• Air France: le commandant fait un malaise

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      • Mis à jour <time datetime="2014-12-30T21:39:28+01:00" itemprop="dateModified">le 30/12/2014 à 21:39</time>
      • Publié <time datetime="2014-12-30T21:23:13+01:00" itemprop="datePublished"> le 30/12/2014 à 21:23</time>
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    Le vol d'Air France AF1746, qui devait relier Paris à la ville norvégienne de Stavanger, a été contraint à faire demi-tour ce soir, en raison d'un malaise du commandant, ont indiqué Air France et une source aéroportuaire.

    "Il s'est produit une urgence médicale à bord et l'équipage a décidé de revenir à Paris", a expliqué la porte-parole. "L'avion a atterri à Charles-de-Gaulle à 20h10", soit 37 minutes après son décollage. "Tous les passagers ont été pris en charge par Air France", a-t-elle ajouté, sans donner plus de précisions sur l'urgence médicale qui s'est produite peu après le décollage.

    Selon une source aéroportuaire,"le commandant de bord a ressenti des douleurs au thorax et a préféré ne pas continuer le vol. L'avion est retourné vers Roissy et c'est le copilote qui a assuré l'atterrissage". "Le commandant a été pris en charge par les équipes médicales de l'aéroport à l'arrivée", a précisé la source, sans donner plus de détails sur son état de santé.


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  • Grèce : un cargo avec des centaines de migrants envoie un signal de détresse

    30 Déc. 2014, 13h28 | MAJ : 30 Déc. 2014, 14h47lien
     
     

    <figure> Un cargo avec des centaines de migrants sans papiers à bord était en difficulté mardi au large de Corfou en mer Ionienne dans l'ouest de la Grèce. <figcaption class="articleChapeau">Un cargo avec des centaines de migrants sans papiers à bord était en difficulté mardi au large de Corfou en mer Ionienne dans l'ouest de la Grèce.
    Capture d'écran Twitter
    </figcaption> </figure>

    Un cargo avec des centaines de migrants sans papier à bord a envoyé ce mardi vers 13 heures un signal de détresse alors qu'il se trouvait au large de l'île grecque de Corfou, en mer Ionienne dans l'ouest de la Grèce.

    Une frégate et un hélicoptère de marine de guerre grec ainsi que deux patrouilleurs de la police portuaire ont été dépêchés sur les lieux pour secourir le cargo Blue Sky M, battant pavillon moldave, selon la police portuaire.

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    <figure> Drame du ferry en mer adriatique : «J'ai vu mourir mon mari» </figure>
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    L'hélicoptère devrait également permettre de cartographier la zone afin de déterminer exactement ce qui se passe.

    Selon les médias grecs, environ 400 migrants ainsi qu'un nombre des personnes armées se trouvaient à bord de ce cargo mais la police portuaire grecque n'a pas confirmé pour l'instant cette information. De forts vents de 49km/heure soufflaient dans la région, selon la police portuaire.

    Le cargo Blue Sky M dévie de sa trajectoire initiale


    Dans la même zone, au large de Corfou, entre la Grèce et l'Italie,
    le ferry Norman Atlantic a pris feu dimanche avec près de 400 personnes à bord, parmi lesquelles au moins dix ont péri. Une énorme opération de sauvetage a été lancée depuis dimanche, menée par les autorités maritimes italiennes, grecques et albanaises.

    La position du cargo Blue Sky M à 14 heures (Marine traffic.com)



     


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    Ferry incendié: dix morts, mais le bilan

    n’est que provisoire

    AFP<time datetime="2014-12-30T14:40:35" itemprop="datePublished"> 30 décembre 2014 à 14:40 </time>
    <aside class="tool-bar"> </aside><figure itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Une rescapée de l'incendie du ferry Norman Atlantic retrouve ses enfants, à l'aéroport de Elefsina, à l'ouest d'Athènes, le 29 décembre 2014<figcaption itemprop="description">Une rescapée de l'incendie du ferry Norman Atlantic retrouve ses enfants, à l'aéroport de Elefsina, à l'ouest d'Athènes, le 29 décembre 2014 (Photo Angelos Tzortzinis. AFP)</figcaption></figure></header>

    L’incendie du ferry Norman Atlantic a officiellement fait dix morts, mais sans doute davantage tant les autorités redoutent désormais de mauvaises surprises.

    L’épave du ferry, une fois récupérée, révélera probablement d’autres victimes, a ainsi averti mardi le procureur de Bari (sud-est), Giuseppe Volpe, responsable de l’enquête ouverte sur les circonstances du drame.

    La présence de clandestins à bord est désormais «établie», et tout porte donc à croire que les ponts inférieurs du ferry, où s’est déclenché l’incendie, révèlent d’autres victimes, a-t-il expliqué.

    A cette incertitude viennent aussi s’ajouter les interrogations sur d’éventuels disparus, faute de connaître le nombre exact de passagers se trouvant à bord du ferry dimanche quand le drame a eu lieu au large de l’Albanie.

    De plus, le chiffre de dix morts, dont trois Italiens, ne prend pas en compte la mort de deux marins albanais venus en aide aux sauveteurs, victimes de la rupture d’un câble de remorquage pendant les opérations de secours en mer.

    Seule certitude, 427 personnes, dont les 56 membres d’équipage, ont été sauvées des flammes à l’occasion d’une opération de sauvetage «sans précédent», selon les autorités italiennes.

    Le ferry, toujours immobilisé par des remorqueurs à une quinzaine de milles de la côte albanaise, dans le canal d’Otrante, est désormais totalement évacué après le départ de son commandant lundi après-midi, dernier à quitter le navire.

    Mais des dizaines de passagers du Norman Atlantic attendaient toujours mardi en milieu de journée leur retour sur la terre ferme.

    Le navire militaire italien San Giorgio, qui accueille à son bord plus de 180 rescapés, était encore mardi en milieu de journée dans la zone de l’accident, à la recherche d’éventuels disparus.

    Attendu initialement dans la matinée dans le port italien de Brindisi (sud-est), il ne regagnera ce port de l’Adriatique qu’en toute fin de journée, a confirmé un communiqué de la marine militaire italienne.

    Un autre navire de la marine italienne poursuivra les recherches, selon ce communiqué.

    Un cargo transportant une quarantaine d’aures passagers du Norman Atlantic est attendu dans la journée à Taranto (sud) au lieu de Manfredonia sur la côte est, un port trop difficile à atteindre compte tenu des conditions météorologiques.

    La plupart de ces rescapés sont indemnes, mais certains souffraient d’hypothermie ou de problèmes respiratoires.

    - Doutes sur la liste d’embarquement -

    Le mystère entourant le nombre exact de passagers ayant embarqué à bord du ferry reste entier, d’autant que le navire a fait une escale en Grèce après son départ du port grec de Patras.

    La liste d’embarquement du navire, battant pavillon italien et affrété par la compagnie grecque Anek, faisait état dans un premier temps de 478 personnes à bord, dont 422 passagers, mais la compagnie a ramené ce chiffre lundi soir à 475.

    Lundi soir, le ministre italien des Transports, Maurizio Lupi, ne cachait pas ses «doutes» sur l’exactitude de ce manifeste d’embarquement.

    Certains des rescapés n’étaient même pas sur cette liste, a-t-il expliqué.

    Sur les 371 passagers récupérés sur le ferry, 234 sont Grecs, 54 Turcs, 22 Albanais, 22 Italiens et 10 de nationalité suisse, sans compter d’autres nationalités ... et deux chiens également récupérés. Neuf des dix Français présents à bord ont été localisés et pris en charge, mais on est toujours sans nouvelle du dixième.

    Les autorités maritimes italiennes, grecques et albanaises s’étaient lancées dès dimanche matin dans une course contre la montre pour récupérer des centaines d’hommes, de femmes et d’enfants, pris au piège, pour certains pendant plus de 34 heures, sur le pont du ferry, battu par des vents glacés et enveloppé d’une fumée épaisse qui a longtemps gêné les secours.

    La justice italienne va désormais s’efforcer d’éclaircir les circonstances de ce drame et désigner les responsables, alors que des passagers ont dénoncé le manque de préparation de l’équipage.

    - Aucune alerte lancée -

    «C’était la panique à bord car on était plus de 400 personnes à devoir sortir par une unique sortie de secours», a raconté d’une voix émue une jeune femme grecque, Urania Thiréou, hébergée à l’hôtel Nettuno de Brindisi (sud-est), après avoir été secourue sur le ferry.

    D’autres, comme la cantatrice grecque Dimitra Theodossiou, ont dénoncé devant la presse la brutalité de certains passagers, déterminés à embarquer les premiers, y compris par la force.

    «Ils sont passés devant, en frappant les femmes pour prendre les premiers les hélicoptères», a-t-elle ainsi affirmé, soulignant elle aussi l’absence de consignes de la part de l’équipage du ferry.

    Les autorités judiciaires entendront le commandant et l’armateur pour «naufrage» et «homicides involontaires». Le navire a également été placé sous séquestre judiciaire, a précisé le ministère des Transports.

    Le Premier ministre italien Matteo Renzi est attendu en début d’après-midi en Albanie, où le Norman Atlantic pourrait être transporté, à mois qu’il ne soit remorqué jusqu’à Brindisi, comme le souhaite les autorités italiennes.

    AFP

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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Ce que l'on sait du vol QZ8501, l'avion d'AirAsia

    qui a disparu entre l'Indonésie et Singapour

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2014-12-28T16:20:21+01:00" itemprop="datePublished">28.12.2014 à 16h20</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-12-28T17:30:32+01:00" itemprop="dateModified">28.12.2014 à 17h30</time>

     
    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> Un porte-parole du ministère des transports indonésien a précisé que le contact a été perdu avec le vol QZ 8501 à 7 h 24 locales. </figure>

    Le vol QZ8501 de la compagnie AirAsia a disparu des écrans radar dimanche 28 décembre. Cet Airbus A320-200 effectuait la liaison entre la ville indonésienne de Surabaya et Singapour.

    • Un Français copilote

    L'appareil transportait au décollage 162 personnes, a précisé AirAsia : 7 membres d'équipage et 155 passagers, dont 16 enfants et un nourrisson. Parmi eux se trouvaient :

    • 156 Indonésiens
    • 3 Sud-Coréens
    • 1 Singapourien
    • 1 Malaisien
    • 1 Français (le copilote de l'appareil)
    • Mauvaise météo

    La tour de contrôle de Djakarta a perdu le contact avec l'avion à 6 h 17 heure locale (0 h 17 à Paris). Aucun appel de détresse n'a été reçu de l'appareil, qui se trouvait à peu près à mi-chemin entre Surabaya et Singapour.

    Il faisait mauvais temps au-dessus de l'île de Belitung à l'heure où l'avion a envoyé ses dernières transmissions. AirAsia a expliqué que « l'avion avait demandé à dévier en raison de la météo ». Selon le ministère indonésien des transports, l'Airbus avait demandé l'autorisation de prendre de l'altitude et de passer de 32 000 à 38 000 pieds afin d'éviter une masse nuageuse.

    • Maintenance récente

    L'appareil appartient à la filiale AirAsia Indonésie, détenue à 51 % par des actionnaires indonésiens et à 49 % par la compagnie malaisienne à bas coûts AirAsia. En treize ans d'activité, la compagnie n'a connu aucun accident. AirAsia a indiqué dimanche que l'avion disparu avait subi des opérations de maintenance le 16 novembre dernier.

    Sur son site internet, la maison-mère AirAsia professe par ailleurs une « tolérance zéro » en matière de sécurité et vise un objectif « zéro accident » grâce à une « bonne formation, à des pratiques de travail et une gestion des risques appropriée ainsi qu'à une stricte adhésion aux régulations sur la sécurité ».

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> Un Airbus A320 d'Air Asia à Singapour, le 28 décembre 2014. </figure>
    • Une compagnie au succès fulgurant

    AirAsia est le plus grand transporteur low cost d'Asie, et un gros client de l'avionneur européen Airbus. Créée en 1994 à Kuala Lumpur, la compagnie était dans le rouge lors de son acquisition en 2001 par Tony Fernandes, ancien cadre dirigeant de Time Warner. L'homme d'affaires a alors racheté les dettes de la compagnie (9 millions d'euros) et n'a déboursé qu'un quart de dollar pour ses deux avions vieillissants.

    Mais Fernandes a misé sur l'explosion du transport aérien en Asie avec l'émergence de classes moyennes avides de voyager. Un pari gagnant, alors que le trafic aérien low cost a triplé en dix ans en Asie, représentant environ 50 à 70 millions de passagers par an en 2013, soit 20 % du trafic aérien régional.

    Ce qui explique pourquoi en 2002, AirAsia était devenue rentable, tandis que sa dette était remboursée dès 2003. Les filiales d'AirAsia ont ensuite fait leur apparition sur tout le continent : en Thaïlande, aux Philippines, en Indonésie et en Inde. Actuellement, le groupe dessert environ 120 destinations.

    </article>

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    Dijon : un conducteur fauche des passants

    en criant «Allahou Akbar»

    AFP<time datetime="2014-12-21T22:49:19" itemprop="datePublished"> 21 décembre 2014 à 22:49 </time>(Mis à jour : <time datetime="2014-12-21T23:06:02" itemprop="dateModified">21 décembre 2014 à 23:06</time>) lien
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    L'homme serait un déséquilibré. L'agression a fait 11 blessés dont 2 sérieusement atteints.

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    Un automobiliste, probablement déséquilibré, a foncé dimanche à Dijon sur des passants au cri d'«Allahou Akbar», blessant onze personnes au lendemain d’une attaque contre des policiers d’Indre-et-Loire également par un homme criant «Dieu est le plus grand» en arabe.

    «L’homme, né en 1974, présente le profil d’un déséquilibré et serait suivi en hôpital psychiatrique», a déclaré à l’AFP une source proche de l’enquête. Selon elle, les revendications de l’agresseur de Dijon «semblent encore floues».

    Ce quadragénaire connu de la police pour des faits de droit commun remontant aux années 1990 a été interpellé, ont précisé des sources policières.

    Vers 20H00, dans le centre-ville, il a foncé à cinq endroits différents sur des passants, au volant d’une Clio. La scène a duré près d’une demi-heure. «Neuf personnes ont été légèrement blessées et deux autres sérieusement mais leur pronostic vital ne semble pas engagé», a expliqué une de ces sources.

    Selon les témoignages recueillis par la police, «l’homme a crié "Allahou Akbar" et a dit avoir agi pour les enfants de Palestine», a ajouté une source proche de l’enquête. Des témoins ont décrit un homme portant une djellaba, selon une source policière.

    C’est au même cri d'«Allahou Akbar» qu’un jeune d’une vingtaine d’années au physique athlétique a attaqué samedi après-midi au couteau des policiers du commissariat de Joué-lès-Tours, en Indre-et-Loire, blessant trois d’entre eux avant d’être abattu par les forces de l’ordre.

    «Radicalisation»

    Ce Français né au Burundi et converti à l’islam, Bertrand Nzohabonayo, «n’était pas connu autrement que pour des faits de délinquance», a déclaré le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, tandis que son frère était fiché pour ses positions radicales et pour avoir, un temps, envisagé de partir en Syrie. 

    Il y a «quelques jours», l’agresseur de Joué-lès-Tours avait néanmoins «manifesté sa radicalisation», en affichant sur son compte Facebook «un drapeau» du groupe jihadiste Etat islamique (EI) actif en Syrie et en Irak, selon M. Cazeneuve.

    L’EI encourage les candidats au jihad à lancer des attaques contre les «infidèles», militaires, policiers ou même civils. La France avait été nommément citée comme cible par l’organisation jihadiste après le début des frappes françaises en Irak.

    La section antiterroriste du parquet de Paris s’est saisie de l’enquête sur l’attaque du commissariat, qui s’oriente vers l’islamisme radical.

    Dimanche soir sur TF1, Bernard Cazeneuve a estimé que l’agresseur de Joué-lès-Tours, qui avait choisi le prénom de Bilâl depuis sa conversion, semblait «à la fois très mystérieux et très déstabilisé, peut-être aussi par des circonstances familiales». «L’enquête révélera quel était son état psychologique», a souligné le ministre.

    Dans un communiqué, l’Union des mosquées de France (UMF) a condamné «avec la plus grande vigueur cette agression» visant la police, «un des symboles de notre pays». Elle a appelé «les jeunes Français à ne pas se tromper d’ennemi et de combat».

    AFP

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