• Opération antiterroriste: L'homme tué à Strasbourg était impliqué dans un attentat

    Créé le 06/10/2012 à 10h14 -- Mis à jour le 06/10/2012 à 18h20   
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    L'immeuble strasbourgeois où l'homme a été abattu ce samedi matin, 6 octobre 2012.
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    L'immeuble strasbourgeois où l'homme a été abattu ce samedi matin, 6 octobre 2012. GILLES VARELA/20 MINUTES

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    POLICE - Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme a tiré sur les policiers qui ont riposté et l'ont touché mortellement...

    DERNIERE INFO : L'homme tué à Strasbourg impliqué dans un attentat contre une épicerie juive de la région parisienne

    L'homme tué ce samedi matin à Strasbourg dans un échange de coups de feu avec des policiers est l'auteur présumé d'un attentat à la grenade contre une épicerie juive de la région parisienne, a déclaré le procureur de Paris, François Molins. L'empreinte ADN de cet homme, identifié sous le nom de Jérémy Sydney, a été retrouvée sur la cuillère de la grenade défensive lancée le 19 septembre dans une épicerie juive de Sarcelles, dans le Val-d'Oise, a-t-il précisé lors d'une conférence de presse.

    Ce délinquant condamné pour trafic de stupéfiants s'était converti à l'islam radical, a ajouté François Molins, selon qui dix autres personnes appartenant à la même mouvance ont été placées en garde à vue à l'issue d'opérations policières lancées simultanément dans plusieurs régions de France. Selon le procureur, encore un ou deux individus recherchés seraient toujours «dans la nature».

    Un vrai coup de filet

    Cette opération était menée dans le cadre de l'enquête sur le jet, le 19 septembre, d'«un engin explosif de faible puissance» dans une épicerie casher de Sarcelles dans le Val d'Oise. Cette attaque avait légèrement blessé une personne et suscité une vive émotion dans la communauté juive de cette commune populaire d'Ile-de-France. 

    Un Français d'origine antillaise converti a l'islam

    Lors de l'opération de Strasbourg, trois policiers ont été légèrement blessés, selon des sources judiciaires. Quand ils sont entrés chez lui, l'homme a tiré sur les policiers qui ont riposté et l'ont touché mortellement, d'après les premiers éléments de l'enquête. Selon France 3, l'homme abattu a été repéré et identifié grâce à son ADN. Son empreinte génétique a eté découverte sur la grenade lancée contre une épicerie casher de Sarcelles, fin septembre. Cet homme serait un Français d'origine antillaise converti a l'islam.

    Un affrontement armé direct

    Le site Rue89.com publie un témoignage choc d'un policier. «L’homme n’a rien dit et tiré tout de suite», raconte-t-il.

    Un policier de l'antigang de Strasbourg a notamment reçu une balle au niveau de la tête et une autre au niveau du coeur, mais elles ont été arrêtées par son gilet pare-balles et son casque de protection. 

    Une mouvance salafiste

    La police a aussi interpellé en Ile-de-France un homme armé et «dangereux», selon une source policière. L'homme n'a toutefois pas fait usage de son arme. Un autre a été appréhendé sans incident à Cannes, selon une autre source. Ils appartiendraient à la mouvance salafiste, a précisé une source policière. 

    Initialement en charge des investigations, le parquet de Pontoise s'était dessaisi de l'enquête il y a quelques jours au profit du parquet antiterroriste de Paris, a indiqué une source judiciaire.

    Avec agences

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  • Accueil > TopNews > Sept islamistes présumés arrêtés en France, un tué à Strasbourg

    Sept islamistes présumés arrêtés en France, un tué à Strasbourg

    Créé le 06-10-2012 à 11h01 - Mis à jour à 16h16 
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    Un homme a été tué samedi à l'aube dans le quartier de l'Esplanade à Strasbourg, lors d'un échange de coups de feu avec des policiers, au cours d'une intervention dans les milieux islamistes. Cette intervention s'inscrivait dans une série d'opérations menées simultanément dans l'est de la France, en région parisienne et sur la Côte d'Azur. /Photo prise le 6 octobre 2012/REUTERS/Vincent Kessler
(c) Reuters

    Un homme a été tué samedi à l'aube dans le quartier de l'Esplanade à Strasbourg, lors d'un échange de coups de feu avec des policiers, au cours d'une intervention dans les milieux islamistes. Cette intervention s'inscrivait dans une série d'opérations menées simultanément dans l'est de la France, en région parisienne et sur la Côte d'Azur. /Photo prise le 6 octobre 2012/REUTERS/Vincent Kessler (c) Reuters

    par Gilbert Reilhac et Nicolas Bertin

    STRASBOURG/PARIS (Reuters) - Un homme a été tué samedi matin à Strasbourg et sept autres personnes ont été interpellées lors d'opérations de police dans les milieux islamistes radicaux en région parisienne, sur la côte d'Azur et dans l'Est de la France.

    Ces opérations ont été conduites par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et la sous-direction anti-terroriste (SDAT) de la police judiciaire.

    Selon une source judiciaire, elles s'inscrivent dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte par la section antiterroriste du parquet de Paris pour "association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme", après le jet d'une grenade dans un supermarché juif de Sarcelles (Val-d'Oise), près de Paris, le 19 septembre.

    Une personne avait été légèrement blessée. Le parquet de Pontoise, initialement chargé de l'enquête, a été dessaisi le 25 septembre au profit de celui de Paris, de la DCRI et de la SDAT.

    François Hollande a reçu samedi le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, pour discuter de ces opérations antiterroristes lancées le matin, a déclaré l'Elysée dans un communiqué.

    "Le président de la République a confirmé la détermination entière de l'Etat à protéger les Français contre toutes formes de menaces terroristes", a précisé la présidence, qui a confirmé le nombre des interpellations.

    Selon le communiqué, le chef de l'Etat "a salué l'action de la police et demandé au ministre de l'Intérieur de prendre toutes les mesures de vigilance nécessaires".

    A Strasbourg, un homme recherché par la police a ouvert le feu sur les hommes de la brigade de recherche et d'intervention (BRI) locale venus l'arrêter dans son appartement du quartier de l'Esplanade à 06h00. Les policiers ont riposté et l'ont abattu, a-t-on déclaré de sources policières et judiciaires.

    357 MAGNUM

    Le secrétaire départemental du syndicat policier Alliance, Norbert Georgel, a déclaré que les policiers avaient été "accueillis avec un 357 magnum".

    Trois policiers ont été touchés par les tirs de l'homme mais seulement légèrement blessés grâce à leurs équipements - casque et gilet pare-balles, précise-t-on de source judiciaire. L'un d'eux souffre d'un hématome au thorax, un autre d'une éraflure à la main, le troisième a eu le casque éraflé.

    Le procureur la République de Strasbourg, Patrick Poirret, a pour sa part déclaré dans un communiqué qu'il avait saisi l'inspection générale de la police nationale.

    L'appartement où a eu lieu l'intervention est situé au quatrième étage d'un immeuble qui en compte neuf, dans un quartier situé derrière le campus universitaire de Strasbourg, à deux kilomètres du centre-ville.

    Selon des voisins, cet appartement était occupé depuis quatre à six mois par l'homme, barbu, sa femme, qui porte un voile islamique intégral, et leurs deux enfants, dont un bébé, précisent ces voisins. L'immeuble est décrit comme étant calme.

    Un homme armé mais qui n'a pas opposé de résistance a aussi été arrêté à Torcy, en Seine-et-Marne, de même qu'au moins une personne à Cannes (Alpes-Maritimes).

    Selon le parquet de Paris, cinq personnes étaient en garde à vue en fin de matinée dont la femme de l'homme tué à Strasbourg.

    Le procureur de la République de Paris, François Molins, et le chef de la SDAT devaient tenir une conférence de presse à 17h00.

    Edité par Emmanuel Jarry


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    Un mort et sept arrestations dans une opération antiterroriste

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2012-10-06T10:18:57+02:00" itemprop="datePublished">06.10.2012 à 10h18</time> • Mis à jour le <time datetime="2012-10-06T14:55:05+02:00" itemprop="dateModified">06.10.2012 à 14h55</time>

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    <figure class="illustration_haut"> Un homme a été tué lors de son interpellation à Strasbourg, le 6 octobre. </figure>

    Un homme a été mortellement blessé, samedi 6 octobre dans la matinée à Strasbourg, lors de son interpellation menée dans le cadre d'une opération antiterroriste, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

    Selon la source judiciaire, cette opération était menée dans le cadre de l'enquête sur le jet le 19 septembre d'"un engin explosif de faible puissance" dans une épicerie casher de Sarcelles dans le Val d'Oise. Cette attaque avait légèrement blessé une personne et suscité une vive émotion dans la communauté juive de cette commune populaire d'Ile-de-France.

    Lors de l'opération de Strasbourg, trois policiers ont été légèrement blessés, a-t-on indiqué de source judiciaire. Selon les premiers éléments de l'enquête, quand ils sont entrés dans son domicile, l'homme a tiré sur les policiers qui ont riposté et l'ont touché mortellement. Un policier de l'antigang de Strasbourg a notamment reçu une balle au niveau de la tête et une autre au niveau du cœur, mais elles ont été arrêtées par son gilet pare-balles et son casque de protection, a ajouté la source proche de l'enquête.

    Au site Rue 89, un policier anonyme présenté comme ayant participé à l'opération décrit cette riposte des forces de l'ordre, juste après qu'elles aient enfoncé la porte de l'appartement : "Immédiatement, il nous tire dessus. Nous l'avons formellement vu tirer avec un 357 Magnum. Deux collègues ont été blessés : l'un par une balle que son casque a arrêtée, l'autre juste en-dessous de la gorge, à la limite du gilet pare-balles." Selon le policier, la compagne du suspect et  "deux petits enfants" étaient dans l'appartement au moment de l'intervention. La femme aurait été placée en garde à vue, selon ce policier.

    ENQUÊTE CONFIÉE À LA DCRI

    Cette interpellation intervenait dans le cadre d'une opération menée dans plusieurs villes de France, comme Torcy, en Seine-et-Marne, et Cannes, où un homme a été appréhendé sans opposer de résistance.

    Le président François Hollande a annoncé que sept personnes avaient été interpellées (une source policière avait évoqué une dizaine d'arrestations plus tôt dans la journée). M. Hollande a affirmé "la détermination entière de l'Etat à protéger les Français contre toutes formes de menaces terroristes". Dans un communiqué de l'Elysée Le chef de l'Etat a "salué l'action de la police et demandé au ministre de l'intérieur", Manuel Valls, qu'il a reçu à l'Elysée, "de prendre toutes les mesures de vigilance nécessaires".

    Il y a quelques jours, signe que l'affaire prenait une autre ampleur, le parquet de Pontoise, initialement en charge des investigations, s'était dessaisi au profit du parquet antiterroriste de Paris, qui avait confié l'enquête à la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et à la sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire.

    Interrogé sur la volonté du groupe de mener d'autres attaques, contre des lieux fréquentés par la communauté juive notamment, une source proche de l'enquête a appelé à la prudence, relevant que les supects avaient une "liste d'objectifs" dont l'enquête devra déterminer s'il s'agissait de projets bien avancés ou simplement évoqués entre les suspects.

    Après l'attaque du magasin casher, les enquêteurs s'étaient refusé à évoquer un lien avec l'atmosphère tendue de l'époque : quelques jours plus tôt, des slogans antisémites avaient été scandés lors d'une manifestation islamiste non autorisée près de l'ambassade des Etats-Unis à Paris, organisée pour protester contre le film islamophobe L'Innocence des musulmans. La veille, Charlie Hebdo avait publié des caricatures du prophète.

    Le conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) avait toutefois redouté "que cette attaque ait un lien avec l'explosion de violence qui a suivi la diffusion du film contre l'islam". L'ambassadeur d'Israël en France, Yossi Gal, avait condamné une "agression antisémite".

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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    La Suisse au cœur de l'enquête sur la tuerie de Chevaline

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2012-10-05T17:41:38+02:00" itemprop="datePublished">05.10.2012 à 17h41</time> • Mis à jour le <time datetime="2012-10-05T17:51:12+02:00" itemprop="dateModified">05.10.2012 à 17h51 </time>
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    Un cycliste passe devant l'endroit de la tuerie, le 8 septembre 2012.

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    De l'argent sur un compte dans une banque genevoise, "lié à la famille" du Britannique d'origine irakienne assassiné dans les Alpes françaises a été saisi par la justice suisse, rapporte La Tribune de Genève sur son site Internet, vendredi 5 octobre.

    Saad Al-Hilli, assassiné il y a un mois avec sa femme et sa belle-mère, ainsi qu'un cycliste français, "serait passé à Genève peu avant le drame", affirme également le journal, ajoutant que ce passage et les sommes séquestrées seraient en lien avec l'assassinat. L'existence d'un compte en Suisse a aussi été avancée par la presse anglaise.

    Le 5 septembre, Saad Al-Hilli, 50 ans, sa femme, Iqbal, 47 ans, et sa belle-mère, Suhaila Al-Allaf, 74 ans, de nationalité suédoise, ont été tués par balles à Chevaline, près d'Annecy, où ils passaient des vacances, de même qu'un cycliste français, apparemment victime collatérale. Les deux fillettes de ce couple britannique d'origine irakienne ont survécu à la fusillade, mais l'aînée a été grièvement blessée.

    Lire : La survivante de 7 ans a vu un seul tueur

    UN PROCUREUR GENEVOIS CHARGÉ D'ENQUÊTER À LA DEMANDE DE LA FRANCE

    Selon l'agence suisse ATS, le procureur genevois Dario Zanni enquête sur la tuerie de Chevaline en vertu d'une commission rogatoire lancée par les autorités françaises. Cette information a été confirmée à l'AFP par un porte-parole du procureur.

    Des actes ont aussi été requis dans plusieurs autres cantons. Genève a été désigné canton directeur pour cette affaire par l'Office fédéral de la justice (OFJ), a indiqué vendredi à l'ATS le ministère public genevois. Le porte-parole ne fait aucun commentaire sur la nature des actes entrepris.

    LE PATRIMOINE DE LA FAMILLE INTÉRESSE LES ENQUÊTEURS FRANÇAIS

    En France, la piste suisse intéresse les enquêteurs avant tout parce qu'elle constitue un possible itinéraire de fuite du ou des tueurs. Mais un possible différend entre Saad Al-Hilli et son frère résidant en Grande-Bretagne, concernant l'héritage du père, récemment mort en Espagne, a également retenu leur attention. "On reconstitue le patrimoine du père des frères Al-Hilli. Même si on sait que ce n'est pas ça qui va nous mener sur la piste des tueurs", a expliqué le procureur d'Annecy, Eric Maillaud, à propos du litige entre les deux frères. M. Maillaud est chargé de l'enquête sur ce crime commis à moins d'une heure de route de Genève.

    Le différend à propos de l'héritage de leur père porterait sur plusieurs millions d'euros, en argent, en biens et en immeubles, selon une source proche de l'enquête.

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  • Accueil > Société > Tuerie de Chevaline : l'argent du père saisi dans une banque suisse

    Tuerie de Chevaline : l'argent du père saisi dans une banque suisse

    Créé le 05-10-2012 à 16h18 - Mis à jour à 17h18   
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    Saad al-Hilli, "serait passé à Genève peu avant le drame", selon un média suisse, qui ajoute que les sommes séquestrées seraient en lien avec sa mort.

     

    Des fleurs ont été déposées, le 8 septembre, sur les lieux de la tuerie survenue le 5 de ce même mois à Chevaline, en Haute-Savoie. (Laurent Cipriani/AP/SIPA)

    Des fleurs ont été déposées, le 8 septembre, sur les lieux de la tuerie survenue le 5 de ce même mois à Chevaline, en Haute-Savoie. (Laurent Cipriani/AP/SIPA)
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    De l'argent sur un compte, dans une banque genevoise, "lié à la famille" du britannique d'origine irakienne assassiné dans les Alpes françaises a été saisi par la justice suisse, rapporte vendredi 5 octobre la "Tribune de Genève" sur son site internet. Mais ce type d'opération serait "tout à fait normal" dans ce genre d'enquête, indique le site de France Télévisions, citant des informations de France 2. 

    Saad al-Hilli, assassiné il y a un mois avec sa femme et sa belle-mère, ainsi qu'un cycliste français, "serait passé à Genève peu avant le drame", affirme également le journal, ajoutant que ce passage et les sommes séquestrées seraient en lien avec l'assassinat.

    Une fillette grièvement blessée

    Le 5 septembre, Saad al-Hilli, 50 ans, sa femme Iqbal, 47 ans, et sa belle-mère Suhaila al-Allaf, 74 ans, de nationalité suédoise, ont été tués par balles à Chevaline, près d'Annecy, où ils passaient des vacances, de même qu'un cycliste français, apparemment victime collatérale. Les deux fillettes de ce couple britannique d'origine irakienne ont survécu à la fusillade, mais l'aînée a été grièvement blessée.

    Selon l'agence suisse ATS, le procureur genevois Dario Zanni enquête sur la tuerie de la Chevaline suite à une commission rogatoire lancée par les autorités françaises. Cette information a été confirmée par un porte-parole du procureur.

    Des actes ont aussi été requis dans plusieurs autres cantons. Genève a été désigné canton directeur pour cette affaire par l'Office fédéral de la justice (OFJ), a indiqué vendredi à l'ATS le Ministère public genevois. Le porte-parole ne fait aucun commentaire sur la nature des actes entrepris.

    Un différend à propos de l'héritage

    Les enquêteurs français avaient indiqué s'intéresser à la Suisse comme possible itinéraire de fuite du ou des tueurs. L'existence d'un compte en Suisse a aussi été avancée par la presse anglaise.

    Un possible différend entre Saad et son frère, résidant en Grande-Bretagne, concernant l'héritage du père, récemment décédé en Espagne, intéresse les enquêteurs. "On reconstitue le patrimoine du père des frères Al-Hilli. Même si on sait que ce n'est pas ça qui va nous mener sur la piste des tueurs", a expliqué le procureur d'Annecy Eric Maillaud à propos du litige entre les deux frères. Il est en charge de l'enquête sur ce crime commis à moins d'une heure de route de Genève.

    Le différend à propos de l'héritage de leur père porterait sur plusieurs millions d'euros, en argent, en biens et en immeubles, selon une source proche de l'enquête.


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