des magasins le dimanche

    L'Assemblée nationale a voté samedi l'un des points les plus controversés de la loi Macron. Les députés ont donné leur feu vert à l'ouverture des magasins douze dimanches par an et non plus cinq, comme c'est le cas actuellement. La décision reviendrait au maire jusqu'à cinq, et serait soumise à l'avis de l'intercommunalité au-delà. Ces dimanches seraient payés double. Le dispositif doit encore être approuvé par le Sénat.

    Lire aussi (édition abonnés) : Travail le dimanche : gauche contre gauche

    • Mondiaux de ski : Jean-Baptiste Grange, roi du slalom

    Le skieur a offert à la France son premier titre des Mondiaux-2015, en remportant la dernière épreuve de la quinzaine de Beaver Creek, dans le Colorado, dimanche. Jean-Baptiste Grange, déjà champion du monde de slalom en 2011, a devancé les Allemands Fritz Dopfer et Felix Neureuther, respectivement 2e et 3e. Le Français s'était classé cinquième à l'issue de la première manche. 

    Lire aussi : Jean-Baptiste Grange champion du monde de slalom

    • Rugby : première défaite du XV de France dans le Tournoi des six nations
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    image: http://s2.lemde.fr/image/2015/02/15/534x267/4576887_3_642a_yoann-maestri-apres-la-defaite-du-xv-de_32a953566d2973bc9da8c4216bbe4371.jpg

    Yoann Maestri après la défaite du XV de France face à l'Irlande dans le tournoi des Six nations. </figure>

    Pour le grand chelem, c'est raté : malgré un essai inscrit en fin de match, les Bleus ont concédé à Dublin leur première défaite (18-11) dans le Tournoi des six nations, une semaine après leur victoire poussive contre l'Ecosse. L'Irlande tenant du titre est désormais idéalement placé pour se succéder.

    Lire : En Irlande, les Bleus perdent la bataille de la discipline

    </article>
     
     

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  • Ukraine: intensification des combats

    dans l'Est avant le cessez-le-feu

    AFP
    Des rebelles prorusses à Gorlivka, dans la région de Donetsk s'apprêtent à lancer
    des missiles le 13 février 2015 AFP
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    Donetsk (Ukraine) (AFP)

    Les séparatistes prorusses intensifiaient samedi leur offensive autour des villes stratégiques de l'est de l'Ukraine tenues par les forces ukrainiennes à quelques heures de l'entrée en vigueur d'un nouveau cessez-le-feu à 22H00 GMT.

    Les combats faisaient rage autour du noeud ferroviaire de Debalatseve à mi-chemin entre les capitales rebelles de Donetsk et de Lougansk et aux environs du port stratégique de Marioupol sur les bords de la mer d'Azov, selon l'armées ukrainienne.

    La situation sur ces foyers de tension ainsi qu'aux abords des ruines de l'aéroport de Donetsk sera un test pour le cessez-le-feu, clause essentielle des accords de Minsk 2 signés jeudi au terme d'un marathon diplomatique impliquant les présidents russe Vladimir Poutine, ukrainien Petro Porochenko, français François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel.

    AFP

    Des rebelles prorusses lancent des missiles depuis la ville de Gorlivka dans la région de Donetsk le 13 février 2015

    L'armée ukrainienne a fait état samedi matin d'une "tentative d'assaut rebelle avec des lance-roquettes multiples et les chars" contre ses positions aux abords sud-est de Debaltseve, théâtre d'intenses combats depuis des semaines où les troupes ukrainiennes sont quasiment encerclés.

    L'ambassadeur américain en Ukraine Geoffrey Pyatt a écrit samedi sur son compte Twitter qu'il s'agissait de systèmes "russes et non séparatistes" près de Debaltseve y compris des systèmes de défense anti-aérienne.

    - Attaque de chars -

     

    Les volontaires du régiment Azov qui défendent Marioupol ont de leur côté affirmé que "des blindés russes sans signes d'identification avaient pénétré sur le territoire ukrainien depuis Novoazovsk", ville côtière à la frontière avec la Russie, sous contrôle rebelle à 30 km de Marioupol.

    "L'ennemi a commencé à attaquer à partir de 05H00 nos positions à Chirokiné. Ils utilisent des chars et de l'artillerie", a inidiqué Azov dans un communiqué.

    Chirokiné se trouve à 10 km de Marioupol, dont la prise serait une étape clé pour construire un pont terrestre entre la Russie et la Crimée, péninsule ukrainienne annexée en mars.

    A Marioupol, des tirs d'artillerie étaient entendus samedi matin témoignant de la proximité des combats, selon un journaliste de l'AFP.

    AFP

    Carte de l'est de l'Ukraine, montrant les dernières violences et la zone tampon approximative

    A Donetsk, bastion des rebelles prorusses, il n'y a pas eu de changement notable avant le nouveau cessez-le-feu. La nuit a été marquée par de très nombreux tirs d?artillerie et de salves de lance-roquettes multiples Grad et des tirs se poursuivaient avec la même intensité en début de matinée et étaient entendus dans le centre de Donetsk, selon un journaliste de l'AFP.

    "Ca a tiré ce matin plus que d'habitude. C'est toujours comme ça avant un cessez-le-feu", dit Marina Vassilievna, 52 ans, qui fait quelques courses au marché qui se trouve près de la gare ferroviaire de Donetsk, l'une des zones les plus touchées par les bombardements.

    Beaucoup de boutiques du marché ont été détruites dans les tirs des derniers mois.

    - Menace de sanctions occidentales -

    La veille, les violences ont fait au moins 28 morts dans l'Est poussant le président ukrainien Petro Porochenko à reconnaître que le processus de paix, après dix mois d'un conflit qui a fait quelque 5.500 morts, "était en danger".

    "Malheureusement, après les accords de Minsk, l'opération offensive de la Russie a significativement augmenté", a-t-il dit.

    Les dirigeants des sept plus grandes puissances économiques mondiales (G7, Canada, France, Allemagne, Italie, Japon, Royaume Uni, Etats-Unis) ont appelé au "strict respect" des accords et se sont dits "prêts à adopter" des sanctions contre ceux qui violeraient cet accord.

    De son côté, la porte-parole du département d'Etat américain Jennifer Psaki a accusé Moscou de continuer à déployer des armes lourdes dans l'est de l'Ukraine, se disant très préoccupée par "les informations concernant des chars et des systèmes de missiles supplémentaires venus ces derniers jours de Russie".

    Le Conseil de sécurité de l'ONU devrait quant à lui adopter dimanche une résolution appelant à "appliquer pleinement" le cessez-le-feu conclu à la suite des négociations à Minsk, ont indiqué vendredi des diplomates.

    De l'avis général, l'accord de Minsk 2 ne permettra pas d'instaurer la paix, car il ne prévoit pas de mécanismes concrets pour régler les questions litigieuses, en particulier le contrôle de la frontière, dont 400 kilomètres sont tenus par les rebelles.

    L'Ukraine et les Occidentaux accusent la Russie d'y faire transiter armes, combattants et troupes régulières ce que Moscou dément.


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