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    Publié le <time datetime="2015-08-23T14:26:00+02:00" itemprop="datePublished" pubdate="">dimanche 23 août 2015 à 14h26</time>  - lien

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    Illustration hôpital Lenval Nice
    <figcaption class="wpr_lgd" id="legende">L'hôpital Lenval à Nice.Archives Nice-Matin/Jean-François Ottonello</figcaption></figure>
     
     

    Elle s'appelle Rihanna, elle est née à Nice il y a trois semaines. Elle va bien, et elle a déjà une drôle d'histoire à raconter...

    La semaine dernière, les pédiatres devaient lui administrer un traitement urgent. Las, les parents et leur fillette ont quitté le domicile familial et demeurent injoignables... 

    En désespoir de cause, la préfecture des Alpes-Maritimes lance un avis de recherche via sa page Facebook, en espérant que les parents se reconnaîtront et se manifesteront avec le bébé.

    On est jeudi, il est 16h. Pas vraiment l'heure des pics de fréquentation sur les réseaux sociaux. Et pourtant...

    Immédiatement, la mobilisation se met en branle. En quelques heures à peine, l'alerte est partagée plus de 3.000 fois, et 150.000 comptes Facebook sont "atteints" (comprendre: susceptibles d'avoir vu le post).

    Dans la soirée, le miracle se produit: les parents de Rihanna se présentent aux urgences de Lenval, leur nourrisson dans les bras. Rihanna peut recevoir son traitement et se retrouve hors de danger. 

    Pour l'anecdote, l'alerte a continué à se propager sur le web et a finalement été partagée près de 7.000 fois à ce jour. Soit un demi-million de comptes Facebook atteints.


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  • 5000 enfants nordistes, "oubliés des vacances",

    à Paris avec le Secours Populaire

    Ils ne sont pas partis en vacances mais mercredi, ils se rattrapent: 70 000 enfants de toute la France et de 70 pays du monde ont débarqué à Paris pour une journée exceptionnelle organisée par le Secours populaire. Parmi eux, 5 000 sont originaires du Nord Pas-de-Calais.

    • @f3nord (avec AFP)
    • Publié le 19/08/2015 | 15:12, mis à jour le 19/08/2015 | 15:28  lien
    5000 enfants nordistes - et leurs parents - ont découvert pour beaucoup la capitale ce mercredi. © France 3 Nord Pas-de-Calais

    © France 3 Nord Pas-de-Calais 5000 enfants nordistes - et leurs parents - ont découvert pour beaucoup la capitale ce mercredi.

    "C'était un rêve de venir à Paris", s'exclame Linda, 12 ans, qui a hâte de voir la Tour Eiffel. Après une longue nuit de voyage durant laquelle ils n'ont pas beaucoup dormi, des dizaines d'enfants venus comme elle de l'Ariège ont pris leur petit-déjeuner sur les pelouses de l'Hôtel Matignon où le Premier ministre est venu les saluer. "Il a une voix grave et il est gentil", décrit Janice, qui a d'abord pris Manuel Valls pour un journaliste. Karima-Sarah, "8 ans et demi", a joué les paparazzis en pensant à ses camarades de classe: "Quand je vais leur raconter, ils ne vont pas me croire, alors je prends des photos", explique la petite fille aux lunettes violettes et cheveux noués en tresse.

    5 000 enfants (+ 2 000 parents) originaires du Nord Pas-de-Calais ont également participé à cette journée touristique à Paris avec le Secours Populaire. Nous les avons accompagnés ce mercredi matin sur les célèbres "bateaux-mouches" qui naviguent sur la Seine.


     

    Après avoir participé à des chasses aux trésors organisées un peu partout dans Paris, les enfants se retrouveront pour un pique-nique géant sous la Tour Eiffel et une après-midi de jeux et de concerts. Le Secours populaire organise depuis 1979 une "Journée des oubliés des vacances" pour des milliers d'enfants restés chez eux pendant l'été. Un enfant sur trois ne part pas en vacances, selon l'association. "Ce qui a changé depuis la première Journée des oubliés des vacances, c'est qu'il y a de plus en plus de gosses privés de vacances", a expliqué le président de l'association, Julien Lauprêtre, venu accueillir des centaines de bambins en gare de Bercy. Plus de 10 000 bénévoles ont été mobilisés pour cette journée à la dimension considérable, organisée à l'occasion des 70 ans de l'association, avec le soutien de plus d'une centaine d'entreprises.


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    Cinq passeurs présumés arrêtés

    après un naufrage de migrants

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    </nav> Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le <time datetime="07/08/2015 21:02:00" itemprop="datePublished" pubdate=""> 07/08/2015 à 21:02 </time> , mis à jour à <time datetime="07/08/2015 21:02:35" itemprop="dateModified"> 21:02 lien </time>
    <figure class="cover trigger_scroll"><figcaption>

    Des survivants du naufrage qui a fait plus de 200 morts, mercredi, débarquent du navire irlandais Le Niamh dans le port de Palerme, le 6 août 2015.

    Reuters/Guglielmo Mangiapane

    </figcaption> </figure> </header>

    Cinq des rescapés du naufrage qui a fait plus de 200 morts mercredi, au large de la Libye, ont été arrêtés à Palerme. Les témoignages des autres survivants les décrivent comme des passeurs et les accusent de violences.

    Les passeurs ont utilisé couteaux et bâtons, pendant le voyage, pour empêcher les passagers de la soute, de gagner le pont, ont témoigné des survivants du naufrage qui a fait plus de 200 morts mercredi, près des côtes libyennes.

    La police italienne a annoncé, ce vendredi, l'arrestation, à Palerme, de cinq de ces survivants, deux Algériens, deux Libyens et un Tunisien âgés de 21 à 24 ans, soupçonnés d'avoir été des passeurs. 

    Les "Africains" traités différemment des autres passagers

    Selon des témoignages recueillis auprès des quelque 360 autres migrants arrivés jeudi à Palerme, en Sicile, l'un était le pilote du bateau disparu, deux autres l'assistaient, tandis que les derniers étaient chargés d'empêcher les passagers de bouger.  

    Les cinq hommes avaient embarqué quelque 650 personnes, selon les témoignages recueillis par la police, Les passeurs ont assuré aux passagers du pont que les Africains devaient "supporter de rester enfermés pendant trois jours dans la cale, étant donné qu'ils avaient payé la moitié du prix des autres pour leur traversée", a affirmé la police de Palerme dans son communiqué. 

    Marqués au couteau et frappés avec des ceintures

    Les témoignages font également état de différences de traitement en fonction de l'origine des migrants: les "Africains" n'obéissant pas aux ordres ont été "marqués au couteau au niveau de la tête", tandis que les "Arabes" étaient frappés avec des ceintures. 

    Sur les bateaux de migrants surchargés, les tensions sont fréquentes entre les passagers du pont et ceux de la soute, qui cherchent toujours à aller sur le pont pour glaner un peu d'air, échapper aux émanations de carburant ou à l'eau qui s'infiltre. Dans le cas de ce bateau, la soute a commencé à prendre l'eau à peine trois heures après le départ, au point de rapidement noyer le moteur. 

    "Les passeurs ont alors appelé leurs collègues en Libye, d'après des témoignages recueillis par l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), pour leur demander s'ils pouvaient faire machine arrière. Mais on leur a répondu de continuer leur route vers l'Italie". 

    Un mouvement de foule a fait chavirer le bateau

    Les migrants ont alors appelé à l'aide, mais lorsque le navire irlandais venu à leur rescousse est arrivé à sur place plusieurs heures plus tard, le déplacement des passagers a fait chavirer le bateau, qui a coulé avant que la plupart des occupants de la soute ne puissent en sortir. 

    Une opération de secours massive impliquant sept bateaux a permis de sauver près 400 personnes, mais aussi de repêcher 26 corps. Quelque 200 autres migrants, dont de nombreux enfants, sont portés disparus. Les cinq passeurs présumés risquent des poursuites pour homicides avec circonstances aggravantes et aide à l'immigration clandestine. 


     

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    Etats-Unis - Zimbabwe - Justice - Politique - Drame - Animaux

    Lion tué au Zimbabwe : un sénateur américain
    propose une loi "CECIL"

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    A la suite de la vague d’émotion internationale suscitée par la mort du lion Cecil au Zimbabwe, un sénateur américain a présenté ce vendredi une loi visant à empêcher la chasse aux trophées animaliers.
     

    Appelant ses compatriotes à ne pas se comporter en « lions lâches », un sénateur américain a présenté, ce vendredi 31 juillet 2015, une loi visant à empêcher la chasse aux trophées animaliers. Cette sortie faite suite à la vague d’émotion internationale suscitée par la mort du lion Cecil au Zimbabwe.

    La proposition qui tient sur deux pages, intitulée Conserving Ecosystems by Ceasing the Importation of Large (CECIL) animal trophies Act, a été présentée quelques jours après l’annonce de la mort du lion Cecil.

    Le sénateur démocrate Robert Menéndez a fait cette proposition de loi pour notamment élargir les restrictions à l’importation et l’exportation imposées par la loi de 1973 sur les espèces en danger pour y ajouter les animaux proposés à la liste des espèces menacées.

    En octobre dernier, le bureau américain de la pêche et de la vie sauvage chargé d’établir cette liste, avait proposé d’ajouter le lion africain en raison de la perte d’habitat et de la menace grandissante que représente l’homme pour le félin.

    Cecil, lion mâle de 13 ans, célèbre attraction du parc national d’Hwange au Zimbabwe en raison de son inhabituelle crinière noire, avait été tué par un dentiste américain par ailleurs chasseur de trophées animalier.


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    Canal+ privée des "Guignols de l'info" ?

    Au lendemain de la disparition d'Alain De Greef, l'émission-phare de la chaîne serait sur la sellette. Vincent Bolloré aurait décidé de la supprimer.

    Publié le <time datetime="2015-07-01T22:20" itemprop="datePublished">01/07/2015 à 22:20</time> - Modifié le <time datetime="2015-07-02T06:04" itemprop="dateModified">02/07/2015 à 06:04</time> | Source Le Point.fr lien

     

     

     

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    La marionnette du journaliste et présentateur Patrick Poivre d'Arvor, photo d'illustration.©STEPHANE DE SAKUTIN

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    Les Guignols de l'info, l'une des émissions satiriques les plus emblématiques de la télévision française diffusée depuis 1988 sur Canal+, risquent de disparaître des écrans à la rentrée, annoncent plusieurs médias mercredi. « Les Guignols de l'info ne retrouveront pas l'antenne de Canal+, suite à une décision prise par Vincent Bolloré, patron du groupe », rapporte Metronews, confirmant une information du site Puremedias. La nouvelle survient deux jours après la mort lundi à l'âge de 68 ans d'Alain De Greef, l'ancien numéro deux de Canal+ dont Les Guignols étaient l'invention. « Ni Vivendi, ni Canal+ ne font de commentaire », a déclaré un responsable du groupe Bolloré.

    « Vincent Bolloré réunira les actionnaires du groupe, vendredi 3 juillet pour entériner la décision », écrit Metronews, qui cite une source « proche de l'équipe des auteurs ». Selon le site d'information, « le capitaine d'industrie n'appréciait que très moyennement le programme ». Selon le site Puremedias, Vincent Bolloré envisagerait de faire passer l'émission à un rythme hebdomadaire. Interrogé récemment sur France Inter à propos de « l'esprit Canal », Vincent Bolloré avait déploré l'abus « de dérision » de la chaîne, regrettant une tendance à se « moquer des autres », un message à peine voilé adressé à l'émission phare de la chaîne cryptée. Une pétition circulait mercredi soir sur les réseaux sociaux pour protester contre la disparition du programme, tandis que le hashtag #touchepasauxguignols figurait parmi les sujets les plus commentés sur Twitter.

    Une émission qui fait concurrence au JT

    Parodie de journal télévisé présenté par PPD, caricature du journaliste Patrick Poivre d'Arvor, l'émission brocarde depuis près de 30 ans tout ce que le monde politique, des médias ou du show-business compte de personnalités. Baptisée au départ « Les Arènes de l'info », l'émission fait concurrence au JT des grandes chaînes, traitant des mêmes sujets d'actualité mais forçant le trait à outrance. Diffusée du lundi au vendredi, en clair et en public, sept minutes juste au moment des journaux télévisés, et avec un résumé hebdomadaire le dimanche, l'émission a ses inconditionnels.

    Lors du journal des Guignols, PPD et ses invités sont placés derrière un pupitre, manipulés par des marionnettistes qui actionnent les bras, les bouches et les yeux parmi lesquels Yves Lecoq ou Thierry Garcia. Parmi les nombreux auteurs des textes qui se sont succédé dans l'équipe figurent notamment François Rollin, Benoît Delépine, Bruno Gaccio ou Franck Magnier.

    we sign it - Touche pas aux Guignols

    Signez la Pétition


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