• Il tire "au hasard" sur des passants :

    un mort et 2 blessés graves

    près de Metz

      lien
    le 31 mai 2015 à 07h24 , mis à jour le 31 mai 2015 à 10h45.

     


    votre commentaire
  • Deux enfants retrouvés morts dans le Nord,

    le père arrêté : "C'était un carnage"

    avec
    le 30 mai 2015 à 07h26 , mis à jour le 30 mai 2015 à 15h54.

    <section class="grid-200 fleft" id="content-list-left"><aside class="sz12 tag c1 aside166896 ombre1">

    lien

    </aside> </section> Faits diversUn père de famille est soupçonné d'avoir tué à l'arme blanche dans la nuit de vendredi à samedi deux de ses enfants et grièvement blessé le troisième. La fillette de deux ans et demi se trouvait toujours samedi entre la vie et la mort.
    Deux enfants morts et un troisième dans un état grave : voilà l'effroyable bilan d'un crime qui s'est joué dans la commune de Walincourt-Selvigny (Nord) dans la nuit de vendredi à samedi. La piste du drame familial est évoquée. Le père des trois victimes, âgées de deux mois, deux ans et quatre ans, "semble avoir donné la mort" à deux d'entre eux à l'aide d'un couteau, dans la maison familiale, selon les mots du sous-préfet de Cambrai Thierry Hégay.

    Le suspect voulait apparemment se suicider après les faits mais a été interpellé. Il devait faire l'objet d'examens médicaux à l'hôpital, avant d'être placé en garde à vue et d'être interrogé, si son état le permet, a précisé le procureur de la République de Cambrai, Rémi Schwartz.

    Ce sont les enfants âgés de deux mois et quatre ans qui sont décédés. La troisième, la fillette de  deux ans, se trouve "dans un état critique", entre la vie et la mort. Elle a été transportée par voie terrestre à l'hôpital. "A priori, personne n'a assisté aux meurtres", a ajouté le procureur.

    Le père serait atteint de "troubles psychiatriques"

    La femme et la belle-mère ont été légèrement blessées mais leur pronostic vital n'est pas engagé. Elles ont été admises à l'hôpital de Cambrai. La mère des enfants aurait notamment été frappée à l'aide d'une bûche. Trente sapeurs-pompiers ont été engagés peu avant minuit sur l'intervention, avec trois équipes médicales, a indiqué le Codis du Nord, qui a évoqué un "différend familial".

    Selon le sous-préfet de Cambrai, les infanticides présumés auraient eu lieu sur fond de dispute familiale, mais le père, âgé d'une trentaine d'années, "semblait atteint de troubles psychiatriques". Le procureur a évoqué de son côté des "troubles du comportement récents" de cet homme, selon les premiers éléments rapportés par des proches aux enquêteurs.

    Les gendarmes de la section de recherches de Villeneuve d'Ascq ont été  chargés de l'enquête, épaulés par la brigade de recherches de Cambrai. Vers 03h30 du matin, le village avait retrouvé son calme. La rue où se trouve la maison était bouclée, pour permettre aux enquêteurs de police scientifique de travailler tranquillement, dans cette bourgade de maisons en briques d'un peu plus de 2.000 âmes, entourée de champs.
    L'homme habitait une maison de plain-pied en brique, avec à l'arrière un  petit jardin où l'on pouvait distinguer un barbecue et des jeux d'enfants,  notamment un toboggan.
    "On les connaissait très bien, c'était un menuisier qui travaillait pour  les pompes funèbres de la commune", a déclaré à l'AFP le maire Daniel Fiévet.   Selon lui, le trentenaire, originaire du village, a fait bâtir une nouvelle  maison dans cette rue située au bout de la commune, où quelques nouvelles  demeures ont été récemment construites.   "Il travaillait beaucoup dans l'entreprise qui l'employait et pour  lui-même, car quand on fait bâtir, il y a énormément de travaux et il faisait  énormément de choses lui-même", a-t-il détaillé.
    "C'était un carnage avec du sang partout"


    "On est rentré dans la maison et c'est un carnage", "avec du sang partout",  a dit le maire, très affecté, sans apporter plus de détails. Yves Wayemberge, adjoint au maire et également présent devant la maison, est lui aussi dans un état de choc. "Je le connaissais bien et on le voyait à chaque enterrement. Il était plutôt papa poule avec ses enfants et c'était une famille sans histoire", a ajouté M. Wayemberge, également pompier volontaire. "Je n'avais remarqué aucun trouble particulier chez lui même s'il parait qu'il était en arrêt maladie depuis peu", a-t-il ajouté.


    votre commentaire
  • Trop de pickpockets, la Tour Eiffel

    fermée plusieurs heures

    - Publié le <time datetime="2015-05-22T12:54" itemprop="datePublished" pubdate=""> 22/05/2015 à 12:54</time> - Modifié le <time datetime="2015-05-22T18:08" itemprop="dateModified"> 22/05/2015 à 18:08</time>

     
     
    lien

    La Tour Eiffel, l'un des monuments les plus visités au monde, a été fermée plusieurs heures vendredi en raison d'un mouvement de protestation de ses agents d'accueil, inquiets de la "recrudescence" des pickpockets.

    La Société d'exploitation de la Tour Eiffel (SETE) a annoncé dans un communiqué le "retour à la normale" vendredi à 16H30 de l'activité de l'emblématique tour parisienne, qui accueille plus de 7 millions de visiteurs chaque année, dont environ 75% d'étrangers.

    A l'ouverture à 9H30, la majorité des salariés avaient choisi de "faire valoir leur droit de retrait" en raison d'une "recrudescence des agissements des pickpockets sur la Tour Eiffel et suite à plusieurs agressions et menaces".

    Ils exigeaient "des garanties formelles de la part de la direction afin que des mesures pérennes et efficaces soit prises pour mettre fin à ce fléau dont sont victimes quotidiennement de nombreux touristes".

    Après de premières discussions infructueuses avec la direction, la situation s'est débloquée en milieu d'après-midi.

    "Des choses ont été mises en place" permettant la reprise du travail, a indiqué à l'AFP un agent d'accueil ayant requis l'anonymat, sans fournir davantage de détails.

    Néanmoins, il n'y a "rien de définitif", "on fera un point dans quelques jours" pour voir si des solutions pérennes et satisfaisantes sont trouvées, a-t-il prévenu.

     

    - Des touristes déçus -

     

    Le droit de retrait, invoqué par des salariés qui estiment encourir un "danger grave et imminent" pour leur vie ou leur santé, avait surpris les touristes étonnés de trouver portes closes.

    "Nous avions réservé des places, nous sommes assez déçus", avait regretté Tushar Kardile, venu de Londres avec son frère, qui lui venait d'Inde, et accompagné de quatre enfants. "Quand nous sommes arrivés ici, il n'y avait personne pour nous expliquer ce qu'il se passait. Ils ont parfaitement le droit de se mettre en grève mais devraient prévenir le public", avait-il poursuivi.

    Les salariés "ont peut-être raison" de réagir, "mais nous aurions préféré avoir été avertis", avait regretté pour sa part Elena Sofronova, une Russe venue "pour l'anniversaire de (son) fils qui a 6 ans", "un peu déçu".

    Non loin des panneaux lumineux indiquant "la Tour Eiffel est momentanément fermée" en français et en anglais, des agents avaient fait oeuvre de pédagogie pour expliquer la situation aux visiteurs.

    "On demande des mesures de sécurité, on a beaucoup de problèmes avec les pickpockets", avait ainsi expliqué l'une d'elles à un touriste hispanophone.

    "Le public est compréhensif et encourageant. C'est aussi pour eux qu'on fait ça car ce sont les premières victimes", avait développé Mathieu, un salarié. "On se fait menacer, intimider", "le phénomène est exponentiel", donc "on tire la sonnette d'alarme".

    Les revendications des salariés? "On fait face à des vrais professionnels, on demande à ce que de vrais pros soient mis en face pour endiguer le phénomène", avait-il expliqué.

    La direction "est plutôt dans la position d'informer les visiteurs (de la présence de pickpockets, ndlr) pour se déculpabiliser mais manque de détermination" face à ce problème, avait expliqué à l'AFP un agent d'accueil, jugeant le phénomène "gênant pour un monument qui a un rayonnement international".

    "Quand le patronat veut surveiller ses salariés, il met des clients mystères. Pourquoi n'y aurait-il pas des touristes mystères, asiatiques", afin de "prendre les pickpockets en flagrant délit"? s'était-il interrogé.

    La direction avait de son côté assuré être "engagée dans une coopération active et durable avec la préfecture de police qui a conduit au renforcement continu des mesures visant à garantir la sécurité du personnel et du public".

    A Paris, 26.000 policiers doivent être déployés cet été sur une dizaine de sites touristiques emblématiques, pour lutter notamment contre les vols à la tire dont sont victimes les touristes.

    En avril 2013, les personnels du musée du Louvre avaient pareillement exercé leur droit de retrait au nom de la sécurité des touristes dans la capitale, qui attire près de 30 millions de visiteurs par an.

     

    22/05/2015 18:07:37 - Paris (AFP) - Par Sabine PRADELLA, Charlotte HILL - © 2015 AFP


    votre commentaire
  • Crash Germanwings : les 150 victimes identifiées,

    les permis d'inhumer signés

    19 Mai 2015, 17h39 | MAJ : 19 Mai 2015, 18h49  lien
     
     
    <figure> ILLUSTRATION. Les 150 victimes du crash de l'A320 de la Germanwings, qui s'est écrasé le 24 mars dans les Alpes-de-Haute-Provence, ont été identifiées et 150 permis d'inhumer ont été signés, <figcaption class="articleChapeau">ILLUSTRATION. Les 150 victimes du crash de l'A320 de la Germanwings, qui s'est écrasé le 24 mars dans les Alpes-de-Haute-Provence, ont été identifiées et 150 permis d'inhumer ont été signés, (AFP/Yves MALENFER)</figcaption> </figure>

    Les 150 victimes du crash de l'A320 de la Germanwings, qui s'est écrasé le 24 mars dans les Alpes-de-Haute-Provence, ont été identifiées et 150 permis d'inhumer ont été signés, a annoncé mardi le procureur de la République de Marseille.

     
    <aside class="bloc m10t" id="complements">

    Sur le même sujet

    <article class="article_list article76x45 img16-9">
    <figure> Crash de l'A320 : les médecins de la Lufthansa avaient recommandé un suivi du copilote </figure>
    </article> <article class="article_list article76x45 img16-9">
    <figure> AG de Lufthansa : une minute de silence en souvenir du crash de Germanwings </figure>
    </article> <article class="article_list article76x45 img16-9">
    <figure> Crash des Alpes : qui va payer </figure>
    </article> <article class="article_list article76x45 img16-9 sansImage"> </article> <article class="article_list article76x45 img16-9">
    <figure> INTERACTIF. Catastrophes aériennes : pourquoi les avions s'écrasent </figure>
    </article> <article class="article_list article76x45 img16-9">
    <figure> Crash de l'A320 : le copilote s'était entraîné à la descente lors du vol aller </figure>
    </article>
    </aside>



    La commission d'identification des victimes du crash, qui s'est réunie le 15 mai à Marseille, «a permis de valider l'identification des 150 victimes. Les 150 certificats de décès ont ainsi pu être signés, ainsi que les 150 permis d'inhumer», écrit le procureur Brice Robin dans un communiqué.

    Les actes de décès ont été remis par le procureur de Marseille aux représentants de la
    Lufthansa, maison-mère de Germanwings, «afin de permettre le rapatriement des corps des victimes auprès de leurs familles», précise le communiqué.

    Un long travail d'identification

    Depuis début avril et l'isolement de 150 profils ADN distincts, un long travail d'identification a été effectué grâce à la comparaison de ces profils avec l'ADN ante mortem des victimes, fourni par leurs proches.

    L'avion A320 reliant Barcelone à Düsseldorf s'est écrasé entre Barcelonette et Digne (Alpes-de-Haute-Provence). L'appareil de la compagnie Germanwings, filiale low cost de Lufthansa, avait décollé à 10 heures de Barcelone. 144 passagers et 6 membres de l'équipage étaient à bord. La catastrophe est due, selon l'enquête, à un geste volontaire du copilote Andreas Lubitz, 27 ans, qui a précipité l'avion au sol.

    VIDEO. Le travail d'identification des victimes a été difficile


    Crash: le difficile travail d'identification... par leparisienAFP

    <svg height="269" style="overflow: hidden; position: relative;" width="542" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg"><defs></defs><rect fill="#00a0f0" height="18" r="0" rx="0" ry="0" stroke="#007cc8" stroke-width="1" style="" width="258" x="190" y="10"></rect><rect fill="#a0dbf9" height="18" r="0" rx="0" ry="0" stroke="#7ab5d2" stroke-width="1" style="" width="258" x="190" y="34"></rect><rect fill="#a0dbf9" height="18" r="0" rx="0" ry="0" stroke="#7ab5d2" stroke-width="1" style="" width="235" x="190" y="59"></rect><rect fill="#7ab5d2" height="18" r="0" rx="0" ry="0" stroke="#5490ac" stroke-width="1" style="" width="229" x="190" y="83"></rect><rect fill="#a0dbf9" height="18" r="0" rx="0" ry="0" stroke="#7ab5d2" stroke-width="1" style="" width="218" x="190" y="107"></rect><rect fill="#a0dbf9" height="18" r="0" rx="0" ry="0" stroke="#7ab5d2" stroke-width="1" style="" width="206" x="190" y="132"></rect><rect fill="#a0dbf9" height="18" r="0" rx="0" ry="0" stroke="#7ab5d2" stroke-width="1" style="" width="189" x="190" y="156"></rect><rect fill="#a0dbf9" height="18" r="0" rx="0" ry="0" stroke="#7ab5d2" stroke-width="1" style="" width="178" x="190" y="180"></rect><rect fill="#a0dbf9" height="18" r="0" rx="0" ry="0" stroke="#7ab5d2" stroke-width="1" style="" width="178" x="190" y="204"></rect><rect fill="#a0dbf9" height="18" r="0" rx="0" ry="0" stroke="#7ab5d2" stroke-width="1" style="" width="149" x="190" y="229"></rect></svg>
    Mauvaise navigation au sol
    45
    Mauvaises conditions météorologiques
    45
    Défaillances de la réglementation
    41
    Mauvaise performance globale de l'équipage
    40
    Vérifications insuffisantes en cabine
    38
    Mauvaise gestion de la sécurité
    36
    Ecarts de direction ou de vitesse
    33
    Erreurs de pilotage
    31
    Contre-vérifications insuffisantes
    31
    Anomalies techniques
    26
    Mauvaise navigation au sol

    00:00
    1 janvier 1900

    Aviation : un siècle d'énigmes et de mystères

    La disparition en mars dernier du vol MH370 dans l'océan Indien n'est que la dernière en date d'une longues séries d'énigmes qui ont jalonné l'histoire de l'aviation. Des pionniers de l'aérospatiale évaporés durant leurs exploits aux long-courriers plus récents engloutis par les océans, les disparitions non élucidées se sont certes raréifiées avec le développement des bureaux d'enquête. Mais des dizaines de catastrophes n'ont toujours pas livré leurs secrets.


    Tanguy de l'Espinay


     


    votre commentaire
  • Un corps correspondant à Marcus

    retrouvé dans une rivière

    • Home ACTUALITE Société
      • Par
      • Mis à jour <time datetime="2015-05-03T18:47:39+02:00" itemprop="dateModified">le 03/05/2015 à 18:47</time>
      • Publié <time datetime="2015-05-03T18:43:36+02:00" itemprop="datePublished"> le 03/05/2015 à 18:43</time>
      • lien
    <figure class="fig-photo"> Des recherches sur la rivière Oise, le 24 avril dernier. <figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">

     

    </figcaption> </figure>

    Ce garçonnet de 2 ans a disparu depuis le 24 avril. Un travail d'analyse et d'autopsie doit confirmer l'identité de l'enfant.

     

    Le petit Marcus a-t-il été retrouvé? Un corps correspondant trait pour trait au signalement de ce garçonnet de deux ans et demi porté disparu depuis dix jours, a été retrouvé flottant dans un cours d'eau dimanche à Auvers-sur-Oise (Val-d'Oise). Une autopsie va maintenant être réalisée afin de vérifier qu'il s'agit de l'enfant concerné et de déterminer les causes de son décès, a précisé le procureur de Pontoise Yves Jannier auprès du Parisien.

    D'importantes recherches avaient été mises en oeuvre et le parquet de Pontoise avait confié jeudi à un juge d'instruction les investigations pour retrouver ce garçonnet réunionnais qui était en vacances avec sa mère dans le Val-d'Oise quand il a disparu. Il s'était volatilisé vendredi 24 avril alors qu'il jouait dans le jardin du pavillon de sa tante situé en bordure de l'Oise, à une trentaine de kilomètres au nord de Paris.

    Grâce à un appel à volontaires lancé par la gendarmerie, une grande battue réunissant plus d'un millier de personnes avait été organisée dans la forêt de l'Isle-Adam, toute proche, mais n'avait rien donné de «probant». Le père de l'enfant craignait lui un enlèvement, mais le parquet n'a jamais privilégié la piste du rapt.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique