• Stéphane Richard devrait rester à la tête d'Orange

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      • Mis à jour <time data-ago="il y a 21 minutes" data-original="le 16/06/2013 à 16:20" datetime="2013-06-16T16:20:52+02:00" itemprop="dateModified">le 16/06/2013 à 16:20</time>
      • Publié <time datetime="2013-06-14T17:50:44+02:00" itemprop="datePublished">le 14/06/2013 à 17:50</time>
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    <figure class="fig-photo"> Le sort du PDG d'Orange sera connu lundi.<figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">

     

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    L'État, actionnaire d'Orange à hauteur de 27%, devrait se prononcer pour son maintien, selon Le Monde. L'avenir de Stéphane Richard à la tête d'Orange se joue demain lors d'un conseil d'administration extraordinaire.

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    Stéphane Richard devrait continuer à diriger Orange malgré sa mise en examen pour «escroquerie en bande organisée» dans le cadre de l'affaire Tapie. Selon Le Monde, ce dimanche, l'État et en particulier le ministre de l'Économie, Pierre Moscovici, auraient arrêté leur position s'agissant de l'avenir de Stéphane Richard et pencheraient en faveur de son maintien en poste. Trois facteurs ont pesé dans cette décision, explique le quotidien: l'intérêt de l'entreprise, servi par un Stéphane Richard PDG, le soutien d'une partie des syndicats et des cadres ainsi que le contenu de la mise en examen. Lors du conseil d'administration extraordinaire qui se réunira lundi pour sceller le sort de Stéphane Richard, les trois représentants de l'État, qui détient 27% d'Orange, devraient donc se prononcer pour qu'il reste à son poste.

    L'État ne dispose que de trois administrateurs sur les quinze qui composent le conseil d'administration, mais leur décision pourrait s'imposer à d'autres. Car le pouvoir de l'État au conseil d'Orange ne se limite pas à son seul poids financier dans l'entreprise, estime le cabinet Proxinvest, spécialiste des questions de gouvernance d'entreprise. «Sur les quinze membres du conseil d'administration d'Orange, dix peuvent être considérés comme non libres de conflit d'intérêts potentiel», affirme Loïc Dessaint, directeur associé.

    Les salariés divisés

    Sept membres sont pourtant ce que l'on appelle «des membres indépendants»: ils ne représentent ni le personnel de la société ni l'État. Un profil qui rend leur vote difficile à anticiper. Sur ces sept membres, tous sont «libres de conflit d'intérêts», selon Orange. Ils devraient donc prendre leur décision en leur âme et conscience. Faux, répond Proxinvest. «Nous contestons la qualification d'indépendance de Claudie Haigneré (ancienne ministre de droite et spationaute). En tant que président d'un établissement public (Universcience) nommé par l'État, elle nous semble sous sa dépendance.» Autre administrateur ciblé par Proxinvest: Charles-Henri Filippi, président de Citigroup France. Après Stéphane Richard, il est l'administrateur qui détient le plus d'actions d'Orange. «France Télécom noue des relations d'affaires existantes avec Citibank, filiale du groupe Citigroup», ajoute-t-il. Selon Le Monde, quatre de ces administrateurs indépendants seraient in fine favorables au maintien de Stéphane Richard.

    Outre Stéphane Richard, président du conseil d'administration, les trois représentants de l'État et les sept membres indépendants, trois personnes exprimeront lundi le point de vue des salariés élus par le personnel et un exprimera celui des salariés actionnaires. Ce dernier devrait voter en faveur du maintien de Stéphane Richard. Les autres, en revanche, apparaissent plus divisés sur le sort de leur patron.


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    Affaire Cahuzac : le nom de l'ex-ministre du budget

    ne figure pas dans la note de la DCRI

    Le Monde.fr | <time datetime="2013-06-13T11:54:46+02:00" itemprop="datePublished">13.06.2013 à 11h54</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-06-13T12:29:49+02:00" itemprop="dateModified">13.06.2013 à 12h29</time>

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    <figure class="illustration_haut"> Jérôme Cahuzac, le 3 juin 2013. </figure>

    La Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) a bien transmis une note blanche à Manuel Valls, le 19 décembre 2012, en pleine affaire Cahuzac. Dans ce document, déclassifié le 12 juin et dont Le Monde a eu connaissance, le nom de l'ancien ministre du budget n'apparaît pas, contrairement à ce qu'avaient cru savoir plusieurs organes de presse. Titrée "Eléments en possession de la DCRI concernant l'affaire UBS", cette note estampillée "confidentiel défense" relate, sur une page, les circonstances dans lesquelles le renseignement intérieur a eu accès à des informations liées à l'évasion fiscale et à la banque suisse.

    Lire : Cahuzac : la note de la DCRI en question

    "En avril 2009, relate le rédacteur, la DCRI, via sa direction départementale de Nice, a eu connaissance par une source humaine de l'implication de cette banque dans la mise en place d'un schéma d'évasion fiscale au profit de clients français à destination de la Suisse (...) Courant 2009, la source a apporté des éléments à l'appui de ses dires, précisant l'organisation mise en place au sein de la banque UBS France, avec le soutien opérationnel de sa maison mère suissse..."

    La DCRI précise avoir intégré ces données dans le système informatique du service, tout en assurant qu'"aucune transmission extérieure n'a été réalisée par la DCRI". En effet, la "source" a aussi révélé les supposés délits à l'autorité de contrôle prudentiel (ACP), notamment à l'occasion d'un rendez-vous daté du 16 avril 2009. De fait, en janvier 2011, l'ACP ordonne un contrôle sur UBS France. Des noms apparaissent à cette occasion, sportifs célèbres, membres de la jet-set. Depuis, une instruction judiciaire est en cours, au pôle financier de Paris.

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    "En dépit d'instructions formelles données à la source de ne pas nous communiquer d'informations nominatives concernant ces bénéficiaires car relevant de la compétence exclusive des services fiscaux, elle [la source] transmettait un document relatif à cette affaire à son traitant (...) Les autorités locales du renseignement intérieur prenaient alors la décision de le transmettre sous enveloppe fermée directement à l'échelon directorial", explique la DCRI. Le nom de M. Cahuzac n'apparaît pas, donc, ce 19 décembre 2012, comme il ne figure pas non plus dans le listing confié par la "source", auquel Le Monde a eu aussi accès.

    Entendu le 11 juin par la commission d'enquête parlementaire sur l'affaire Cahuzac, le patron de la DCRI, Patrick Calvar, avait refusé de livrer le contenu de cette note, bridé par le tampon "confidentiel-défense". Le rapporteur de la commission, le député PS Alain Claeys, avait alors demandé le 12 juin au ministre de l'intérieur de lui communiquer la note de la DCRI.

    Ce document a été déclassifié le jour même, et Manuel Valls a décidé de le transmettre à la commission d'enquête, en joignant une lettre d'explication. "Compte tenu de la nature et de l'ampleur de l'affaire, la DCRI a vérifié dans sa documentation si elle disposait d'une quelconque information relative soit à M. Cahuzac, soit à la banque UBS en relation avec cette affaire (...). Ce sont les seules recherches qui ont été effectuées."

    Et M. Valls de préciser : "Le nom de M. Cahuzac s'est révélé inconnu de la documentation de la DCRI."

    Lire : Cahuzac : les faits, les commentaires, les hypothèses

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  • Société

    Bac: dernière ligne droite

    <time datetime="2013-06-12T14:16:40+02:00" itemprop="datePublished">12 juin 2013 à 14:16     </time>lien

    Des candidats prennent connaissance des sujets au bac de philosophie

    Des candidats prennent connaissance des sujets au bac de philosophie (Photo Martin Bureau. AFP)

    Près de 665.000 candidats au baccalauréat vont inaugurer lundi la première session de l’examen issue de la réforme du lycée, un cru marqué aussi par de nouvelles mesures de lutte contre la fraude.

    Les élèves du bac général donneront le coup d’envoi le 17 juin au matin, avec la traditionnelle épreuve de philosophie, en même temps que ceux du bac professionnel qui passeront l’épreuve de français. Dans l’après-midi, ce sera au tour des candidats au bac technologique de disserter en philo.

    La philosophie figure au programme du baccalauréat de façon quasi ininterrompue depuis sa création sous Napoléon en 1808. A l’origine, c’était un examen oral, en latin.

    Le directeur général de l’enseignement scolaire, Jean-Paul Delahaye, a présenté mercredi à la presse la logistique de l’examen. «Le bac ne souffre pas d’immobilisme, il y a des ajustements réguliers», a-t-il souligné.

    La réforme du lycée général et technologique, lancée en 2010 en seconde, est arrivée cette année en terminale. Les modifications concernent notamment les coefficients, les épreuves dans de nouvelles disciplines suivant les séries (littérature étrangère en langue étrangère, informatique et sciences du numérique, sciences sociales et politiques... ) et les épreuves de langues vivantes dans certaines séries.

    L’objectif était d’améliorer l’orientation et de rééquilibrer les séries, notamment au profit de la série littéraire (L), en perte de vitesse face à la série scientifique, bien que les bacheliers S ne poursuivent pas tous des études scientifiques.

    Parmi les nouvelles épreuves, celle de compréhension orale en langues vivantes, passée dans l’année par les candidats des séries économique et sociale (ES), scientifique (S) et des séries technologiques, a suscité de nombreuses critiques. Elèves et enseignants dénoncent un manque d’égalité et d’anonymat: confection des sujets déléguée aux profs, difficulté variable, enseignants évaluant quelquefois leurs propres élèves, dates de passage disparates...

    «Bachotage»

    Le ministre Vincent Peillon, qui s’est concentré sur le primaire, a décidé d’attendre que la réforme du lycée finisse de se mettre en place avant de l’évaluer. Mais il estime que la réforme «n’a pas porté ses fruits pour rééquilibrer les filières».

    Il a déjà indiqué qu’il voulait garder les langues vivantes dans toutes les filières et une épreuve orale. «On est les derniers dans les classements internationaux» pour la pratique des langues, a-t-il rappelé.

    Cette année encore, l’accent sera mis sur la lutte contre les fraudes, pour éviter que ne se renouvelle la fuite d’un exercice de la série S qui avait ébranlé il y a deux ans l’examen emblématique.

    Des détecteurs de téléphones portables seront installés dans toutes les académies et les sanctions ont été renforcées en cas de fraude ou de tentatives de fraude: le diplôme pourra même être retiré en attendant une nouvelle délibération du jury sur les résultats du candidat.

    Cette année aussi, la question d’une réforme du bac revient à cause de son coût et de son organisation complexe.

    Le principal syndicat des personnels de direction de l’Education nationale SNPDEN-Unsa estime le «vrai coût» du bac général et technologique à 1,5 milliard d’euros, contre «50 à 100 millions d’euros» habituellement annoncés. Il réclame un examen plus simple sur une semaine.

    Interrogé sur cette estimation, M. Delahaye s’est borné à répondre: «cette étude est évidemment très intéressante. Le sujet du jour n’est pas celui-là. C’est une question que nous n’éluderons pas». Le ministère estime à 83,60 euros le coût par candidat l’année dernière.

    Le premier syndicat lycéen UNL déplore un «bachotage qui n’a aucun intérêt pédagogique» et milite pour «quatre bacs étalés en milieu et fin des années de première et de terminale».

    «Nous aurons à faire évoluer le bac. Il n’est pas gravé dans le marbre à jamais», a dit M. Peillon.

    Entre 1960 et 2012, le taux de réussite au bac a augmenté, passant de 60,5% à 84,5%.

    M. Delahaye a toutefois déploré «des écarts insupportables de réussite» au bac selon les origines sociales. «Trois catégories sociales aujourd’hui voient pour leurs enfants les chances d’obtenir le bac, quel qu’il soit, diminuer: les enfants d’inactifs, d’employés de service et d’ouvriers non qualifiés».


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    Pour un nouveau statut juridique de l'animal
     

    En signant cette pétition, vous ferez entendre la voix des animaux et permettrez à la Fondation 30 Millions d’Amis de renforcer la pression de l’opinion publique sur le ministre de la Justice et le législateur.

    À l'attention de Christiane Taubira, ministre de la Justice

    Le pays des Droits de l’Homme ne serait-il pas assez éclairé pour reconnaître les droits des êtres vivants doués de sensibilité ? Nos concitoyens sont parmi les plus favorables au respect du bien-être animal : pour 90% d’entre eux, il fait même partie intégrante de la famille (Ipsos, 2004). Plus de 200 ans après sa rédaction en 1804, notre Code civil n'a toujours pas évolué et considère encore les animaux comme des "biens meubles" (art. 528). Il accuse donc un décalage certain avec la mentalité contemporaine qu'il est grand temps de combler. Aujourd’hui, l'animal est devenu une préoccupation sociale suffisamment forte pour que le législateur s'interroge sur une nouvelle définition de son régime juridique, comme l'a déjà fait la plupart de nos voisins européens.

    Je m'associe donc à la demande de la Fondation 30 Millions d'Amis de faire évoluer le régime juridique des animaux et demande au législateur de retirer l’animal du droit des biens et de créer dans le Code civil, à côté des “Personnes” et des “Biens” une troisième catégorie pour les “Animaux”.

    En ce sens, je soutiens la proposition visant à modifier l’intitulé du Livre II du Code civil comme suit : “Des animaux, des biens et des différentes modifications de la propriété” avec un Titre 1er “Des animaux” où il devra être spécifié que l’animal est un être vivant et sensible.


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  • Accueil > Sports > Roland Garros : des anti mariage gay perturbent la finale

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    Roland Garros : des anti mariage gay

    perturbent la finale

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    <time datetime="2013-06-09T17:57:42" itemprop="dateCreated">Créé le 09-06-2013 à 17h57</time> - <time datetime="2013-06-09T18:12:00" itemprop="dateModified">Mis à jour à 18h12</time>

    Des "hommen", opposants au mariage pour tous, ont brièvement interrompu la fin du 2e set de la finale Nadal-Ferrer.

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    Des hommen, opposés au mariage gay, ont perturbé la finale de Roland Garros. (David Vincent/AP/SIPA)

    Des hommen, opposés au mariage gay, ont perturbé la finale de Roland Garros. (David Vincent/AP/SIPA)

    <aside class="obs-article-brelated" style="margin-left:20px;"> <header class="obs-blocktitle">Sur le même sujet</header>

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    La finale du Tournoi de Roland-Garros dimanche 9 juin entre Rafael Nadal et David Ferrer a été perturbée durant le deuxième set par la manifestation de quelques personnes dans le public, puis l'intrusion d'un homme sur le court, hostiles à la loi récemment adoptée en France autorisant le mariage pour les personnes de même sexe, a constaté l'AFP.

    La première manifestation a eu lieu en haut des gradins. Selon un cliché de l'AFP, deux spectateurs brandissaient une pancarte hostile à la loi sur le mariage pour tous portant l'inscription, en anglais: "à l'aide, la France piétine les droits des enfants". Après une brève interruption de jeu, ils ont été évacués du stade.

    Quelques minutes plus tard, un homme torse nu et portant un masque est entré avec des fumigènes sur le Central, immédiatement évacué par les services de sécurité. Sur son torse était inscrit, également en anglais: "droit des enfants."

    "Contre la loi Taubira"

    Un journaliste de l'AFP a vu quatre jeunes personnes âgées d'une vingtaine d'années quitter le stade, escortées par la sécurité dans le calme. "On manifeste contre la loi Taubira parce qu'on craint pour l'avenir de nos enfants", a déclaré l'un deux à l'AFP.

    L'Espagnol Rafael Nadal a remporté dimanche son huitième Roland-Garros en battant son compatriote David Ferrer en trois sets 6-3, 6-2, 6-3.

    Nadal devient le premier joueur de l'histoire du tennis à remporter huit fois le même tournoi du Grand Chelem, dépassant l'Américain Pete Sampras et le Suisse Roger Federer qui ont gagné Wimbledon à sept reprises.


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