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  • Une fillette de 9 ans tuée à coups de fusil

    ce matin en Gironde

    Le drame a eu lieu aux alentours de 7 heures ce matin à Barsac dans le sud Gironde. Les pompiers ont été alertés par des témoins de la scène. Arrivés sur les lieux, sur la départementale 1113, ils ont découvert une petite fille décédée. 

    • Par CA
    • Publié le 09/03/2015 | 10:16, mis à jour le 09/03/2015 | 12:15  lien

    La route a été coupée pour les besoins de l'enquête © F3 Aquitaine

    © F3 Aquitaine La route a été coupée pour les besoins de l'enquête

    La fillette aurait reçu dans le corps une ou plusieurs balles de fusil.

    Le drame s'est déroulé au bord de la route, sur la voie publique. Des témoins ont vu une femme, munie d'un fusil, tirer à plusieurs reprises sur des voitures qui traversaient le village. Certains d'entre eux seraient parvenus à la désarmer mais elle a réussi à s'enfuir.

    Les gendarmes, immédiatement prévenus, l'ont interpellé quelques centaines de mètres plus loin, vers 7h30. Elle serait âgée de 33 ans. On ne sait pas encore officiellement si elle a des liens de parenté avec la jeune victime. Selon le premier adjoint de Barsac, cité par France Bleu Gironde, il pourrait s'agir de la maman de la fillette et elle aurait été hospitalisée. Sa voiture serait immatriculée en Lot-et-Garonne.
     



    Ce n'est qu'après l'avoir désarmée que des personnes ont découvert le corps de la petite fille gisant au bord de la route, non loin de la voiture de la tireuse.

    Le Procureur de la République adjoint de Bordeaux est sur place.

    Les constatations sont en cours avec les équipes de l'identification criminelle.

    L'information a été dévoilée par nos confrères du journal sud-ouest sur leur site web ce matin.


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    Un SDF français abattu par la police de Los Angeles

    Les Echos | <time datetime="2015-03-03T21:43:09+01:00">Le 03/03 à </time>
     
     
     
     

     

     

     

     

     

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    Des fleurs et des bougies en hommage au SDF abattu par la police dans le quartier de Skid Row à Los Angeles - Richard Vogel/AP/SIPA

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    Une vidéo montrant un SDF abattu par la police de Los Angeles dimanche a relancé la polémique sur les bavures policières. Il s'agissait d'un Français de 39 ans, déjà condamné pour vol.

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    La vidéo, vue plus de 4 millions de fois, a mis le monde en émoi. Filmées par une caméra de vidéosurveillance, les images extrêmement violentes montraient une altercation entre deux SDF et la police de Los Angeles, avant que l'un d'entre eux ne soit abattu en pleine rue dimanche dernier.

    Sur la défensive, la police de Los Angeles avait expliqué avoir d'abord utilisé un Taser sur le sans-abri, ce qui n'a pas empêché ce dernier de se débattre et de s'en prendre à un des policiers. Sur la vidéo, on peut voir l'un des sans-abris menotté tandis que l'autre, plus agité, ne se laisse pas faire. On entend ainsi un policier crier "lâche l'arme !" avant que l'homme ne tombe sur le pavé, touché par les balles.

    Selon Le Los Angeles Times, les policiers avaient été alertés sur un vol présumé dans ce quartier défavorisé de Skid Row, près du centre-ville de Los Angeles, mais ont dû maîtriser le suspect qui tentait de saisir l'arme de l'un des policiers. Une enquête est en cours pour déterminer quelle a été l'attitude de ce dernier avant les coups de feu.

    Déjà condamné pour vol

    L'homme, âgé de 39 ans, serait Charley Saturmin Robinet, un ressortissant Français, avance mardi le Los Angeles Times. Ce dernier avait été reconnu coupable de vol à main armée quinze ans auparavant dans une banque du groupe Wells Fargo à Thousand Oaks, dans le comté de Ventura en Californie. Après une course-poursuite avec la police, il avait été arrêté avec la somme de 33.500 dollars sur lui puis condamné à 15 ans de prison, selon des sources judiciaires citées par le journal américain.

    Robinet, qui avait expliqué avoir été poussé au vol pour couvrir les frais de ses cours de comédie au Beverly Hills Playhouse, un ancien théâtre et une école reconnue en Californie, aurait été relâché en mai dernier, selon des fichiers de la police fédérale.

     

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    Des fleurs et des bougies en hommage au SDF abattu par la police dans le quartier de Skid Row à Los Angeles - Richard Vogel/AP/SIPA

     

     

     

     

     

     

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  • <article itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle"> <header>

    Gare de l'Est : les démineurs ont fait exploser l'obus

    de la

    Seconde Guerre mondiale

    Le Point - Publié le <time datetime="2015-02-17T14:57" itemprop="datePublished" pubdate=""> 17/02/2015 à 14:57</time> - Modifié le <time datetime="2015-02-18T07:59" itemprop="dateModified"> 18/02/2015 à 07:59</time>

    Aucun train n'a circulé mardi au départ de la gare parisienne après la découverte en milieu de journée d'un obus près de voies ferroviaires à Noisy-le-Sec.  lien

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> La gare de l'Est à Paris bloquée le 17 février après la découverte d'un engin explosif de la Seconde Guerre mondiale. <figcaption>La gare de l'Est à Paris bloquée le 17 février après la découverte d'un engin explosif de la Seconde Guerre mondiale. © Kenzo Tribouillard/AFP </figcaption> </figure>
     
     
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    Les démineurs ont fait exploser dans la nuit de mardi à mercredi une bombe de la Seconde Guerre mondiale découverte à la mi-journée près de voies ferroviaires à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis), qui avait entraîné l'interruption totale du trafic à la gare de l'Est à Paris, a-t-on appris auprès de la préfecture. "L'opération est réussie", a déclaré la préfecture de Seine-Saint-Denis, précisant que la bombe avait été détruite "en toute sécurité". L'engin, "une bombe anglaise de 1 000 livres à retardement", soit 450 kilos, selon la préfecture, avait été découvert à 12 h 10 sur un chantier, à proximité immédiate des voies, aux environs de la gare de Noisy-le-Sec, à 8 km de la gare de l'Est, où circulent des TGV, le RER E et la ligne P du Transilien.

    Dans un premier temps, les autorités avaient affirmé qu'il s'agissait d'un obus de 250 kilos. Déplacé dans un trou à six mètres sous terre par les démineurs du laboratoire central de la préfecture de police de Paris et de la sécurité civile, l'engin a été recouvert de sable pour atténuer le souffle de l'explosion. Par mesure de sécurité, le trafic a été interrompu peu après midi au départ et à l'arrivée de la gare de l'Est, où circulent quotidiennement 500 000 voyageurs, dont 370 000 par le Transilien, selon la SNCF.

    À Noisy-le-Sec, un périmètre de sécurité de 500 mètres avait été mis en place autour des voies, entraînant l'évacuation de 300 habitants, dont 150 ont été hébergés dans un gymnase de la commune, selon le maire UDI Laurent Rivoire. Tous ont été autorisés à réintégrer leur domicile, a précisé la préfecture. Selon la SNCF, "un retour à la normale est prévu sur l'ensemble des circulations mercredi matin, au départ et à l'arrivée de Paris Est". Pour la ligne P du Transilien et le RER E, quelques perturbations sont néanmoins possibles en début de matinée, a précisé l'entreprise dans un communiqué.

    </article>

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  • La directrice de Vulcania retrouvée morte

    Le Point - Publié le <time datetime="2015-02-18T19:25" itemprop="datePublished" pubdate="">18/02/2015 à 19:25</time> - Modifié le <time datetime="2015-02-18T19:40" itemprop="dateModified">18/02/2015 à 19:40 lien </time>

    INFO LE POINT.FR.

    Le corps de Catherine Damesin a été retrouvé

    au nord du lac Chambon. La dirigeante du parc Vulcania

    se serait suicidée.

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">

    Le corps de Catherine Damesin, la patronne du parc Vulcania, a été retrouvé au fond du lac Chambon. © PHOTOPQR/LA MONTAGNE

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    Le corps de Catherine Damesin, la patronne du parc Vulcania, a été retrouvé au fond du lac Chambon.

    De notre correspondante à Clermont-Ferrand,

    Catherine Damesin, la patronne du parc Vulcania, disparue depuis dimanche, a été retrouvée morte mercredi au pied d'un ancien vestige du volcan La dent du marais, au nord du lac Chambon, dans le Puy-de-Dôme. Sa Renault Mégane blanche immatriculée CB-979-FE avait été localisée un peu plus tôt sur un parking près du lac. Catherine Damesin n'a pas laissé de lettre, mais tout porte à croire qu'il s'agit d'un suicide. Il faut désormais attendre l'autopsie du corps, qui devrait être pratiquée dans les jours qui viennent.

    Diplômée de HEC, Catherine Damesin, 55 ans, avait contribué à sortir Vulcania du rouge et à lui insuffler une nouvelle dynamique. Elle avait pris la tête du parc dédié aux volcans d'Auvergne, en sérieuses difficultés, en 2007, avec une nouvelle équipe de direction destinée à relancer ce projet voulu par Valéry Giscard d'Estaing lorsqu'il était président de l'exécutif régional. Discrète et souriante, elle connaissait bien la région pour avoir été d'abord directrice adjointe de la Mutualité Puy-de-Dôme en 2002 puis, jusqu'en 2005, directrice générale adjointe des services du conseil régional d'Auvergne.

    Dimanche matin, Catherine Damesin avait quitté son domicile clermontois en prévenant qu'elle partait faire une randonnée, seule. Rien de surprenant pour cette Savoyarde de 56 ans, amoureuse de la montagne et habituée des sorties nature. Elle a ensuite envoyé un texto anodin à ses proches dans la matinée, et depuis, plus aucun signe de vie. Les causes de son geste ne sont pas encore clairement élucidées. Certains évoquent une maladie incurable qui la rongeait depuis plusieurs mois... Une longue enquête commence auprès de ses proches.


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