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    Tunisie : un policier tué par deux hommes à moto à Sousse

    Un policier tunisien a été tué mercredi 19 août par deux inconnus à moto à Sousse, région où a eu lieu en juin la pire attaque djihadiste de l’histoire du pays, selon le secrétaire d’Etat chargé de la sûreté nationale, Rafik Chelly.

    « Des inconnus ont tiré sur trois policiers qui étaient sur une route. L’un d’eux a été touché, il est décédé à l’hôpital » , a affirmé M. Chelly, sans pouvoir dire s’il s’agissait d’un attentat djihadiste. « L’enquête est en cours, on ne peut rien dire d’autre. »

    Pas de blessés

    Selon Mosaïque FM, l’attaque a eu lieu « dans l’après-midi ». Les trois hommes attendaient sur une route, à sept kilomètres de Sousse, un moyen de transport en commun pour se rendre à Kairouan, dans le centre de la Tunisie. Les deux autres agents n’ont pas été blessés par balle, a précisé le ministère. La police pourchasse actuellement les assaillants, qui ont pu prendre la fuite.

    Cette attaque intervient moins de deux mois après le massacre perpétré par un étudiant tunisien dans un hôtel de Port El-Kantaoui, près de Sousse. Trente-huit touristes étrangers, dont 30 Britanniques, avaient été tués le 26 juin dans cet attentat revendiqué par le groupe Etat islamique (EI). La Tunisie fait face depuis sa révolution en 2011 à une progression de la mouvance djihadiste, responsable de la mort de plusieurs dizaines de soldats et de policiers, ainsi que de 59 touristes au total.

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  • L'EI a décapité l'ex directeur du site de Palmyre

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      • Mis à jour <time datetime="2015-08-18T23:22:23+02:00" itemprop="dateModified">le 18/08/2015 à 23:22</time>
      • Publié <time datetime="2015-08-18T23:18:35+02:00" itemprop="datePublished"> le 18/08/2015 à 23:18   lien </time>
     
    Le groupe Etat islamique (EI) a décapité l'ancien directeur du site archéologique de Palmyre et a accroché son corps à une colonne antique d'une des places de la ville, a déclaré mardi le directeur des Antiquités syriennes.

    Maamoun Abdoulkarim a précisé à Reuters tenir l'information de la famille de Khaled Assaad, qui a dirigé pendant cinquante ans le site des ruines romaines de Palmyre.

    Il a ajouté que l'universitaire, qui était âgé de 82 ans et a collaboré au fil des années avec des archéologues français, américains, allemands et suisses, était détenu depuis un mois par le groupe djihadiste qui s'est emparé en mai de la ville du centre de la Syrie.

    "Imaginez que ce professeur, qui a rendu de tels services à ce site et à l'Histoire, a été décapité... et que son corps est toujours suspendu à une colonne au milieu d'une place de Palmyre", a déclaré Maamoun Abdoulkarim.

    Selon lui, l'exécution de Khaled Assaad s'est produite mardi.

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  • Attentat de Bangkok : la police

    recherche un suspect vu en train

    de déposer un sac à dos sur les lieux

    L'explosion d'une bombe a fait au moins 21 morts

    et plus de 120 blessés à Bangkok, lundi.

    <figure id="image_1150903">Des enquêteurs examine la scène de l'attentat commis à Bangkok (Thaïlande), le 17 août 2015.<figcaption>Des enquêteurs examine la scène de l'attentat commis à Bangkok (Thaïlande), le 17 août 2015. (CHAIWAT SUBPRASOM / REUTERS)</figcaption></figure><section class="byline clearfix"> Par , ,

    Mis à jour le <time datetime="2015-08-18T17:04:04+02:00" itemprop="dateModified">18/08/2015 | 17:04</time> , publié le <time datetime="2015-08-18T06:54:09+02:00" itemprop="datePublished">18/08/2015 | 06:54</time>

    </section><section class="share"> </section>

    La police thaïlandaise est, mardi 18 août, à la recherche d'un suspect identifié grâce aux images des caméras de vidéo-surveillance près des lieux de l'attentat qui a fait au moins 20 morts et plus de 120 blessés à Bangkok, en Thaïlande, la veille.  "Nous sommes à la recherche d'un homme" qui appartiendrait à un "groupe opposé" à la junte, a annoncé l'actuel Premier ministre du pays, le lieutenant-général Prayuth Chan-ocha. 

    • Le suspect a déposé un sac à dos sur les lieux de l'attentat. La police a fait circuler des images issues des caméras de vidéo-surveillance montrant un jeune homme vêtu d'un T-shirt jaune et d'un short foncé, aux cheveux bruns. Ce dernier est vu déposant sous un banc un sac à dos sombre qui semble lourd, avant de quitter les lieux. Sur les dernières images, il semble consulter son téléphone portable. "Il est clair qu'il est l'auteur" de l'attaque, a déclaré Prawut Thavorn, porte-parole de la police sur Canal 3, une télévision locale.

    Un opposant politique à l'origine de l'attentat ? Le suspect serait "originaire du nord-est du pays", bastion du mouvement des Chemises rouges, soutien de l'ancien gouvernement. Celui-ci avait été chassé du pouvoir après des mois de manifestations en 2014, suivies par un coup d'Etat militaire. Les autorités thaïlandaises n'excluent aucune piste pour retrouver les auteurs de l'attentat, y compris celle d'opposants au pouvoir militaire, même si l'armée juge que le mode opératoire "ne ressemble pas" aux méthodes employées par les rebelles séparatistes.  

    Un bilan qui s'alourdit. "Le bilan est maintenant de 20 tués et 123 blessés. 14 des personnes décédées sont mortes sur le site de l'explosion", toujours selon le porte-parole de la police. Parmi les victimes figurent en effet plusieurs étrangers. Au moins quatre Malaisiens, un Singapourien, trois Chinois, un Philippin ont été tués, d'après la police ainsi que dix Thaïlandais. Selon le département de l'immigration de Hong Kong, deux de ses résidents sont également décédés dans l'explosion et que six autres blessés et hospitalisés.


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  • Une explosion fait plusieurs victimes

    dans le centre de Bangkok

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | <time datetime="2015-08-17T14:53:39+02:00" itemprop="datePublished">17.08.2015 à 14h53</time> • Mis à jour le <time datetime="2015-08-17T16:02:39+02:00" itemprop="dateModified">17.08.2015 à 16h02 lien </time>

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    สรุปเบื้องต้นตามรายงาน เจ็บ 30 ราย เสีย 2-3 ราย ยังไม่ยืนยัน รถยนต์ มากกว่า 30 คันอาคารใกล้เคียงเสียหาย/ สปก ปภ

     
     
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    ที่มาของเสียงระเบิด อห!!! แยกราชประสงค์

     

     

    ขอบคุณเจ้าของภาพค่ะ 2 hil y a 2 heures

     

    ที่มาของเสียงระเบิด อห!!! แยกราชประสงค์ ขอบคุณเจ้าของภาพค่ะ

     
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    7:25pm - EOD are now on scene of explosion near Erawan Shrine at Ratchaprasong in Central - RT :

     
     
     
     

    Une violente explosion a touché le centre de Bangkok, lundi 17 août dans la soirée, faisant au moins douze morts et vingt blessés, selon des médias thaïlandais. Le chef de la police nationale affirme qu’il s’agissait d’une bombe qui aurait été placée sur une moto. Aucune revendication n’est parvenue pour le moment.

    L’explosion a eu lieu près du carrefour de Ratchaprasong, à quelques mètres du sanctuaire hindouiste d’Erawan. Le lieu, situé à proximité des grands centres commerciaux de la capitale thaïlandaise, est très fréquenté par les locaux et les touristes.

    Selon le correspondant de la BBC sur place, la déflagration a provoqué de nombreux dégâts. Des images de corps déchiquetés et ensanglantés circulent sur les réseaux sociaux. La zone est en cours d’évacuation.

    Deux autres bombes ont été trouvées à proximité du site de l’explosion. D’après le Bangkok Post, l’une d’elles au moins a été désamorcée par la police.

    <article class="MediaCard MediaCard--mediaForward customisable-border" data-scribe="component:card" dir="ltr"></article>

    Ratchaprasong area sealed off as experts work to defuse 2 bombs http://bit.ly/1Phd2AR  (: @KEarthling)

     

    <article class="MediaCard MediaCard--mediaForward customisable-border" data-scribe="component:card" dir="ltr"> </article>

    Several injuries reported as blast hits a commercial center in Bangkok on Monday evening

    Deux bombes artisanales avaient explosé en février près du centre commercial Siam Paragon, blessant légèrement deux personnes. Quelques semaines plus tard, une attaque à la grenade avait également visé la cour criminelle de Bangkok. Les deux hommes arrêtés et suspectés par la police d’avoir mené ces opérations seraient, selon les autorités, des partisans des « chemises rouges », mouvement populaire qui soutient le parti des anciens premiers ministres Yingluck et Thaksin Shinawatra et s’oppose à la junte au pouvoir.


     

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    L'Égypte de Sissi durcit sa législation antiterroriste

    Le président égyptien a renforcé l'arsenal antiterroriste par une loi d'exception qui vise, selon ses détracteurs, à museler l'opposition et les médias.

    Publié le <time datetime="2015-08-17T11:17" itemprop="datePublished">17/08/2015 à 11:17</time> | Le Point.fr   lien
    <figure class="man full-width-img" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="art-caption" itemprop="description">

    Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi est accusé par les défenseurs des droits de l'Homme de diriger un régime très répressif.©Jim Watson/AP/SIPA

    </figcaption></figure></header> <aside class="like-aside-left mw100 sticky" data-sticky="top:90px" id="aside-left" style="top: 49px;">
    </aside>

    Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, accusé par les défenseurs des droits de l'homme de diriger un régime très répressif, a renforcé lundi l'arsenal antiterroriste par une loi d'exception qui vise, selon ses détracteurs, à museler toute opposition, de même que les médias. Ce nouveau dispositif, décrété dimanche par le chef de l'État en l'absence de l'élection d'un Parlement, est mis en place alors que les attaques visant l'armée et la police se multiplient, commises essentiellement par le groupe djihadiste Province du Sinaï, la branche égyptienne de l'organisation État islamique (EI).

    La nouvelle loi ne change fondamentalement pas grand-chose concernant les lourdes peines et les pouvoirs exceptionnels de la police et de l'armée déjà prévus par la législation antiterroriste que M. Sissi avait déjà durcie par des lois pénales instaurant des tribunaux militaires pour les civils ou interdisant et réprimant toute manifestation sans autorisation.

    Mais un article controversé prévoit une amende très lourde pour les journalistes et leurs médias, y compris étrangers, qui rapporteront des informations contredisant les communiqués et bilans officiels en cas d'attentats ou d'attaques. Le projet de loi initial prévoyait même la prison avant d'être adouci face à un début de bronca des journalistes. La loi controversée, publiée au Journal officiel, instaure une amende pouvant aller de 200 000 à 500 000 livres égyptiennes (entre 23 000 et 58 000 euros) pour toute personne diffusant ou publiant de "fausses" informations sur des attentats ou attaques. Un dispositif qui vise aussi les réseaux sociaux, dans lesquels les voix dissidentes sont très actives.

    Intimider les médias

    C'est une manière, selon les défenseurs des libertés, d'intimider les médias internationaux très présents au Caire et d'achever de museler une presse égyptienne qui chante pourtant quasi unanimement des louanges à Sissi et sa "guerre contre le terrorisme". Amnesty International avait qualifié dès juillet le projet de loi "d'attaque flagrante contre les droits à la liberté d'expression et d'association", "un outil de plus pour écraser toute forme d'opposition". La nouvelle loi prévoit par ailleurs la peine de mort pour les personnes coupables d'avoir créé, dirigé ou financé une organisation "terroriste", et la prison pour celles jugées coupables de promouvoir le "terrorisme".

    La "guerre contre le terrorisme" en Égypte est dirigée essentiellement contre les Frères musulmans, lesquels condamnent régulièrement les attentats. Les Frères musulmans avaient remporté toutes les élections après la chute du régime de Hosni Moubarak, emporté par une révolte populaire fin 2011 dans la lignée du Printemps arabe. Après que Sissi, alors chef de l'armée, a destitué en 2013 le président élu démocratiquement Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans, le nouveau pouvoir a tué 1 400 de ses partisans qui manifestaient dans les rues, emprisonné plus de 15 000 Frères musulmans ou sympathisants et condamné à mort en première instance des centaines d'entre eux, dont M. Morsi.

    "Plus répressif" que Moubarak

    En représailles à cette politique, qualifiée par Amnesty international et d'autres ONG de "plus répressive" que celle de Moubarak, des groupes djihadistes, dont Province du Sinaï, ont multiplié les attentats visant policiers et soldats, tuant des centaines d'entre eux en deux ans. Puis la branche égyptienne de l'EI a changé de stratégie en commençant à s'en prendre aux intérêts occidentaux. Elle a revendiqué un attentat à la voiture piégée le 11 juillet contre le consulat d'Italie au Caire, qui a tué un passant, et la décapitation la semaine dernière d'un jeune Croate travaillant pour une compagnie française enlevé à 22 kilomètres au sud de la capitale.

    Au lendemain de l'assassinat le 29 juin du procureur général Hicham Barakat dans un attentat spectaculaire au Caire, Abdel Fattah al-Sissi avait promis une législation plus dure "pour lutter contre le terrorisme". L'attentat avait été suivi le 1er juillet par une série d'attaques de l'EI contre des militaires dans la péninsule du Sinaï et l'armée avait été ulcérée parce que des médias occidentaux avaient contredit ses bilans, parlant de 21 soldats tués.


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