• Pôle Emploi : seulement 40%

    des inscrits touchent une assurance chômage

    Ajouté le
    23
    mai 2014lien 
       
    <figure><figcaption></figcaption></figure>

    Quelque deux millions d'inscrits à Pôle emploi ne touchent ni allocation chômage ni allocation

    de solidarité.

    Sur dix inscrits à Pôle emploi, seuls quatre touchent une allocation chômage, dont le montant s'évaluait

    en 2012 à 1 000 € en moyenne.

     

    Un quart des nouveaux inscrits ne perçoit rien

    Selon les sondages du ministère du Travail, quelques cinq millions de chômeurs sont inscrits à Pôle emploi en

    France métropolitaine. Avec les difficultés liées à la recherche d'emploi, 3,35 millions de chômeurs français

    n'ont pas pu décrocher d'emploi au cours du mois de mars. 

    Un quart des nouveaux inscrits ne reçoit pas d'indemnisations, pour la simple raison que Pôle Emploi a jugé son activité, dans le mois, suffisante. Cette situation ne permettant pas de bénéficier de la formule "d'activité réduite"

     (un dispositif de complément), compte tenu des revenus disponibles. 

    Vers fin septembre 2012, pour n'avoir pas travaillé durant quatre mois sur les 28 mois qui précédaient leur inscription

    à Pôle Emploi, certains chômeurs ou ceux dont leurs droits sont révolus, ne percevaient également rien.

     

    20% des chômeurs sont aidés par l'Etat

    Il faut savoir que l'Etat finance l'indemnisation de certains chômeurs qui ne sont pas pris en compte par Pôle Emploi. or, ce sont seulement deux personnes sur dix qui ont accès à l'allocation de solidarité spécifique (ASS), qui s'élevait en 2010 à 445 €. 

    Il est relevé que 40% de chômeurs disposent de moins d'un an d'indemnisation parmi les inscrits d'octobre 2011 à septembre 2012. Et dans ce dernier mois, 719 € d'allocation venaient compléter les revenus de ceux qui avaient une activité réduite, et 1.100 € pour ceux ne travaillant pas du tout, soit une allocation brute moyenne de 997 €, tout de même.

    Vous pouvez retrouver toutes les aides au chômage grâce à notre dossier spécial.

    PAR AMANDINE VANSTAEVEL


     


    votre commentaire
  • CAF : les fraudes ne s'arrêtent plus

    Ajouté le
    23
    mai 2014
        lien 
     
    <figure><figcaption></figcaption></figure>

    Le nombre de fraudes aux allocations familiales est en augmentation depuis plusieurs années. Ces fraudes ont générées une lourde perte pour la CAF en 2013.

     

    Un phénomène qui s'amplifie

    Les cas de fraudes aux prestations sociales sont répertoriés le plus souvent dans le cadre du RSA (revenu de solidarité active) et des aides aux logements, qui par ailleurs, ne cessent d'augmenter.
    La non déclaration de concubinage reste un autre contexte de fraude aussi récurrent que les deux précédentes.

    En effet, les statistiques révèlent que 17 974 dossiers de fraudes avaient été enregistrés en 2012. En les comparant avec les résultats de l'année dernière, on constate une augmentation d'environ 16,5%.

     

    La lutte contre les fraudeurs se poursuit

    De plus en plus de mesures se mettent en place pour identifier et limiter considérablement les cas de fraudes. Ainsi, l'utilisation de la technique de profilage est plus courante, on remarque surtout des contrôles plus nombreux et bien ciblés.

    Quel que soit l'acharnement avec lequel est mené la lutte contre les fraudeurs, les effets de la crise continueront d'impacter négativement les finances des ménages.


    En savoir plus sur http://news.radins.com/actualites/caf-les-fraudes-ne-arretent-plus,8308.html#HpfKb7kr6bqfVDQx.99


    votre commentaire
  • Quotient familial, allocation Paje, minimum vieillesse : ce qui change ce mardi 1er avril

    Edité par  avec 
    le 29 mars 2014 à 11h23 , mis à jour le 01 avril 2014 à 15h57.lien 
    TEMPS DE LECTURE
    4min
    <section id="articleFigure166889" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; vertical-align: baseline;">
    </section>
    <section class="social-horizontal" id="player-social-bar171916" style="margin: 0px; padding: 14px 0px 11px 10px; border: 1px solid rgb(238, 238, 238); vertical-align: baseline; background-color: rgb(248, 248, 248); position: relative; min-height: 25px;">

    Partager l'article

    </section>

    votre commentaire
  • <section id="articleHeader" style="float: none; width: 908px; min-height: 130px; padding-top: 22px; position: relative; margin-bottom: 10px; z-index: 1; color: rgb(34, 34, 34); font-family: 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 17px; background-color: rgb(255, 255, 255);"><header><hgroup>

    Une place en maison de retraite médicalisée coûte près de 35 000 euros par an     

    Cette estimation a été établie lors d'une enquête menée entre juin et octobre 2013, auprès de 50 établissements français. Ce coût est supporté par les résidents ou leur famille, les départements et l'assurance-maladie.

    lien

    </hgroup></header></section><section class="articleBody" id="middleColumn" style="font-size: 15.5px; line-height: 24px; color: rgb(69, 69, 69); float: left; padding-bottom: 40px; width: 658px; margin-right: 50px; position: relative; font-family: 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif; background-color: rgb(255, 255, 255);">
    <figure id="image_644971" style="margin: 50px 0px 35px;">Dans un Ehpad, à Lens (Pas-de-Calais), le 4 décembre 2013.<figcaption style="margin-top: 10px; font-size: 12.5px; line-height: 18px; color: rgb(102, 102, 102);">Dans un Ehpad, à Lens (Pas-de-Calais), le 4 décembre 2013. (PHILIPPE HUGUEN / AFP)</figcaption></figure>
    <section class="byline clearfix" style="font-size: 12.5px; line-height: 20px; color: rgb(102, 102, 102); margin-bottom: 24px;">Par 

    Mis à jour le <time datetime="2014-04-02T20:11:48+02:00" itemprop="dateModified">02/04/2014 | 20:11</time> , publié le <time datetime="2014-04-02T19:50:31+02:00" itemprop="datePublished">02/04/2014 | 19:50</time>

    </section>
    <section class="toolbox before" style="text-align: center; width: 62px; position: absolute; left: -92px; top: 0px; margin-left: 0px;">

    PARTAGER

    </section>

    Le coût total d'une place en maison de retraite médicalisée est estimé à 34 707 euros par an en 2012, en incluant les prestations de soins délivrées par les établissements et par la médecine de ville, selon une étude publiée mercredi 2 avril. Cela équivaut à 2 892 euros par mois. Ce coût est supporté par les résidents ou leur famille, les départements et l'assurance-maladie.

    Les coûts liés aux soins dispensés représentent un tiers du total, soit 11 844 euros dont 2 007 euros de soins de ville financés par l'assurance-maladie. Les coûts liés à l'hôtellerie (11 616 euros) représentent également un tiers du total, tandis que l'accompagnement dans les actes de la vie quotidienne représente un quart de la somme annuelle (8 500 euros) et les dépenses liées au lien social 8% (2 745 euros).

    Une deuxième enquête menée à partir de juin

    Cette estimation a été établie par la Direction générale de la cohésion sociale et par laCaisse nationale de solidarité pour l'autonomie. Les deux organismes ont mené une enquête entre juin et octobre 2013 auprès de 50 établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), représentatifs de la diversité des statuts juridiques et des options tarifaires.

    Afin de conforter ces résultats, une seconde enquête doit être conduite entre juin et octobre prochains à partir d'un échantillon plus important. Un projet de loi visant à "rendre les maisons de retraite plus accessibles à tous les Français, en particulier les classes moyennes", doit être présenté "dans la seconde moitié du quinquennat", a promis le gouvernement. Le maintien à domicile des personnes âgées fait pour sa part l'objet d'un autre projet de loi, présenté prochainement en Conseil des ministres.

    </section>

    votre commentaire
  • Actualité > Politique > Municipales 2014 > NKM veut "un jury citoyen" chargé d'attribuer les logements sociaux

    <header>

    NKM veut "un jury citoyen" chargé d'attribuer

    les logements sociaux

    </header>

    <time datetime="2013-12-16T22:57:07" itemprop="datePublished">Publié le 16-12-2013 à 22h57    lien </time>

    La candidate UMP à la mairie de Paris propose, pour plus de "transparence et d'équité", que ce jury populaire soit tiré au sort dans chaque arrondissement pour une durée d'un an.

    <aside class="obs-article-boutils">

     
    </aside>

    NKM,le 15 décembre 2013. (ROMUALD MEIGNEUX/SIPA)

    NKM,le 15 décembre 2013. (ROMUALD MEIGNEUX/SIPA)

    <aside class="obs-article-brelated" style="margin-left:20px;"> <header class="obs-blocktitle">Sur le même sujet</header>

    </aside>

    La candidate UMP à la mairie de Paris Nathalie Kosciusko-Morizet a proposé que les logements sociaux à Paris soient attribués par "un jury citoyen" tiré au sort dans chaque arrondissement, dans une interview lundi 16 décembre à 20minutes.fr.

    Alors que la présence d'élus dans des logements sociaux fait l'objet d'une controverse, la candidate UMP à la mairie propose "la révolution de la transparence et de l'équité avec l'instauration d'un jury citoyen dans chaque arrondissement, sélectionné par tirage au sort, pour une durée d'un an".

     
     

    "Les jurés, anonymes, feront la présélection des dossiers avant de les transmettre aux commissions d'attribution".

    "Aujourd'hui, c'est la mairie centrale qui présélectionne trois dossiers par appartement en amont des commissions d'attribution", un "système porteur d'opacité", a-t-elle estimé.

    Nathalie Kosciusko-Morizet souhaite aussi que "les critères d'attribution fassent une meilleure place au travail et à l'intérêt général. Par exemple, les enseignants, les infirmières ou les policiers ont les plus grandes difficultés pour se loger à Paris. Or, il y a une utilité sociale à ce qu'ils vivent à proximité de leur travail, a-t-elle ajouté.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique