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    Attaque à Bamako: 27 morts dans la prise d'otages

    revendiquée par un proche d'Al Qaïda

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    <time class="date" datetime="2015-11-20T20:34:59+01:00" itemprop="datePublished" pubdate="pubdate">Publié le 20/11/2015 à 20:34</time>, <time class="date" datetime="2015-11-21T00:15:09+01:00" itemprop="dateModified">Mis à jour le 21/11/2015 à 00:15  lien </time>

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    A la Une

    <figure class="photo_article" id="container_photo" itemprop="primaryImageOfPage" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> Des soldats maliens en position devant l'hôtel Radisson Blu où 170 personnes sont prises en otages par deux assaillants, à Bamako, au Mali - Sebastien RIEUSSEC - AFP <figcaption class="legende">
    Des soldats maliens en position devant l'hôtel Radisson Blu où 170 personnes sont prises en otages par deux assaillants, à Bamako, au Mali
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    La prise d'otages meurtrière de l'hôtel Radisson Blu de Bamako, revendiquée par le groupe jihadiste de Mokhtar Belmokhtar, fidèle à Al Qaïda, s'est terminée vendredi après neuf heures d'enfer et plus de 27 morts, à la suite de l'intervention conjointe des forces maliennes et étrangères, notamment françaises.

    Cet attentat survient une semaine après les attaques meurtrières qui ont fait à Paris 130 morts et plus de 350 blessés et revendiquées pour leur part par le groupe Etat islamique.

    "La prise d'otages est terminée. Nous sommes actuellement en train de sécuriser l'hôtel", a déclaré à l'AFP une source militaire peu après 16 heures (locale et GMT), tandis qu'un journaliste de l'AFP voyait circuler des agents de la protection civile sortir des corps de l'hôtel dans des sacs mortuaires orange.

    "Le dernier bilan est d'au moins trois terroristes tués ou qui se sont fait exploser", a affirmé une source militaire, estimant que leur nombre total ne dépassait pas quatre. Quant à leurs victimes, au moins 27 ont péri, a ajouté cette source.

    Un américain figure parmi les morts ainsi qu'un haut fonctionnaire belge.

    L'état d'urgence est décrété "sur l'ensemble du territoire malien" pour une durée de dix jours à compter de la nuit de vendredi à samedi, a annoncé le gouvernement à l'issue d'un conseil des ministres extraordinaires.

    Dans la soirée, le groupe du chef jihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar a adressé un document sonore à la chaîne qatarie Al-Jazeera : "Nous les Mourabitoune, avec la participation de nos frères (...) d'Al-Qaïda au Maghreb islamique, revendiquons l'opération de prise d'otages à l'hôtel Radisson".

    Peu avant 16H00, le ministre de la Sécurité intérieure, le colonel Salif Traoré, avait déclaré que les assaillants n'avaient "plus d'otage entre leurs mains" et que les forces de sécurité étaient "en train de les traquer".

    Les forces spéciales françaises venues de Ouagadougou, au Burkina Faso voisin, ont participé aux opération, "en assistance des forces maliennes", a explilqué vendredi soir le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian. A la mi-journée, la France, qui intervient militairement au Mali depuis janvier 2013, avait également envoyé une quarantaine de membres du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) au Mali.

    Sont également intervenus des membres de la Minusma et des forces américaines.

    Immédiatement après la fin de l'assaut, le président malien Ibrahim Boubacar Keïta --qui a écourté son séjour au Tchad où il était pour un sommet des cinq pays du Sahel--, a salué sur son compte Twitter "le professionnalisme des forces de défense et de sécurité du Mali et remerci(é) les pays amis pour leur assistance".

    L'attaque du Radisson Blu, prisé de la clientèle internationale, a débuté autour de 07H00 GMT. Les assaillants sont entrés dans l'enceinte de l'hôtel au même moment qu'une voiture munie d'une plaque diplomatique, selon le ministère.

    Un client de l'hôtel a raconté à la télévision malienne avoir entendu "des coups de feu tout à fait au début. Je pensais que c'était des pétards, je ne croyais pas à une prise d'otages. Mais ça a continué. Je suis sorti de ma chambre pour aller dans le couloir et j'ai vu beaucoup de fumée. Je suis rentré dans la chambre."

    Au moins 14 nationalités

    Un autre client africain a dit s'être enfermé dans sa chambre après avoir entendu des tirs d'armes automatiques dans le couloir. Ensuite, a-t-il témoigné, "les forces maliennes sont venues nous récupérer. Ils ont frappé à nos portes pour dire que +c'est la sécurité+. On était un petit groupe, ils nous ont évacués par les escaliers".

    Dans la matinée, le groupe hôtelier Rezidor, qui gère le Radisson Blu, à l'ouest du centre-ville, avait parlé de 140 clients et 30 employés dans l'établissement au moment de l'attaque.

    "Nos forces spéciales ont libéré une trentaine d'otages et d'autres ont pu s'échapper tout seuls", avait déclaré à la mi-journée le colonel Traoré, le ministère faisant ensuite état de 78 personnes libérées.

    Cette attaque rappelle la prise d'otages du 7 août dans un hôtel à Sévaré (centre), qui avait fait 13 morts. Le 7 mars, le premier attentat anti-occidental meurtrier à Bamako, visant un bar-restaurant, avait coûté la vie à cinq personnes, dont un Français et un Belge. Il avait déjà été revendiqué par Al-Mourabitoune.

    Des étrangers d'au moins 14 nationalités faisaient partie des quelque 140 clients de l'hôtel Radisson Blu, selon le ministère de la Sécurité intérieure et les autorités ou employeurs des pays concernés: Algérie, Allemagne, Belgique, Canada, Chine, Côte d'Ivoire, Espagne, Etats-Unis, France, Inde, Maroc, Russie, Sénégal et Turquie.

    Air France, qui a annulé tous ses vols à partir et à destination de Bamako, faisait état de 12 employés logés dans l'établissement qui ont été mis "en lieu sûr". Selon le ministre français de la Défense, "il n'y aurait pas de Français" tué.

    Le nord du Mali est tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda. Ils en ont été en grande partie chassés à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire internationale. Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères. Les attaques jihadistes se sont étendues depuis le début de l'année vers le centre, puis le sud du pays.

    </article>

     


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    « Les groupes islamistes ont l’obsession

    de déstabiliser l’Etat malien »

    Des soldats maliens à l'extérieur de l'hôtel Radisson Blu à Bamako attaqué le 20 novembre par un groupe d'hommes armés.

    Un groupe d’hommes armé a pris d’assaut l’hôtel Radisson Blu à Bamako, la capitale malienne, vendredi 20 novembre. L’attaque a été revendiquée par le groupe djihadiste Al-Mourabitoune de l’Algérien Mokhtar Belmokhtar, lié à Al-Qaida.

    Pour Marie Rodet, maître de conférences à la School of Oriental and African Studies (SOAS) de Londres et spécialiste de l’ histoire contemporaine du Mali , cet attentat va considérablement déstabiliser la suite du processus de paix, déjà fragile au Mali.

    Quelle analyse faites- vous de l’attaque de l’hôtel Radisson Blu de Bamako par le groupe djihadiste Al-Morabitoune ?

    Marie Rodet La revendication reste encore à confirmer , mais il est vrai que le mode opératoire de l’attaque du Radisson Blu est très semblable à de précédentes attaques menées par le groupe Al-Mourabitoune de Mokhtar Belmokhtar, notamment l’attaque perpétrée en mars contre le bar La Terrasse , à Bamako [qui avait tué cinq personnes dont un Français]. Mokhtar Belmokhtar est le représentant officiel d’Al-Qaida en Afrique de l’Ouest. Il s’est clairement différencié de l’ organisation de l’ Etat islamique . Mais cet attentat aurait aussi pu être mené par le groupe rebelle touareg Ansar Dine et ses alliés du Front de libération du Macina, un groupe à dominance peule dans le centre du Mali qui a revendiqué plusieurs attaques depuis le mois de juin au Mali. Iyad ag- Ghali , le chef d’Ansar Dine est intervenu ces derniers jours dans un enregistrement audio pour critiquer l’accord de paix et de réconciliation au Mali et ses signataires. En tout état de cause , tous ces groupes islamistes ont pour objectif principal de déstabiliser la région du Sahel pour mettre en place un califat islamique.

    Lire aussi : Le Mali réussira-t-il à faire la paix ?

    La France était-elle particulièrement visée dans cette attaque ?

    La France a toujours été dans le viseur des djihadistes depuis le lancement de l’ opération « Serval » en janvier  2013. Cette intervention a permis de repousser les groupes islamistes, de prévenir des attentats et de démanteler certains réseaux criminels. Pour ces groupes, la France est un ennemi à abattre , vu qu’elle les empêche d’opérer comme ils le souhaitent . Mais une attaque comme celle du Radisson Blu peut aussi répondre à des enjeux régionaux de contrôle des routes de trafics au Mali et au Niger , et d’autres voies transsahariennes. L’objectif est de déstabiliser l’Etat malien pour l’ empêcher de redéployer des troupes et des institutions dans le nord du pays.

    Quelles peuvent être les conséquences pour la suite de la mise en œuvre de l’accord de paix ?

    L’accord de paix était déjà très fragile dans la mesure où les différents protagonistes l’ont signé à reculons. L’un des représentants de la CMA , la coordination des mouvements de l’Azawad, avait par exemple refusé de participer à la conférence de l’OCDE sur la situation au Mali qui s’est tenue en octobre à Paris . La réalisation de cet accord, conclu en mai et en juin, est au point mort. L’attaque de vendredi risque davantage de fragiliser la situation. Il se pourrait que les autorités de Bamako se retranchent sur leurs positions antérieures sous couvert de problèmes sécuritaires accrus, qui consistaient à freiner toute négociation avec les groupes armés. Or en même temps, l’Etat malien n’a aucun intérêt à fermer toutes les portes à la poursuite des discussions pour la réalisation des accords de paix.

    Lire aussi : Mali : fin de la prise d’otages dans un hôtel de Bamako, bilan humain incertain

    </article>

     

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    EN DIRECT.

    Bamako: "18 corps retrouvés",

    les assaillants n'ont "plus d'otages"

    <nav class="breadcrumb" role="breadcrumb"></nav>
    Par LEXPRESS.fr , publié le <time datetime="20/11/2015 10:48:00" itemprop="datePublished" pubdate=""> 20/11/2015 à 10:48 </time> , mis à jour à <time datetime="20/11/2015 16:59:30" itemprop="dateModified"> 16:52 lien </time>
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    Une prise d'otages est en cours depuis ce vendredi matin à l'hôtel Radisson de Bamako, au Mali. Au total, 170 personnes, ont été retenus par les assaillants. 18 corps auraient été retrouvés. 

    Actualiser le live

    <article class="exp_item_live">

    Deux assaillants tués

    Une source militaire malienne annonce que deux assaillants ont été tués au Radisson, annonce l'AFP. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Les assaillants n'ont plus d'otages

    Le ministre malien de la sécurité, le colonel Salif Traoré, annonce aux médias sur place que les assaillants ne retiennent plus d'otages. "Ils n'ont plus actuellement d'otage entre leurs mains et les forces sont en train de les traquer", a-t-il déclaré. 

    </article><article class="exp_item_live">

    "18 corps retrouvés"

    "Dix-huit corps ont été retrouvés" dans l'hôtel indique à l'AFP une source de sécurité étrangère sous le couvert de l'anonymat. Elle précise que les forces spéciales françaises venues de Ouagadougou, au Burkina Faso voisin, se trouvent à l'intérieur de l'hôtel et "participent aux opérations aux côtés des Maliens". 

    </article><article class="exp_item_live">

    L'équipage d'Air France exfiltré était "dans une zone à risque"

    L'équipage d'Air France (2 pilotes, 10 PNC) est parvenu à s'extraire de la prise d'otages qui a lieu depuis ce vendredi matin dans l'hôtel Radisson de Bamako. La compagnie va prendre des "mesures de sûreté complémentaires". 

    >> L'équipage d'Air France exfiltré était "dans une zone à risque"

    <figure class="exp_img">Un équipage d'Air France a réussi à être exfiltré à la mi-journée de l'hôtel Radisson de Bamako où une centaine de personnes est toujours retenue en otages.<figcaption class="live_content_padding">

    Un équipage d'Air France a réussi à être exfiltré à la mi-journée de l'hôtel Radisson de Bamako où une centaine de personnes est toujours retenue en otages.

    afp.com/HABIBOU KOUYATE

    </figcaption></figure>
    </article><article class="exp_item_live">

    Un Belge tué dans l'attaque

    Un Belge a été tué dans la prise d'otages de l'hôtel Radisson à Bamako. Il s'agit d'un haut fonctionnaire au parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, qui a donné l'information. Quatre Belges étaient enregistrés à l'hôtel. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Au moins 8 nationalités présentes dans l'hôtel

    Outre les Maliens, huit nationalités étaient représentées dans l'hôtel. Voici certains des ressortissants étrangers résidant dans l'hôtel au moment de l'attaque: 

    Algérie: Sept Algériens, dont six membres d'une délégation officielle algérienne et et un cadre d'un entreprise française, ont été exfiltrés de l'hôtel, selon les autorités algériennes. 

    Allemagne: Deux Allemands ont réussi à sortir de l'hôtel, a indiqué le ministère des Affaires étrangères, sans préciser si d'autres ressortissants séjournaient dans l'établissement. 

    Belgique: Quatre Belges étaient présents au moment de la prise d'otages, selon les autorités belges, qui n'ont pas indiqué s'ils faisaient partie des otages. 

    Chine: Au moins sept ressortissants chinois séjournaient au Radisson Blu, selon l'agence Chine Nouvelle. 

    Etats-Unis: Au moins six citoyens américains ont été évacués de l'hôtel, selon le commandement militaire américain pour l'Afrique. 

    France: Douze employés d'Air France résidaient dans l'établissement. Ils sont désormais "en lieu sûr", a indiqué la compagnie aérienne qui a annulé tous ses vols à partir et à destination de Bamako. 

    Inde: Vingt ressortissants indiens présents dans l'hôtel ont été évacués sains et saufs, selon l'ambassadeur indien au Mali. 

    Turquie: Sept membres d'équipage de Turkish Airlines étaient dans l'hôtel, dont cinq ont été libérés : le chef de station, deux pilotes et deux personnels navigants. Deux autres personnels navigants étaient toujours à l'intérieur, selon la compagnie. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Al-Qaeda revendique l'attaque

    Al-Mourabitoune, groupe djihadiste affilié à Al-Qaïda, revendique l'attaque de Bamako, selon Reuters, sans que l'information ne soit encore vérifiée. Ce groupe est le résultat de la fusion en 2013 entre le MUJAO et de dissidents d'Al-Qaïda au Maghreb islamique regroupés autour de Mokhtar Belmokhtar

    <figure class="exp_img">Capture d'écran en date du 17 janvier 2013 d'une vidéo obtenue par l'agence de presse mauritanienne ANI qui montrerait Mokhtar Belmokhtar dans un lieu non identifié.<figcaption class="live_content_padding">

    Capture d'écran en date du 17 janvier 2013 d'une vidéo obtenue par l'agence de presse mauritanienne ANI qui montrerait Mokhtar Belmokhtar dans un lieu non identifié.

    afp.com/HO

    </figcaption></figure>
    </article><article class="exp_item_live">

    Des forces spéciales françaises sont déployées à l'hôtel Radisson Blu de Bamako depuis 14 heures, selon le ministère de la Défense. Il s'agit d'éléments en provenance du Burkina Faso. Le Pentagone annonce de son côté que des "forces américaines aident à mettre les civils en lieux sûrs pendant que les forces maliennes sécurisent l'hôtel", à l'instar des militaires français. 

    Par ailleurs, un contingent du GIGN est toujours attendu en fin d'après-midi. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Sept algériens parmi les personnes libérées

    Le ministre algérien des Affaires étrangères annonce que 7 Algériens hébergés à l'hôtel Radisson ont été libérés. Parmi eux se trouvent 6 membres d'une délégation officielle. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Orange suspend ses missions au Mali

    Selon nos informations, une cellule de crise s'est tenue ce matin chez Orange, le siège d'Orange Mali (1er opérateur dans le pays) étant situé dans la zone du Radisson de Bamako. 

    En revanche, "aucun salarié du groupe, ni de ses filiales, n'est présent dans l'hôtel", indique à L'Express un porte-parole du groupe. 

    Le groupe a tout de même décidé de suspendre "l'ensemble de ses missions à Bamako et ce jusqu'à nouvel ordre", y compris les missions d'expatriés qui devaient partir pour le Mali. La sécurité sur place est "renforcée". 

    </article><article class="exp_item_live">

    La France envoie le GIGN

    La gendarmerie nationale française mobilise des éléments du GIGN, actuellement en route pour le Mali. Ils sont accompagnés par 10 hommes de l'institut de recherche criminelle. Voir l'image sur Twitter

    </article><article class="exp_item_live">
    </article><article class="exp_item_live">

    138 personnes aux mains des assaillants

    "Selon nos toutes dernières informations, 125 clients et 13 employés sont toujours dans l'immeuble" de l'hôtel Radissson Blu de Bamako, a indiqué le groupe hôtelier Rezidor à Londres dans un communiqué. 

    </article><article class="exp_item_live">

    La rédaction de L'Express vous propose de revenir, en images, sur cette prise d'otages à Bamako. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Les terroristes sont entrés en même temps qu'un véhicule diplomatique

    Les assaillants sont rentrés dans l'enceinte de l'hôtel au même moment qu'une voiture munie d'une plaque diplomatique, sur laquelle ils ont ouvert le feu, et non à bord de ce véhicule, selon le ministère de la Sécurité malien, rectifiant une précédente information. 

    </article><article class="exp_item_live"> </article><article class="exp_item_live">

    Voici une vidéo filmée par un touriste chinois présent à l'intérieur de l'hôtel, d'après l'agence de presse Xinhua. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Une délégation francophone de l'OIF logée au Radisson

    Plusieurs membres de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), qui devaient participer à une rencontre à Bamako débutant ce dimanche, sont hébergés à l'hôtel Radisson, a indiqué une source de L'Express, confirmant une information de France Info. Sa secrétaire générale, la canadienne Michaëlle Jean, ne fait pas partie de la délégation déjà arrivée à Bamako. Elle se trouve actuellement à Paris. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Une équipe française du GIGN, composée qu'une quarantaine d'hommes, est actuellement en route pour Bamako. Selon FranceTV info, elle arrivera sur place entre 18 et 19h. Selon le porte-parole de la gendarmerie, une dizaine d'experts de l'institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale fait également partie du voyage.  

    </article><article class="exp_item_live">

    Douze employés d'Air France "en lieu sûr"

    Douze employés d'Air France (deux pilotes et dix membres du personnel commercial) présents à l'hôtel sont "en lieu sûr", annonce la direction du groupe. Air France indique aussi prendre "des mesures de sûreté complémentaires" dans plusieurs escales. Voir l'image sur Twitter

    </article><article class="exp_item_live">

    Le GIGN part en renfort à Bamako

    Une quarantaine de gendarmes du GIGN (Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale) partent vendredi en mission au Mali après l'attaque de l'hôtel Radisson, annonce le ministère de l'Intérieur. "Dix gendarmes de l'Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale (IRCGN) les accompagneront", a précisé le porte-parole du ministère, Pierre-Henry Brandet. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Le président malien quitte N'Djamena pour le Mali

    Selon l'AFP, le président malien quitte N'Djamena, la capitale tchadienne, pour se rendre d'urgence au Mali. 

    </article><article class="exp_item_live">

    La "solidarité" de Hollande avec le Mali

    François Hollande a exprimé sa "solidarité" avec le Mali, "un pays ami". e président de la République a indiqué que des "touristes, des responsables d'entreprises de nombreuses nationalités" étaient sur place dans l'hôtel. Aux ressortissants français au Mali, le chef de l'Etat a demandé de "prendre attache avec l'ambassade pour être protégés". A l'ensemble des ressortissants français dans des pays sensibles, François Hollande a rappelé qu'il leur fallait "prendre toutes les précautions". 

    </article><article class="exp_item_live">

    L'homme le plus riche d'Afrique n'était pas dans l'hôtel

    Le businessman nigérian Aliko Dangoté, l'homme le plus riche d'Afrique, ne fait pas partie des otages de Bamako, contrairement à une rumeur. Il l'a confirmé sur Twitter. 

    </article><article class="exp_item_live">

    80 otages ont été libérés

    Selon la télé malienne, 80 otages ont été libérés. Une information qui recoupe celle donnée à L'Express par un journaliste malien sur place. Selon lui, la plupart des otages libérés seraient américains. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Le vol d'Air France de 16h annulé

    Selon le site internet d'Aéroports de Paris, le vol Air France AF3852, prévu à 16h20 pour Bamako, est annulé. Selon le site, le vol Aigle Azur ZI521 de 19h pour la même destination, semble, lui, maintenu. 

    <figure class="exp_img">Capture d'écran du site Aéroports de Paris indiquant l'annulation d'un vol Air France pour Bamako.<figcaption class="live_content_padding">

    Capture d'écran du site Aéroports de Paris indiquant l'annulation d'un vol Air France pour Bamako.

    L'Express

    </figcaption></figure>
    </article><article class="exp_item_live">

    Un numéro d'urgence pour les Français à Bamako

    Selon un Angevin, expatrié à Bamako et interviewé par Ouest-France, un numéro d"urgence a été mis en place pour les Français à Bamako: le 44975820. "Nous avons reçu à l'instant un message SMS indiquant qu'un numéro d'urgence crise a été activé à l'ambassade suivi du numéro de téléphone." 

    </article><article class="exp_item_live">
    </article><article class="exp_item_live">

    Déroulement de l'attaque, nombre d'otages présents dans l'hôtel, assaut en cours... L'Express fait le point sur la situation à Bamako où un hôtel a été pris pour cible ce vendredi matin par deux assaillants.

    </article>

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  • <figure class="cover trigger_scroll"><figcaption>

    Hillary Clinton veut une coalition anti-Daech conduite par Washington

    <nav role="breadcrumb">Actualité  Monde19/11/2015 à 19:47 , mis à jour à <time datetime="19/11/2015 19:48:41" itemprop="dateModified"> 19:48 </time></nav>

    Hillary Clinton, candidate à l'investiture démocrate pour la Maison Blanche -ici lors d'un débat le 13 octobre 2015- souhaite que les Etats-Unis conduisent une large coalition anti-EI.

    Hillary Clinton, candidate à l'investiture démocrate pour la Maison Blanche -ici lors d'un débat le 13 octobre 2015 - souhaite que les Etats-Unis conduisent une large coalition anti-EI.

    afp.com/Josh Haner

    </figcaption> </figure>

    La candidate démocrate à la présidentielle américaine a dressé les grandes lignes de ce que doit être le combat contre l'EI. Elle souhaite travailler avec la Russie, mais demande aussi une zone d'exclusion aérienne

    Tous unis contre Daech ... mais derrière nous. L' ancienne chef de la diplomatie de Barack Obama a réclamé, ce jeudi, la formation d'une coalition internationale , conduite par les Etats-Unis, pour lutter contre le groupe Etat islamique (EI), une semaine après les attentats de Paris qui ont fait 129 morts. Voici les principaux points de son intervention. 

    >> Retrouvez les dernières informations sur l'enquête sur les attentats dans notre live

    • Nous devons diriger ce combat

    "Le monde entier doit participer à ce combat, mais nous devons le diriger", a déclaré Hillary Clinton dans un discours à New York devant le centre de réflexion Council on Foreign Relations.  

    • Travailler avec la Russie

    Elle a également appelé les alliés européens et arabes des Etats-Unis à en faire plus et ajouté que son pays devait travailler avec la Russie pour imposer une zone d'exclusion aérienne. 

    • Zone d'exclusion aérienne

    Hillary Clinton a demandé une intensification des frappes aériennes sur des cibles de l'EI en Syrie et en Irak, par une coalition plus efficace et plus large, un gros effort en matière de renseignement , et l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne -une option réclamée par l'opposition syrienne mais écartée par Barack Obama-, pour que le régime syrien cesse de bombarder les civils. 

    • Déploiement important de troupes américaines au sol

    Elle n'a cependant pas appelé au déploiement important de troupes américaines au sol, préférant demander un soutien accru pour les troupes locales ou de la région. 

    • Ankara doit cesser de bombarder les Kurdes et fermer sa frontière

    La candidate démocrate a également rappelé la Turquie à l'ordre: Ankara doit arrêter "de bombarder les combattants kurdes en Syrie qui combattent l'EI", et fermer sa frontière poreuse avec la Syrie. 

    • Les monarchies du Golfe doivent arrêter ceux qui financent les extrémistes

    L'Arabie saoudite , le Qatar et d' autres pays doivent arrêter les citoyens qui financent directement les organisations extrémistes, a également suggéré Hillary Clinton. 

    • Améliorer la coordination avec l'Europe en matière de renseignement

    Les Etats-Unis doivent travailler avec l'Europe pour améliorer immédiatement et radicalement le partage et la coordination en matière de renseignement", a poursuivi la candidate à la présidence. "Les pays européens ne s'alertent parfois pas entre eux quand ils refoulent un présumé djihadiste, ou quand un passeport est volé", a-t-elle souligné. "Trop souvent, les liens n'ont pas été faits. Je sais à quel point c'est dur, mais cela doit changer". 

    • L'islam n'est pas notre adversaire

    Enfin la e a aussi insisté sur le fait que les musulmans ordinaires ne pouvaient pas être considérés comme une menace . "Nous sommes dans une lutte d' idées, contre une idéologie de haine , et nous devons gagner . Mais soyons clairs, l'islam n'est pas notre adversaire".


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    <header> Football

    Foot : les supporteurs interdits de déplacements ce week-end

    Par Marion Chantreau, France Bleu jeudi 19 novembre 2015 à 11:07   lien

    </header> <figure class="ressource-principale"> La 14e journée de Ligue 1 débute ce vendredi 20 novembre 2015 <figcaption> La 14e journée de Ligue 1 débute ce vendredi 20 novembre 2015 © Maxppp </figcaption> </figure>

    Les supporteurs de Ligue 1 et de Ligue 2 ne pourront pas suivre leur équipe à l'extérieur ce week-end pour des raisons de sécurité. Neuf matches de L1 et quatre matches de L2 sont concernés.

    Le ministère de l'intérieur a pris un arrêté ce jeudi : les rencontres de Ligue 1 et de Ligue 2 sont maintenues ce week-end mais les supporteurs sont invités à ne pas suivre leur équipe en déplacement.  

    Au vu du niveau particulièrement élevé de la menace terroriste, le ministère explique sa décision par l'impossibilité d'affecter des forces de l'ordre à la sécurité de ces rencontres:

    "Les forces de l'ordre sont particulièrement mobilisées pour faire face à cette menace sur l'ensemble du territoire national et ne sauraient être détournées de cette mission prioritaire pour répondre à des débordements liés au comportement de supporteurs dans le cadre de rencontres sportives". 

    Les matches concernés  

    9 rencontres de Ligue 1

    14e journée de Ligue 1 : Nice-Lyon, Lorient-Paris SG, Troyes-Lille, Montpellier-Reims, Guingamp-Toulouse, Bastia-Ajaccio, Caen-Angers, Rennes-Bordeaux, Saint-Etienne-Marseille. 

    4 rencontres de Ligue 2

    15e journée de Ligue 2 : Créteil-Nancy, Tours-Evian TG, Dijon-Clermont, Metz-Auxerre

    Renforcement des palpations et des fouilles  

    Le président de la Ligue de football professionnel (LFP) Frédéric Thiriez a annoncé la mise en place de mesures drastiques lors de ces rencontres. 

    "Un fort renforcement des palpations et des fouilles des sacs à l'entrée des stades, il faudra s'assurer que les consignes se situent à l'extérieur du stade, il sera rigoureusement interdit d'être porteur de pétard ou autre bombe agricole dans le stade ou aux abords."

    Il sera demandé de "jouer et chanter la Marseillaise avant chaque match" de Ligue 1 et Ligue 2. Frédéric Thiriez a indiqué qu'il assisterait au premier match de la 14e journée, vendredi à Nice (20h30) où l'OGCN recevra Lyon. 

    Un maillot "Je suis Paris" pour le PSG 

    Tout comme les joueuses du Paris Saint-Germain, mercredi soir lors de leur match de Ligue des champions contre Orebro, Zlatan Ibrahimovic et ses coéquipiers porteront un maillot spécial avec l'inscription "Je suis Paris" lors de leurs trois prochains matches. Un geste symbolique en mémoire des victimes des attentats de Paris. Ils l'étrenneront samedi face à Lorient (Ligue 1) et le porteront lors des deux matches suivants, contre Malmö (Ligue des Champions) et Troyes (Ligue1). 

    Les handballeurs du PSG ont eux aussi porté un maillot "Je suis Paris" mercredi soir contre Toulouse.  

    Les compétitions sportives en Ile-de-France avaient été suspendues le week-end dernier sur décision du Comité interministérielle de crise après les attentats sanglants de vendredi soir à Paris et Saint-Denis, autour du Stade de France où se déroulait le match amical France-Allemagne.

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