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    Les mosquées vont ouvrir leurs portes

    au public

    les 9 et 10 janvier

    À l'initiative du Conseil français du culte musulman (CFCM), la plupart des mosquées françaises vont ouvrir leurs portes à tous, révèle "Le Parisien".

    Publié le <time datetime="2015-12-26T10:46" itemprop="datePublished">26/12/2015 à 10:46</time> | Le Point.fr  
    <figure class="man full-width-img" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="art-caption" itemprop="description">

    La mosquée de Paris, photo d'illustration. © JEAN-DIDIER RISLER/ ONLYFRANCE.F

    </figcaption></figure></header>

    Pour tordre le cou aux idées reçues sur la religion musulmane et les mosquées, le Conseil français du culte musulman (CFCM) a décidé d'organiser un week-end de portes ouvertes au public, selon des informations du Parisien. Une centaine de mosquées sur les 2 500 lieux de culte musulmans devraient participer à cette initiative les 9 et 10 janvier prochains.

    Découvrir l'architecture des édifices, partager un "thé de l'amitié", ou encore apprendre les bases du Coran et les rites de la religion musulmane... Ce sont les activités qui seront proposées à cette occasion. Si ce n'est pas la première fois que des mosquées ouvrent leurs portes aux non-musulmans, une telle initiative n'avait jamais jusqu'alors été organisée au niveau national, mais toujours de façon individuelle.

    "Célébrer l'esprit du 11 janvier"

    "Il est important que mes coreligionnaires s'ouvrent davantage à leurs compatriotes", a expliqué le président du CFCM, Anouar Kbibech, au Parisien. Cette initiative permet, selon lui, de "célébrer l'esprit du 11 janvier", au moment où l'on célébra le premier anniversaire des attentats terroristes de janvier 2015 qui avaient justement donné lieu à une grande marche républicaine et confraternelle.

    "Bien avant les attentats, on a ouvert notre mosquée lors des Journées du patrimoine ou de la Fête des voisins. Cela permet de corriger les clichés", se félicite pour sa part l'imam de Raisme, dans le Nord, Othmane Iquioussen. À Gennevilliers non plus, les responsables du lieu de culte n'ont pas attendu les consignes du CFCM pour rencontrer le public. La mosquée est d'ailleurs vitrée "pour montrer qu'on n'a rien à cacher", explique l'un d'eux, Abdelbaki Attaf.


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    Prix Sakharov

    Le blogueur saoudien Raef Badaoui, condamné et primé pour l'exemple

    Par Eric Landal <time datetime="2015-10-29T18:25:26" itemprop="datePublished">29 octobre 2015 à 18:25   lien </time>
     
    Manifestation en faveur de Raef Badaoui devant l'ambassade d'Arabie Saoudite à Berlin, en janvier.
     
     
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    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> </figure>

    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="read-left-padding caption" itemprop="description"> Manifestation en faveur de Raef Badaoui devant l'ambassade d'Arabie Saoudite à Berlin, en janvier. Photo Tobias Schwartz. AFP

    </figcaption> </figure>

    Le Parlement européen a décerné le prix Sakharov au jeune homme, emprisonné et condamné dans son pays à la flagellation pour «insulte» envers l’islam.

    Ils ne sont pas nombreux, les opposants libéraux en Arabie Saoudite et encore moins ceux qui s’expriment publiquement. Raef Badaoui est l’un d’eux. A ce titre, il a été condamné fin 2014 à mille coups de fouet répartis sur vingt semaines et à dix années de prison. Officiellement pour «insultes» envers l’islam et pour avoir désobéi à son père. Sa condamnation avait ému, principalement en Europe et aux Etats-Unis. Jeudi, le blogueur, âgé de 31 ans et emprisonné depuis 2012, a obtenu le prestigieux prix Sakharov pour la liberté d’expression. Il lui a été décerné par le Parlement européen qui a appelé à sa libération «immédiate».

    Dans un communiqué, le président du Parlement européen, Martin Schulz, a souligné que l’opposant a «courageusement exprimé ses idées et ses doutes sur les règles de son pays» et «s’est battu pour la liberté de tous les Saoudiens». Cet homme «courageux et exemplaire» est soumis à une «peine cruelle […] que l’on ne peut objectivement que qualifier de torture», a-t-il plaidé. Il a également demandé au roi Salmane de gracier et libérer immédiatement le prisonnier, pour qu’il puisse venir chercher son prix lors d’une cérémonie prévue le 16 décembre.

    Réunis à Strasbourg, les ­députés se sont levés et ont longuement applaudi la décision prise un peu plus tôt par les chefs de file de leurs groupes politiques. Depuis ­Montréal, au Canada, où elle s’est réfugiée avec leurs trois enfants, Ensaf Haida, l’épouse du lauréat, a salué la décision du Parlement européen, voyant en elle le signe que son mari «n’est pas ­coupable».

    Le Parlement européen a préféré Raef Badaoui à deux autres nominés : une coalition d’opposants politiques au Venezuela et l’opposant russe assassiné Boris Nemtsov, dont le nom avait été cité à titre posthume.

    Raef Badaoui a déjà subi une première séance de flagellation, le 9 janvier, devant une mosquée de Jeddah, en présence d’une foule nombreuse. En revanche, la séance du vendredi suivant avait été repoussée, le médecin de la prison ayant fait savoir que ses «blessures n’étaient pas encore cicatrisées correctement et qu’il ne serait pas capable de supporter d’autres coups de fouet» . Signe d’un certain embarras des autorités, soucieuses de l’image du royaume, elles n’avaient pas repris. Aucune raison n’a été avancée pour justifier leur report, ce qui laisse supposer que Riyad cherchait à aménager la peine du jeune supplicié. Le fait que les vidéos tournées sur le lieu du supplice montrent un bourreau retenant ses coups plaide en faveur de cette hypothèse.

    Il demeure que jamais un journaliste saoudien n’avait été sanctionné aussi lourdement dans le royaume au prétexte d’«injures à l’islam». Jusqu’alors, les sanctions pour un délit de ce type étaient de soixante-quinze coups de fouet. Or, une telle cruauté a forcément une explication.

    En fait, on ne sait pas exactement ce que l’accusation lui reproche. Pour l’épouse du journaliste, le procès était centré sur des déclarations faites à France 24 en décembre 2010. «Un athée a le droit de dire ce qu’il veut […] et personne n’a le droit de lui réclamer des comptes pour ses opinions», avait-il déclaré. Ou sa dénonciation des moutawa’in, la sinistre police religieuse chargée «de la promotion de la vertu et de la prévention du vice».

    Le blogeur saoudien Raef Badaoui, le 16 janvier 2015

    Raef Badaoui (photo AFP)

    Si l’on prend en compte les rapports de forces au sein du royaume, Raef Badaoui et le courant qu’il ­incarne ne sont certainement pas un danger pour le pouvoir. Au contraire, il vient d’une famille très proche du régime, de certains princes en particulier. Lui-même, en tant qu’animateur du site ­internet Free Saudi Liberals, n’est pas foncièrement ­opposé à la monarchie. Ses cibles, jusqu’à son arrestation, étaient donc davantage les religieux du pays, dont le poids sur les institutions sape toute idée de ­réforme.

    Aussi, face aux pressions des radicaux conservateurs sur la dynastie régnante, son site pouvait-il apparaître comme un petit contrepoids, mais largement inoffensif, à la différence des islamistes. Faut-il croire que sa lourde condamnation, dans un pays où la presse est beaucoup plus libre qu’on ne l’imagine, était un gage donné aux religieux ? Surtout, à l’heure où l’Etat islamique cherche à contaminer le pays et où Al-Qaeda dans la péninsule arabique (Aqpa) n’a sans doute pas été complètement éliminée.

    Eric Landal

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  • La belle histoire du jour : cette photo d'un enfant et d'une biche fait fondre l'Amérique

     Créé : 30-09-2015 19:53

    VIRALITE - Depuis 24 heures, une photo montrant un jeune garçon conduire une biche décrite comme aveugle, brouter en toute sécurité un coin d'herbe, fait le tour des réseaux sociaux outre-Atlantique.


    Depuis 24 heures, cette photo fait le tour du monde

    Imgur     lien

    Photo:

    Les informations manquent, mais la viralité, elle, est bien au rendez-vous. Mardi, un utilisateur d'imgur, la célèbre banque d'images en ligne, a posté sur ce site une photo montrant un enfant d'une dizaine d'années, accompagnant une biche sur un trottoir. Le cliché, qui a de quoi surprendre, est légendé de la manière suivante : "Il y a une biche aveugle dans notre quartier et ce garçon, âgé de dix ans, l'amène tous les matins avant l'école vers une parcelle d'herbe pour qu'elle puisse se nourrir suffisamment."

    La belle histoire du jour : cette photo d'un enfant et d'une biche fait fondre l'Amérique


    Une image et quelques lignes qui ont enflammé la toile américaine. En quelques heures, le cliché a été visionné plus de 3 millions de fois et est devenu l'un des principaux sujets de conversation sur le très populaire réseau social Reddit. L'ensemble des commentaires postés rendent hommage à ce jeune garçon pour son "geste d'humanité".


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  • Réfugiés : l'UE débloque un milliard d'euros

    pour soutenir l'ONU au Proche-Orient

    <section class="signature"> Par latribune.fr  |  <time datetime="2015-09-24CEST08:48:00+0200" itemprop="datePublished"> 24/09/2015, 8:48 lien </time></section>

    <aside class="sharelinks" data-href="http://www.latribune.fr/economie/international/refugies-l-ue-debloque-un-milliard-d-euros-pour-soutenir-l-onu-au-proche-orient-507876.html" data-lang="fr" data-lead="Les 28 Etats membres de l'Union Européenne ont décidé mercredi de débloquer un fonds spécial d'un milliard d'euros pour soutenir les agences de l'ONU, dont le Programme alimentaire mondial, qui viennent en aide aux réfugiés dans les pays voisins de la Syrie. La France, quant à elle, mobilisera "100 millions sur deux ans" a déclaré François Hollande." data-nomsource="La Tribune" data-title="Réfugiés : l'UE débloque un milliard d'euros pour soutenir l'ONU au Proche-Orient" data-twittervia="latribune">

    </aside> <figure class="article-picture thumbnail ta-c bg-light-grey" data-exclu="" data-surtitre=""> A l'issue du sommet d'urgence de l'UE sur la crise migratoire de Bruxelles, mercredi soir, les 28 Etats membres ont décidé de mobiliser au moins un milliard d'euros supplémentaires pour les agences des Nations Unies qui viennent en aide aux réfugiés dans les pays voisins de la Syrie, dont le Programme alimentaire mondial (PAM). <figcaption class="legend ta-l"> A l'issue du sommet d'urgence de l'UE sur la crise migratoire de Bruxelles, mercredi soir, les 28 Etats membres ont décidé de mobiliser au moins un milliard d'euros supplémentaires pour les agences des Nations Unies qui viennent en aide aux réfugiés dans les pays voisins de la Syrie, dont le Programme alimentaire mondial (PAM). (Crédits : © Bassam Khabieh / Reuters) </figcaption> </figure> <section class="chapo"> Les 28 Etats membres de l'Union Européenne ont décidé mercredi de débloquer un fonds spécial d'un milliard d'euros pour soutenir les agences de l'ONU, dont le Programme alimentaire mondial, qui viennent en aide aux réfugiés dans les pays voisins de la Syrie. La France, quant à elle, mobilisera "100 millions sur deux ans" a déclaré François Hollande. </section> <section class="contenu-article clearfix">

    L'Europe veut aider l'ONU à aider les réfugiés au Proche-Orient. A l'issue du sommet d'urgence de l'UE sur la crise migratoire de Bruxelles, mercredi soir, les 28 Etats membres ont décidé de mobiliser au moins un milliard d'euros supplémentaires pour les agences des Nations Unies qui viennent en aide aux réfugiés dans les pays voisins de la Syrie.

    Plus tôt mercredi, la Commission européenne avait proposé la somme d'1,7 milliard d'euros, qui devait porter à 9,2 milliards ceux que l'UE compte consacrer à la résolution de la crise sur deux ans.

    Parmi ces agences, la priorité a été donnée au Programme alimentaire mondial (PAM) et au Haut commissariat pour les réfugiés (HCR), a indiqué le président du Conseil européen Donald Tusk. Le PAM avait été conduit ces derniers mois à réduire son action dans les camps, faute de financements, ce qui a provoqué le départ de nombreux réfugiés vers l'Europe.

     Parallèlement, un fonds régional sera augmenté "de façon substantielle" pour aider le Liban,  la Jordanie, la Turquie "et d'autres pays" pour faire face à la crise syrienne a indiqué Donald Tusk.

    La France versera "100 millions d'euros sur deux ans"

    Dans le cadre de ce sommet, François Hollande a annoncé que la France mobiliserait "100 millions sur deux ans", pour "aider les réfugiés là où ils sont" précisant que "ces moyens vont aller précisément dans les camps de réfugiés pour que ces hommes, ces femmes, ces familles, puissent vivre dignement".

    "Mais les Etats membres devront faire également des contributions supplémentaires, je pense notamment à mon pays qui sur le Programme d'aide alimentaire, le PAM, mais également pour l'aide aux réfugiés, devra dégager des moyens en plus de ce qui a été prévu", a souligné M. Hollande.

    Le Premier ministre Britannique David Cameron a quant à lui annoncé débloquer 100 millions de livres, soit 136 millions d'euros, également sur deux ans.

    Des centres d'accueil conformes aux critères de l'UE

    A l'issue du sommet, le président du Conseil Donald Tusk a également annoncé la mise en place de "hostpots" - des centres d'accueil et d'enregistrement des migrants en Italie et en Grèce-  qui devraient fonctionner pleinement "d'ici la fin novembre".

    Dans ces pays situés "en première ligne" pour gérer l'afflux de demandeurs d'asile, le système permettra d'enregistrer, d'orienter et d'accueillir et de raccompagner "ceux qui ne relèvent pas du droit d'asile". Des lieux d'accueils existent déjà en Grèce et en Italie, mais ne remplissent pas nécessairement les critères de ces "hotspots" voulus par l'UE, et supervisés par elle.

    Gestion commune des frontières

    C'est à partir de ces "hotspots" que seront "relocalisés" des réfugiés vers d'autres Etats membres, ou que seront renvoyés vers leurs pays d'origine ceux qui seront considérés comme des migrants illégaux, sans nécessité d'une protection internationale.

    "Une gestion et un contrôle corrects de nos frontières extérieures relèvent de notre responsabilité commune. Ce serait injuste de faire porter tout le fardeau par l'Italie, la Grèce ou d'autres pays. C'est pourquoi nous avons tous offert d'aider de toutes les façons possibles", a expliqué M. Tusk.

    Pour tenter d'endiguer les problèmes aux frontières périphériques de l'UE, des ressources additionnelles (notamment humaines et matérielles) vont être attribuées aux agences européennes en charge des contrôles, telles que Frontex.

    L'UE, qui a lancé plusieurs procédures d'infraction sur le sujet, en a profité pour rappeler aux Etats membres de compléter la transposition du régime d'asile commun dans leurs législations nationales.

    (Avec AFP et Reuters)

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    L'Arabie Saoudite va décapiter

    un manifestant chiite

    <nav class="breadcrumb" role="breadcrumb"></nav>
    Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le <time datetime="23/09/2015 12:50:00" itemprop="datePublished" pubdate=""> 23/09/2015 à 12:50 </time> , mis à jour à <time datetime="23/09/2015 19:26:49" itemprop="dateModified"> 19:26 </time>

     

     

     

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    Un portrait de Sheikh Nimr al-Nimr, l'oncle de Ali Mohammed al-Nimr.

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    Un portrait de Sheikh Nimr al-Nimr, l'oncle de Ali Mohammed al-Nimr.

    REUTERS/Khaled Abdullah

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    Le condamné à mort, qui doit être exécuté jeudi, était mineur au moment des faits qui lui sont reprochés. Il aurait été torturé et contraint aux aveux.

    L'ONU peut être schizophrène. Alors qu'un ambassadeur saoudien est arrivé cette semaine à la tête d'une instance consultative au Conseil des Droits de l'Homme, des experts onusiens des droits de l'homme intiment à l'Arabie Saoudite d'annuler une exécution particulièrement choquante.  

    >> LireQui est Ali al-Nimr, Saoudien de 21 ans menacé de décapitation?

    L'ancienne secrétaire d'État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'Homme Rama Yade s'est indignée ce mercredi sur Twitter: 

    Ali Mohammed al-Nimr avait 17 ans en 2012 lorsqu'il a participé à des manifestations à Qatif, dans l'est du royaume, pendant le Printemps arabe. Accusé d'appartenir à une organisation criminelle et d'avoir attaqué la police, il doit être décapité jeudi, en place publique, où il sera exposé "jusqu'à pourrissement de ses chairs", rapporte Le Figaro. Le jeune homme est le neveu de Sheikh Nimr al-Nimr, un opposant chiite condamné à mort en octobre 2014.  

    Contraint à passer aux aveux

    Les experts de l'ONU ont indiqué que le jeune homme avait apparemment été torturé, contraint à passer aux aveux, et qu'il n'avait pu recourir à un avocat dans des conditions normales avant et pendant son procès, qui ne répondait pas aux normes internationales. De même, son interjection en appel a été traitée "dans le mépris total des critères internationaux", ajoute le communiqué. 

    "Toute sentence infligeant la peine de mort à des personnes mineures à l'époque du délit, ainsi que leur exécution, sont incompatibles avec les obligations internationales de l'Arabie Saoudite", ont estimé les experts. Selon ces derniers, deux autres personnes, également mineures lors des faits qui leur sont reprochés, ayant elles aussi participé aux manifestations de Qadif, doivent être exécutées prochainement. 

    134 exécutions en 2015

    Amnesty International a indiqué en août qu'au moins 2208 personnes avaient été exécutés en Arabie saoudite entre janvier 1985 et juin 2015, dont près de la moitié étaient des étrangers. Des mineurs et des handicapés mentaux figuraient également parmi les personnes exécutées. 134 personnes ont été exécutées cette année, soit 44 de plus que l'année précédente, ont rapporté les experts de l'ONU. 

    "Nous appelons les autorités saoudiennes à instaurer un moratoire sur les condamnations à mort, d'arrêter les exécutions de personnes condamnées qui étaient mineures au moment des faits, et d'assurer une enquête rapide et impartiale sur les actes présumés de torture", ont encore déclaré les experts de l'ONU.


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