• Grandes marées: Le Mont St Michel en majesté

    Depuis quelques jours, la Manche connaît les premières grandes marées de l'été: coefficient de 101 à 107. L'occasion d'admirer le Mont St Michel entouré par les flots. Le caractère maritime du Mont qui a généré dix ans de travaux dans la Baie porte ses fruits.

    • Par Sabine Daniel
    • Publié le 14/07/2014 | 12:01, mis à jour le 14/07/2014 | 12:01
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    l'ombre du mont se reflète dans l'eau au pied des remparts © Laurent Marvyle
    © Laurent Marvyle l'ombre du mont se reflète dans l'eau au pied des remparts
    Il fallait être léve-tôt ou couche-tard pour pouvoir parvenir au Mont St Michel dans les temps. Objectif : se faire enfermer par la marée montante.
    Pour se faire, donc, il s'agissait de se rendre à la Merveille entre 4h30 du matin ( marée basse) et 9h30 (haute mer).
    Laurent Marvyle et Franck Bodereau  se sont rendus dans l'Abbaye Citadelle et nous conterons leur aventure, ce soir, dans le JT de 19h.
    En attendant, ils nous ont envoyés leurs premières impressions.
     
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    Tendance. Les bracelets Loom, un succès (presque) breton !

    Quimper - <time datetime="2014-07-12T21:14:11+02:00" itemprop="datepublished">21h14</time>
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    Lucile VANWEYDEVELDT.

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    Ces bracelets élastiques à faire soi-même sont en tête des ventes de jouets en France. Et le seul distributeur exclusif de Rainbow Loom est un couple breton.

     

    <figure class="tag-photo img-caption" style="box-sizing: border-box; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px !important; margin-left: 0px; line-height: 1.5; position: relative; overflow: hidden; transition: all 0.1s ease-out; -webkit-transition: all 0.1s ease-out; clear: both; text-align: center; background: rgb(36, 36, 36);">Les kits de création de bijoux en élastiques multicolores font un carton dans les cours de récré.<figcaption style="box-sizing: border-box; width: 639.984375px; text-align: left; font-size: 12px; position: absolute; bottom: -80px; padding: 5px 10px; color: rgb(255, 255, 255); border-top-width: 1px; border-top-style: solid; border-top-color: rgb(102, 102, 102); opacity: 0.9; background: rgb(17, 17, 17);">Les kits de création de bijoux en élastiques multicolores font un carton dans les cours de récré. | DR.</figcaption></figure>

     

     Article paru initialement le 16 mai 2014

    Tout a commencé aux États-Unis. Emmanuel et Morgane Laurençon, Quimpérois et parents de quatre enfants de 6, 10, 12 et 14 ans étaient en Floride quand ils ont découvert le phénomène. « Devant les magasins, des dizaines de personnes faisaient la queue pour se procurer le kit. C'est aujourd'hui le jeu le plus vendu aux États-Unis. Il rafle toutes les distinctions. »

    Star des cours de recré

    <figure class="tag-photo img-caption" style="box-sizing: border-box; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px !important; margin-left: 0px; line-height: 1.5; position: relative; overflow: hidden; transition: all 0.1s ease-out; -webkit-transition: all 0.1s ease-out; clear: both; text-align: center; background: rgb(36, 36, 36);">Le n° 1 des ventes de jeux créatifs aux États-Unis, Rainbow Loom, a été introduit en France grâce à un couple de Quimpérois, Emmanuel et Morgane Laurençon.<figcaption style="box-sizing: border-box; width: 639.984375px; text-align: left; font-size: 12px; position: absolute; bottom: -80px; padding: 5px 10px; color: rgb(255, 255, 255); border-top-width: 1px; border-top-style: solid; border-top-color: rgb(102, 102, 102); opacity: 0.9; background: rgb(17, 17, 17);">Le n° 1 des ventes de jeux créatifs aux États-Unis, Rainbow Loom, a été introduit en France grâce à un couple de Quimpérois, Emmanuel et Morgane Laurençon. | Ouest-France</figcaption></figure>

    Le couple est aujourd'hui le distributeur exclusif de Rainbow Loom en France. De quoi s'agit-il ? D'un kit de création de bracelets en élastiques multicolores. Grâce à un petit métier à tisser et un crochet, les enfants de 7 à 14 ans peuvent réaliser des bijoux et des accessoires. « À l'automne, on a testé le produit dans une petite boutique à Quimper puis dans une grande librairie à Brest. Aujourd'hui, les ventes explosent au niveau national et européen. C'est la folie dans les cours de récré. »

    Les ventes explosent

    À l'automne, l'entreprise Creative Imports comptait deux salariés : Emmanuel et Morgane, mari et femme. Le siège : le garage de leur maison dans le quartier résidentiel de Kerfeunteun. Aujourd'hui, cinq personnes sont salariées. « On va s'agrandir en louant le bureau au-dessus du nouveau local. Des recrutements sont en cours. » Une base logistique a été installée près de Paris pour stocker la marchandise qui vient de Chine. « Depuis janvier, 160 000 boîtes ont été vendues en France ainsi que 350 000 sachets d'élastiques, affirme le chef d'entreprise. En Belgique, le succès est énorme. » [Plus de 50 000 boites sont vendues mensuellement indiquaient Les Échos le 7 juillet]

    Grâce à leur fille

    Mais pourquoi le créateur de Rainbow Loom a-t-il cédé ces droits d'exclusivité à ce couple et non à l'un des leaders du jouet en Europe ? « Quand on l'a contacté, il a tout de suite accepté notre proposition de faire connaître ce concept en France. Pourquoi nous ? Parce que nous sommes les parents d'une petite fille mordue par ce jeu. »

    Effet de mode ?

    Rainbow Loom a été désigné jouet de l'année aux États-Unis. « Les enfants peuvent visionner des vidéos de fans postées sur facebook pour découvrir de nouveaux modèles », informe le distributeur. Un site internet, créé par les Quimpérois, permet la vente en ligne (www.rainbowloomcreative.fr).

    À Quimper, une grande enseigne de jouets organise des ateliers de création les mercredi et samedi après-midi. C'est la ruée. « On se prépare à la montée en puissance car nous ne sommes qu'au début de cet effet de mode », conclut Emmanuel Laurençon. Et lorsque le soufflet retombera ? « On a d'autres produits à lancer comme cette mini-lingette autocollante et réutilisable pour portables. Ça fait un carton à Dubaï ! ».

    Sécurité et contrefaçon

    En France, les contrefaçons fleurissent. « Seuls les élastiques Rainbow Loom sont garantis sans latex, sans bisphénol et sans phtalates », assure le distributeur. 

    En Belgique, un professeur de pédiatrie met en garde les parents sur le danger potentiel de ces bracelets.

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  • Espagne: Pampelune accueille la San Fermin pour neuf jours de folie

     

    Créé le 06/07/2014 à 18h51 -- Mis à jour le 06/07/2014 à 19h50
    <aside>Une marée humaine célèbre le "chupinazo", le lancement rituel des festivités de la San Fermin devant la mairie de Pampelune, capitale de la Navarre, le 6 juillet 2014

    Une marée humaine célèbre le "chupinazo", le lancement rituel des festivités de la San Fermin devant la mairie de Pampelune, capitale de la Navarre, le 6 juillet 2014 RAFA RIVAS AFP

    </aside>

    Pampelune (Espagne) - Envahie par une marée humaine tout de blanc vêtue, Pampelune, la capitale de la Navarre, a donné dimanche le coup d'envoi des fêtes de la San Fermin, qui pendant neuf jours feront vibrer la ville au rythme des légendaires courses de taureaux. 

    A midi pile, une fusée jaillit du balcon de la mairie. C'est le «chupinazo», le lancement rituel des festivités.

    Sur les places et dans les ruelles pavées du coeur historique de la ville, dans le nord de l'Espagne, la foule frénétique trépigne, bras tendus vers le ciel en agitant des foulards rouges, hurle «Vive San Fermin».

    Depuis le matin, les habitants de Pampelune, ceinture rouge nouée autour de la taille, fiers d'une tradition qui a fait la renommée mondiale de leur ville, se mêlaient aux touristes venus goûter à l'ivresse de cette fête mythique.

    Dans les ruelles, étaient déjà dressées les longues tables où voisins et amis se retrouvaient autour de copieux plats de charcuterie et de friture.

    - Tradition et tourisme -

     

    «C'est une fête traditionnelle, de toujours, elle représente aussi les racines de notre famille, la Navarre», raconte Julio Alvarez, un économiste de 40 ans.

    «Bien sûr, la fête a changé», remarque son amie Ana Caroaizcorbe, 43 ans, évoquant ses souvenirs d'enfant. «Aujourd'hui, la foule est beaucoup plus grande, mais cela donne aussi une autre couleur. Et les lâchers de taureaux, les processions religieuses, tout cela garde un caractère traditionnel».

    Dès midi, la ville de 300.000 habitants, envahie par des centaines de milliers de touristes espagnols et étrangers, bascule dans un tourbillon d'euphorie, au rythme des percussions et des fanfares. Les habits blancs, aspergés de flots de sangria, se teignent de mauve délavé, les bars se remplissent jusqu'à l'aube.

    Jusqu'à ce que les ruelles, vidées des derniers fêtards, lavées, ne s'emplissent à nouveau de milliers de coureurs prêts à prendre le départ, lundi à 8 heures, du premier des «encierros», les lâchers de taureaux.

    En quelques minutes, les coureurs dévalent un parcours de 848,6 mètres, sous les encouragements des grappes de spectateurs perchés sur les balcons.

    Ceux qui rêvent d'exploit, ou les plus aguerris, s'approchent, jusqu'à les toucher, des énormes bêtes, six taureaux de combat guidés par six bœufs.

    D'autres gardent leurs distances. Mais souvent, la maladresse et l'inexpérience de certains, trop téméraires ou au contraire terrorisés, ajoutent au danger.

     

    - Un dangereux rituel -

     

    Sam Madden, un électricien britannique de 26 ans, est venu de Londres pour vivre le frisson de sa première course. «Nous ne savons pas quoi attendre, peut-être mourir, cela va être fou», lance-t-il, euphorique.

    L'édition 2013 avait failli tourner au drame quand 23 personnes avaient été blessées dans un énorme bouchon humain.

    Alors que les coureurs vétérans réclament depuis longtemps une sécurité accrue, la municipalité a décidé cette année de sanctionner certains comportements, comme le fait de «rester sur le parcours en état d'ébriété, sous l'emprise de drogue ou sans être en pleine possession de ses moyens physiques ou psychiques».

    «Le problème, ce sont les gens qui entrent dans le périmètre sans savoir réellement ce qu'est une course de taureaux de combat», explique Fermin Alonso, conseiller municipal à la Culture. «Parfois, la police doit faire sortir des personnes ivres, ou portant des sandales au lieu de chaussures de sport».

    Le dangereux rituel, qui a fait 15 morts depuis 1911, dont le dernier en 2009, se répètera tous les matins jusqu'au 14 juillet. Le parcours mène les taureaux jusqu'aux arènes où ils seront parqués, en attendant leur mise à mort lors de la corrida du soir.

    «La seule chose que je n'aime pas, ce sont les taureaux», confie Julio Alvarez, évoquant les mauvais traitements dénoncés par les défenseurs des animaux.

    Perdues dans le Moyen Age, les origines de ces fêtes mêlent les célébrations religieuses, en hommage à San Fermin, le saint patron de la Navarre, la tradition des foires commerciales et celle de la corrida.

    Mais leur célébrité gagnera le monde entier au début du 20e siècle sous la plume d'Ernest Hemingway, l'écrivain et journaliste américain qui en fera la toile de fond de son roman «Le soleil se lève aussi», publié en 1926.

     © 2014 AFP

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  • La photo du jour : la Bosnie commémore

    l'attentat de Sarajevo du 28 juin 1914

    MIS À JOUR : 28-06-2014 19:24
    -CRÉÉ : 28-06-2014 18:21    lien

    EN IMAGES - Tous les jours, metronews sélectionne la photo la plus marquante ou insolite de l'actualité. Aujourd'hui Sarajevo organise les commémorations du centenaire de l'attentat ayant causé la mort de l'archiduc François-Ferdinand de Habsbourg.

     
     
     
     
    Cent ans jour pour jour après l'attentat de Sarajevo, la Bosnie commémore l'attentat du 28 juin 1914. Ce jour là, l'archiduc François-Ferdinand de Habsbourg a été tué par un nationaliste serbe. L'évènement changera le cours de l'Histoire en faisant basculer l'Europe dans la Première guerre mondiale. Sur cette photo, on voit la réplique de la voiture dans laquelle se trouvait le prince héritier de l'Empire austro-hongrois garée à proximité à proximité du lieu de l'attentat. Photo : ELVIS BARUKCIC / AFP
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    Cent ans jour pour jour après l'attentat de Sarajevo, la Bosnie commémore l'attentat du 28 juin 1914. Ce jour là, l'archiduc François-Ferdinand de Habsbourg et son épouse ont été assassinés par un nationaliste serbe, Gavrilo Princip. L'évènement changera le cours de l'Histoire en faisant basculer l'Europe dans la Première guerre mondiale.

    Sur cette photo, on voit la réplique de la voiture dans laquelle se trouvait le prince héritier de l'Empire austro-hongrois garée à proximité du pont Latin de Sarajevo, où a eu lieu l'attentat. De nombreux spectacles devaient être donnés dans la soirée pour l'occasion.

    Mais moins de vingt ans après le conflit inter-ethnique qui a déchiré la Bosnie, les célébrations ne font pas l'unanimité car elles renvoient, pour certains, à la question de la responsabilité de la guerre. Une statue de deux mètres de l'assassin a même été inaugurée par des centaines de personne vendredi, dans la partie serbe de Sarajevo.

    L'image qui en dit plus

    Chaque jour, retrouvez sur metronews une image qui marque l'info. Fascinantes, choquantes, ou amusantes, les photos en disent parfois beaucoup plus que les meilleures analyses. Nicolas Sarkozy qui fait un tour en calèche à New York, le pape François en mauvaise posture ou Yusuf Yerkel qui frappe un manifestant, autant d'instants, posés ou volés, qui marquent l'actualité. 

     


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    De jeunes dirigeants d'entreprise ivres obligent un TGV à s'arrêter

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-06-20T14:46" itemprop="datePublished" pubdate="">20/06/2014 à 14:46</time> - Modifié le <time datetime="2014-06-20T16:48" itemprop="dateModified">20/06/2014 à 16:48</time>

    Une vingtaine de policiers, casqués et en tenue d'intervention, ont été mobilisés lorsque le train a été immobilisé en début d'après-midi.

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">La police a dû intervenir en gare de Tours pour calmer les esprits de jeunes cadres d'entreprise un peu trop éméchés.<figcaption>La police a dû intervenir en gare de Tours pour calmer les esprits de jeunes cadres d'entreprise un peu trop éméchés.© BERTRAND GUAY / AFP</figcaption></figure>
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    La police a dû intervenir jeudi en gare de Tours-Saint-Pierre-des-Corps pour calmer les esprits d'une centaine de jeunes dirigeants d'entreprise sérieusement éméchés qui ont semé le trouble dans un TGV faisant la liaison Bordeaux-Lille. Les membres du Centre des jeunes dirigeants d'entreprise (CJD) se rendaient à Lille pour leur congrès national et avaient pris avec eux force bouteilles à leur départ de Bordeaux. De surcroît, ils n'avaient pas pris le train adéquat et leurs billets n'étaient pas valides. "Vu le surnombre que cela a provoqué dans le train et l'état d'excitation de ces passagers, le chef de train a demandé le concours des forces de police" pour faire évacuer les trublions, a-t-on raconté au commissariat de Tours.

    Une vingtaine de policiers, casqués et en tenue d'intervention, ont été mobilisés lorsque le TGV a été immobilisé en début d'après-midi en gare de Saint-Pierre-des-Corps (banlieue de Tours). Le convoi est resté sur place environ une heure, le temps "d'enlever les bouteilles accumulées dans les deux rames concernées". Une fois l'ordre rétabli et "les esprits calmés, les jeunes chefs d'entreprise ont pu remonter dans le train, qui a poursuivi sa route, avec à son bord des agents de sécurité de la SNCF" pour veiller sur le groupe, a-t-on dit de même source. Aucune interpellation n'a été opérée.

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