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Par marialis2.2 le 23 Juin 2015 à 20:52
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Bouygues Telecom dit non à SFR
</header>Le conseil de Bouygues a refusé la cession de la filiale Bouygues Telecom à SFR pour plus de 10 milliards d’euros.
C’est non ! Réuni depuis 18h mardi soir, le conseil d’administration de Bouygues a décidé de ne pas donner suite à l’offre de rachat à 10 milliards de SFR pour la filiale Bouygues Telecom. « C’est un non catégorique », selon une source proche du dossier. Le conseil aurait été unanime considérant que les risques d’exécutions seraient trop importants. C’est un sacré camouflet pour Patrick Drahi dont les méthodes ont manifestement irrité les administrateurs.
Plus d’infos dans quelques minutes sur lesechos.fr
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Par marialis2.2 le 18 Juin 2015 à 10:17
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Etats-Unis: un tireur blanc fait neuf morts dans une église noire
<time>Publié le 18-06-2015 à 06h14Mis à jour à 10h05 lien </time></header>logo<article>
Washington (AFP) - Un tireur blanc a fait neuf morts mercredi soir dans une église de la communauté noire de Charleston en Caroline du sud (sud-est des Etats-Unis) avant de réussir à prendre la fuite.
La police a indiqué être toujours à la poursuite d'un homme blanc, âgé d'une vingtaine d'années, aux cheveux blonds et glabre, portant un jean et des grosses chaussures.
"Nous avons pu constater qu'il y avait huit individus décédés à l'intérieur de l'église", a expliqué le chef de la police, Gregory Mullen, au cours d'une conférence de presse. Il a précisé que l'un des deux blessés, transportés à l'hôpital le plus proche, y était décédé.
"A ce stade nous avons neuf victimes de ce crime hideux", a-t-il dit, estimant qu'il s'agissait "d'un crime motivé par la haine".
Le chef de la police n'a pas donné de précisions sur les identités des victimes.
La fusillade s'est produite vers 21H00 locales (01H00 GMT), a précisé la police, dans l'une des plus vieilles églises noires de la ville, l'Emanuel African Methodist Episcopal Church.
Le tireur a fait feu pendant une séance d'étude de la bible, une pratique extrêmement courante dans les églises du sud des Etats-Unis, en semaine comme le dimanche.
Malgré un très important déploiement des forces de l'ordre, y compris des moyens aériens, le tireur, que le chef de la police a qualifié de "très dangereux", n'avait toujours pas été retrouvé cinq heures après le drame.
"Comme vous pouvez l'imaginer, nous avons trouvé une scène très chaotique quand nous sommes arrivés", a souligné le chef de la police.
La police traque le suspect avec des chiens et "nous voulions nous assurer qu'il n'était pas dans les parages pour commettre d'autres crimes", a-t-il ajouté.
- Tensions raciales -
C'est un nouveau coup dur pour la communauté noire aux Etats-Unis. Même s'il s'agit à Charleston d'un incident de nature très différente, elle avait déjà été très éprouvée depuis l'été dernier par plusieurs homicides commis par des officiers de police blancs contre des hommes noirs non armés.
Depuis Ferguson à l'été 2014 et jusqu'à tout récemment à Baltimore, ces actes, qui restent souvent impunis, ont ravivé les tensions raciales dans le pays et renforcé la communauté dans l'idée que la vie des Noirs ne compte pas autant que celle des Blancs.
C'est l'avènement des smartphones dotés de caméras qui a permis de souligner l'ampleur du problème en révélant instantanément ces événements sur les réseaux sociaux et dans les médias.
Les réactions à l'attaque de mercredi soir ont très rapidement afflué.
La gouverneure de Caroline du sud Nikki Haley a appelé à la prière "en soutien aux victimes de cet acte incompréhensible".
Jeb Bush, candidat républicain à la présidentielle, a indiqué sur son compte Twitter, que "nos pensées et nos prières vont aux individus et aux familles touchées par les tragiques événements de Charleston".
"Des nouvelles terribles de Charleston - mes pensées et mes prières sont avec vous tous", a aussi tweeté Hillary Clinton, candidate démocrate à la présidentielle, qui était en réunion électorale à Charleston mercredi.
Mike Huckabee, un autre Républicain en course par la Maison Blanche, a également joint ses prières.
En revanche ni le président Barack Obama, ni la ministre de la Justice Loretta Lynch n'avaient encore réagi jeudi vers 06H00 GMT.
Pendant quelques minutes des images des télévisions locales ont fait penser que le tueur avait été arrêté moins de deux heures après l'attaque. Elles ont montré un jeune homme qui pouvait correspondre au signalement, menotté et encadré par deux officiers, mais la police a indiqué qu'elle continuait à rechercher un suspect.
</article>Sur le web : Fusillade dans une église noire aux Etats-Unis: plusieurs morts
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Par marialis2.2 le 5 Juin 2015 à 15:17
EN DIRECT. Après 1h50 de jeu, Tsonga-Wawrinka (3-6, 7-6 [1]) : le Français égalise à un set partout
Le Point.fr - Publié le 05/06/2015 à 06:21 - Modifié le 05/06/2015 à 15:00
Tsonga a attendu les premières failles chez son adversaire pour remporter le 2e set au tie-break (7-6 [1]). Tout est relancé dans cette demi-finale !
Par Tidiany M'Bo lien
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Par marialis2.2 le 4 Juin 2015 à 12:06
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INA: Mathieu Gallet visé par une enquête
pour «favoritisme»
VIDÉO - L'ex-patron de l'Institut national de l'audiovisuel, désormais à la tête de Radio France, est dans le viseur du parquet de Créteil. Des éléments transmis par le ministère de la Culture montrent de possibles irrégularités dans l'attribution des marchés publics.
Un rapport l'avait blanchi des accusations de dépenses inconsidérées en tant que PDG de Radio France. Cette fois, c'est pour son action en tant que président de l'Institut national de l'audiovisuel (INA), poste qu'il a occupé de 2010 à 2014, que Mathieu Gallet est inquiété. Une enquête préliminaire pour «favoritisme» sur «des contrats passés entre 2010 et 2014» a été ouverte par le parquet de Créteil.
Cette enquête préliminaire fait suite à un signalement du ministère de la Culture, qui a transmis au parquet une «série d'éléments (…) susceptibles d'être irréguliers au regard des règles encadrant l'attribution des marchés publics», précise le parquet, jeudi. L'enquête est confiée à la Brigade de répression de la délinquance économique.
Alors que les accusations de dépenses dispendieuses se multipliaient à l'encontre de Mathieu Gallet, Le Canard Enchaîné avait déjà révélé en mars dernier que l'Inspection générale des Finances se penchait sur les sommes engagées lorsqu'il était en poste à l'INA. Selon le journal satirique, l'ex-patron de l'INA aurait fait rénover deux bureaux parisiens pour une somme totale de 125.000 euros lorsqu'il était en poste.
Par ailleurs, le conseiller en communication Denis Pingaud, rémunéré à hauteur de 90.000 euros par an par le PDG de Radio France, aurait également été employée à l'époque où Mathieu Gallet était à la tête de l'INA. Le communicant se partageait alors le travail avec d'autres entreprises de conseil, pour plus d'un million d'euros. Soit plus de 1 % du budget annuel de l'INA, qui fonctionne en grande partie grâce à des financements publics.
Il y a un mois, Le Canard Enchaîné a également relayé une note de Bercy indiquant que Mathieu Gallet aurait enfreintes règles de mise en concurrence des marchés publics lors de sa présidence. Étonnée qu'aucune suite judiciaire ait été donnée, l'association de lutte contre la corruption Anticor a porté plainte contre X pour délit de favoritisme la semaine dernière.
Une procédure distincte de celle engagée contre Agnès Saal
Cette enquête préliminaire n'est pas la même que celle ouverte mardi pour «détournement de fonds publics» autour des frais de taxi de l'ex-présidente de l'INA Agnès Saal, a précisé le parquet de Créteil. A la tête de l'institution de mai 2014 à avril 2015, cette dernière est dans la tourmente depuis la publication, en avril, d'un rapport détaillé sur ses notes de taxis, qui atteignent plus de 40.000 euros en dix mois de fonction. Cette révélation l'a poussée à démissionner de son poste à l'INA sur demande du ministère de la Culture, qui a lancé une enquête administrative.
Mardi, la ministre de la Culture Fleur Pellerin a décidé de saisir la justice et a transféré au procureur de la République une plainte pour détournement de fonds publics visant Agnès Salle. Une procédure distincte, donc, de celle engagée à l'encontre de Mathieu Gallet.
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Par marialis2.2 le 3 Juin 2015 à 16:55<header class="article_header">
Claude Guéant mis en garde à vue
dans l'affaire des sondages de l'Elysée
<nav class="breadcrumb" role="breadcrumb">Claude Guéant le 27 mai 2012 à Boulogne-Billancourt.
afp.com/THOMAS SAMSON
</figcaption> </figure> </header>Dans l'affaire des sondages de l'Elysée sous Sarkozy, six personnes ont été mises en garde à vue, dont Claude Guéant, Xavier Musca et Emmanuelle Mignon.
L'ancien ministre de l''intérieur, Claude Guéant, a été placé en garde à vue, mercredi 3 juin, dans le cadre de l'enquête sur les sondages de l'Elysée, effectués sous la présidence de Nicolas Sarkozy, et conduite par le juge d'instruction parisien Serge Tournaire. Selon nos informations, les enquêteurs de la police judiciaire parisienne cherchent à déterminer qui a commandé ces études d'opinion à partir de 2008 à neuf instituts de sondage, dont celui de Patrick Buisson, ex-conseiller politique de l'ancien chef de l'Etat et de Pierre Giacometti, qui remplit aujourd'hui les mêmes fonctions auprès de Nicolas Sarkozy.
Information judiciaire pour "favoritisme", et "détournement de fonds publics"
A l'époque des faits, Claude Guéant occupait la fonction de secrétaire général de l'Elysée. Les conditions dans lesquelles ont été ordonnés ces sondages avaient d'abord fait l'objet d'un rapport de la cour des comptes, puis de l'ouverture d'une information judiciaire en décembre 2012 pour d'éventuels faits de "favoritisme", et "détournement de fonds publics". Les soupçons portent notamment sur les conditions dans lesquelles ces sondages ont été attribués. L'association Anticor, spécialisée dans la lutte contre la corruption avait déposé dès 2010 une plainte contre X.
Selon nos informations, d'autres anciens collaborateurs de Nicolas Sarkozy à l'Elysée sont également entendus par les enquêteurs. Il s'agit de Xavier Musca, qui a succédé en 2011 à Claude Guéant au secrétariat général de l'Elysée et d'Emmanuelle Mignon, conseillère de l'ancien président de la République de 2008 à 2009.
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