• Política doble fletxa Última actualització Diumenge, 24 de febrer de 2013 18:00 h   
    lien

    La CUP va contractar per 2.000.-€ “Método 3” #clavegueresdelEstat

    El Col•lectiu d’Unitat Popular de Valls s’ha vist involucrat en la trama d’espionatge al contractar fa 3 anys l’agencia de detectius segons publica elvallenc.com


    La CUP de Valls apareix en uns dels 169 informes realitzats per Método 3 amb el nom “d’Unitat Popular.” És tractaria d’un informe encarregat l’any 2010 a l’agència de detectius per investigar Albert Batet i Gabarró, pare de l’alcalde de Valls, Albert Batet i Canadell. Segons el Vallenc.com la confirmació d’aquest encàrrec ha causat sorpresa i estupor pel fet que l’organització política aparegui en la relació com a sol·licitant d’una investigació.  

    loto, cup


    Comparteix
       


    Etiquetes

    Actualitat


    publicitat
    <a href='http://ads.catmedia.cat/www/delivery/ck.php?n=a748f6bd&cb=INSERT_RANDOM_NUMBER_HERE' target='_blank'><img src='http://ads.catmedia.cat/www/delivery/avw.php?zoneid=5&cb=INSERT_RANDOM_NUMBER_HERE&n=a748f6bd' border='0' alt='' /></a>
    Molt dolent Fluix Interessant Molt bo Excepcional ( 7 vots )

    La CUP de Valls paga quasi 2.000.-€ a Método 3 per un recull de dades públiques

    En un comunicat la CUP de Vall raona els motius per contractar la polèmica agència de detectius que ha estat al servei del CNI, del diari líder de la caverna mediàtica El Mundo i que s’ha dedicat a fabricar dossiers per encàrrec per contractar el seus serveis.

    Método 3 ha pres el pèl a la CUP per facturar quasi 2.000.-€ per un informe públic de 15 pagines.

    La CUP, Método 3, El Mundo i les clavegueres de l’estat


    La CUP va encarregar aquest informe un any abans de les eleccions municipals de 2011 en un intent d’obtenir informació que poguessin afectar a l’alcalde de Valls o la seva família, una pràctica que deixa tocada la mateixa CUP i que exigeix explicacions i dimissions dels seus responsables.

    La CUP perd la virginitat política

    La contractació d’una agència de detectius com Método 3 relacionada clarament amb les clavegueres de l’estat per espiar a l’adversari polític fa perdre la virginitat política a la Candidatura d’Unitat Popular 


    votre commentaire
  • Barcelonès doble fletxa Dissabte, 23 de febrer de 2013 19:00 h   
    lien

    Manifestació al centre de Barcelona per reclamar "justícia social" coincidint amb el 23-F

    Barcelona (ACN).- Milers de persones protesten al centre de Barcelona per reclamar "justícia social" coincidint amb el 23-F. La manifestació ha començat amb tres columnes des de diferents punts i ha confluït a la plaça de Catalunya, on els ciutadans marxen cap a la plaça Sant Jaume, sota el lema 'Fem-los fora! Juntes podem!'. La mobilització està convocada per diferents associacions i plataformes, entre les que n'hi ha de defensa dels serveis públics, com la Plataforma Unitària en Defensa de la Universitat Pública (PUDUP), en contra de la repressió policial, com Stop Bales de Goma, i de rebuig a la precarització laboral, com els Iaioflautes o assemblees 15M.


    votre commentaire
  • <header class="cf" id="headline">

    Pyrénées-Orientales Mobilisation annoncée contre la "privatisation" du Train jaune

    Le 21 février à 6h00 par Estelle Devic | Mis à jour il y a 17 heures   lien

    </header> <figure class="articleImage">

    e. Parmi eux, des touristes, certes, mais pas seulement...

    <figcaption class="caption">e. Parmi eux, des touristes, certes, mais pas seulement... PHOTO/Photo Harry Jordan</figcaption> </figure>

    Rien n'est encore décidé. Une réflexion est menée actuellement avec la Région et plusieurs hypothèses sont envisagées pour garantir la survie du Train jaune, un fleuron du patrimoine", assure-t-on à la direction régionale de la SNCF. Une déclaration que conteste avec vigueur la CGT qui organise une manifestation samedi matin pour s'opposer à la "privatisation" du Train jaune.

    RN116 : mobilisation annoncée samedi matin sur la route des stations de ski

    "Nous pouvons affirmer aujour- d'hui de source sûre que le président du conseil régional avec la complicité de la direction de la SNCF envisage, en catimini et sans débat démocratique, de sortir le Train jaune de la SNCF pour le transférer dans une société d'économie mixte dont la seule mission serait l'activité touristique", affirme Julien Berthelemy, secrétaire-général de la CGT qui appelle à la mobilisation. "Ainsi, avec les cheminots du Train jaune, la CGT a décidé d'agir en étant présents sur la RN116 ce samedi afin d'informer et de sensibiliser la population et les élus". Le rendez-vous étant donné à 9 h au rond-point de Villefranche-de- Conflent en ce premier jour de vacances scolaires, on peut s'attendre à de fortes perturbations sur la route des stations de ski. D'autant plus que les manifestants se rendront ensuite au pont Séjourné où une banderole sera mise en place. Centenaire, le Train jaune doit déjà sa survie à une lutte locale qui, au milieu des années 80, avait permis d'éviter sa fermeture.

    3,15 M € de subventions encore votés en novembre

    Plus récemment, en 2011, la Région a octroyé une subvention d'urgence à la SNCF de plus d'un million d'euros pour des travaux sur le matériel roulant, "évitant ainsi l'arrêt de la circulation pour des raisons de sécurité", rappelait l'institution régionale en novembre dernier au moment de voter une nouvelle subvention de 3,15 millions d'euros "pour une première phase de travaux de renouvellement de la voie estimée à 9,45 M €». Globalement, l'institution régionale a déjà investi 31 M € depuis 2007 pour la sauvegarde du Train jaune. La ligne qui accueille près de 160 000 passagers par an, principalement des touristes en été est dans un état "alarmant", toujours selon le conseil régional. La voie et le matériel roulant nécessitent en permanence une remise en état. RFF a estimé à 30 M € le montant des travaux à prévoir encore. Première phase urgente : le remplacement de 18 km de rails et de 4 500 traverses entre Joncet et Font-Romeu. Une situation de "sursis permanent" souligne la région. "Les collectivités ne peuvent venir en sauveurs de dernière minute par des subventions sans vision stratégique". Le conseil régional l'a pourtant encore fait en novembre dernier. "Cet effort n'aura de sens que si les acteurs responsables, c'est-à-dire la SNCF, dépassent tout autant leur archaïsme de principe que leur gestion bureaucratique du dossier, pour donner un vrai avenir à la ligne". Un avis qui sonne comme une mise en garde même si la région confirme également que le travail de concertation continue avec la SNCF. 160 000 passagers par an pour le vénérable Train jaun

     

    <section class="encart" role="complementary">

    Quatre questions à Christian Bourquin

    La CGT craint pour l'avenir du Train jaune et évoque la création d'un outil, une SEM, qui conduirait à sa "privatisation". Qu'en pensez-vous ?
    Aujourd'hui, le Train jaune est surtout menacé de disparition. Il est totalement obsolète, qu'il s'agisse de la voie ou du matériel roulant. Il faudrait investir en tout 200 M € pour le remettre aux normes et, encore, il n'est pas garanti que ce soit techniquement possible. Nous mettons des rustines partout en permanence mais cette situation ne peut pas durer.

    Comment faire pour sauver le Train jaune ?
    Ce qu'il faut aujourd'hui, c'est un vrai projet. On doit définir un nouveau modèle économique. Bien qu'élément structurant du territoire, le Train jaune ne peut effectivement fonctionner seul. Il y a une réflexion à mener avec tous les partenaires et les acteurs économiques sur le développement de tout ce qui gravite autour de la ligne. La Région est, bien sûr, prête à y prendre part notamment pour sauver l'emploi. Si on est capable de définir de véritables ambitions, on pourra ainsi maintenir les centres de maintenance de Villefranche et de Béziers.

    La région continuera-t-elle à colmater les brèches en attendant ?
    On vient de voter une subvention urgente qui a permis à l'État et au conseil général des P.-O. de suivre pour un montant total de près de 10 M € mais il est clair que nous ne pourrons pas mettre sans arrêt de l'argent si un véritable projet n'est pas défini. La ligne dépend de la SNCF et n'est pas dans les compétences obligatoires de la Région. Je demande à tout le monde de s'y mettre et, bien sûr, confirme que le conseil régional accompagnera alors. Je suis personnellement très attaché au Train jaune, l'arête centrale du PNR (Parc naturel régional) que je préside.

    Mais si la SNCF décidait de lâcher le Train jaune ? J'en serais désolé mais la Région ne peut malheureusement pas être partout. 200 M €, c'est disproportionné et la réalité parle.

    </section>

    votre commentaire
  • Societat
    El Partido Popular les vol admetre com a "bé d'interès cultural"     lien

    Cap al retorn de les corrides de toros a Catalunya, al setembre

    Dijous, 7.2.2013. 22:30h L'abolició de les corrides de toros a la Catalunya del Sud, aprovada el 2010, suscita una reacció del Partido Popular espanyol, que en preveu el restabliment classificant la tauromàquia entre els "béns d'interès cultural" espanyols. Segons el president de la comissió Cultural del Congrés espanyol, Juan Manuel Albendea, el procediment iniciat ha de permetre una tornada de les curses de braus a Catalunya a partir del mes de setembre. L'abolició de les corrides de toros aprovada pel Parlament de Catalunya el juliol de 2010, en el marc exclusiu de la Catalunya del Sud, pot ser objecte d'una tornada en darrere. Concretament, la pròxima admissió al catàleg dels Béns d'Interès Cultural espanyols, de les pràctiques de tauromàquia amb matança, prevista entre els mesos de juny i setembre, n'hauria d'imposar la restauració al conjunt de l'estat espanyol. Aquesta voluntat, que sorprèn tant els àmbits antitaurins com nacionalistes catalans, ha estat expressada el 7 de febrer pel president de la comissió Cultural del Congrés espanyol, Juan Manuel Albendea, membre del molt dretà Partido Popular (PP) i gran aficionat a les corrides. Aquest canvi radical es traduiria fàcilment en una llei, en resposta a les 590.000 firmes d'une "Initiativa legislativa Popular" per al restabliment dels espectacles dedicats, dipositades el març de 2012 per la federació d'entitats Taurines de Catalunya al mateix Congrés.

    Suport esperat de la dreta i del partit socialista espanyol


    votre commentaire
  • Societat
    Batalla subterrània entre partits polítics de totes les tendències  lien

    Escàndol d'espionatge polític a Barcelona

    Diumenge, 17.2.2013. 21:30h Un cas d'espionatge de gran magnitud s'està revelant dia rere dia a la Catalunya del Sud, on s'ha encarregat operacions il·legals durant diversos anys a través de l'agència especialitzada Método 3. Nombrosos homes polítics de tots els bàndols són concernits, en el marc d'una guerra subterrània entre partits.

    Un ampli escàndol d'espionatge polític revela els seus detalls des de dilluns 11 febrer a Barcelona, en un gran encabestrament d'interessos. Aquest cas ha començat amb la revelació de l'existència de la gravació d'una conversa entre la presidenta del Partit Popular de Catalunya (PP), Alícia Sánchez Camacho, i Victoria Álvarez, antiga companya de Jordi Pujol Ferrussola, fill de l'antic president de la Generalitat de Catalunya, Jordi Pujol, fundador del partit polític Convergència i Unió (CiU). El comanditari d'aquest document realitzat el juliol de 2010 en un restaurant de Barcelona per l'agència de detectius Método 3 seria l'antic secretari de l'organització del Partit Socialista de Catalunya (PSC), José Zaragoza, segons el diari El Mundo del 12 de febrer. L'obtenció d'informacions sobre el finançament de CiU, partit nacionalista català majoritari, sembla ser la intenció d'aquest actor polític adversari de CiU i del PP.

    500 informes redactats sobre personalitats

    En una setmana, la policia espanyola ha desencauat 500 informes constituïts sobre personalitats polítiques, segons mètodes il·legals de vegades aplicats durant diversos anys. Diferents fonts properes a la investigació destaquen que periodistes, jutges i dirigents econòmics també han estat víctimes del sistema, que ha contemplat bàsicament els partits polítics CiU, PP i PSC. Persisteixen interrogacions en relació a la identitat d'altres comanditaris d'aquest espionatge, que ha apuntat, entre altres personalitats, l'expresident de la Generalitat de Catalunya, José Montilla, l'actual vicepresidenta, Joana Ortega, l'antic líder independentista Josep Lluís Carod-Rovira i l'alt dirigent de CiU Felip Puig. El temor, expressat pel govern espanyol és que s'acabin escampant aquests informes amb canal de tipus Wikileaks, que podria desestabilitzar l'arquitectura política. Pel se costat, el 17 de febrer, el portaveu del govern català, Francesc Homs, ha assenyalat la revelació sobtada d'aquests procediments com una maniobra del govern espanyol per treure credibilitat al procés sobiranista català.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique