• Décapitation en Syrie : le second bourreau français identifié

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      • Mis à jour <time data-ago="il y a 1 heure" data-original="le 19/11/2014 à 13:52" datetime="2014-11-19T13:52:47+01:00" itemprop="dateModified">le 19/11/2014 à 13:52</time>
      • Publié <time data-ago="il y a 5 heures" data-original=" le 19/11/2014 à 10:08" datetime="2014-11-19T10:08:37+01:00" itemprop="datePublished"> le 19/11/2014 à 10:08</time>
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    <figure class="fig-photo"> Michaël Dos Santos, 22 ans, pourrait être le second suspect français figurant sur la vidéo de décapitations multiples commises en Syrie et diffusée dimanche par la propagande de l'État Islamique.<figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description"></figcaption> </figure>

    Les services de renseignements confirment, avec une quasi certitude, que Michaël Dos Santos, converti de 22 ans, originaire de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), est le second suspect français figurant sur la vidéo des décapitations diffusée dimanche par l'État islamique.

     

    Les moteurs de recherche tournent à plein régime et les analystes des services de renseignements ont établi que Michaël Dos Santos, français de 22 ans originaire de Champigny-sur-Marne dans le Val-de-Marne est le second suspect français figurant sur la vidéo de décapitations multiples commises en Syrie et diffusée dimanche par la propagande de l'État islamique. Cette information a été révélée par France 2.

    «Nous travaillons bien sur cet individu sans pouvoir encore affirmer avec une absolue certitude qu'il s'agit bien de celui qui apparaît à l'image, le couteau à main», précisait lundi matin au Figaro une source proche du dossier. L'identification a été depuis lors confirmée.

    Dès lundi, lors de la conférence de presse, le procureur de la République de Paris, François Molins avait confirmé qu'«outre Maxime Hauchard, un second individu français pourrait être impliqué». La section antiterroriste du parquet de Paris et la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ont donc validé cette hypothèse. Naturalisé français en 2009, Dos Santos est parti rejoindre les rangs de l'État islamique en août 2013. Parfaitement connu de la justice, il fait l'objet d'un mandat d'arrêt dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en octobre 2013.

    Il a menacé la France au nom de l'État islamique

    Sévissant en Syrie sous le nom de guerre d'Abou Uthman, il a posté sur son compte Twitter quelque 170 messages où l'on trouve de la littérature salafiste et des photos de soldats décapités, dont une avec ce commentaire: «si tu veux réussir comme lui combat l'état islamique». Le fanatique voit aussi dans l'extrait de La Marseillaise, «qu'un sang impur abreuve nos sillons», un appel direct au djihad. En légende de photographie d'explosions, il confesse: «J'ai hâte de voir la tête des mécréants le jour de la 1ère dougma en France! Tu seras mort avant».

    Le 14 octobre, il menaçait directement la France dans une vidéo où il apparaissait portant une kalachnikov: «Nous allons donner un message à la France par rapport aux bombardements en Irak et en Syrie. Nous vous avons prévenus, vous êtes en guerre contre l'Etat islamique. Nous sommes des gens à qui la victoire sera assurée avec l'aide de Dieu», déclare-t-il avec véhémence.

    Des liens avec un troisième français

    Maxime Houchard, français âgé lui aussi de 22 ans, a été reconnu dès lundi par la police et par ses proches. Originaire de Le Bosc-Roger-en-Roumois, petit village de 3200 âmes dans l'Eure, ce garçon a priori sans histoire a passé une paisible enfance dans le bocage normand avant de s'auto-radicaliser à l'âge de 17 ans et de prêter allégeance à l'État islamique au nom du pire.

    Comme ses camarades sur la vidéo, on le voit en treillis couleur sable, coiffé d'un bonnet noir, un long couteau de type commando à la main en train de pousser et mettre à genou un prisonnier présenté comme un soldat syrien. On ne le voit pas exécuter l'otage mais on distingue alors la tête de ce dernier détachée de son corps.

    Michaël Dos Santos serait donc à ses côtés, habillé et armé de la manière, tenant lui aussi un autre prisonnier agenouillé devant lui avant d'être décapité.

    De possibles liens pourraient être esquisser avec un dénommé Salim Benghalem, supposé être un ancien animateur du Val-de-Marne condamné en 2007 pour une tentative de meurtre. Ciblé par les États-Unis sur une liste noire de djihadistes, il aurait même été nommé bourreau officiel en Syrie, coupant les mains des voleurs et lapidant avec zèle les femmes selon une source informée.


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  • TERRORISME Il demande à François Hollande de «tout faire pour le libérer»....

    Aqmi diffuse une vidéo montrant un otage présenté comme le Français Lazarevic

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    <figure class="oembed oembed-photo" data-src-format="photo" role="group"> Les otages français Serge Lazarevic et Philippe Verdon sur une photo rendue publique par Al-Andalus, la branche médiatique d'Aqmi, le 9 décembre 2011. <figcaption>Les otages français Serge Lazarevic et Philippe Verdon sur une photo rendue publique par Al-Andalus, la branche médiatique d'Aqmi, le 9 décembre 2011. - HO / AGENCE NOUAKCHOTT INFORMATIONS / AFP</figcaption> </figure>

    L.B. avec AFP

    Le groupe islamiste Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) publie ce lundi une vidéo montrant le seul otage français encore détenu dans le monde, Serge Lazarevic. Un otage néerlandais apparaît à ses côtés, a rapporté le centre de surveillance des sites djihadistes SITE. Dans cette vidéo, Serge Lazarevic indique que ses jours sont en danger. Il demande à François Hollande de «tout faire pour le libérer».

    David Thomson        âœ” @_DavidThomson

    Nouveau message video de l'otage français Serge Lazarevic via @VegetaMoustache @RFI https://archive.org/details/aqmi1435  pic.twitter.com/eRmjvipt9S

    Serge Lazarevic "je lance un appel solennel à François Hollande de tout faire pour me libérer, je suis très malade"

    Serge Lazarevic, 50 ans, a été enlevé également au Mali le 24 novembre 2011 en compagnie de Philippe Verdon, qui lui a été retrouvé mort d’une balle dans la tête en juillet 2013.


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    Etat islamique : ce que l'on sait du Français suspecté d'être parmi les bourreaux de Peter Kassig

    L' Obs <time>Publié le 17-11-2014 à 10h45</time>

    Selon plusieurs spécialistes des questions de terrorisme, un jeune homme de 22 ans originaire de Normandie apparaît sur la vidéo de l’exécution de Peter Kassig revendiquée par l'EI.

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    Maxime de son vrai prénom, converti à l'islam, originaire de Normandie, se ferait appeler "Abou Abdallah Al Faransi". (DR) Maxime de son vrai prénom, converti à l'islam, originaire de Normandie, se ferait appeler "Abou Abdallah Al Faransi". (DR)
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    L'organisation ultra-radicale Etat islamique (EI) a revendiqué l'exécution par décapitation de l'otage américain Peter Kassig, en représailles à l'envoi de conseillers militaires américains en Irak, dans une vidéo mise en ligne dimanche 16 novembre dont l'authenticité a été confirmée par la Maison Blanche.

    Sur ces images, on aperçoit parmi les bourreaux un homme à la barbe fournie, au bonnet noir et au treillis beige. Il pousse devant lui un otage et saisit un couteau. Cet homme pourrait être un jeune de 22 ans originaire de Normandie converti à l’islam. Que sait-on de lui ?

    # Est-on sûr qu'il y a un Français parmi les bourreaux ?

    Selon "Le Figaro", les services des renseignements français procéderaient depuis dimanche soir à des vérifications pour confirmer ou non la présence d'un Français parmi les combattants djihadistes présents sur la vidéo. La place Beauvau n'a ni confirmé, ni écarté cette hypothèse : 

    Des vérifications sont en cours, cela pourrait prendre plusieurs jours", indique-t-on. 

    # Qui pourrait être ce Français ?

    Jean-Charles Brisard, spécialiste des questions de terrorisme, affirme au "Figaro" avoir reconnu "au moins" un Français sur la vidéo.

    Il s'agit d'un jeune homme de 22-23 ans, originaire de Normandie, qui est parti en Syrie en août 2013", avance ce consultant international.

    Ce combattant djihadiste avait témoigné sur BFMTV en juillet dernier. Son vrai prénom serait Maxime mais il se ferait appeler "Abou Abdallah Al Faransi", Al Faransi voulant dire "le Français" en arabe.

    Sur BFMTV, le journaliste Julien Martin, qui a enquêté sur le jeune homme, est lui aussi catégorique, rapporte "Le Parisien". "Je l'ai reconnu, je suis quasiment certain qu'il s'agit de la même personne. J'ai également recueilli les témoignages de deux proches, sûrs eux-aussi qu'il s'agit de la même personne", précise-t-il.

    Même son de cloche chez David Thomson, reporter à RFI et auteur du livre "Les Français jihadistes", qui assure sur Twitter qu'il s'agit bien d'Abou Abdallah Al Faransi sur la vidéo.

     

    View image on Twitter

    Il s'agit de Abu Abdallah al Faransi, Maxime de son vrai prénom, converti, originaire de Normandie

    # Comment est-il devenu combattant de l'EI ?

    Pour RTL, le jeune homme avait créé en 2010 une petite société de vente de pièces détachées sur internet. C’est justement sur le web qu’il aurait "découvert et appris [l’islam] grâce à des vidéos", comme il le raconte dans l’interview donnée à BFMTV via Skype.

    Dans ce reportage, il explique s’être converti à l’islam à 17 ans, puis serait parti seul en Syrie, via la Turquie, avant d’être pris en charge à Raqqa, le fief de l’Etat islamique. Là, il aurait été en camp d'entraînement et aurait participé à des "opérations".

    Les gens pensent tous qu'il y a une sorte de gourou qui met des choses dans la tête, en fait non, j'ai rencontré personne", explique-t-il à visage découvert face à la webcam.

    Au moment de l’entretien, il confiait à BFMTV qu'il allait participer à une mission "spectaculaire" et qu'il était prêt à mourir en martyr. Car la mort, il "l'attend avec joie". "Quand on me dit 'untel est parti', ça fait plaisir, c'est l'objectif de chacun [...] C'est la plus grande récompense, c'est le martyr", livrait-il.

    # Comment réagissent ses proches ?

    RTL a interrogé plusieurs de ses proches dans la petite ville de Bosc-Roger-en-Roumois, à une demi-heure de Rouen. "Je suis très choqué. Je me demande comment on peut en arriver là, à cet âge-là", raconte Hugo, l’un de ses amis, après avoir visionné la vidéo.

    "C'était quelqu'un de très gentil, de très joyeux. Quelqu'un qui était derrière ses copains", se souvient Geoffrey, un autre de ses amis qui l'a vu changer de religion sans penser qu'il s'était radicalisé.

    Il a arrêté les cours au bout d'un moment. Il s'est converti petit à petit. Il allait à la mosquée, il faisait ses prières."

    Une autre proche de Maxime, rencontrée par BFMTV après son départ pour la Syrie, se lamentait : "Il s'est laissé pousser la barbe, il a arrêté de boire de l'alcool, et tolérait moins ceux qui en buvaient à côté de lui, ce qui l'a isolé un peu, que ce soit dans sa famille, ou avec ses amis. Il a arrêté de faire la bise aux femmes, aussi. Pourquoi est-il parti là-bas ?"

    # Y a-t-il un second Français parmi les bourreaux ?

    Des doutes subsistent quant à la présence d'un deuxième Français parmi les bourreaux. "On évoque deux Français. Mais le second, je ne le connaissais pas personnellement", explique le spécialiste des questions islamistes Romain Caillet sur France Info. "Il y a une très forte présomption qu'il y a un, voire deux Français", a noté pour sa part auprès de BFMTV Jean-Charles Brisard. 

    # Combien de Français ont rejoint les rangs de l'EI ?

    Fort de dizaines de milliers d'hommes dont un grand nombre d'Occidentaux, l'EI sème la terreur dans le "califat" qu'il a proclamé en juin sur les régions sous son contrôle. 368 Français combattraient en ce moment en Syrie ou en Irak, selon les derniers chiffres du ministère de l'Intérieur. Quelque 45 d'entre eux sont morts sur le terrain.

    A.S.

    </article>

     

     

    Sur le web : La Maison Blanche confirme l’exécution de l’otage Peter Kassig     lien

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    Peter Kassig assassiné : Hollande dénonce un "crime contre l'humanité"

    <time>Publié le 16-11-2014 à 15h26</time>
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    L'Etat islamique a revendiqué l'exécution par décapitation de Peter Kassig dans une vidéo mise en ligne dimanche sur des sites djihadistes.

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    L'Etat islamique a revendiqué, dimanche 16 novembre, l'exécution par décapitation de l'otage américain Peter Kassig, enlevé en 2013 en Syrie. (Uncredited/AP/SIPA)
    L'Etat islamique a revendiqué, dimanche 16 novembre, l'exécution par décapitation de l'otage américain
    Peter Kassig, enlevé en 2013 en Syrie. (Uncredited/AP/SIPA)

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    Le groupe djihadiste de l’Etat islamique (EI) a revendiqué dans une vidéo, dimanche 16 novembre, avoir décapité l'otage américain Peter Kassig, un travailleur humanitaire de 26 ans enlevé en octobre 2013 en Syrie.

    Cette décapitation a été qualifiée de "crime contre l'humanité" par François Hollande. "Le groupe Daesh en Syrie, celui contre lequel nous nous battons en Irak vient de revendiquer l'assassinat d'un Américain, Peter Kassig, 26 ans, jeune humanitaire qui se dévouait pour ce pays depuis 2013, il a également lâchement froidement assassiné, ce groupe terroriste, dix-huit Syriens", a déclaré le chef de l’Etat à Nouméa, depuis la résidence du Haut-commissariat de la République en Nouvelle-Calédonie, peu après son arrivée pour une visite de 36 heures.

    Ce sont des crimes contre l'humanité, ce sont des actes barbares et c'est pourquoi la France ne peut pas rester indifférente, elle est solidaire : nous avons eu, nous aussi, un otage qui a été assassiné en Algérie [Hervé Gourdel, en septembre NDLR]", a déclaré le président français.

    Cameron "horrifié" par la "perversité" de l'EI

    Le Premier ministre britannique, David Cameron, s'est dit quant à lui "horrifié" par ce "meurtre de sang-froid" de l'otage américain.

    "Je suis horrifié par le "meurtre de sang-froid d'Abdul-Rahman Kassig [nom pris après sa conversion à l'islam, NDLR]. ISIL (l'EI) a une nouvelle fois montré toute sa perversité. Mes pensées vont à sa famille", a écrit David Cameron sur son compte Twitter.

    "Peter était un héros"

    L'un des amis syriens de Peter Kassig, Burhane Moussa Agha, 29 ans, qui l'a connu en 2012, se souvient de lui comme "quelqu'un qui aidait les Syriens gratuitement, avec son propre argent. Il a tout quitté, sa famille, sa vie en Amérique pour aider les gens. Il n'avait pas peur. Peter était un héros".

    Les parents de l'otage ont déclaré de leur coté qu'ils attendaient la confirmation du meurtre de leur fils. "Nous sommes au courant des informations qui circulent sur notre fils chéri et nous attendons confirmation du gouvernement... sur l'authenticité de ces informations", ont confié Ed et Paula Kassigdans un communiqué.

    "La famille demande respectueusement aux médias d'éviter de jouer le jeu des preneurs d'otages et d'éviter de publier ou de diffuser des photographies ou des vidéos distribuées par les preneurs d'otages."

    "Nous préférons qu'on écrive et que l'on se rappelle de notre fils pour son travail important et l'amour qu'il partageait avec sa famille et ses amis plutôt que de la manière dont les preneurs d'otages l'utilisent pour manipuler les Américains et faire avancer leur cause", ajoute la famille.

    Les services de renseignement américains "travaillent le plus rapidement possible" à l'authentification de la vidéo de l'Etat islamique dans laquelle l'otage américain Peter Kassig semble avoir été décapité, a indiqué dimanche le Conseil de sécurité nationale du président Barack Obama.

     

    (Avec agences)


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  • « Djhadi John », militant britannique de l'EI, aurait été blessé dans un raid aérien

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2014-11-16T04:23:39+01:00" itemprop="datePublished">16.11.2014 à 04h23</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-11-16T04:55:51+01:00" itemprop="dateModified">16.11.2014 à 04h55  lien </time>

     

    Identifié par le FBI comme le meurtier présumé des otages occidentaux, le militant de l'Etat islamique à l'accent britannique, « Djihadi John », aurait été blessé dans un raid aérien, a rapporté dimanche 16 novembre la presse britannique. Une information que le ministère des affaires étrangères britannique n'était pas en mesure de confirmée pour l'heure.

    Lire aussi : Le FBI dit avoir identifié l'assassin des journalistes James Foley et Steven Sotloff

    L'homme, qui apparaissait masqué dans les vidéos des assassinats publiées en ligne, aurait été touché lors d'une frappe visant une réunion des dirigeants de l'EI dans une ville irakienne près de la frontière syrienne la semaine dernière, selon le Mail on Sunday.

    Lire aussi : Etat islamique : quatre assassinats, une même mise en scène

    Il aurait été transporté à l'hôpital après cette attaque qui a fait une dizaine de morts et une quarantaine de blessés parmi les hauts responsables de l'organisation sunnite extrêmiste. Le quotidien anglais souligne il s'agit de la même attaque qui a blessé l'insaisissable « calife » de l'EI Abou Bakr al-Baghdadi, suscitant les rumeurs – démenties par la suite – selon lesquelles il aurait été tué.

    FIGURE DE PROUE DE L'EI

    « Djihadi John » est le meutrier présumé des journalistes américains James Foley et Steven Sotloff, ainsi que des travailleurs humanitaires britanniques David Haines et Allan Henning. Bien qu'étranger, l'assassin masqué, dont le nom de guerre est Jalman Al-Britani, est devenu une figure de proue du groupe islamiste qui contrôle de larges pans des territoires syrien et irakien.

    Le Mail rapporte qu'une infirmière ayant soigné certaines victimes du raid de la coalition a déclaré qu'il y avait un homme nommé Jalman sur sa liste, le décrivant comme « celui qui a abattu les journalistes ». Les blessés ont ensuite été conduits à Raqa, fief de l'EI en Syrie.

    Les services de renseignement britanniques estiment qu'environ 500 de leurs concitoyens ont rejoint les rangs de l'organisation en Irak et en Syrie. Le premier ministre David Cameron a annoncé cette semaine que Londres allait durcir ses mesures antiterroristes pour lutter contre l'EI, en autorisant la confiscation des passeports de suspects, et en empêchant le retour de combattants djihadistes pendant deux ans.


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