• - Publié le <time datetime="2012-12-03T18:34" itemprop="datePublished" pubdate=""> 03/12/2012 à</time>lien <time datetime="2012-12-03T18:34" itemprop="datePublished" pubdate=""> 18:34</time>

     

    Le bouclier fiscal instauré en 2007 par la majorité UMP et supprimé en juillet 2011 va coûter en 2012 près de trois fois plus cher que prévu, réévalué dans le dernier collectif budgétaire de l'année, selon un rapport de la commission des Finances de l'Assemblée nationale.

    Le bouclier fiscal instauré en 2007 par la majorité UMP et supprimé en juillet 2011 va coûter en 2012 près de trois fois plus cher que prévu, réévalué dans le dernier collectif budgétaire de l'année, selon un rapport de la commission des Finances de l'Assemblée nationale.

    Le bouclier fiscal instauré en 2007 par la majorité UMP et supprimé en juillet 2011 va coûter en 2012 près de trois fois plus cher que prévu, réévalué dans le dernier collectif budgétaire de l'année, selon un rapport de la commission des Finances de l'Assemblée nationale.

     

    Le rapporteur général de la commission, Christian Eckert (PS), explique dans ce rapport que le coût du bouclier fiscal payable en 2012 et portant sur 2011, sera de 450 millions et non 162 comme dans la précédente estimation du gouvernement.

    Mesure emblématique du quinquennat de Nicolas Sarkozy, le bouclier fiscal avait pour but de limiter à 50% de ses revenus le montant des impôts d'un contribuable.

    "La révision du coût du bouclier fiscal prévue par le présent projet de loi semble prouver que le précédent gouvernement a délibérément faussé la prévision initiale de cette dépense afin de ne pas faire apparaître le déséquilibre financier de la réforme de l'ISF du printemps 2011", affirme le député socialiste.

    Il assure en outre que, par rapport au dernier projet de loi de finances rectificatif voté cet été, l'estimation des recettes fiscales "ressort en repli de 2,4 milliards d'euros". En cause notamment une mauvaise estimation du produit de la taxe intérieure sur la consommation des produits énergétiques (TICPE).

    La prévision du rendement de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) est également revue à la baisse, de 462 millions d'euros.

    Selon M. Eckert, cette baisse est liée à une erreur de calcul et non pas à une révision du "rendement escompté de la contribution exceptionnelle" de 75% pour les revenus supérieurs à un million d'euros, votée en juillet par la nouvelle majorité socialiste.

    Adopté par la commission des Finances, le 3e projet de budget rectificatif pour 2012 est actuellement en débat à l'Assemblée nationale.


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  • Le Point.fr - Publié le <time datetime="2012-12-03T12:01" itemprop="datePublished" pubdate=""> 03/12/2012 à 12:01</time> - Modifié le <time datetime="2012-12-03T20:01" itemprop="dateModified"> 03/12/2012 à 20:01   </time>
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    Les tractations n'ont pas cessé lundi entre Copé et Fillon pour trouver une issue à la crise, en vain.

    Jean-François Copé, Nicolas Sarkozy et François Fillon.

    Jean-François Copé, Nicolas Sarkozy et François Fillon. © Montage Le Point.fr


     
     

    Crise à l'UMP : 14e jour ! Le conflit entre Jean-François Copé et François Fillon est toujours dans l'impasse. Alors que le président proclamé du parti a proposé de remettre en jeu son mandat après les élections municipales de 2014, l'ancien Premier ministre, qui conteste toujours le vote, entaché, selon lui, d'irrégularités, juge cette échéance trop lointaine. Les deux hommes se rencontrent lundi alors que Nicolas Sarkozy leur a donné jusqu'à mardi pour mettre fin à cette guerre fratricide, faute de quoi il sortira de son silence pour distribuer publiquement des blâmes. Le Point.fr vous fait vivre en direct cette journée qui s'annonce comme les précédentes mouvementée.

     

    19 h 55. François Fillon sera mardi à la conférence des présidents de l'Assemblée pour le R-UMP, selon son soutien Jérôme Chartier.

    19 h 35. Les discussions Fillon-Copé se poursuivront mardi, "rien n'est tranché", affirment les fillonistes.

    19 h 05. Jean-François Copé, et son rival François Fillon ont repris leurs discussions lundi vers 18 h 30, a-t-on appris dans l'entourage de l'ex-Premier ministre. L'entretien a repris en tête à tête, tout comme celui d'un peu plus d'une heure dans la matinée dans le bureau de François Fillon dans l'enceinte de l'Assemblée nationale, a-t-on ajouté.


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  • - Publié le <time datetime="2012-12-03T21:36" itemprop="datePublished" pubdate=""> 03/12/2012 à 21:36      </time>
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    • Par Gaspard Dhellemmes

    Face à la pénurie de logements d'urgence à l'entrée de l'hiver, la ministre du Logement Cécile Duflot a interpellé l'archevêché de Paris pour qu'il mette des locaux vides à disposition, une demande qui a fortement agacé les catholiques déjà mobilisés pour les sans-abri.

    Face à la pénurie de logements d'urgence à l'entrée de l'hiver, la ministre du Logement Cécile Duflot a interpellé l'archevêché de Paris pour qu'il mette des locaux vides à disposition, une demande qui a fortement agacé les catholiques déjà mobilisés pour les sans-abri.

    Face à la pénurie de logements d'urgence à l'entrée de l'hiver, la ministre du Logement Cécile Duflot a interpellé l'archevêché de Paris pour qu'il mette des locaux vides à disposition, une demande qui a fortement agacé les catholiques déjà mobilisés pour les sans-abri.

     

    "Toutes les personnes morales --les banques, les assurances, l'Eglise-- qui sont en situation de posséder des bâtiments qui sont inoccupés, sont concernés par l'appel qui est le mien de mettre à disposition des lieux qui permettront de loger des familles", a rappelé lundi la ministre, qui a promis des réquisitions avant la fin de l'année.

    Estimant qu'un "choc de solidarité" était nécessaire, alors que le déficit de places d'urgence est "inquiétant", la ministre a choisi de rendre public son appel à l'archevêque de Paris.

    Une demande reçue comme une mise en cause par l'Eglise, déjà pointée du doigt dans un article du Canard Enchaîné mi-novembre.

    "L'Eglise n'a pas attendu 2012 et les appels de Mme Duflot pour s'occuper des pauvres, elle le fait depuis 2000 ans", a répondu Charles Gazeau, délégué épiscopal aux solidarités, rappelant notamment qu'avec l'opération Hiver solidaire, les paroisses parisiennes accueillent 120 personnes pendant l'hiver.

    La plupart des prêtres estiment que l'Eglise fait le maximum: "On fait avec nos moyens. On ne peut pas se substituer à l'Etat", a estimé Eugène Doussal, vicaire général du diocèse de Saint-Denis.

    "Considérer que l'Eglise possède des milliers de mètres carrés vides relève plus du mythe que de la réalité", a ajouté Anne-Claire Dangeard, de la Conférence des religieux et religieuses en France (Corref). "Si nous avions des mètres carrés disponibles, je les aurais déjà investis pour accueillir des personnes en détresse", a ajouté M. Gazeau.

    Clivage

    En France, quelque 47.000 ménages jugés prioritaires au titre du droit au logement opposable (Dalo) n'ont pas de toit et 1,7 million de familles attendent un logement social.

    "Au-de de la mobilisation importante et décisive des bénévoles, des associations, parmis lesquelles les organismes cultuels et caritatifs, (...), la ministre estime qu'un effort supplémentaire doit être fourni" dans la mise à disposition de biens immobiliers, a insisté lundi soir le ministère dans un communiqué.

    Pour Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de Droit au Logement (DAL), l'Eglise étant le plus grand propriétaire foncier à Paris après l'Etat et la Mairie, cet appel traduit la "volonté du gouvernement d'avancer".

    Cet appel a créé un fort clivage gauche-droite. Le maire PS de Paris Bertrand Delanoë, qui mobilise 1.040 places d'urgence, a apporté son soutien à Mme Duflot et le groupe PCF/PG au Conseil de Paris a demandé que "l'arme de la réquisition (soit) utilisée sans attendre, autant de fois que nécessaire".

    Mais pour Camille Bedin, secrétaire nationale à l'égalité des chances de l'UMP, Mme Duflot est dans "la recherche de boucs émissaires, de gesticulations et de coups de communication pour donner l'impression d'agir". Christine Boutin, présidente du Parti chrétien-démocrate s'est inquiètée d'une "catholiphobie".

    Certaines associations espèrent que la ministre procédera à réquisitions. "La réquisition, oui évidemment, vu la situation il faut le faire, et ensuite il faudra traiter le fond du problème", a estimé Christophe Robert, de la fondation Abbé Pierre.

    Evoquant une "urgence humanitaire", Victoire Lecoeur, du Secours catholique a estimé que "la réquisition serait un symbole fort, de la part de l'Etat, de sa volonté de d'aider les personnes en grande difficulté".

    Mme Duflot a toutefois dit avoir "bon espoir" de ne pas avoir besoin de faire preuve d'autorité.


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  • Le Point.fr - Publié le <time datetime="2012-12-03T22:14" itemprop="datePublished" pubdate=""> 03/12/2012 à 22:14     </time>
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    Au total, le réacteur nucléaire de troisième génération coûtera 8 milliards d'euros, contre les 3,3 milliards prévus en 2007.

    Des militants contre l'EPR de Flamanville, devant le QG du PS rue de Solférino.

    Des militants contre l'EPR de Flamanville, devant le QG du PS rue de Solférino. © CHAUVEAU/SIPA


     

    La facture du chantier de la centrale EPR de Flamanville (Manche) s'alourdit : EDF a annoncé lundi un nouveau surcoût de deux milliards d'euros pour la construction du réacteur nucléaire de troisième génération, dont le coût total provisoire dépasse désormais les 8 milliards d'euros, contre les 3,3 milliards prévus à l'origine.

     

    "Post-Fukushima"

    L'opérateur explique cet alourdissement par "l'évolution du design de la chaudière, les études d'ingénierie supplémentaires, l'intégration des nouvelles exigences réglementaires, ainsi que les enseignements Post-Fukushima".

    Il cite également "des dépenses supplémentaires liées à des aléas industriels, comme le remplacement des 45 consoles et ses conséquences sur l'aménagement du planning des travaux ainsi que l'impact financier de l'allongement des délais de construction".

    Promesse de campagne

    Ce chantier, lancé en 2007 avec une production des premiers KWh prévue en 2016, a connu plusieurs retards et dépassements de budget. Mais il a été défendu par François Hollande lors de sa campagne électorale, au grand dam de ses alliés écologistes.

    L'EPR est présenté par ses défenseurs comme "plus puissant, plus sûr, moins gourmand en combustible, avec moins de rejets chimiques et radioactifs" dans l'environnement.

    "Qui peut croire que le réacteur sera prêt en 2016 ?"

    Mais les écologistes dénoncent un projet "inutile, dangereux et coûteux", citant en parallèle de Flamanville l'exemple de la construction de la centrale EPR d'Olkiluoto, en Finlande.

    "Cette annonce entérine ce que la Cour des comptes disait en début d'année : la construction de nouveaux réacteurs nucléaires EPR n'est pas une option crédible pour le mix énergétique de demain : trop chère et trop lente à déployer", a réagi Sophia Majnoni, chargée de campagne pour Greenpeace France.

    "Qui peut d'ailleurs croire que le réacteur entrera en service en 2016 alors que le chantier vient encore de subir un arrêt prolongé de plusieurs mois en raison d'un problème sur les consoles ?", s'insurge-t-elle.


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  • Économie

    ArcelorMittal, retour sur une déconfiture européenne

    <time datetime="2012-12-03T18:02:23+01:00" itemprop="datePublished">3 décembre 2012 à 18:02</time> (Mis à jour: <time datetime="2012-12-03T18:29:13+01:00" itemprop="dateModified">18:29</time>) 
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    Lakshmi Mittal, PDG du groupe éponyme, le 8 février 2012 à Luxembourg

    Lakshmi Mittal, PDG du groupe éponyme, le 8 février 2012 à Luxembourg (Photo Jean-Christophe Verhaegen. AFP)

    Récit Il n'y a pas qu'en France que le groupe du milliardaire indien Lakshmi Mittal réduit ses effectifs. Partout en Europe, le géant de l'acier baisse les feux et irrite gouvernements et salariés.

    Florange, Gandrange : ces noms sonnent désormais familiers pour le public français, qui les associe aux aciéries lorraines en partie fermées par le groupe ArcelorMittal. Un scénario auquel renvoient aussi les toponymes de Liège, Schifflange ou encore Valleverde, autant de sites européens du même groupe ayant eux aussi connus des suppressions de postes, parfois précédées de longs conflits sociaux. Loin d'être une problématique francofrançaise, les turpitudes du géant de l'acier ont des conséquences au quatre coins du continent. Retour sur une déconfiture européenne. 

     

    Comment le groupe s’est-il implanté en Europe ?

    Bien que numéro 1 mondial de l’acier, le groupe Mittal Steel est peu présent sur le vieux continent au début des années 2000. Surtout implantée en Europe de l’Est, la société du milliardaire indien Lakshmi Mittal est spécialisée dans le rachat d'usine en difficultés dans les pays émergents, qu'il restructure et relance en profitant des bas coûts de la main d'oeuvre.

    En janvier 2006, Mittal Steel franchit un palier dans sa politique de rachats tous azimuts, en lançant une OPA hostile sur le groupe européen Arcelor, numéro 2 mondial du secteur. Combattue par celui-ci, critiquée par les gouvernements et les syndicats européens, l’opération finit par aboutir. Mittal Steel, devenu ArcelorMittal, récupère plusieurs dizaines de sites de production en Europe, notamment en France, en Espagne et dans le Bénélux. En 2006, le groupe emploie 111 000 personnes dans l’Union européenne, soit 35% de ses effectifs mondiaux, et le continent assure près de la moitié de sa production d’acier.

    Pourquoi la fusion avec Arcelor ?

    La frénésie de rachats de Lakshmi Mittal répond à un objectif d'«intégration verticale». Alors que le cours de l'acier est au beau fixe, le groupe entend maîtriser toute la chaîne de production, de l’extraction du minerai de fer à la découpe de l’acier, en passant par la fonte. Ainsi compte-t-il réaliser des économies d'échelles et augmenter ses marges.

    Par ailleurs, Mittal souhaite positionner son groupe sur le secteur de l'acier «haut de gamme», dans lequel se distingue Arcelor. De quoi satisfaire la demande des économies développées, et, à terme, celle des pays émergents, dont il anticipe l'immense appétit d'acier. Enfin, la fusion permet à la nouvelle entité de peser suffisamment à elle seule pour orienter les cours de l’acier et tenir tête à ses clients. Le contexte s’y prête : l’acier est au plus haut.

    Comment ont évolué les effectifs ?

    S'il fait aujourd'hui figure de «prédateur», selon les mots des syndicats, Lakshmi Mittal tentait plutôt, en 2006, de se poser en Père Noël. En effet, dans un plan «Apollo» présenté en 2003, avant la fusion, Arcelor prévoyait lui-même la fermeture progressive de six hauts-fourneaux en Europe pour gagner en compétitivité : deux en Belgique, deux en Allemagne, et deux en France, à Florange. Le groupe entendait également réduire ses effectifs, notamment par des départs en retraite anticipés. 

    Pour rassurer gouvernement et syndicats, critiques vis-à-vis de sa tentative d'OPA, Lakshmi Mittal promet alors d’examiner favorablement le destin de ces unités, qui seront effectivement préservées une fois l’OPA réussie. Jusqu’en 2008, le groupe voit même ses effectifs augmenter dans l’Union européenne : cette année-là, ils atteignent 130 000 salariés, et représentent 41% des effectifs totaux d’ArcelorMittal. Avant de tomber à quelque 96 000 en 2011, sous l'effet des nombreux plans de réduction d'activité décidés par ArcelorMittal. 

    Pourquoi Mittal réduit-il ses effectifs ? 

    Le groupe pointe les surcapacités de ses installations européennes, alors que la crise a fait chuter la demande d'acier, notamment dans les secteurs de l'automobile et du bâtiment. Mais, profitant de sa position dominante sur le marché de l'acier, le groupe a également joué de ses hauts fourneaux européens comme d'une variable d'ajustement, pour maintenir le cours de l'acier. 

    De leur côté, les syndicats accusent Mittal d'avoir mal préparé ses sites européens à affronter la crise, en n'investissant pas suffisamment. Une accusation qu'appuie un rapport remis en juillet à Arnaud Montebourg, selon lequel «les priorités stratégiques définies par le groupe font peu de place à la sidérurgie européenne», et qui note un surinvestissement du groupe dans sa division «Mines», tandis que la part allouée à la production européenne d'acier est à la baisse. «La stratégie du groupe est davantage marquée par des contraintes de court terme qu’inspirée par des considérations industrielles de long terme», conclut le rapport, pointant notamment le niveau d'endettement considérable d'ArcelorMittal.

    «il y a d'une part la situation de surcapacité, d'où le retour aux choix stratégiques d'Arcelor, où l'on ne garde que les hauts-fourneaux en littoral de Dunkerque et Fos-sur-Mer, explique Philippe Chalmin, professeur à l’université de Paris Dauphine, spécialiste des marchés mondiaux. D'autre part, il est vrai que, face à la montée des prix du fer, Mittal a beaucoup investi dans les mines, et probablement pas assez dans la sidérurgie».

    Que se passe-t-il hors de France ?

    Si le destin de Gandrange et Florange a focalisé l'attention en France, des scénarios similaires se sont produits partout en Europe. Ainsi, en Belgique, un accord vient d'être trouvé avec les syndicats pour la fermeture de la phase «à chaud» du site de Liège, qui entraînera la suppression de 795 emplois, dont 314 départs en retraite anticipée et 481 reclassements. Un dénouement précédé d'un long conflit social autour de cette usine dont Arcelor prévoyait déjà de fermer les hauts fourneaux en 2003. 

    Au Luxembourg, 282 salariés sont en arrêt de travail depuis la fin 2011 sur les sites de Schifflange et Rodange, dont 150 anciens de Gandrange reclassés au Luxembourg après la fermeture de l’aciérie en 2009. Le luxueux siège du groupe à Luxembourg-ville, trop coûteux, va lui-même être fermé en 2013. En Espagne, une partie de l’activité du site de Valleverde, près de Madrid, a été arrêtée «pour une durée indéfinie», entraînant le reclassement de plus de 300 salariés. Début 2012, le groupe a annoncé la supression de 1000 postes en Pologne, 1100 en Roumanie, 630 en République Tchèque.

    «Le groupe a toujours un avenir en Europe, où il conserve beaucoup d'activités et la clientèle de l'industrie automobile, estime Philippe Chalmin. Mais c'est un groupe très endetté, qui n'est pas en bonne santé. Donc il coupe là où ça coût cher, et où il estime qu'il n'y a pas beaucoup d'avenir».


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