• Istanbul : atterrissage d'urgence

    pour un Airbus A320

    touché à un réacteur

    Par , publié le <time datetime="2015-04-25 11:10:30" itemprop="dateCreated">25 avril 2015 à 11h10</time> | modifié le <time datetime="2015-04-25 11:38:11" itemprop="dateModified">25 avril 2015 à 11h38 lien </time>

     
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    Samedi, un avion de la Turkish Airlines a dû atterrir d'urgence sur l'aéroport international d'Istanbul après que l'un des ses réacteurs ait pris feu.

    Il y a un peu moins d'un mois, un Airbus A320 sortait de piste à l'aéroport international Stanfield d'Halifax (Canada), un atterrissage manqué qui n'aura cependant fait que des blessés, légers pour la majorité d'entre eux. Dans ce cas précis, l'origine de l'incident résidait vraisemblablement dans le heurt de lignes électriques provoqué par une visibilité réduite.

    Atterrissage d'urgence : le réacteur d'un A320 en flammes

    Cet atterrissage d'urgence aurait été motivé, d'après la presse turque, par l'inflammation de l'un des réacteurs de l'A320. Une hypothèse à la valeur relativement certaine étant donné que la chaîne d'information en continu NTV a diffusé des images présentant un réacteur en feu lors de l'atterrissage de cet avion.

    Des passagers sains et saufs

    L'agence de presse Dogan indique quant à elle que les passagers ont été évacués sans délai et sains et saufs de l'Airbus. L'incendie a été maîtrisé et éteint grâce à l'intervention des pompiers et MYTF1News précise que l'appareil a pu se poser sans complications. On ignore cependant encore la ou les raison(s) ayant conduit ce réacteur à s'enflammer.


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  • Meurtre de Chloé. A Calais, 5 000 personnes

    pour la marche blanche

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    Environ 5 000 personnes ont participé dans le recueillement jeudi soir à la marche blanche en mémoire de Chloé, neuf ans, enlevée, violée et tuée mercredi à Calais.

    « On a compté environ 5 000 participants à la fin de la manifestation », qui avait débuté vers 18 h 00, a indiqué un porte-parole de la préfecture du Pas-de-Calais, selon qui l'itinéraire a dû être modifié en raison de l'affluence.

    Natacha Bouchart, la maire de Calais, s'est adressée au micro à la foule, avant le départ de la marche : « Chloé n'était qu'une enfant, Chloé n'était que joie. Aujourd'hui, nous pleurons tous une enfant qui ne voulait que vivre ». « Comment affronter notre douleur ? », s'est-elle interrogée.

    La famille de Chloé ouvrait le défilé

    « Nous exprimons ensemble la douleur qui nous accable. Un destin terrible et injuste a fauché cette enfant qui ne nous sera jamais rendue », a-t-elle déclaré devant une foule émue.

    Après un bref rassemblement devant l'hôtel de ville, les participants ont commencé leur marche en direction du quartier où Chloé a été enlevée, à quelques minutes à pied du centre-ville de Calais.

    La famille de Chloé - ses parents, sa sœur et ses deux frères - ouvrait le défilé, très émue, portant des T-Shirts affichant la photo de la petite fille de neuf ans. La maire de Calais, Natacha Bouchart, était en tête de cortège.

    « Repose en paix »

    Celui-ci a été très silencieux. Il était composé de quantité d'enfants, d'adolescents et de leurs parents, la plupart recueillis et le visage ferme, certains portant des roses jaune pâle. Une seule banderole, « Repose en paix », a été brandie.

    « On s'aperçoit que nos enfants ne sont pas à l'abri », a affirmé Cathy, mère de quatre filles âgées de 18 à 23 ans.

    En veut-elle à la justice d'avoir relâché un récidiviste ? « Oui et non parce qu'ils ne peuvent pas faire ce qu'ils veulent (...) », a répondu la quadragénaire, visiblement très émue. « Mais les professionnels qui décident de les relâcher (les récidivistes), on aimerait qu'ils passent quelques années à vivre avec eux », a-t-elle ajouté.

    Joffrey, 29 ans, est venu la rose à la main : « Je ne pensais pas qu'il y aurait autant d'émotion, on devait venir pour elle, personne ne mérite ça », a-t-il dit.

    « Ma vie ne pouvait pas continuer, mais je le fais pour elle »

    Après être passés devant le domicile de l'enfant, dans une barre HLM de petite taille, proche du square où elle a été enlevée, les marcheurs ont défilé jusqu'à l'école de Chloé.

    Ils ont terminé leur parcours en rejoignant l'hôtel de ville, à l'issue d'un défilé d'une heure.

    Sur le perron de la mairie, la maire de Calais, aux cheveux courts teintés de mèches blondes, a de nouveau pris la parole au micro pour « remercier du fond du cœur » les participants.

    « Ma vie ne pouvait pas continuer, mais je le fais pour elle (Chloé) », a déclaré la mère de la fillette, la voix troublée par les sanglots, avant d'entrer avec sa famille dans l'hôtel de ville en compagnie de Mme Bouchart.

    Ainsi se terminait une journée douloureuse, qui avait commencé avec l'annonce par le procureur à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), Jean-Pierre Valensi, des aveux du suspect

    Le Premier ministre Manuel Valls avait déjà promis un peu plus tôt que « toute la vérité sera(it) faite pour comprendre l'itinéraire » du suspect polonais. Sa garde à vue a été prolongée jeudi soir de 24 heures. 

    Les interrogatoires vont se poursuivre jusqu'à vendredi, a indiqué le parquet, soulignant sa volonté de « prendre le temps de boucler au mieux » l'enquête. 

    Une information judiciaire devait être ouverte pour enlèvement suivi de mort, et viol sur mineur de 15 ans.


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  • Société     lien

    Suicide de Jean Germain: «On aurait tort d  
    Suicide de Jean Germain: «On aurait tort d'accuser la presse ou la justice»

    Le suicide hier matin de l'ancien maire de Tours, le sénateur Jean Germain, provoque une vague d'émotions mercredi parmi les éditorialistes qui réfutent les accusations portées sur la presse dans ce drame. «La mort tragique d'un élu ordinaire», titre en Une Le Parisien/Aujourd'hui en France. «Tours entre chagrin et stupeur», écrit Libération alors que Le Figaro souligne la «vive émotion après la fin tragique de Jean Germain».

    «Il a jugé insupportable sa traduction devant la justice», relève Laurent Joffrin dans Libération. Jean Germain «a préféré la mort au déshonneur», note Bruno Dive, de Sud Ouest. Même constat pour Patrice Chabanet, du Journal de la Haute-Marne, «il n'a pas supporté le déshonneur» et pour Jean-Louis Hervois de la Charente Libre, le sénateur «n'a pas supporté que l'idée qu'il se faisait de son honneur soit bafouée.»

    «C'est un spectacle bien surréaliste»

    «Hier, les noces ont viré au drame dans la cité tourangelle», déplore Florence Chédotal, pour La Montagne Centre France. Passée l'émotion, «le suicide d'un homme est toujours triste», rappelle Baptiste Laureau, dans Paris-Normandie, les éditorialistes se demandent «qu'est-ce qui peut pousser un homme politique, rompu aux combats», comme le souligne Bruno Dive (Sud Ouest), à mettre fin à ses jours et refusent les accusations portées sur la presse ou la justice.

    «C'est un spectacle bien surréaliste que de voir des sénateurs s'autoriser à rendre justice eux-mêmes (...) s'offusquer de ce "tous pourris " dont ils s'estiment victimes, et accuser juges et journalistes d'avoir escorté un homme tout droit vers la mort», assène Florence Chédotal, dans La Montagne.

    «On aurait tort d'accuser la presse ou la justice, aussi cruelle soit l'info en accéléré et à cadence continue que permettent aujourd'hui les médias», renchérit Jean-Louis Hervois, pour La Charente Libre. Pour Daniel Muraz, du Courrier Picard, ce drame «ne doit pas conduire à une mise en accusation a priori du travail de la justice ou des médias, quand ceux-ci cherchent à mettre en lumière le fonctionnement de la vie publique.»

    «Les chiens auraient été lâchés»

    Jean Germain a laissé une lettre d'adieu dans laquelle il écrit notamment: «On ne peut laisser la chasse systématique aux politiques se dérouler normalement, quotidiennement.» «L'accusation est terrible. Cette chasse, à bien y regarder, ne touche pas beaucoup d'élus», estime Raymond Couraud, dans l'Alsace. «Les chiens auraient été lâchés déchiquetant la réputation d'un homme jusqu'à le tuer. Mais quels chiens?,» s'étonne Jean-Marie Montali, dans Le Parisien.

    «C'est plus l'attitude générale de l'opinion et des médias envers les hommes politiques qui est en cause. L'humanité blessée et brisée de Jean Germain vient nous le rappeler utilement», conclut Laurent Joffrin, dans Libération.

    Jean Germain, s'est suicidé mardi à 67 ans, peu de temps avant de comparaître devant le tribunal correctionnel de Tours. Il était poursuivi pour «complicité» dans l'organisation, à la mairie de Tours, de simulacres de mariage pour touristes chinois qui ont donné lieu à des malversations, selon les magistrats instructeurs et le parquet.


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  • Journée noire dans les Hautes-Alpes :

    cinq morts en montagne

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    Le Point - Publié le <time datetime="2015-04-01T18:18" itemprop="datePublished" pubdate=""> 01/04/2015 à 18:18</time> - Modifié le <time datetime="2015-04-01T22:46" itemprop="dateModified"> 01/04/2015 à 22:46</time>

    Trois skieurs sont morts dans une avalanche dans le massif des Ecrins, deux ont dévissé et chuté dans le Dévoluy.

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    De nombreux secouristes ont été dépêchés après le déclenchement d'une avalanche dans le massif des Écrins.

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    De nombreux secouristes ont été dépêchés après le déclenchement d'une avalanche dans le massif des Écrins. © Jean-Pierre Clatot / AFP

     

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    Journée noire dans les Hautes-Alpes : cinq morts en montagne

    Le Point - Publié le <time datetime="2015-04-01T18:18" itemprop="datePublished" pubdate=""> 01/04/2015 à 18:18</time> - Modifié le <time datetime="2015-04-01T22:46" itemprop="dateModified"> 01/04/2015 à 22:46</time>

    Trois skieurs sont morts dans une avalanche dans le massif des Ecrins, deux ont dévissé et chuté dans le Dévoluy.

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> De nombreux secouristes ont été dépêchés après le déclenchement d'une avalanche dans le massif des Écrins. <figcaption>De nombreux secouristes ont été dépêchés après le déclenchement d'une avalanche dans le massif des Écrins. © Jean-Pierre Clatot / AFP </figcaption> </figure></header>

    Cinq skieurs ont péri mercredi dans deux accidents de montagne dans les Hautes-Alpes : deux Autrichiens et un Italien dans une avalanche dans le massif des Ecrins, parmi un groupe d'étrangers dont un autre membre a été grièvement blessé, et deux qui ont dévissé dans le Dévoluy. La victime grièvement blessée, un Autrichien, était en état "d'urgence absolue" et son pronostic vital était engagé, avait indiqué dans un premier temps la préfecture. Evacué en hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble, il faisait toujours l'objet d'examens, notamment de scanner, dans la soirée, a précisé le parquet de Gap. Des vérifications d'identité, toujours en cours, ont permis de déterminer que l'une des victimes décédées était de nationalité italienne, contrairement à un premier bilan évoquant trois Autrichiens.

    L'avalanche s'est déclenchée mercredi vers 15H00, sous le col Émile Pic, à plus de 3 000 mètres d'altitude, sur la commune de Pelvoux. Les quatre victimes faisaient partie d'un groupe de dix skieurs étrangers, encadrés par un guide, dont on ignore encore s'il figure parmi les victimes. Les sept autres personnes, qui n'ont pas toutes été emportées par la coulée de neige, ont été mises en sécurité au refuge des Ecrins, a indiqué le directeur départemental du Service départemental d'incendie et secours (SDIS), le lieutenant-colonel Patrick Moreau.

     
     

    De nombreux secouristes aidés d'hélicoptères ont été dépêchés sur place : 24 secouristes des PGHM de Modane, Briançon et du Versoud avec leurs chiens, ainsi qu'une trentaine de sapeurs-pompiers des Hautes-Alpes. Mais le vent soufflant à plus de 80 km/h sur les lieux de l'avalanche compliquait leur tâche. "Les secouristes font des levées de doute mais il n'y a pas de signe qu'il y ait d'autres personnes sous l'avalanche", a souligné Patrick Moreau.

    Risque "marqué" de 3 sur 5

    "Il y avait beaucoup de vent et avec la neige de Pâques, c'est une neige très lourde et nous avons eu, comme ça s'est passé en janvier, une plaque à vent qui a malheureusement emporté les skieurs", a déclaré sur Europe 1 le préfet des Hautes-Alpes, Pierre Besnard, qui s'est rendu sur les lieux. Le risque d'avalanche était "marqué", avec un risque de 3 sur une échelle de 5, mercredi sur tous les massifs des Hautes-Alpes.

    Un peu plus tôt dans la journée, dans ce même département, deux randonneurs à ski ont été retrouvés morts dans le massif du Dévoluy, au lieu-dit "Les Aiguilles du Mas", à Saint-Disdier. Selon le préfet, ces skieurs de randonnée ont très certainement dévissé. "Ils ont chuté et sont décédés", a-t-il dit. Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a exprimé sa vive émotion après cette avalanche meurtrière.

    Depuis le début de la saison de ski, les avalanches avaient déjà coûté la vie à 31 personnes au cours de 23 accidents, majoritairement lors de randonnées à ski ou en hors-piste, selon un décompte de l'Association nationale pour l'étude de la neige et des avalanches (Anena). Avec l'avalanche de mercredi dans les Hautes-Alpes, le bilan monte à 34 morts.

    L'accident le plus meurtrier s'est produit le 24 janvier dans le village de Ceillac, dans le massif du Queyras, déjà dans les Hautes-Alpes. Une cordée de six skieurs expérimentés avait été retrouvée ensevelie par une des avalanches les plus meurtrières dans les Alpes françaises ces dernières années. Chaque hiver, la montagne fait une trentaine de victimes. La saison dernière avait été moins funeste avec 21 personnes décédées.

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    Crash de l’A320 : Lufthansa dit ignorer les problèmes de santé du copilote

    Jean-Philippe Lacour / Correspondant à Francfort | <time datetime="2015-03-29T16:02:37+02:00">Le 29/03 à 16:02, mis à jour à 16:24 lien </time>
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    Lufthansa dit ignorer les problèmes de santé du copilote qui a causé le crash de l’A320 de sa filiale low cost Germanwings - AFP PHOTO / PATRIK STOLLARZ

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    La maison-mère allemande de Germanwings n’avait apparemment pas connaissance des problèmes psychiques et de santé du copilote qui a causé le crash du vol dans les Alpes.

    Lufthansa n’a pas eu connaissance de l’état psychique fortement altéré ou d’autres maladies du copilote qui a, selon les éléments de l’enquête en cours, causé le crash du vol Germanwings dans les Alpes françaises. « Nous n’avons pas nos propres informations sur le sujet », a répondu ce dimanche une porte-parole de Lufthansa à la question de savoir si la maison-mère de Germanwings avait connaissance de l’état de profonde dépression dont souffrait le copilote de 27 ans Andreas L.ubitz.

    Jamais le copilote lui-même, ni des psychiatres ou psychologues qui l’ont suivi, et qui sont tenus au secret médical, n’ont informé la compagnie aérienne. « C’est pourquoi nous n’en avons rien su », a ajouté la même source. Pas plus n’a-t-elle su que le jeune professionnel avait un usage immodéré de médicaments. Il aurait dû le mentionner lors de son examen médical annuel.

    La compagnie allemande n’avait pas non plus connaissance des problèmes oculaires du copilote dont font état de nombreux médias . « Non, je ne peux le confirmer », a indiqué le porte-parole. Chaque pilote doit faire examiner sa vision dans le cadre d’un contrôle médical annuel. Aucun trouble visuel n’a été détecté lors du dernier test médical, sinon cela aurait empêché le copilote de pouvoir voler, a ajouté le porte-parole. Ce dimanche, le « Bild » rapporte qu’Andreas Lubitz. aurait souffert d’un décollement de la rétine, une affection oculaire guérissable mais qui, si elle n’est pas prise à temps, peut définitivement empêcher un pilote de voler.

    Un staff médical suffisant  ?

    Très mobilisée pour gérer sa communication de crise, Lufthansa est confrontée à des informations de l’édition dominicale de « die Welt » attestant que le service médical de la compagnie est longtemps resté en sous-effectif. Des emplois promis n’ont pas été suivis d’embauches et ce durant une longue période, ont raconté des sources proches du groupe. Lufthansa emploie 20 médecins sur trois centres, Francfort, Hambourg et Munich. « Nous avons suffisamment de médecins spécialisés dans le domaine aérien. Nous nous fions aux obligations légales et allons bien au-delà », assure la porte-parole du groupe Barbara Schädler, citée par le journal. Un dispositif qui n’a pas pu apparemment empêcher la terrible défaillance humaine à l’origine du crash du vol 4U9525.

    LIRE AUSSI Crash de l’A320  : le suivi psychologique des pilotes n’est pas infaillible

    Jean-Philippe Lacour, à Francfort
    </section>
    En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/tourisme-transport/0204263120565-crash-de-la320-lufthansa-dit-ignorer-les-problemes-de-sante-du-copilote-1106350.php?AbqVahbdgjqmlALh.99

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