• Le vétéran britannique fugueur de retour dans sa maison de retraite

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2014-06-06T20:03:28+02:00" itemprop="datePublished">06.06.2014 à 20h03</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-06-07T13:07:20+02:00" itemprop="dateModified">07.06.2014 à 13h07</time>

     

     

    <figure>Le pensionnaire de 89 ans, dont l'identité n'a pas été révélée, avait décidé d'ignorer les ordres des aides-soignantes pour se rendre, coûte que coûte, auprès de ses anciens camarades.</figure>

     

    Le vétéran britannique de 89 ans qui s'était échappé de sa maison de retraite jeudi 5 juin pour se rendre aux commémorations du Débarquement en Normandie était de retour samedi et s'est dit prêt à repartir l'année prochaine s'il est « toujours là ».

    Cet ancien maire de la ville de Hove, au sud-est de l'Angleterre, s'était échappé jeudi matin de sa maison de retraite, ses médailles cachées sous son imperméable. Il avait rejoint un bus de vétérans qui se rendait à Ouistreham, en Normandie.

    Le personnel de la maison de retraite avait donné l'alerte jeudi en début de soirée. La police du Sussex avait alors fouillé toute la zone, vérifié auprès des hôpitaux, des compagnies de bus et de taxis, sans le retrouver. Le fugueur avait finalement été localisé le soir même, sain et sauf, au milieu de ses camarades du Débarquement en Normandie.

    « J'AI PASSÉ UN TRÈS BON MOMENT »

    « La maison de retraite a reçu un appel d'un autre vétéran assurant que le pensionnaire se portait bien et qu'il rentrerait en toute sécurité une fois les cérémonies terminées », avait alors rapporté un porte-parole de la police. Après sept heures de traversée, il a donc finalement regagné sa maison de retraite.

    « J'ai passé un très bon moment. Je suis vraiment très content de l'avoir fait », s'est réjoui l'ancien officier de la Royal Air Force, en arrivant à Portsmouth, au sud de l'Angleterre samedi matin. « Je sais que je vais maintenant devoir affronter les conséquences », a-t-il ajouté. « Il est très fatigué. Il doit reprendre des forces etrester au repos », a déclaré de son côté la directrice de l'établissement.

    Un responsable de la maison de retraite a souligné que « le personnel de l'établissement a essayé d'obtenir une invitation » pour le vétéran, qui lui a été refusée en raison d'une demande trop tardive. Il avait été rapporté dans un premier temps que la maison de retraite lui avait interdit de se rendre en Normandie.

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    Voir aussi les images « avant et après » : Les plages du Débarquement, d'hier à aujourd'hui


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  • Bolivie: le téléphérique urbain le plus long

    et le plus haut du monde inauguré

     

    Créé le 31/05/2014 à 14h40 -- Mis à jour le 31/05/2014 à 14h50       lien

    <aside>Le président bolivien Evo Morales (d) et son vice-président Alvaro Garcia Linera inaugurent le téléphérique urbain le plus long et le plus haut du monde le 30 mai 2014 à La Paz

    Le président bolivien Evo Morales (d) et son vice-président Alvaro Garcia Linera inaugurent le téléphérique urbain le plus long et le plus haut du monde le 30 mai 2014 à La Paz AIZAR RALDES AFP

    </aside>

    La Paz - Le président bolivien Evo Morales a inauguré vendredi la première ligne du réseau de téléphérique urbain le

    plus long et le plus haut du monde, entre La Paz et El Alto

    .

    Construit par l'entreprise autrichienne Doppelmayr pour 234 millions de dollars, ce téléphérique relie les villes de La Paz et d’Alto, entre 3.200 et 4.000 mètres d’altitude, en pleine Cordillère des Andes.

    Cette ligne permettra aux passagers de rallier les deux villes en moins de 10 minutes, contre plus d’une demi-heure en voiture ou en transport collectif, avec en toile de fond les cimes enneigés de l'Illimani, qui culmine à 6.462 mètres d'altitude, un des plus hauts sommets de la Bolivie.

    «C'est une joie que cette ligne de téléphérique soit terminée», s'est exclamé le président Morales durant la cérémonie d'inauguration à La Paz.

    «C'est un devoir accompli envers les habitants de La Paz», la capitale la plus haut perchée du monde, à 3.660 mètres d'altitude.

    Le réseau du téléphérique sera long de près de 10 km. Après cette première ligne de 2,6 km, un deuxième tronçon de 7,3 km devrait être inauguré à la fin de l'année.

    La Paz et El Alto, un conglomérat urbain de plus de 1,6 million d'habitants, «font partie des premières 10 villes au monde qui ont un système de transport interurbain par câble», a relevé le directeur de la compagnie d'Etat Mi Teleférico, Jorge Dockweiler.

    Ce nouveau système fonctionnera 17 heures par jour, 360 jours par an et pourra transporter 18.000 personnes par heure, selon les projections officielles.

    Le prix du titre de transport par personne est de trois bolivianos (43 centimes de dollar).

    Le seul autre téléphérique existant actuellement en Bolivie, et seulement à des fins touristiques, se trouve dans la ville de Cochabamba, dans le centre du pays.

     © 2014 AFP

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  • En Ecosse, la campagne pour l'indépendance est officiellement lancée

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | <time datetime="2014-05-30T18:11:48+02:00" itemprop="datePublished">30.05.2014 à 18h11</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-05-31T00:35:29+02:00" itemprop="dateModified">31.05.2014 à 00h35   </time>lien

     

     

    <figure>« Si l'Ecosse quitte le Royaume-Uni, elle quitte la livre sterling Â», a résumé le ministre des finances britannique. Les Ecossais se prononceront sur l'indépendance dans un référendum en septembre.</figure>

     

    La campagne pour le référendum sur l'indépendance a officiellement débuté vendredi 30 mai en Ecosse. Quatre millions d'Ecossais sont appelés à seprononcer, dans quatre mois, sur l'accord qui lie l'Ecosse à l'Angleterre depuis trois cent sept ans — l'Acte d'union qui entérina la fusion des royaumes d'Ecosse et d'Angleterre remontant à 1707.

    Les derniers sondages donnent toujours le « non » vainqueur, le 18 septembre, avec environ 40 % des voix. Mais l'écart entre partisans et opposants à l'indépendance n'a cessé de se réduire ces derniers mois, avec près de 30 % de votants qui pencheraient pour le « oui ».

    Lire le reportage : En Ecosse, les indépendantistes gagnent du terrain

    • La question du niveau de vie

    « Ce qui pourrait être le plus déterminant en septembre pour les électeurs est la question de savoir si leur niveau de vie s'améliorera ou pas », d'après Charlie Jeffery, professeur de politique à l'université d'Edimbourg.

    Les élections européennes à peine terminées, la guerre des chiffres a d'ailleurs été relancée autour de cette question. Le premier ministre écossais, Alex Salmond, a fait valoir que l'indépendance placerait l'Ecosse parmi les nations les plus riches au monde — notamment grâce au contrôle d'une partie des réserves de pétrole de la mer du Nord.


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    « Nous avons projeté les profits sur une période de quinze ans et nous avons calculé que chaque habitant gagnerait 1 000 livres [1 230 euros] de plus par an », en cas de la victoire du « oui », a-t-il affirmé sur la BBC. « Une Ecosse indépendante commencerait son existence avec des finances publiques solides et pourrait ensuite voir son économie croître de 5 milliards de livres [plus de 6 milliards d'euros] par an d'ici à 2029-2030 », a-t-il poursuivi.

    De leur côté, le premier ministre conservateur David Cameron et l'opposition travailliste livrent une analyse radicalement différente en cas de scission. Le secrétaire du Trésor, Danny Alexander, a assuré que, en cas d'indépendance, « les Ecossais n'auront pas autant de ressources disponibles pour leurs servicespublics ». « En restant unis, le futur de l'Ecosse sera plus sûr, avec des finances plus solides et une société plus développée. Chaque habitant pourra compter sur un bonus de 1 400 livres [plus de 1 700 euros] par an », a-t-il souligné.

    Lire : L’Ecosse face aux défis de l’indépendance

    • La question de la monnaie

    Le gouvernement écossais, dirigé par les indépendantistes du Parti national écossais (SNP — pour Scottish National Party), souhaite mettre fin au contrôle direct de Westminster, tout en conservant ce qu'il nomme des « bien communs », comme la monnaie — la livre sterling — et la monarchie.

    Mais le ministre britannique des finances, George Osborne, a fait savoir, en février, que le Royaume-Uni n'était pas forcément disposé à accepter de partager la livre sterling en cas de « oui » au référendum : « Si l'Ecosse quitte le Royaume-Uni, elle quitte la livre sterling. »

    Lire : Comment Londres veut appliquer une pression monétaire sur l'Ecosse

    • La question de l'intégration européenne

    Les débats sur le scrutin européen ont été hantés, en Ecosse, par le spectre du référendum d'indépendance. C'est le United Kingdom Independence Party (UKIP) europhobe de Nigel Farage — impopulaire en Ecosse — qui a finalement remporté une victoire historique aux élections européennes. Or aucun des neuf eurodéputés du UKIP n'est écossais, et « les libéraux démocrates écossais risquent fortement de perdre leur siège à Bruxelles, laissant la voix libre au UKIP », prévient John Peterson, spécialiste de l'Europe à l'université d'Edimbourg.

    Ces résultats pourraient avoir une répercussion sur la plus européenne des quatre nations qui constituent le Royaume-Uni — un sondage réalisé en avril montrait ainsi que, si un référendum sur la sortie du Royaume-Uni de l'Europe avait lieu, l'Ecosse y serait défavorable à 48 %, contre 39 % au pays de Galles et 37 % en Angleterre.

    Pour la journaliste écossaise Lindsey Johnstone, installée à Edimbourg, « la victoire du UKIP europhobe pourrait profiter au camp du “oui”, qui ne peut imaginerrester lié à un parti antieuropéen et anti-immigration ». Une des ambitions des partisans de l'indépendance est d'ailleurs d'adhérer au plus vite à l'Union européenne, pour faire davantage entendre la voix de l'Ecosse à Bruxelles.

    Toutefois, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, avait jugé en février qu'il serait « extrêmement difficile, voire impossible » pour une Ecosse indépendante d'adhérer à l'Union européenne. En effet, l'adhésion à l'UE d'un Etat issu d'un pays membre de l'Union « doit être approuvée par tous les autres membres de l'Union européenne », a-t-il déclaré sur la BBC.

    Lire (édition abonnés) : Hors du Royaume-Uni, les Ecossais demeureraient-ils européens ?


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  • <article><header>

    Haute-Garonne : le geste généreux d'un gagnant de l'Euro Millions

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-05-29T09:57" itemprop="datePublished" pubdate="">29/05/2014 à 09:57</time> - Modifié le <time datetime="2014-05-29T11:35" itemprop="dateModified">29/05/2014 à 11:35    </time>lien 

    Il avait remporté 72 millions d'euros le 31 janvier dernier.

    Ce gagnant de l'Euro Millions va donner la majorité de la somme 

    à des associations.

     

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Un gagnant anonyme va verser plus de 50 millions d'euros à des associations.<figcaption>Un gagnant anonyme va verser plus de 50 millions d'euros à des associations. © ALAIN JOCARD / AFP</figcaption></figure>
     
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    Il donnera au moins 50 millions d'euros à des associations ! Le gagnant de 72 millions d'euros à Euro Millions, le 31 janvier dernier en Haute-Garonne, va donner "une partie conséquente de son gain à une dizaine d'associations", selon la Française des jeux, confirmant une information de RTL. Selon la radio, ce gagnant compte reverser "au moins une cinquantaine de millions d'euros à une dizaine de grandes associations d'ampleur nationale".

    Le joueur avait décroché la cagnotte de 72 149 579 euros, soit le septième gain le plus important en France depuis la création de la loterie européenne en février 2004 et le deuxième gain en Haute-Garonne après celui de 101 855 641 euros, également à Euro Millions, remporté en décembre 2012.

    "Un gagnant qui a une fibre solidaire"

    "Dans son souci de préserver l'anonymat de ses grands gagnants", la Française des jeux s'est bornée à confirmer qu'elle avait payé ce gain de 72 millions sur la fin de la période de soixante jours dont disposent les gagnants pour se faire connaître.

    "Il s'agit, précise la FDJ, d'un gagnant qui a une fibre solidaire et qui est dans une démarche de généreux donateur anonyme et qui suivra avec attention ce que deviendront les fonds.Selon RTL, le gagnant est seul et sans enfant. La FDJ rappelle enfin qu'elle n'a pas donné le nom de la commune de Haute-Garonne où a été validé le bulletin gagnant pour préserver son anonymat.

     
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  • Ce que veut dire le boom des ventes entre particuliers

    lien OPINIONS

    <figure data-exclu="" data-surtitre="Opinions">

     

     

    </figure><section>Michel Puech  |  <time datetime="2014-05-27CEST11:34:00+0200" itemprop="datePublished">27/05/2014, 11:34 </time> -  781  mots</section><section>Le boom des échanges entre particuliers, via internet, est à l'origine d'un nouveau système de valeurs: tous deviennent peu ou prou amateurs-experts de leurs objets Par Michel Puech, Université Paris-Sorbonne, Philosophie</section><section itemprop="articleBody"><aside>
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    </aside>
    Il y a quelques années j'ai acheté le scooter d'occasion de mes rêves, à un particulier qui habite à quelques rues de chez moi, dans notre petite ville de banlieue. Je l'avais repéré... sur Le Bon Coin, le site d'annonces en ligne. J'étais sûr du juste prix parce que j'avais eu sous les yeux toute l'offre d'occasion du moment, avec ses prix, expertise gratuitement mise à ma disposition d'acheteur. Ce vendeur a exercé une expertise unique (et gratuite) pour localiser un acheteur de proximité. Comme amateurs, nous sommes devenus « pro » et c'est le vendeur de deux-roues professionnel avec son minuscule parking de véhicules qui est en position de faiblesse. Ce qui m'a frappé est la puissance concrète d'une idée centrale en philosophie de la technologie contemporaine : la proximité du global, son insertion dans l'ordinaire et l'intime de nos vies, et les effets de potentialisation de l'individu qui en résulte.
     

    Un savoir faire numérique largement partagé

    Ce savoir-faire numérique n'est pas réservé à une élite. Au contraire, une étonnante étude de l'IFOP, réalisée pour le système de paiement en ligne PayPlug (Petites annonces et ventes en ligne : les Français tous commerçants?) montre que c'est une large majorité de Français qui utilise pour acheter (84%) ou vendre (65%) les sites Internet d'annonces ou les petits sites marchands indépendants. 
     
    Comme il arrive de plus en plus souvent, le rythme de l'évolution réelle dépasse la conscience que nous en avons - tous autant que nous sommes, prétendus « experts » ou simples utilisateurs. C'est justement cette distinction qui est en train de céder. Les esprits chagrins dénonçaient un « culte de l'amateur » dû à Internet, ses forums, ou Wikipédia, auxquels les utilisateurs accorderaient plus de confiance qu'aux experts transmetteurs officiels du savoir, les journalistes et les enseignants notamment.
    Dans la micro-économie réelle, il s'agit aussi de confiance mais à un niveau très concret, qui implique des savoir-faire complexes, la fixation du prix ou la sécurisation raisonnable du paiement, par exemple. Les amateurs sur les petits sites marchands semblent y réussir autant que les ordinateurs géants des grands acteurs du Web qui traquent impitoyablement nos données. L'amateur, finalement, retrouve son étymologie : « celui qui aime », et qui est compétent parce qu'il est passionné, mû par des émotions et des valeurs, comme dans « l'amateur de cigares » ou de thé. 
     

    Un nouveau système de valeurs

    La désintermédiation marchande est aussi un système de valeurs : les citoyens vendent aux citoyens, les usagers revendent à de nouveaux usagers. Au lieu d'un système marchand physique et centralisé, sur le modèle de l'hypermarché, on achète et on vend dans une économie en ligne et disséminée, dont chacun est acteur. Une multitude de centres de micro-décisions produit une adaptation de l'offre, du service et du prix qui n'est en fait que l'une des expressions du fonctionnement même d'Internet : l'émergence collaborative de la performance.
     

    Les trois formes d'organisation du pouvoir

    Dans le stade actuel de son développement, l'organisation de cette économie semble atteindre la troisième forme d'organisation institutionnelle. La première forme est la centralisation, inventée dès la préhistoire : un seul commande, tous les autres obéissent. Certains régimes politiques, certaines entreprises, certains systèmes d'information en sont restés là. Une grande partie de la réussite des civilisations modernes est pourtant due à la deuxième forme, la distribution du pouvoir, relayé par des centres de décision délocalisés (un député, un cadre, un revendeur, un serveur de réseau local). Les pays démocratiques, les organisations à hiérarchie intermédiaire, les réseaux de vente traditionnels et les systèmes d'information « distribués » sont sous cette forme, qui est dominante.
    La dissémination est la troisième forme, elle correspond à la promotion de chaque nœud de réseau en un centre d'action et de décision, coordonné avec les autres de manière partiellement procédurale et partiellement immanente. Les groupes collaboratifs, dont Internet lui-même et ses communautés collaboratives (Wikipédia, le logiciel libre), ont adopté cette nouvelle logique et démontrent son efficacité.
    Sur le marché du commerce ordinaire, cette économie dispersée, informelle, non institutionnelle, prospère dans l'infosphère ou grâce à l'infosphère. Elle est son écosystème parfait, non seulement techniquement, mais probablement aussi parce que les acteurs de l'infosphère sont animés par un système de valeurs discret mais puissant, mi-utopique mi-résistif, et qui est quasiment la seule dynamique sociale restante. 
     
    Michel Puech - Université Paris-Sorbonne, Philosophie
    </section>

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