• De A à Z la Folle Cavalcade….

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    A la fin de cette folle cavalcade, menée de main de maître par Domi

    Beaucoup  de talents se sont révélés, accompagnés de coups de génie.

    Contre toute attente, tout au long de l’aventure, nous sommes restés soudés

    Dans l’amitié et le partage, nous avons tous créé de jolies choses, bien  habillées

    Et  nous sommes allés d’étonnement en émerveillement face à tout ce talent révélé.

    Fugaces instants de complicité, dans un même labeur, une même légitimité

    Gages  d’amitié et  relais d’invention, de soutien et d’écoute partagée,

    Hommes debout, funambules du texte, s’essayant à l’excellence avec volupté.

    Il existe un monde basé sur le respect, où chacun d’entre nous, librement, a pu s’exprimer

    Jeu au commencement, défi d’apparence léger, il devient  recherche, réflexion, pensées

    Kafkaïen parfois dans les délires, kappa dans l’exigence, pour finir  dans un surprenant Karaoké !

    Maintenant c’est la fin, le point final de l’œuvre qu’il ne faut pas rater, dénaturer,

    Nous sommes surpris d’en être  déjà arrivés là  et cherchons à finir au moins tout en beauté

    On en vient à penser d’étranges farandoles pour dire au revoir, tirer sa révérence avec simplicité

    Pour rester quand même unis comme dans une famille, même si le mot fin implique une rupture

    Qui vient sonner le glas de cette habitude hebdomadaire, aventure voulue, attendue et si dure….

    Rires, étonnement, interrogations, questionnements : il fut doux le chemin parcouru

    Sinueux, distrayant, divertissant, profond parfois, chargé de sens,  flirtant avec l’inconnu

    Toujours intéressant, plein d’émotions et de fraîcheur, un ruban de senteurs, des mots de chair,

    Un peu troublant ou émouvant parfois,  plein de force et d’espoir, toujours édifiant…

    Vous allez me manquer, vous qui au fil des jours avez pris un visage si brillant

    Webmasters ou débutants, tous liés par la même passion, la tyrannie des mots

    Xhtlm ou Htlm, dans nos blogs variés, seule compte la poésie, dédiée parfois aux héros

    Yole de rimes, voguant sur nos imaginations, arrivant à bon port chargée de mille mots

    Zénith de l’annuaire, il en est le mot fin mais de mille façons nous reviendrons demain !

    Marialis


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  • La symbolique des lettres : la lettre Z

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    Le Z est une lettre finale étrange. Elle symbolise un va et vient, le croisement des temps. C'est la lettre de l'alliance entre le début et la fin. Le Z est alors associé au A, bouclant la ronde des lettres et réinséminant le début. Regardez , phonétiquement Z se dit ZED ; dont la valeur numérique est égale à 35 ; ce nombre signe également l'adjectif numéral UN qui symbolise l'unité, le départ, et 1 correspond à la lettre A. "A-ZED" signe l'unité du temps puisqu'il est égal à 135.(cf. A = 1 et ZED = 35)

    Ce phénomène de la fin, qui est la véritable cause du commencement, est difficilement concevable pour nos esprits.

    Et pourtant, certains physiciens le perçoivent déjà. Le Z signale l'aspect matriciel et fécondateur du Temps, se croisant dans une conjugaison humaine. D'ailleurs, vous pouvez remarquer que le Z sert à conjuguer le verbe dans la deuxième personne du pluriel : Vous ! Il se place comme par hasard à la fin du verbe, provocant l'action en désignant son sujet et son action, comme dans le "AlleZ et guérisseZ !"

    Le Z est la dernière lettre mais les parcourt toute pour leur donner vie. Il signale que rien n'est jamais terminé, la mort est vaincue !

    Enfin le Z symbolise notre époque actuelle, cette apocalypse révélatrice du verseau où l'unité d'en haut vient féconder l'unité d'en bas


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    La lettre Y

    la lettre y

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    Aujourd’hui mon âme est rêveuse, en parenthèse, tournée vers le lYrique et la mYthologie,

    Quelque part dans l’OlYmpe à côtoyer les dieux,  mon cœur va s’égarer, en marge de la Vie.

    De DYonisos humain accompagné de sa thYrse courtisant  Aphrodite  de ChYpre  la sublime Beauté,

    Ou Artémis, vierge aux Yeux farouches, sYmbole de chasteté qui de son arc tendu chasse avec cruauté,

    Rencontrer Apollon,  son jumeau qui jouait de la lYre, mais  qui se transformait en être  impitoYable

    Contre ceux qui le défiait, comme Niobé dont les enfants furent massacrés d’une manière effroyable.

    Puis je repars vers Zeus, régnant  sur tous  les dieux, maniant la foudre et l’égide par les Cyclopes fabriquée,

     Père d’Athéna, la fille préférée, maniant les mêmes armes pour protéger UlYsse le héros exalté,

    Ou protéger Athènes en affrontant Neptune  et son trident, tYpe de fourche, ennemi naturel, ardemment détesté.

    Tous ces dieux ont créé bien des bouleversements mais des villes sublimes sur tous les continents,

    CYrène en LYbie, sur la région côtière à l’est de la CYrénaïque, ou SYrtis Maior  dans le golfe de Gabès,

    BabYlone, phare de la Mésopotamie, aux mains de Nabuchodonosor, dont le  mYthe est porté par les récits

    bibliques

    Celui  rYthmé de la Tour de Babel ou  des Jardins suspendus qui titillent l’esprit de manière onirique.

    Athènes la grecque, raYonnant sur le Monde, de sa philosophie  éclairant notre pensée païenne

    Ou Mycènes, fondée par Persée, royaume du héros homérique  Agamemnon, chef des  Achéens

    Ville chère à Héra, ivre de son or rapporté par des mercenaires partis combattre les pharaons Hyksôs,

    Qui se désintégra sans raison apparente, soudainement : de sa disparition, l’Histoire ne dit rien…

    Il nous reste aujourd’hui  l’immense porte aux lionnes, fidèles protectrices régnant sur un tas d’os…

    Et BYsance la grande, aux milles et un visage, de Yerebatan, palais englouti, aux divines mosquées de dentelles

    anciennes,

    Et sa côte propice à la légèreté où le passé revient à travers les Hittites et  la contemplation  de ses tombeaux

    lYciens.

    C’est  compter sans l’EgYpte et ses majestueuses pYramides, mYstérieux édifices interrogeant  le ciel

    AYant pour pendant, sur un autre continent,  les temples incas, Cuzco, le temple du Soleil, un peu artificiel

     L’art architectural dans sa forteresse SaksaYwaman ou OllantaYtambo et ses impressionnantes ruines…

    Tout cela est si beau, défiant l’éternité et rappelant pourtant aux hommes qu’un jour, ils sont mortels,

    Que dans ce  court passage, ce qui importe est le message, le savoir faire, pour ceux qui vont venir se croYant

    immortels !


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  • LA LETTRE X

     

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    Comme elle est douce la caresse des dieuX, l’éliXir chaud ambré

    Coulant lentement dans la gorge des amoureuX entrelacés.

    Les corps roulants, cambrés par l’eXtase, recherchant le plaisir,

    Tombant dans la luXure, avides de  tout eXcès, poussés par le désir.

    Le corps soigné, poudreuX, attendant la caresse, tendu d’eXcitation

    Ou sculpté de lateX, cherchant d’autres rencontres,  d’autres stimulations

    Parfois mises à l’indeX, le seXe  alors devient  X, et perd de la couleur

    S’égare dans des joutes qui sont bien souvent miXtes, sans réelle saveur.

    Je le préfère douX, d’or et d’onyX vêtu au fond de nos fantasmes, nuiteuX

    Et si secret qu’il en devient  si beau, saXo aux courbes tendres,  ou aXel vigoureux

    Qui eXplose et se tend en direction des cieuX dans un gémissement, HeureuX….


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  • Un air de Walkyries...

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    Du fin fond des temps, caché dans nos mémoires  revient  l’air Wagnérien

    Si puissant et si fort, portant les Walkyries et leur mythe vivant, si malsain.

    Il martèle nos tempes venu de Westphalie, franchissant  la Bade –Württemberg,

    Portant avec lui des accents Wisigoths, implacables, chargés du feu  des enfers…

    Il se trouve toujours quelqu’un, comme le dit DarWin, pour choisir cette voie

    Est-ce une évolution, le bruit des Winchesters arrosé de Whisky montant du fond des bois ?

    Le Western a son charme en divertissement, mais devient tragédie dans la réalité !

    Le poète  Goethe donne au pauvre Werther un destin romantique, que clôt un pistolet …

    Pourquoi toujours en nous ce côté noir, celui des Walkyries remontant au Wahöll

    Chevauchant, emportant  les âmes des morts, harpies qui par leur cri  ébranlent le bémol.

     Brünhild  trahissant son père Wotan, déchaîne  sur nous ses sœurs, vierges guerrières,

    Rejaillissant parfois du fond de leur abîme, crachant leur fureur et leur hargne meurtrière.

    Nous les préférerons se produisant salle Wagram, bien assis,  nous en écouterons l’opéra lyrique :

    Souhaitons  que ces temps restent dans les livrets, éloignons à jamais la tentation tragique.


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