• VIDEOS.

    Gironde : «évolution favorable»

    de l'incendie au quatrième jour de lutte.

    27 Juil. 2015, 07h16 | MAJ : 27 Juil. 2015, 13h47
     
    <figure> Pessac (Gironde), hier. L'incendie a été circonscrit, mais le risque de reprise de feu menace toujours. <figcaption class="articleChapeau ">Pessac (Gironde), hier. L'incendie a été circonscrit, mais le risque de reprise de feu menace toujours.
    (AFP/MedhiFedouach.)</figcaption> </figure>

    C’est une quatrième journée de lutte contre les flammes qui commence ce lundi dans la région de Saint-Jean-d’Illac (Gironde). Depuis vendredi, 550 hectares ont été ravagés et près de 600 habitants ont été évacués à cause de cet incendie qui devient l’un des plus importants en France depuis cinq ans. Malgré les moyens mis en œuvre, les pompiers ne notent qu’une «faible progression» des événements.

    Les moyens engagés. Outre les sapeurs-pompiers girondins, des renforts de plusieurs autres régions ont été dépêchés par Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, en visite dimanche sur les lieux.

     
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    En tout, 660 sapeurs-pompiers sont mobilisés. Ils étaient épaulés par sept avions, dont quatre Canadair et un Dash. Ce lundi matin, en raison de «l’amélioration de la situation», précise le préfet d’Aquitaine, seulement deux des quatre Canadair seront en opération.

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    : préfet "pas d'extension du feu cette nuit et même une évolution favorable mais rafales attendues cet am"




    VIDEO. « Evolution favorable » selon le préfet     LIEN


    VIDEO. Les pompiers en lutte toute la nuit    LIEN


    Cette nouvelle journée de mobilisation s'ouvre alors que le président François Hollande est attendu ce lundi à Toulon pour une «visite surprise», placée sous le signe de la sécurité.

    L’objectif des pompiers. Pour le chef des pompiers de Gironde, le colonel Jean-Paul Decellières, «le travail consiste à séparer zones brûlées et non-brûlées de façon à ne pas avoir de propagation par le sous-sol, les racines». «Un travail de fourmi qui demande du temps et des moyens, beaucoup d'eau dans un sol composée de tourbes». Selon l'expression d'un pompier, il faut s'assurer que «le feu n'ait rien à manger».

    VIDEO. 500 hectares ravagés par les flammes    LIEN


    Le vent, facteur décisif. La crainte principale est l'évolution du vent qui, après des accalmies dans la nuit et la matinée, a forci dimanche après-midi, avec parfois de brusques changements de direction qui le rendent imprévisible et par là-même dangereux. C'est pourquoi, la préfecture estime que «la situation demeure préoccupante car les prévisions météorologiques restent défavorables».

    VIDEO. L'incendie dans le Bordelais vu du ciel    lien



    Les habitants toujours délogés. En ce qui concerne les riverains, aucune nouvelle évacuation n'est envisagée dans la matinée, alors que près de 600 habitants avaient dû quitter vendredi ou samedi des quartiers menacés de Saint-Jean d'Illac et Pessac, à 20 kilomètres au sud-ouest de Bordeaux, dans leur immense majorité relogés chez des parents ou amis. Mais, «au nom du principe de précaution», «pas question qu'elles puissent réintégrer leur maison» pour le moment, avait affirmé le préfet dimanche soir.

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    Incompréhension des resident On peut travailler à toctoucau mais pas y aller pr qq habits





    Les causes de l'incendie de Saint-Jean-d'Illac restent pour l'instant inconnues, l'enquête de gendarmerie ne privilégiant aucune hypothèse, criminelle ou accidentelle.


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  • Orages : Météo France lève l'alerte orange

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    Publié <time class="published" datetime="ISO date"> le 19/07/2015 à 09h26 </time> , modifié <time class="updated" datetime="ISO date"> le 19/07/2015 à 09h29 </time> par   lien
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    Météo France a levé dimanche matin la vigilance orange encore en vigueur dans 35 départements pour les orages

    <figure class="hmedia"> Orages : Météo France lève l'alerte orange <figcaption> L'alerte de vigilance orange pour les orages a été levée dimanche matin par Météo France ©

    Bonnaud Guillaume
    </figcaption> </figure>

    Les orages de vendredi et samedi ont provoqué l'évacuation d'un camp scout, des inondations de caves ou encore une interruption de trafic ferroviaire. L'alerte orange est à présent levée.

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    Dans son bulletin de 6h, Météo France note que "quelques rafales de vent ont été observées, comme 92 km/h sur Aurillac ou 70 km/h sur Clermont-Ferrand, et dans le Tarn-et-Garonne, on a enregistré de 80 à 90 km/h, jusqu'à 105 km/ à Lauzerte".

    L'agence, qui avait placé jusqu'à 40 départements en vigilance orange "orages", des Pyrénées au quart nord-est, a également levé l'alerte canicule pour le département du Rhône. 

    Météo France prévoit des "orages isolés en journée sur le flanc est du pays, ainsi que sur le Massif Central, sans virulence particulière".

    Des dégâts localisés

    Par précaution, quelque 15.000 scouts réunis à Strasbourg dans le cadre du rassemblement international "You're up!" ont dû passer une deuxième nuit dans la salle de spectacle du Zénith.

    Les jeunes garçons (scouts) et filles (guides), âgés pour la plupart entre 14 et 17 ans, avaient dû évacuer une première fois dans l'urgence leur camp samedi matin en pleine nuit, se faisant surprendre par un épisode orageux accompagné de bourrasques de vent qui avaient balayé des tentes et des installations. Une quinzaine de jeunes gens avaient été légèrement blessés (entorses, fractures ou luxations).

    En Haute-Loire, le trafic ferroviaire a été interrompu entre Firminy (Loire) et le Puy-en-Velay, des arbres étant tombés sur les voies après un violent orage accompagné de grêle. Selon la SNCF, la circulation des trains ne pourra reprendre que dimanche en milieu de journée. 

    Samedi soir, les pompiers, encore très sollicités, avaient enregistré 150 interventions dans le département et une centaine dans celui voisin de la Loire, dont de nombreuses caves inondées, des arbres ou des pylônes tombés sur la chaussée. Ces incidents n'ont pas fait de victime.

    Dans les Pyrénées-Atlantiques, l'alerte avait donné lieu à plusieurs annulations d'événements en plein air, notamment à Orthez, à Pau et dans la vallée d'Ossau.


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    TGV : reprise progressive du trafic entre Paris et le Sud Ouest

    Edité par
    le 17 juillet 2015 à 17h09 , mis à jour le 17 juillet 2015 à 17h12.
     
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    <figure class="figure underline"> Le 13 heures du 26 octobre 2014 : TGV : les pistes �'�de pour am�orer leur rentabilit� 462.640935836792 <figcaption class="degrade-une"></figcaption></figure>

    Crédits : LCI

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    </article></section><aside class="sz12 tag c1 aside166896 ombre1">sncf , tgv</aside> </section> Notre société Le trafic TGV entre Paris et le Sud-Ouest reprend progressivement après avoir été interrompu totalement vendredi après-midi. Cette interruption fait suite à plusieurs incidents

    Le trafic TGV entre Paris et le Sud-Ouest reprend progressivement. Il était totalement interrompu depuis vendredi après-midi entre Paris-Montparnasse et le Sud-Ouest de la France en raison d'une série d'incidents survenus aux abords des voies, a annoncé la SNCF sur son site internet. En tout, c'est près de 32 000 personnes qui sont concernées. La SNCF prévoit un remboursement exceptionnel des billets trains à 100%.

    Près de 25 TGV ont été retenus en gare mais aucun n'a été bloqué en plein milieu des voies a expliqué la SNCF. Sur la commune de Chalais, entre Libourne et Angoulême, une automobile a heurté un poteau supportant un caténaire et ce dernier s'est affaissé. "Une grue a été acheminée" sur le lieu de l'accident, pour tenter de redresser la caténaire, a précisé une porte-parole.

    Par ailleurs des incendies se sont déclenchés aux abords des voies, près de Vendôme et de Bordeaux. Ils ont nécessité l'intervention des pompiers, mais sont désormais éteints.

    La porte-parole de la compagnie a précisé qu'aucun train n'était "en détresse" en milieu d'après-midi, les TGV bloqués sur les voies étant "approvisionnés en eau" et tous "climatisés".


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  • A Srebrenica, le Premier ministre serbe

    touché à la tête par un jet de pierre

    11 Juil. 2015, 07h48 | MAJ : 11 Juil. 2015, 07h48   lien
     
     
     
    <figure> Le Premier ministre serbe Alexandar Vucic entouré de ses gardes du corps quitte en courant le mémorial Potoocari le 11 juillet 2015 à Srebrenica <figcaption class="articleChapeau ">Le Premier ministre serbe Alexandar Vucic entouré de ses gardes du corps quitte en courant le mémorial Potoocari le 11 juillet 2015 à Srebrenica (AFP/ELVIS BARUKCIC)</figcaption> </figure>

    Le Premier ministre serbe Aleksandar Vucic qui a été conspué et touché à la tête par un jet de pierre pendant les commémorations samedi du massacre de Srebrenica a affirmé qu'il continuerait malgré tout à ?uvrer à la réconciliation entre Serbes et Musulmans de Bosnie.

     


    Le chef de la diplomatie serbe Ivica Dacic a de son côté dénoncé "une attaque non seulement contre Vucic, mais contre toute la Serbie et sa politique de paix et de coopération régionale".
    "C'est l??uvre de cerveaux malades qui ont abusé de cet événement digne. Vucic a pris dans ses bras aujourd'hui Munira Subasic, la présidente de l'association des Mères de Srebrenica (...), il a donc essayé de compatir à notre tristesse et à notre douleur", a, quant à lui, dit à la presse le maire de Srebrenica, Camil Durakovic, assurant vouloir appeler le Premier ministre serbe pour lui présenter ses excuses.
    "Malheureusement, c'est sur nous qu'en retombera la responsabilité. Je suis terriblement déçue et je me sens blessée comme si l'incident m'était arrivé à moi-même. Non pas pour Vucic, mais pour notre dignité que nous avons sauvegardée 20 ans durant", a d'ailleurs réagi Mme Subasic, dont l'association regroupe les femmes qui ont perdu époux, fils, frères et pères dans la tuerie perpétrée en 1995 par les forces serbes bosniennes.
    Aleksandar Vucic "est venu nous demander pardon, montrer qu'il a un coeur, et maintenant c'est nous qui allons être considérés comme des sauvages", a aussi déploré une femme dans la foule, refusant de révéler son identité.
    "J'exprime des regrets pour ce qui s'est passé aujourd'hui et je regrette que certains n'aient pas reconnu notre intention sincère d'établir une amitié sincère entre Serbes et Musulmans. Ma main reste tendue et je poursuivrai ma politique de réconciliation", a pour sa part déclaré, de retour à Belgrade, le chef du gouvernement serbe, qui a expliqué qu'une pierre l'avait touché à la lèvre inférieure, affirmant que "ce n'était rien".
    Des dizaines de milliers de personnes marquaient à Srebrenica le massacre commis il y a 20 ans et Aleksandar Vucic s'était rendu à ces cérémonies afin de rendre hommage aux victimes, sans pour autant utiliser le terme de génocide reconnu par la justice internationale.
    Il venait de déposer une fleur devant un monument portant les noms des plus de 6.200 victimes identifiées et enterrées au mémorial de Srebrenica lorsque la foule a commencé à scander "Allah Akbar !" ("Dieu est grand !") et à jeter des pierres dans sa direction. Certains ont même tenté de s'en prendre physiquement à lui.
    Des journalistes de l'AFP ont vu que des hommes chargés de sa protection avaient été touchés par des jets de pierres.
    Aleksandar Vucic a quitté le mémorial en courant, protégé par ses gardes du corps notamment à l'aide d'un parapluie, tandis que, par haut-parleurs, les organisateurs lançaient des appels au calme.
    Un imam a alors commencé à lire une prière et la plupart des participants se sont tournés pour prier en attendant la mise en terre de 136 victimes du massacre nouvellement identifiées.

    - 'Guérir les blessures du passé' -

    Samedi, en quittant Belgrade pour Srebrenica, M. Vucic, un ancien faucon ultranationaliste qui avait en particulier clamé au Parlement que "pour tout Serbe tué, nous tuerons 100 Musulmans" et qui était par la suite devenu proeuropéen, avait condamné, parlant du massacre de Srebrenica, un "crime monstrueux".
    En juillet 1995, alors que la région était déclarée "zone protégée" par l'ONU, quelque 8.000 hommes et garçons musulmans avaient été tués dans cette ville bosnienne, la pire tuerie en Europe depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
    "Quand j'ai appris que les restes de mon père avaient été retrouvés, j'ai eu l'impression qu'il venait à peine de mourir", a murmuré Begajeta Salihovic, une femme de 51 ans qui a également perdu un frère dans le massacre et dont les restes de deux autres frères, morts au début de la guerre (qui s'est déroulée de 1992 à 1995), n'ont toujours pas été découverts.
    Nombre de responsables internationaux, parmi lesquels le président américain de l'époque Bill Clinton - dont le gouvernement a été l'architecte des accords de paix de Dayton qui ont mis fin au conflit bosnien -, étaient présents à Srebrenica.
    Le président serbe à l'époque, le proeuropéen Boris Tadic, y avait quant à lui fait le déplacement en 2005 et 2010.
    La Serbie refuse obstinément d'accepter le terme de génocide, et le sujet anime les débats y compris sur la scène politique internationale.
    Ainsi, mercredi, la Russie, soutien traditionnel de la Serbie, a mis son veto à un projet de résolution de l'ONU sur Srebrenica.
    Les chefs politique et militaire des Serbes bosniens, Radovan Karadzic et Ratko Mladic, accusés d'être les éminences grises du massacre de Srebrenica, sont aujourd'hui jugés pour génocide par le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY), cependant que la Bosnie, un des pays les plus pauvres d'Europe, reste figée dans ses divisions.


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  • Que se passera-t-il si la Grèce fait faillite ?

    Jean-Paul Chapel répond, sur le plateau de France 2, aux questions qui surgissent en cas de faillite du pays.

     

     

    <figure><figcaption>(France 2)</figcaption></figure><section class="byline clearfix">

    Mis à jour le <time datetime="2015-06-29T20:59:42+02:00" itemprop="dateModified">29/06/2015 | 20:59</time> , publié le <time datetime="2015-06-29T20:59:42+02:00" itemprop="datePublished">29/06/2015 | 20:59</time>

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    Alors que l'Europe et la Grèce ne parviennent pas à trouver un accord, ce lundi 29 juin, l'hypothèse d'une faillite d'Athènes est clairement envisagée. Qu'adviendra-t-il si l'épilogue de cette tragédie grecque doit être celui-ci ?

    Première certitude : la Grèce "ne remboursera pas ses dettes qui atteignent plus de 300 milliards d'euros", annonce Jean-Paul Chapel. Dès lors, elle pourra peut-être suivre l'exemple argentin de 2001 en dévaluant massivement, en remplaçant l'euro par son ancienne monnaie, la drachme.

    "Après la Grèce, à qui le tour ?"

    La France, elle, devrait renoncer aux sommes prêtées à la Grèce, soit 40 milliards d'euros. "Ça représente environ 600 euros par Français", ajoute le journaliste de France 2.

    Un risque de contagion est-il envisageable ? "Si un maillon craque, les spéculateurs vont se dire : après la Grèce, à qui le tour ? Un début de contagion s'est déjà manifesté sur les taux d'intérêt qui ont flambé depuis trois mois", explique le reporter, notamment au Portugal, en Espagne, en Italie, mais aussi en France.


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