• Série de fusillades à Paris : au moins 40 morts

    EN DIRECT. De multiples fusillades ont éclaté vendredi soir, à Paris. Une prise d'otages est actuellement en cours au Bataclan. Le RAID est sur place.

    Publié le <time datetime="2015-11-13T22:00" itemprop="datePublished">13/11/2015 à 22:00</time> - Modifié le <time datetime="2015-11-13T23:25" itemprop="dateModified">13/11/2015 à 23:25</time> | Le Point.fr    lien

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    Image de police. Image d'illustration.
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    Image de police. Image d'illustration. © VALERY HACHE

    </figcaption></figure><aside class="like-aside-left mw100 sticky" data-sticky="top:20px" id="aside-left" style="top: 49px;"> </aside>

    23h25. Un des auteurs de la fusillade au Bataclan aurait crié à "c'est pour la syrie", selon une journaliste de la rédaction de BFMTV.

    23h20. Une fusillade aurait éclaté aux Halles, d'après les informations d'Europe 1.

    23h15. Des coups de feux incessants retentissent actuellement dans la salle de concert.

    23h07. Le RAID est arrivé sur les lieux de la prise d'otages, au Bataclan.

     

    Les hommes du RAID sont là, près du Bataclan, bvd Voltaire #fusillade

    — Elise Barthet (@EliseBarthet) 13 Novembre 2015

    23h05. Manuel Valls est arrivé au ministère de l'Intérieur. François Hollande est également attendu pour "faire le point sur la situation".

    23h00. Une soixantaine de personnes seraient prises en otage, d'après France 24.

    22h50. L'AFP évoque 30 morts, entre les différentes attaques. Le RAID se prépare à intervenir.

    22h42. Selon iTélé, il y aurait eu trois déflagrations au stade de France, à 21h17 et 21h19, à l'extérieur du stade. On parle de grenades. La 3e déflagration a eu lieu pendant la mi-temps. Les portes du stade viennent d'être réouvertures, en essayant de faire sortir les spectateurs bloc par bloc.

    22h40. Il y aurait une prise d'otages au Bataclan, d'après les informations de BFMTV. L'information est confirmée par la préfecture.

    22h37. Fusillade sur la terrasse de la bonne époque, un café rue de Charonne. Un ambulancier raconte avoir vu des corps par terre pisser le sang. Il passait en voiture et s'est arrêté. Pas vu d'échange de tir, mais vu des personnes en pleine hémorragie. "une dizaine de personnes par terre", selon cet ambulancier, Rachid, qui travaille pr la société ulyss.

    <section><figure id="6" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"><figcaption class="art-caption" itemprop="description">La rue Faidherbe </figcaption></figure></section>

    22h35. Le ministre de l'Intérieur se rend Place Beauvau pour une réunion de crise. "Au moins dix-huit morts dans le Xe arrondissement de Paris", d'après les informations d'iTélé.

    22h30. Une troisième fusillade est à priori en cours. L'homme utilise une arme de gros calibre, le type d'arme qui a déjà servi lors des attentats précédents.

    22h25. Un hélicoptère survole actuellement la capitale.

    22h22. Les forces de l'ordre sont déployées. Des policiers armés avec des gilet pare-balles et des boucliers se dirigent vers le Bataclan. Plusieurs camions de pompiers sont sur place.

    "Cinq à six coups de feux ont été entendus", rapporte un témoin à propos de la fusillade du Bataclan, où se tenait un concert à guichet fermé. D'après des témoins, des tirs auraient également été entendus à proximité du Bataclan, qui a a été évacué. Des hommes seraient entrés dans la salle de concert et auraient tiré à de nombreuses reprises. On compterait "12 victimes au sol". Des gendarmes et des policiers sont sur place.

    21h30. Une fusilalde a éclaté dans le Xe arrondissement de Paris. Selon BFM, une fusillade a fait plusieurs morts et au moins sept blessés dans un restaurant du 10e arrondissement, "Au petit Cambodge". D'après les journalistes présents sur place, le bilan pourrait être beaucoup plus lourd, les camions de pompiers ne cessent d'affluer. Il y aurait eu des tirs à la kalachnikov. Un témoin affirme que "cela a tiré pendant 30 minutes". La police et les pompiers sont sur place. Les tireurs n'ont pas été appréhendés.

    Deux morts et 7 blessés selon @neila qui est près de la place de la république. Bilan pourrait s'alourdir.

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    <article data-scribe="component:card" dir="ltr">

    </article>

    Tirs à la Kalash au petit Cambodge dans le 10 ème à plusieurs morts. Secours et police sur place

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  • La compagnie Egypt Air interdite de vol vers la Russie

    TRANSPORT Cette annonce intervient un peu plus de deux semaines après le crash d’un avion russe sur le sol Egyptien, dans le Sinaï...

    <figure class="oembed oembed-photo" data-src-format="photo" role="group"> Un avion de la compagnie Egypt Air, en mars 2010. <figcaption>Un avion de la compagnie Egypt Air, en mars 2010. - Geoff Moore / Rex Featu/REX/SIPA </figcaption> </figure>

    20 Minutes avec AFP

    Les autorités russes ont interdit à la compagnie aérienne égyptienne Egypt Air d’effectuer des vols vers la Russie, a annoncé vendredi un aéroport de Moscou sur la base d’une directive de l’Agence fédérale russe chargée de transport aérien (Rosaviatsia).

    « L’aéroport a reçu un télégramme de Rosaviatsia l’informant de l’interdiction à partir du 14 novembre 2015 (samedi) des vols vers la Russie à la compagnie Egypt Air », a indiqué un porte-parole de l’aéroport Domodedovo de Moscou, cité par l’agence de presse publique Ria-Novosti. Contactée par l’AFP, Rosaviatsia s’est refusée à tout commentaire.

    L’enquête sur le crash dans le Sinaï en filigrane

    Cette annonce intervient un peu plus de deux semaines après le crash d’un avion russe sur le sol Egyptien, dans le Sinaï. L’accident en vol a coûté la vie aux 224 passagers de l’Airbus A321 reliant Charm el-Cheikh à Saint-Pétersbourg. Les enquêtes parallèles menées par les autorités russes et égyptiennes piétinent depuis quelques jours. L’Egypte n’avait pas souhaité livrer les boîtes noires à la Russie, préférant les analyser au Caire.

    « Les premières observations ne permettent pas d’identifier l’origine de la dislocation de l’appareil », avait déclaré Ayman el-Mokaddem, un enquêteur, lors d’une conférence de presse au Caire. « (…) Un bruit est entendu à la dernière seconde de l’enregistrement » du Cockpit Voice Recorder, a-t-il poursuivi, ajoutant : « Une analyse spectrale est à venir pour déterminer l’origine de ce bruit. »

    Selon cet enquêteur, « les données des deux enregistreurs de vols ont pu être téléchargées avec succès (…), le temps écoulé entre le décollage et les dernières données enregistrées est de 23 minutes et 14 secondes ». Le ministre égyptien des Affaires étrangères Sameh Choukri avait affirmé précédemment que l’enquête en cours n’avait pas encore permis de dégager une explication.


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  • <article><header>

    Au moins 41 morts dans un double attentat à Beyrouth :

    ce que l'on sait

    Renaud Février <time>Publié le 12-11-2015 à 22h41  lien </time>

    L'attaque, revendiquée par l'Etat islamique, a aussi fait 200 blessés.

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    L'attentat a fait plus de 40 morts. (AFP PHOTO / ANWAR AMRO)
    L'attentat a fait plus de 40 morts. (AFP PHOTO / ANWAR AMRO)
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    </article>

    Au moins 41 personnes ont péri jeudi 12 novembre dans un double attentat au sud de Beyrouth. L'attaque a été revendiquée par le groupe djihadiste Etat islamique (EI). Que s'est-il passé ? Qui était visé ? Pourquoi un attentat à Beyrouth ? "L'Obs" fait le point sur ce que l'on sait.

    Que s'est-il passé ?

    En fin d'après-midi, vers 18 heures, heure locale, deux hommes ont successivement fait détoner leurs ceintures explosives dans une rue commerçante bondée du quartier de Bourj al-Barajné, au sud de Beyrouth, fief du Hezbollah. L'armée a aussitôt bouclé le secteur. Un troisième "terroriste" a été retrouvé mort, probablement abattu, avant qu'il actionne sa ceinture.

    "Je venais d'arriver dans la rue quand l'explosion a eu lieu. J'ai transporté moi-même trois femmes et un de mes amis morts" dans les attaques, a assuré un témoin, Zein al-Abdine Khaddam , à une télévision locale.

    Un autre témoin, qui n'a pas donné son nom, a lancé : "Quand la seconde explosion s'est produite, j'ai cru que c'était la fin du monde."


    (Bilal Hussein/AP/SIPA)

    Quel est le bilan de ce double attentat ?

    Un vrai carnage. L'attentat a fait au moins 41 morts et environ 200 blessés, selon un bilan encore provisoire de la Croix-Rouge libanaise. Sur les lieux de l'attaque, le ministre de la Santé Waël Abou Faour a affirmé que de nombreux blessés étaient dans un état critique.

    Le photographe de l'AFP a vu des corps ensanglantés dans des magasins pulvérisés et des flaques de sang au milieu de voitures détruites après les explosions. Des secouristes et des civils évacuaient les blessés.


    (ANWAR AMRO / AFP)

    Qui a revendiqué l'attaque ?

    La double attaque a été revendiquée par le groupe djihadiste Etat islamique, qui, dans un communiqué, livre une version légèrement différente de celle de l'armée libanaise : une double attaque, mais avec un seul kamikaze.

    "Des soldats du califat ont réussi à faire exploser une motocyclette piégée qu'ils avaient garée contre un rassemblement de 'rafida' [terme péjoratif désignant les chiites, NDLR] à Bourj al-Barajné", affirme l'Etat islamique dans ce communiqué.

    "Après que des apostats sont accourus sur les lieux de l'attentat, un des chevaliers du martyre a fait détoner sa ceinture explosive au milieu du groupe."


    (Bilal Hussein/AP/SIPA)

    La revendication n'a pu être authentifiée mais le communiqué est conforme au format habituel des revendications du groupe extrémiste et il a circulé sur des comptes djihadistes en ligne.

    Pourquoi viser le Hezbollah ?

    C'est la plus sanglante attaque contre un bastion du Hezbollah, chiite, depuis son implication début 2013 dans le conflit en Syrie au côté du régime de Bachar el-Assad et, donc, contre les rebelles et les djihadistes majoritairement sunnite, comme l'Etat islamique.

    D'après le dernier bilan donné par l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), 971 membres du Hezbollah ont trouvé la mort en Syrie.

    Cet attentat contre un fief du Hezbollah dans la banlieue sud de Beyrouth est le premier depuis juin 2014, lorsqu'un agent de sécurité avait été tué en empêchant une attaque.

    Entre juillet 2013 et février 2014, neuf autres attaques ont visé des fiefs du Hezbollah ou des régions fidèles à ce mouvement, la plupart revendiquées par des groupes extrémistes sunnites. Ceux-ci avaient présenté leurs attaques comme une "vengeance" à la décision du Hezbollah d'envoyer des milliers de ses hommes combattre en Syrie au côté du régime de Bachar al-Assad.

    Il y a moins d'un mois, le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah avait de nouveau défendu son combat en Syrie auprès du régime, en parlant d'"une bataille essentielle et décisive".

    La présence du Hezbollah en Syrie "est plus importante que jamais - qualitativement, quantitativement et en matière d'équipement", avait-il ajouté. "Sans la persévérance au sol face à Daech et ses alliés... qu'en serait-il de la région aujourd'hui, en Irak, en Syrie et au Liban ?"

    Renaud Février


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  • Attentats de Paris : les messages du commanditaire

    au tueur de l’Hyper Cacher

    Le Monde.fr | <time datetime="2015-11-07T10:46:02+01:00" itemprop="datePublished">07.11.2015 à 10h46</time> • Mis à jour le <time datetime="2015-11-07T13:40:11+01:00" itemprop="dateModified">07.11.2015 à 13h40</time> | Par

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> Une vidéo d'Amedy Coulibaly dans laquelle il revendique les attentats de Paris en janvier. </figure>

    L’enquête colossale sur les attentats de Paris en janvier s’oriente aujourd’hui, notamment, sur la piste d’un donneur d’ordre. Une personne susceptible d’avoir coordonné à distance les attaques des frères Kouachi contre Charlie Hebdo, le 7 janvier, et d’Amedy Coulibaly à l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes, le 9 janvier. C’est la découverte de quelques-uns des échanges de ce commanditaire avec ce dernier qui ont trahi son existence. En l’état, impossible d’identifier son nom ou sa localisation exacte. Les éléments qui attestent de sa présence ne sont que des morceaux de mails et des adresses IP disparates repérées dans l’immensité du Web.

    Lire aussi (abonnés) : Attentats de Paris : la justice sur les traces des commanditaires

    Mais dix mois jour pour jour après les attentats, l’étau se resserre progressivement, d’après les éléments que Le Monde a pu consulter, autour d’un individu basé à l’étranger. Un homme qui, à l’évidence, avait une vision d’ensemble des tueries qui ont coûté la vie à 17 personnes et en a piloté en partie les opérations.

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    Rédigés dans le langage lapidaire des SMS, mais toujours précis dans leurs instructions, les messages de ce mystérieux commanditaire s’apparentent à chaque fois à de véritables ordres guerriers. « Ok, fé ske ta a fair aujourdhui ms simple com ça tu rentr dormir ensuit tu plank et verifi adress 1 ts les jrs : indications bientot pr recup amis aider toi. debarasse toi puce, maintenant passe sur adress 1, fini adress 2 », écrit-il ainsi à Amedy Coulibaly le 7 janvier, à 14 heures. Soit seulement deux heures après la tuerie de Charlie Hebdo

    Le renfort de plusieurs compagnons d’armes

    Un peu plus tôt, à 12h48 exactement, le coordinateur inconnu a consulté un message du futur tueur de l’Hyper Cacher contenant plusieurs fichiers intitulés « inventaires ». Un seul d’entre eux n’était pas chiffré et donne une idée du contenu des autres. « J’ai un AK74 avec 275 cartouches. Six tokarev avec 69 cartouche. Trois gillet par balle militaire trois gillet tactique deux bombe a gel et a gaz deux gros couteaux un choqueur ». Un mail à l’orthographe hasardeuse sans doute rédigé par Amedy Coulibaly lui-même.

    Lire aussi : L’explosion de Villejuif et les tirs de Fontenay-aux-roses attribués à Coulibaly

    En plus d’établir qu’il y avait donc bien une personne, en coulisse, tirant les ficelles du drame, ces échanges laissent entrevoir le fait qu’au-delà des frères Kouachi, Amedy Coulibaly devait, semble-t-il, recevoir le renfort de plusieurs compagnons d’armes pour son épopée macabre. Un scénario dont atteste, en filigrane, un dernier mail du commanditaire présumé, dévoilé par BFM TV, le 13 octobre. Le message date cette fois du 8 janvier à 17h21. « 1) pas possible amis, travailler tt seul », écrit notamment l’insaisissable correspondant, avant d’ajouter « 2) si possible trouver et travailler avec zigotos bien. 3) si possible expliker ds video ke toi donner zigoto les outils au nom de d, préciser leskels. » Les « zigotos » désigneraient les frères Kouachi, alors en pleine cavale. « D » signifierait « Daech ».

    Officiellement, seuls les frères Kouachi ont revendiqué l’attaque du journal satirique au nom d’Al-Qaida dans la péninsule Arabique (AQPA). Revendication appuyée, dès le 9 janvier, par un message vidéo sur YouTube du porte-parole d’AQPA au Yémen, Nasser Ben Ali Al-Anassi. Dans une autre vidéo posthume, Amedy Coulibaly, lui, s’est réclamé de l’Etat islamique (EI). Mais en exhumant ces échanges, le travail minutieux des enquêteurs spécialisés en cybercriminalité montre que les frontières peuvent être poreuses entre les deux organisations.

    Les prescriptions testamentaires de Coulibaly

    Quel individu, francophone, a pu avoir l’expérience, le parcours et le réseau, pour se retrouver informé à la fois du projet des frères Kouachi contre Charlie Hebdo au nom d’AQPA et de celui d’Amedy Coulibaly au nom de l’EI ? Quel itinéraire derrière ce soin inattendu à ne pas laisser AQPA « bénéficier » seule des retombées médiatiques de l’attentat du journal satirique ?

    Sans qu’aucun lien soit fait directement avec les attentats, deux noms de djihadistes français apparaissent avec insistance dans l’instruction colossale de la juge Nathalie Poux : ceux de Peter Cherif et de Salim Benghalem. Tous les deux ont la particularité d’avoir été plus ou moins proches des frères Kouachi et d’Amedy Coulibaly, tout en étant passés par le Yémen, où se trouve AQPA.

    Lire aussi : Le djihadiste français Salim Benghalem aurait été le geôlier des ex-otages en Syrie

    A son mystérieux tuteur opérationnel, Amedy Coulibaly avait en tout cas confié jusqu’à ses prescriptions testamentaires. Dans un ultime message non daté intitulé « salam », il demande à ce que l’on prenne soin de son épouse religieuse, Hayat Boumedienne : « Je voudrais que le frère s’occupe de ma femme dans les règles de l’Islam, réclame-t-il notamment. Je voudrais pour elle qu’elle ne se retrouve pas seule qu’elle est une bonne situation financiere qu’elle ne soit pas dellaiser. Surtout qu’elle apprenne l’arabe, le Coran et la science religieuse. Veillez a se quel aye bien religieusement. Le plus important c’est le dine [la religion en arabe] et la foi et pour sa elle a besoin d’etre accompagné. Qu’Allah vous assiste. »

    Lire aussi : Comment Hayat Boumeddiene, la compagne de Coulibaly, a fui la France

     Elise Vincent


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  • La police antiterroriste turque arrête 20 militants présumés de Daech à Antalya

    Mis à jour : 06-11-2015 20:26    lien
    - Créé : 06-11-2015 18:28

    TURQUIE - Après l'attentat d'Ankara et à l'approche du G20, les mesures de sécurité ont été renforcées en Turquie. Les unités antiterroristes ont mené plusieurs raids ce vendredi matin à Antalya et ont arrêté 20 militants présumés de Daech.

    La police turque a arrêté 20 personnes soupçonnées d'être en lien avec le groupe Etat islamique en Syrie et en Irak.

    La police turque a arrêté 20 personnes soupçonnées d'être en lien avec le groupe Etat islamique en Syrie et en Irak.

    OZAN KOSE / AFP

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