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Par marialis2.2 le 11 Juillet 2015 à 10:34
DIRECT.
Grèce : les experts de la BCE et du FMI
approuvent les propositions de Tsipras
L'Eurogroupe de réunit samedi après-midi pour examiner les conditions d'un nouveau renflouement de la Grèce.
<figure id="image_1114345"><figcaption>Le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, au Parlement grec, le 10 juillet 2015. (CHRISTIAN HARTMANN / REUTERS)</figcaption></figure><section class="byline clearfix"> Par Pierre Godon, Yann Thompson
</section><section class="share"> </section>Le bras de fer entre Athènes et ses créanciers va-t-il se dénouer ? Les ministres des Finances de la zone euro se réunissent samedi 11 juillet à Bruxelles (Belgique), pour examiner les conditions d'un renflouement de la Grèce. Suivez la situation en direct.
• Les propositions de Tsipras validées par le Parlement. Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a obtenu dans la nuit de vendredi à samedi le soutien du Parlement grec à son programme de réformes, très proche des exigences initiales des créanciers d'Athènes.
• Les experts de la BCE et du FMI approuvent. Ces mesures ont reçu un premier avis favorable des experts de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne et du Fonds monétaire international qui ont passé la journée de vendredi à les disséquer.
• Réunion décisive de l'Eurogroupe. L'Eurogroupe des ministres des Finances de la zone euro se réunit samedi après-midi à Bruxelles à partir de 15h (heure de Paris) pour examiner les conditions d'un probable nouveau plan d'aide. Les experts de la BCE, de la CE et du FMI ont chiffré à 74 milliards d'euros les besoins financiers de la Grèce pour faire face à ses obligations. Alexis Tsipras a demandé une aide de 53,5 milliards d'euros sur les trois prochaines années.
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Par marialis2.2 le 5 Juillet 2015 à 16:21<article><header>
Près de 50 000 postes de fonctionnaires
non pourvus fin 2014
La rapporteure du Budget à l'Assemblée, Valérie Rabault, a indiqué qu'un volant de 50 000 postes de fonctionnaires sont restés non pourvus fin 2014, un volume stable par rapport à 2012 ou 2013.
</header>La rapporteure du Budget se penchera en septembre sur les causes de ce phénomène. THOMAS SAMSON / AFP<aside class="top-outils"></aside><aside class="inside-art" id="js-article-inside-art"><section class="social-buttons js-share-tools"></section></aside></article><aside class="inside-art" id="js-article-inside-art"><section class="obs-article-brelated">
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Dans le cadre du projet de règlement du budget 2014, qui sera débattu lundi à l'Assemblée nationale, la rapporteure générale a souhaité "faire un focus afin de savoir si les plafonds votés - pour les ministères prioritaires comme l'Education nationale - avaient été atteints". "La réponse est que, sur la fonction publique d'Etat (2,5 millions d'agents), il y a 50.000 emplois (soit 2% de l'ensemble) qui, par rapport aux plafonds, ne sont pas atteints", explique la députée socialiste.
"Mais ce n'est pas nouveau", insiste Valérie Rabault, qui rappelle que, fin 2012 et fin 2013, quelque 47.000 postes de fonctionnaires n'avaient pas trouvé preneur.Selon le JDD, à la fin de l'année dernière, il manquait ainsi 13.300 enseignants, 5.000 militaires et 4.300 policiers par rapport aux effectifs inscrits dans la loi de finances et votés par le Parlement. L'hebdomadaire estime que 228 millions d'euros ont ainsi été économisés du fait de ce non respect des objectifs.
PUBLICITÉEffectifs renforcés dans la Justice
Valérie Rabault juge toutefois "extrêmement positif" que les effectifs des ministères dits prioritaires (éducation nationale, justice, gendarmerie, police) "aient été effectivement renforcés". "Sur la justice, il y avait un écart de 1.700 postes fin 2013 entre les plafonds votés (et les embauches ndlr), fin 2014 il n'était plus que de 1.400", relève-t-elle.
Aux yeux de la députée, "cela montre que les décisions prises par le gouvernement ont été suivies d'effet. Evidemment, il y a toujours un temps de latence, à partir du moment où vous décidez d'embaucher, cela ne veut pas dire que la personne va arriver demain".
Manque de candidats dans l'Education nationale
La rapporteure du Budget se penchera en septembre sur les causes de ce phénomène. Parmi ces dernières: un manque de candidats. "On l'a vu dans le secteur de l'Education nationale, il y a des postes qui ont été mis aux concours et qui n'ont pas été pourvus", dit-elle.
Dans son programme présidentiel, François Hollande s'était notamment engagé à créer 60.000 postes dans l'Education nationale d'ici 2017.
(Avec AFP)
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Par marialis2.2 le 25 Juin 2015 à 11:08
Les contrôleurs aériens appelés
à la grève les 2 et 3 juillet
par deux syndicats
Les contrôleurs aériens sont appelés à la grève les 2 et 3 juillet par deux syndicats, dont le SNCTA, première organisation chez les aiguilleurs, inquiets pour leur rémunération et les moyens alloués à la navigation arienne. La Direction générale de l'aviation civile (DGAC) a confirmé le dépôt de deux préavis à la veille de la première vague des départs en vacances d'été, l'un émanant du SNCTA (49,8% des voix parmi les 4000 contrôleurs aériens), l'autre de FO (2,9%).
Lors de la dernière grève menée par le SNCTA, les 8 et 9 avril, pour obtenir le droit de négocier des accords catégoriels, la DGAC avait préventivement demandé aux compagnies d'annuler 40% des vols prévus. Les motifs de grogne sont cette fois très divers. Dans son préavis, daté d'hier, le SNCTA relève "une démotivation et une inquiétude croissantes des personnels jamais vues depuis des décennies".
Les deux syndicats dénoncent une perte de rémunération liée à la suppression ou à la refonte de diverses indemnités et réclament leur compensation. Alors que les différents États membres de l'Union européenne doivent remettre le 2 juillet leurs plans de performance révisés pour 2015-2019, ils s'inquiètent également d'une possible correction à la baisse des moyens prévus initialement.
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Par marialis2.2 le 23 Juin 2015 à 17:56
Lutte contre les fraudes fiscale et sociale :
l'Etat a récupéré 20 milliards d'euros
en 2014
Ce montant est en hausse par rapport à 2013 : Bercy avait prélevé quelque 18 milliards d'euros.
<figure id="image_1093925">
<figcaption>Le ministère de l'Economie et des Finances, dans le 12e arrondissement de Paris. (MANUEL COHEN / AFP )</figcaption></figure><section class="byline clearfix"> Par </section><section class="share">Est-ce un effet du renforcement des moyens de contrôle de Bercy ? Les redressements pour fraude fiscale et sociale sont en hausse pour l'année 2014, selon les chiffres publiés, mardi 23 juin, par le comité national de lutte contre la fraude.
L'administration a procédé, l'année passée, à des redressements fiscaux de 15,3 milliards d'euros de droits, assortis de près de 4 milliards d'euros de pénalités, et à 852,6 millions de redressement pour fraude sociale, soit un total de plus de 20 milliards d'euros. Pour 2013, Bercy avait prélevé quelque 18 milliards d'euros (pénalités comprises).
427 millions d'euros pour le travail illégal et les cotisations
Le comité estime que les redressements opérés par la sécurité sociale en 2014 ont augmenté de 34% par rapport à 2013. Les fraudes découvertes portant sur les cotisations ou le travail illégal ont rapporté 427 millions d'euros à elles toutes seules (+38,5% par rapport à 2013). Les fraudes aux prestations concernent, elles, 424,96 millions d'euros (+29,9%).
Comme le reste, le montant de la fraude redressée par Pôle emploi a encore augmenté en 2014 : 79,7 millions d'euros, soit une progression de 36% par rapport à l'année précédente.
Enfin, la douane a redressé 356,9 millions d'euros. Cela représente une augmentation de 10,5% sur un an, notamment due grâce à l'interception de 422 tonnes de tabac de contrebande.
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Par marialis2.2 le 22 Juin 2015 à 20:27
Migrants : L'Union européenne lance son opération militaire en mer Méditerranée
<section id="articleFigure166889">Europe L'Union européenne lance lundi Eu Navfor Med, son opération militaire en mer Méditerranée.Son objectif à terme : s'en prendre aux embarcations utilisés par les passeurs.Eu Navfor Med. Derrière ce nom se cache une opération militaire européenne qui a pour but la lutte contre les passeurs en mer Méditerranée. Le lancement de celle-ci a été décidé lundi au cours de la réunion mensuelle de tous les chefs de la diplomatie de l'Union européenne.
A ce stade, cinq navires de guerre, deux sous-marins, trois avions patrouilleurs, deux drones et trois hélicoptères participent à l'opération. A ces moyens matériels s'ajoutent un milliers d'hommes placés sous le commandement de l'amiral italien Enrico Credendino. Le personnel embarqué sera formé sur les questions du droit des réfugiés, mais aussi aux procédures de sauvetage de barques chargées de migrants en perdition.
Cette opération comprend trois phases différentes :
Première phase : Lancé lundi, elle consiste principalement à récolter des informations. Cette étape est très importante pour Jean-Yves Le Drian, le ministre de la défense. "Le renseignement, c'est l'arme principale" a expliqué ce dernier sur l'antenne d'Europe 1 dimanche. Si la participation matérielle de la France est pour l'instant inconnue, on sait que les premiers déploiements militaires se feront d'ici une semaine.
Deuxième phase : Il s'agit "d'intercepter en haute mer les bateaux permettant aux passeurs de s'enrichir" a détaillé le ministre. Les embarcations utilisées par les migrants pourront être arraisonnées et sabordées. "Il faut d'abord sauver les personnes qui sont à bord des bateaux et, s'il le faut, les ramener au port de départ", a expliqué le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes Harlem Désir au Parisien. Les navires devront ensuite être "neutralisés, par exemple en détruisant les moteurs" a-t-il poursuivi.
Troisième phase : Cette dernière étape prévoit l'usage de la force à l'encontre des passeurs dans les eaux et sur les côtes libyennes. "Pour ça, il faut une condition : soit l'autorisation de l'ONU [...] soit l'autorisation du gouvernement libyen et on connait aujourd'hui la situation" sur place a expliqué Jean-Yves Le Drian. En effet, ce pays morcelé est dirigé par deux gouvernements rivaux. A cela s'ajoute l'inexorable progression de l'organisation Etat islamique. Si pour l'instant les djihadistes "ont 200 km de côtes" sur 1700 km a rappelé le ministre, il est peu probable que la situation reste en l'Etat.
"C'est un environnement complexe, c'est la raison pour laquelle ceci est une opération militaire", a expliqué de son côté un haut responsable. Des navires marchands longeant la côte libyenne ont à deux reprises été attaqués par des avions de combat et des tirs depuis le rivage, a-t-il ajouté.
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