• - Publié le <time datetime="2012-12-04T19:12" itemprop="datePublished" pubdate=""> 04/12/2012 à 19:12   </time>
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    L'ancien ministre Jean-Louis Borloo a été réélu en toute discrétion à la présidence du Parti radical qui tiendra samedi son 113e congrès à Paris, a-t-on appris mardi auprès du parti valoisien.

    L'ancien ministre Jean-Louis Borloo a été réélu en toute discrétion à la présidence du Parti radical qui tiendra samedi son 113e congrès à Paris, a-t-on appris mardi auprès du parti valoisien.

    L'ancien ministre Jean-Louis Borloo a été réélu en toute discrétion à la présidence du Parti radical qui tiendra samedi son 113e congrès à Paris, a-t-on appris mardi auprès du parti valoisien.

     

    Seul candidat en lice, Jean-Louis Borloo a obtenu 95,84% des suffrages exprimés, 4,16% des militants ayant voté blanc, un vote reconnu par les radicaux qui défendent sa prise en compte dans les élections nationales.

    65,08% des quelque 10.000 militants à jour de cotisation ont participé au scrutin qui s'est déroulé sous forme de vote électronique du 18 au 25 novembre dernier. Le parti n'avait pas communiqué sur cette réélection dont les résultats ont été mis en ligne sur son site.

    Jean-Louis Borloo est à la tête du Parti radical depuis 2005.

    Les résultats de cette élection seront officiellement proclamés samedi en ouverture du 113e congrès du parti qui se tiendra pour l'essentiel à huis clos, au Tapis Rouge (Paris Xe). Jean-Louis Borloo devrait néanmoins prononcer un discours de clôture en fin d'après-midi (vers 17H00) qui, lui, sera ouvert à la presse.

    M. Borloo, qui avait évoqué la possibilité de laisser son siège en prenant la présidence de l'UDI, nouveau parti fédéral regroupant six formations politiques dont le PR et le Nouveau centre, a finalement décidé de rester aux commandes du parti valoisien, du moins jusqu'à la tenue du premier congrès de l'UDI.

    "Le temps de faciliter la bonne greffe du Parti radical à l'intérieur de l'UDI", a précisé à l'AFP Yves Jego, vice-président des deux formations.

    Membre fondateur de l'UMP en 2002, le Parti radical a pris son indépendance en mai 2011. Il a ensuite participé à la création d'une confédération des centres qui a avorté avant la présidentielle avant de co-fonder l'UDI qui a été portée sur les fonts baptismaux le 21 octobre dernier.


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  • - Publié le <time datetime="2012-12-04T19:12" itemprop="datePublished" pubdate=""> 04/12/2012 à 19:12   </time>
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    Le président François Hollande a annoncé mardi à Paris un troisième Plan cancer sur quatre ans (2014-2018) axé sur la lutte contre les inégalités face à la maladie et préparer la France "aux nouveaux enjeux liés aux progrès médicaux".

    Le président François Hollande a annoncé mardi à Paris un troisième Plan cancer sur quatre ans (2014-2018) axé sur la lutte contre les inégalités face à la maladie et préparer la France "aux nouveaux enjeux liés aux progrès médicaux".

    Le président François Hollande a annoncé mardi à Paris un troisième Plan cancer sur quatre ans (2014-2018) axé sur la lutte contre les inégalités face à la maladie et préparer la France "aux nouveaux enjeux liés aux progrès médicaux".

     

    Venu clôturer les 4e rencontres de l'Institut national du cancer (Inca), le chef de l'Etat a indiqué que la préparation de ce 3e plan serait "coordonnée par Jean-Paul Vernant, professeur d'hématologie à l'université Pierre et Marie Curie".

    Il sera conduit par les ministères de la Santé et de la Recherche, et "sa mise en oeuvre sera pilotée par l'Inca", a précisé M. Hollande.

    Les deux précédents plans : 2004-2008 lancé par Jacques Chirac, 2008-2013 conduit par Nicolas Sarkozy, ont permis des progrès, a souligné M. Hollande notant qu'aujourd'hui en France on guérissait "près de 45% des cancers".

    Mais "par delà ces avancées, le temps de nouvelles décisions est venu : il s'agit de conforter ces acquis" et "surtout de nous préparer aux nouveaux enjeux liés aux progrès médicaux", a ajouté le président, qui n'a pas chiffré le coût du nouveau plan. Le précédent s'était élevé à 1,9 md sur 5 ans, dont 730 millions de mesures nouvelles, a précisé un conseiller de l'Elysée.

    "Le Plan cancer sera aussi un plan de lutte contre les inégalités", a assuré M. Hollande rappelant que "le risque de mourir" de cette maladie "entre 30 et 65 ans (était) deux fois plus élevé chez les ouvriers que chez les professions libérales".

    Il comportera "des dispositions pour prévenir les risques professionnels, à travers des schémas régionaux pour la santé au travail et veillera à réduire les inégalités dans l'information, le dépistage, l'éducation, l'accès aux soins, les traitements", a détaillé le chef de l'Etat.

    Cinq grands axes d'action sont prévus: la prévention et le dépistage, avec une information plus particulièrement ciblée en direction des jeunes, notamment contre le tabagisme et l'alcoolisme.

    La recherche avec notamment "le développement de la médecine personnalisée" incluant la mise en place de technologies nouvelles comme des appareils "de séquençage à haut débit" permettant de cibler les traitements. Mais aussi "la coordination des structures de recherche" pour permettre un meilleurs accès des malades "aux soins innovants".

    Quant à la prise en charge, elle doit être adaptée au vieillissement de la population, a plaidé François Hollande. "Le cancer va devenir une maladie chronique avec une prise en charge de plus en plus au domicile".

    Selon l'Elysée, une nouvelle profession devrait voir le jour celle "d'infirmier clinicien" qui pourrait coordonner les soins et intervenir à domicile".

    Pour la formation, il faudra "faciliter les passerelles entre les spécialités", en permettant notamment à des médecins spécialistes d'acquérir une formation en oncologie, a précisé une source proche du dossier.

    Enfin, l'objectif du plan est d'assurer "la continuité de la vie" notamment professionnelle "pendant et après le cancer". "Une campagne d'information sera lancée par le ministère du Travail sur la reprise d'une activité pour le salarié, qu'il soit malade ou guéri", a dit M. Hollande estimant qu'il était "plus que temps d'appliquer cette mesure" prévue dans le précédent plan.

    Il s'agit aussi d'améliorer l'accès des malades aux prêts et aux assurances, a ajouté M. Hollande assurant qu'"il veillerait personnellement avec le gouvernement" à ce que les conclusions d'une convention sur le sujet datant de février 1991 soient "traduites dans la vie concrète" au nom du "respect des malades".

    Quant aux enfants, le plan doit aussi favoriser leur accompagnement scolaire : accueil individualisé, soutien pédagogique à domicile. Il s'agit de "favoriser le retour sur les bancs de l'école de ceux qui ont dû s'en absenter pour suivre un traitement".


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  • Syrie : Obama doit réévaluer ses options militaires

    Par Laure Mandeville Mis à jour <time class="updated" datetime="04-12-2012T18:37:00+02:00;">le 04/12/2012 à 18:37</time> | publié <time datetime="04-12-2012T18:26:00+02:00;" pubdate="">le 04/12/2012 à 18:26</time> 
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    Dans la crise syrienne, le président américain craint que l'inaction ne soit plus une option.

    Correspondante à Washington

    «L'administration Obama a été aussi léthargique en Syrie qu'elle l'avait été en Libye au début», écrit mardi le Washington Post. «L'inaction américaine a contribué à faire pourrir la crise», constate le journal, en écho aux accusations du sénateur John McCain, qui appelle depuis des mois à armer les rebelles.

    Avec la menace croissante d'un recours aux armes chimiques par le régime de Bachar el-Assad, le président américain est forcé de réévaluer ses options militaires dans une crise syrienne qui menace de déstabiliser tout le Moyen-Orient. Lundi, Barack Obama a directement menacé Assad«de conséquences» s'il recourait aux armes chimiques, comme il l'avait déjà fait au mois d'août. «Le recours aux armes chimiques est totalement inacceptable», a-t-il lancé depuis l'université de la Défense à Washington.

    À Prague, où elle consultait son homologue tchèque, Hillary Clinton a fait écho à cet avertissement, parlant «de ligne rouge». Mais la riposte que pourrait décider l'Amérique reste peu claire. Mardi un haut responsable du département d'État qui accompagnait Hillary Clinton en Europe a souligné que le déploiement de missiles Patriot en Turquie, à la frontière syrienne, n'annonçait pas «un mouvement inexorable vers la mise en place d'une zone d'interdiction de vol» dans l'espace aérien syrien, semblable à celle instaurée en Libye pour renverser Kadhafi. «Les zones d'interdiction aérienne sont la porte menant à une implication au sol», commente l'expert Fred Wehrey de la Fondation Carnegie.

    Suites imprévisibles

    Difficile également de recourir à des frappes aériennes, au risque de faire exploser des armes chimiques et de propager des produits mortels. Une autre option pourrait consister à organiser des raids des troupes spéciales américaines pour sécuriser les stocks. Le New York Times rapportait début octobre qu'environ 180 soldats des commandos américains avaient été envoyés secrètement en Jordanie pour le cas où. Ils sont installés sur une base jordanienne, leur travail se limite pour l'instant à observer la situation. Américains et Israéliens vivent dans la hantise que des armes chimiques puissent être utilisées ou tomber aux mains de groupes terroristes. Mais envoyer des troupes spéciales impliquerait de facto un engagement au sol aux suites imprévisibles.

    Armer les rebelles pourrait être une alternative, note David Schenker, expert au Washington Institute for Near East Policy, mais cette option a jusqu'ici été repoussée par une Amérique traumatisée par le souvenir des armes livrées à Ben Laden en Afghanistan. «Les Occidentaux devraient livrer des armes aux factions nationalistes de l'Armée syrienne libre, insiste Schenker. Sinon, nous laisserons les Qatariens et les Saoudiens renforcer respectivement les milices proches des Frères musulmans et des salafistes, avec des conséquences désastreuses.» Si les options d'Obama semblent toutes mauvaises, l'inaction pourrait devenir plus dangereuse que l'action.

    LIRE AUSSI:

    » Des enfants seraient enrôlés par les rebelles syriens


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  • Notre-Dame-des-Landes: les opposants dénoncent un dialogue de sourd

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    Les opposants au projet de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes dénoncent un semblant de dialogue avec le gouvernement de Jean-Marc Ayrault.

    "Nous dénonçons l'opération de communication engagée ces dernières vingt-quatre heures qui vise à créer l'illusion que le dialogue est possible", soulignent dans un communiqué commun l'Acipa (principale association d'opposants), le Cedpa (élus opposés au projet), l'Adeca (agriculteurs concernés) et la Confédération Paysanne.

    De son côté, la Ligue des droits de l'Homme de Nantes, du Pays nantais et de Saint-Nazaire estime dans un communiqué que "le dialogue entre opposants et porteurs du projet doit pouvoir être respectueux de l'autre".

    La LDH déplore notamment une "utilisation démesurée des forces de police avec le déploiement de plusieurs centaines de gendarmes, l'usage du flash-ball."

    Dessin de Nagy-Texte de Pierre-Alain


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  • François Hollande inaugure le Louvre-Lens

    Un dessin de :

    Un mineur en visite dans une galerie du Lovre Lens

    François Hollande est arrivé à Lens ce mardi matin pour inaugurer le nouveau musée du Louvre-Lens.

    Le chef de l' état a été accueilli dans le hall d'accueil en forme de cube de verre par un groupe d'anciens mineurs, casqués et vêtus de leurs combinaisons de travail, clin d'oeil au passé minier de la ville de Lens.

    François Hollande a ensuite visité l'immense Galerie du Temps, remplie de quelque 200 chefs-d'oeuvre, en compagnie de la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, et de la plupart de ses prédécesseurs, à l'exception de Frédéric Mitterrand.

     Dessin de Ysope-Texte de Pierre-Alain


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