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Par marialis2.2 le 7 Septembre 2014 à 01:47
Irak: deux nouvelles frappes américaines contre l'Etat islamique
MONDE | Mis à jour le samedi 6 septembre 2014 à 20h10
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<article><header>Les Etats-Unis ont mené vendredi et samedi deux nouvelles frappes aériennes qui ont détruit sept véhicules de l'Etat islamique dans le nord de l'Irak, a annoncé le Centcom, le commandement militaire américain chargé du Moyen-Orient et de l'Asie centrale.</header><aside>
Les avions de chasse et drones ont détruit "quatre Humvees (véhicules blindés), un véhicule de transport de troupes et deux camions" de l'Etat islamique, rapporte le Centcom.
Ces nouvelles frappes étaient destinées à "protéger Erbil", la capitale du Kurdistan irakien, des combattants djihadistes.
Les Etats-Unis, qui ont mené un total de 133 frappes depuis le 8 août en Irak, veulent mettre en place une coalition internationale pour les épauler dans leur lutte contre l'Etat islamique, qui a décapité deux journalistes américains et promet le même sort à un otage britannique.
Au sommet de l'Otan au Pays de Galles, les représentants des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France, de l'Allemagne, de l'Italie, de la Turquie, de la Pologne, du Danemark, du Canada et de l'Australie ont jeté les fondements de cette coalition. Le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le secrétaire à la Défense Chuck Hagel espèrent qu'elle puisse voir le jour d'ici fin septembre.
Belga
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<article><header>Les Etats-Unis ont mené vendredi et samedi deux nouvelles frappes aériennes qui ont détruit sept véhicules de l'Etat islamique dans le nord de l'Irak, a annoncé le Centcom, le commandement militaire américain chargé du Moyen-Orient et de l'Asie centrale.</header><aside>
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Par marialis2.2 le 6 Septembre 2014 à 23:01
L'ex-otage en Syrie Didier François critique les révélations sur Mehdi Nemmouche
Publié le 06.09.2014, 21h54 | Mise à jour : 22h22 lien
Archives. Villacoublay, le 20 avril 2014. Ex-otage en Syrie en compagnie de Nicolas Hénin, le journaliste Didier François a critiqué les révélation sur le rôle de Nemmouche dans l'Etat islamique. | AFP/KENZO TRIBOUILLARD
L'information selon laquelle le tireur de Bruxelles Medhi Nemmouche aurait été le gêolier des otages français en Syrie surprend autant qu'elle en irrite d'autres. La révélation dans la presse sur le rôle du jihadiste lors de la détention des quatre journalistes français otages en Syrie«pose un véritable problème pour l'enquête», a regretté samedi l'un d'eux, Didier François. <btn_noimpr>
«C'est irresponsable», a affirmé à Libération Didier François, journaliste à Europe 1. «Je trouve que c'est dangereux de sortir cette information. Cela pose un véritable problème pour l'enquête en cours, pour les témoins et pour les otages restés là-bas». Avec Nicolas Hénin, Pierre Torrès et Édouard Élias, Didier François a été retenu en otage de juin 2013 à avril 2014.
Les enquêtes mises en péril ?
«Cela permet malheureusement d'alerter les autres ravisseurs sur le fait que les services français détiennent des éléments sur les membres de ce groupe terroriste ayant déjà perpétré des attentats. Du coup, ça va leur permettre de se protéger, ce qui met en danger le travail des spécialistes du contre-terrorisme et les citoyens français», a-t-il expliqué.
Samedi, Le Monde a révélé que Medhi Nemmouche, aujourd'hui incarcéré en Belgique, «aurait été l'un des geôliers des otages occidentaux détenus» en Syrie. Cette divulgation a poussél'hebdomadaire Le Point, employeur de Nicolas Hénin, à diffuser le témoignage de son journaliste sur sa captivité.
Dans ce témoignage écrit, et confirmé par Nicolas Hénin lors d'une conférence de presse, le journaliste affirme avoir reconnu Medhi Nemmouche comme l'un des geôliers lors de sa captivité en Syrie.<btn_noimpr></btn_noimpr><btn_noimpr></btn_noimpr>
LeParisien.fr
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Par marialis2.2 le 4 Septembre 2014 à 00:33
Al-Qaïda annonce la création d'une branche dans le sous-continent indien
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- Par Le Figaro.fr avec AFP
- Mis à jour <time data-ago="il y a 30 minutes" data-original="le 03/09/2014 Ã 23:19" datetime="2014-09-03T23:19:58+02:00" itemprop="dateModified">le 03/09/2014 à 23:19</time>
- Publié <time data-ago="il y a 3 heures" data-original=" le 03/09/2014 Ã 21:12" datetime="2014-09-03T21:12:47+02:00" itemprop="datePublished">le 03/09/2014 à 21:12</time>
- lien
Dans une vidéo diffusée sur internet, le chef du réseau islamiste Ayman al-Zawahiri affirme que cette branche entend "anéantir les frontières artificielles" qui divisent les musulmans dans cette région.
Le chef du réseau al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, annonce dans une vidéo diffusée aujourd'hui la création d'une nouvelle branche du mouvement islamiste radical sur le sous-continent indien. Dans cette vidéo, Zawahiri affirme que cette branche va se battre pour faire renaître un califat (territoire sous l'autorité d'un calife, successeur du prophète musulman Mahomet, ndlr) en Birmanie, au Bangladesh et dans certaines parties de l'Inde, a rapporté le centre américain de surveillance des sites islamistes SITE.
La nouvelle entité d'al-Qaïda, déjà actif en Afghanistan et au Pakistan, veut faire renaître un califat (territoire sous l'autorité d'un calife, successeur du prophète musulman Mahomet, ndlr) en Birmanie, au Bangladesh et dans certaines parties de l'Inde. Cette nouvelle branche est nommée en anglais "Qaedat al-Jihad in the Indian Subcontinent" ("al-Qaïda en guerre sainte sur le sous-continent indien"). Elle s'est constituée par le regroupement, depuis deux ans, de combattants qui dépendront de l'autorité du Pakistanais Assim Oumar, lui même subordonné au chef des talibans afghans, le mollah Mohammed Omar.
Cette entité islamiste entend "lever le drapeau de la guerre sainte, rétablir la loi islamique, et instaurer la charia d'Allah à travers le sous-continent indien, qui faisait auparavant partie des terres musulmanes, jusqu'à ce que l'ennemi infidèle l'occupe, le fragmente et le divise", selon les propos de Zawahiri rapportés par SITE.
Fondé par Oussama ben Laden, qui a été tué au Pakistan par des commandos américains en mai 2011, le réseau al-Qaïda revendique depuis longtemps avoir l'autorité sur les jihadistes qui luttent pour restaurer un califat sur les terres considérées comme musulmanes. Mais depuis la mort de Ben Laden, le projet de califat a été éclipsé, d'abord par les activités du réseau en Afrique et dans la péninsule arabique, puis par la proclamation fin juin par un autre réseau, celui de l'Etat islamique (EI), d'un califat sur des territoires à cheval sur la Syrie et l'Irak.
Toujours considéré comme une menace par les pays occidentaux, al-Qaïda n'a toutefois jamais répété d'attentats comme ceux du 11 septembre 2001 à New York et Washington, qui ont fait près de 3.000 morts. En lançant cette branche, dans une vidéo où il s'exprime en partie en arabe et en partie en ourdou, sans doute pour s'adresser à sa base au Pakistan, Zawahiri tente de revenir sous les feux des projecteurs. Il appelle la communauté musulmane (l'oumma) à s'unir autour du "tawhid" ou monothcalifat".éisme, "pour lancer la guerre sainte contre ses ennemis, libérer ses terres, restaurer sa souveraineté, et faire renaître son califat"
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Par marialis2.2 le 3 Septembre 2014 à 23:28<article><header>
Journalistes décapités : les États-Unis puniront les "bouchers" responsables
Le Point - Publié le <time datetime="2014-09-03T22:40" itemprop="datePublished" pubdate="">03/09/2014 à 22:40</time> - Modifié le <time datetime="2014-09-03T22:47" itemprop="dateModified">03/09/2014 à 22:47 </time>lien
John Kerry a promis mercredi que les États-Unis puniront les meurtriers de James Foley et Steven Sotloff, décapités dans des vidéos diffusées par l'EI.
Le secrétaire d'État américain John Kerry a promis mercredi que lesÉtats-Unis puniront les meurtriers des deux journalistes américains James Foley et Steven Sotloff, décapités dans des vidéos diffusées à deux semaines d'intervalle par l'État islamique (EI). La diplomatie américaine a d'ailleurs affirmé que ces deux documents vidéo - le premier diffusé le 19 août, le second le 2 septembre - n'avaient pas été tournés en même temps.
"Quand des terroristes n'importe où dans le monde assassinent nos ressortissants, les États-Unis leur demandent des comptes, quel que soit le temps que cela prend. Et ceux qui ont assassiné James Foley et Steven Sotloff en Syrie devraient savoir que les États-Unis leur demanderont également de rendre des comptes, quel que soit le temps que cela prendra", a martelé dans un communiqué John Kerry.
Il a qualifié l'exécution de Steven Sotloff de "coup de poing à l'estomac" et de "sauvagerie médiévale". "Le visage de l'islam ce n'est pas les bouchers qui ont tué Steven Sotloff. Ça, c'est l'EI", a ensuite lancé John Kerry en intronisant le nouveau représentant spécial du gouvernement américain pour la communauté musulmane, Shaarik Zafar.
"Le visage de l'islam ce n'est pas les nihilistes qui ne savent que détruire sans rien construire. Ce ne sont pas ces lâches masqués dont les actes sont une insulte à la religion pacifique qu'ils violent tous les jours par leurs actes de barbarie", a poursuivi le chef de la diplomatie américaine, qui affectionne régulièrement dans ses discours le registre de la morale.
Construction d'une "coalition" internationale
Deux semaines après la diffusion de la vidéo montrant la décapitation du journaliste américain James Foley, l'EI a mis à exécution ses menaces de tuer Steven Sotloff. Ce journaliste de 31 ans aurait été enlevé en août 2013 en Syrie, selon une vidéo publiée par le centre américain de surveillance des sites islamistes SITE.
Ces images ont suscité une vague d'indignation dans le monde. Après des interrogations sur les dates de tournage de ces vidéos - très similaires dans leur macabre mise en scène - la porte-parole du département d'État Jennifer Psaki a indiqué que les services de renseignement "avaient d'ores et déjà déterminé que ces vidéos n'avaient pas été tournées au même moment".
La vidéo montrant la décapitation de Steven Sotloff ayant été "filmée après celle de Foley", selon Jennifer Psaki. Elle a en outre insisté sur la "coalition" internationale que les États-Unis tentent de bâtir contre les djihadistes de l'État islamique qui contrôlent des parties de la Syrie et de l'Irak. "Les États-Unis ne vont évidemment pas combattre seuls l'EI", a dit la porte-parole, dont le ministre John Kerry doit se rendre prochainement au Moyen-Orient.
"On n'est pas limité par la géographie. Il y a tout un éventail de pays avec lesquels le secrétaire d'État est en contact", a ajouté Jennifer Psaki, citant de récentes conversations téléphoniques avec "les homologues australien, émirati, jordanien, qatarien (...) et italien" du secrétaire d'État. "Nous sommes juste au début de la construction de cette coalition", a-t-elle toutefois prévenu.
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Par marialis2.2 le 22 Août 2014 à 07:47
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Pour défaire l'Etat islamique, il faut s'y
attaquer aussi en Syrie, affirme le Pentagone
Selon la diplomatie américaine, quelque 12 000 combattants jihadistes étrangers venant de 50 pays différents se sont rendus en Syrie, jeudi 21 août.
<figure id="image_782749"><figcaption>Le secrétaire d'Etat américain à la Défense, Chuck Hagel, et le général Martin Dempsey, le 21 août 2014 au Pentagone, à Washington DC (Etats-Unis). (SAUL LOEB / AFP)</figcaption></figure></header><section>Par Francetv info avec AFPMis à jour le <time datetime="2014-08-21T23:51:47+02:00" itemprop="dateModified">21/08/2014 | 23:51</time> , publié le <time datetime="2014-08-21T22:57:32+02:00" itemprop="datePublished">21/08/2014 | 22:57 </time>lien
</section>Pour défaire l'Etat islamique, il faut s'y attaquer aussi en Syrie. Le général Martin Dempsey, chef d'état-major interarmées, semble annonce une inflexion de la doctrine américaine dans la région, à l'occasion d'une conférence de presse, jeudi 21 août.
Environ 12 000 jihadistes en trois ans, venus de 50 pays
L'Etat islamique a été "coupé dans son élan" grâce aux frappes américaines dans le nord de l'Irak, poursuit-il. Mais pour en venir à bout, les Etats-Unis doivent aussi s'y attaquer en Syrie. Les jihadistes sunnites – qui se sont emparés de larges pans de territoires en Irak et en Syrie – "peuvent être maîtrisés", ajoute enfin Martin Dempsey.
Quelque 12 000 combattants jihadistes étrangers venant de 50 pays différents se sont rendus en Syrie depuis le début du conflit il y a plus de trois ans, estime la porte-parole de la diplomatie américaine, Marie Harf. "Ils ne sont peut-être pas tous encore là-bas", a-t-elle ajouté. Ce qui suscite des inquiétudes sur le devenir des jihadistes rentrés dans leur pays de départ.
"Nous devons être prêts à tout", estime la Défense
Le secrétaire d'Etat à la Défense Chuck Hagel précise que l'Etat islamique "va au-delà de tout ce que nous avons connu" en termes de terrorisme, a affirmé le ministre américain de la défense Chuck Hagel, jeudi 21 août. "Nous devons être prêts à tout", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse, sans préciser sa pensée.
L'EI "allie idéologie (et) sophistication de son savoir-faire militaire tactique et stratégique. Il est extrêmement bien financé." C'est la première fois qu'un responsable de l'administration américaine décrit cette menace en des termes aussi forts. Fin septembre, le président Barack Obama doit présider une réunion spéciale du Conseil de sécurité de l'ONU, consacrée à la menace que font peser les jihadistes étrangers en Syrie et en Irak.
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