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    Neutralité du net : le Parlement européen adopte

    la deuxième version du texte

    Les Echos | <time datetime="2015-10-27T14:28:40+01:00" itemprop="datePublished">Le 27/10 à 14:28, mis à jour à <time datetime="2015-10-27T16:18:15+01:00" itemprop="dateModified"> 16:18   lien </time></time>
     
    Le Parlement européen a rejeté mardi le projet de règlement européen sur les télécommunications - Shutterstock
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    Les eurodéputés viennent de rejeter le règlement sur les télécommunications qui inquiétait les défenseurs de la liberté sur Internet, depuis l’ajout d’amendements défavorables au principe de neutralité du net.

    Le Parlement européen a adopté mardi en seconde lecture le projet de règlement européen sur les télécommunications et rejeté les amendements apportés par le Conseil de l’Union européenne, notamment sur le sujet crucial de la neutralité du net.

    Promouvoir l’égalité d’accès à Internet

    La neutralité du net est un principe selon lequel toutes les données qui sont échangées sur le web doivent être traitées à égalité, qu’il s’agisse d’un courriel envoyé à un ami ou d’une vidéo hébergée sur YouTube. Ce principe est l’objet d’une bataille législative entre les partisans de la liberté sur Internet, comme l’association française la Quadrature du net , et les fournisseurs d’accès à Internet et les Etats européens. Les enjeux sont autant économiques - ne pas privilégier des services payants au détriment de sites gratuits - que démocratiques : ne pas favoriser de groupes ou d’opinions politiques ni limiter l’accès et le transfert de leurs données. Pour ses militants, la neutralité du net est conforme aux fondements d’Internet, créé comme un réseau fonctionnant sur un mode horizontal et décentralisé.

    La première version du projet de règlement a été votée au Parlement européen le 3 avril 2014. Le texte, salué par les activistes, a défini et reconnu l’importance du principe de la neutralité du net : « Le principe de “neutralité de l’Internet” dans l’Internet ouvert signifie que tout le trafic devrait être traité de la même manière, sans discrimination, restriction ou interférence, quels que soient l’émetteur, le récepteur, le type, le contenu, l’appareil, le service ou l’application. (...) Le caractère ouvert de l’Internet est un moteur clé de compétitivité, de croissance économique, de développement social et d’innovation ».

    Les contours de la neutralité du net restent à dessiner

    Comme le prévoit la procédure législative ordinaire de l’Union europénne, la majorité des règlements doivent être à la fois approuvés par le Parlement européen et par le Conseil de l’Union européenne, qui réunit les représentants des Etats membres. A l’issue de négociations avec les eurodéputés et la Commission européenne, le Conseil a adopté une version largement amendée du texte, le 30 juin 2015 en deuxième lecture : il prévoit un certain nombre d’exceptions à la neutralité du net. Pour le collectif Save The Internet , qui réunit des citoyens et des associations européens, le règlement modifié par le Conseil n’est pas assez clair et «  laisse une marge de manœuvre non négligeable aux régulateurs et à la Commission européenne pour décider si la neutralité du Net doit être protégée ou non ».

    #NetNeutrality Neutralité du Net : recul majeur pour l'Internet libre au @Europarl_FR ! https://t.co/kRHwPlWLKB pic.twitter.com/Cxch4M5BOd

    — La Quadrature du Net (@laquadrature) 27 Octobre 2015

    Le vote de mardi marque donc la fin des amendements apportés par les Etats lors du Conseil de l’Union européenne, mais également de la première version qui définissait et dessinait les contours du principe. La rapporteure du dossier, Pilar Del Castillo Vera, s’est félicitée de ce qu’elle considère comme une victoire : « Internet est une valeur précieuse, un bijou en quelque sorte. [...] Ce vote va faciliter et permettre un accès égal à Internet, sans interface et sans restrictions ».

    Les Echos
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    <article class="article-box top-line " data-url="/planete/2015/10/18/soyez-patients-les-refugies-au-ralenti-a-la-frontiere-serbo-croate_1406927" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">
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    «Soyez patients»: les réfugiés au ralenti à la frontière serbo-croate

    Par AFP <time datetime="2015-10-18T22:40:02" itemprop="datePublished"> 18 octobre 2015 à 22:40 lien </time>
     
     
    Des autobus transportant des migrants à la gare de Cakovec à l'ouest de la Croatie, le 17 octobre 2015
     
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    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="read-left-padding caption" itemprop="description"> Des autobus transportant des migrants à la gare de Cakovec à l' ouest de la Croatie , le 17 octobre 2015 Photo STR. AFP

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    «Il n’y a pas d’autobus maintenant . Soyez patients, on vous dira quand vous pourrez partir »: deux soeurs syriennes Rawan, 23 ans, et sa cadette Dina, 12 ans, tiennent cette banderole en arabe pour les réfugiés à la frontière entre la Serbie et la Croatie.

    «En attendant de franchir la frontière, nous aidons les volontaires afin d’expliquer aux gens ce qui se passe », dit Rawan en montrant une deuxième banderole: «Ne poussez pas, il y a des enfants».

    La jeune femme explique: «Nous sommes ici depuis 07H00 (05H00 GMT) ce matin et je suis épuisée après avoir passé 48 heures dans différents autobus».

    Les deux sœurs, originaires de Damas , voyagent avec leur père . Elles font partie d’un groupe d’ environ 2.000 migrants qui ont longuement attendu dimanche après-midi à la frontière serbo-croate. Leur voyage pour fuir les conflits au Moyen Orient et tenter de trouver refuge principalement en Allemagne a subi un coup d’ arrêt.

    La décision de la Hongrie de fermer aux migrants sa frontière avec la Croatie, comme elle l’avait fait à la mi-septembre avec la Serbie, a encore un peu plus compliqué leur périple.

    Ils sont depuis redirigés par les autorités croates vers la Slovénie qui limite l’ entrée des réfugiés à 2.500 par jour . Cette décision de Ljubljana a provoqué des ralentissements en chaîne le long de la route balkanique à travers la Macédoine et la Serbie.

    «Tout se déroule au ralenti depuis que la Hongrie a fermé sa frontière», avec la Croatie vendredi à minuit (22H00 GMT), a déclaré à l’AFP un officier de la police dans la zone frontalière proche de la localité de Berkasovo (Serbie).

    Les autobus croates transportant les migrants prennent plus de temps pour se rendre en Slovénie, explique-t-il.

    - Coincés dans des autobus -

    Dans la matinée de dimanche, des migrants ont attendu pendant des heures coincés dans une cinquantaine d’autobus bloqués à la frontière avec la Croatie qui les a temporairement empêchés d’entrer sur son territoire.

    Un peu plus tard ils ont pu poursuivre leur route mais à un rythme beaucoup plus lent qu’auparavant.

    Tard dans l’après-midi, des centaines de personnes , certaines assises sur des morceaux de cartons , faisaient encore la queue qui avançait à pas de tortue.

    Certains enfants, visiblement épuisés et nerveux, pleuraient de toutes les larmes de leur corps.

    Les migrants étaient autorisés, par groupes de 50, à franchir la frontière et entrer en Croatie.

    Eissa, un étudiant en littérature anglaise de 23 ans originaire d’Alep, assure qu’aucune information ne lui a été fournie ni aux membres de sa famille.

    «Ca va, je peux attendre, mais je suis inquiet pour les enfants, pour mes quatre neveux . Il fait froid et ils pourraient tomber malades», lâche-t-il.

    A l’exception de quelques rares moments de tension , les migrants prennent leur mal en patience en dépit de la fatigue et l’absence d’ explication sur les raisons de leur longue attente.

    Certains boivent du café ou du thé, d’ autres mâchent des sandwichs fournis par la Croix rouge serbe et le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) qui distribuent également vestes et couvertures.

    Zaman, 33 ans originaire de Bagdad , est visiblement épuisée. Elle appellent ses quatre enfants qui jouent dans un champ de maïs boueux en bordure de la route à revenir près d’elle.

    La famille est en route pour Vienne où son mari s’est déjà installé . Zaman espère poursuivre sa route avant la nuit car sa fille Sara , 3 ans, est enrhumée.

    «Par la Hongrie, ou par la Slovénie, peu importe , je veux juste continuer mon voyage», dit-elle

    AFP

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    10.000 migrants sont entrés en Macédoine

    en une journée

    <time datetime="2015-10-19T11:46:42Z" itemprop="datePublished">Publié à 11h46, le 19 octobre 2015</time><time datetime="2015-10-19T11:55:51Z" itemprop="dateModified">, Modifié à 11h55, le 19 octobre 2015  lien </time>

     

     

     

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    10.000 migrants sont entrés en Macédoine en une journée
    <figcaption> © AFP </figcaption></figure>

     

     

     

     

    Dix mille migrants sont entrés dans le pays en 24 heures, entre samedi soir et dimanche soir, a annoncé lundi la police macédonienne à Skopje.

    Dix mille migrants sont entrés en Macédoine en 24 heures, entre samedi soir et dimanche à 18 heures, a annoncé lundi la police macédonienne à Skopje. Ce chiffre correspond à ceux diffusés par la Croix-Rouge locale et des ONG. "Depuis samedi soir jusqu'à dimanche à 18 heures, 10.000 migrants ont été enregistrés en Macédoine et le flux n'a pas diminué jusqu'à minuit", a déclaré un responsable de la police. 

    Jasmin Redzepi, responsable de l'ONG Legis, dont les volontaires se trouvent à Gevgelija, à la frontière entre la Macédoine et la Grèce, a déclaré que "le nombre des migrants qui sont entrés était supérieur" à ce chiffre étant donné que les entrées se sont poursuivies à un rythme soutenu tard dans la soirée de dimanche.

    Retour au calme. Lundi matin, toutefois, la situation était calme à Gevgelija et le nombre de migrants cherchant à entrer en Macédoine avait sérieusement diminué. Ce chiffre ne dépasse toutefois pas le record de 12.000 entrées en 24 heures enregistré début septembre. Au cours des dernières semaines, le nombre de migrants en route pour l'Europe occidentale entrant dans le pays s'élevait à entre 3.000 et 5.000. Cette nouvelle importante vague de réfugiés sur la route des Balkans risque de provoquer une saturation plus au nord à la frontière entre la Serbie et la Croatie et au nord-ouest entre la Croatie et la Slovénie.

    2.500 migrants par jour en Slovénie. Les entrées de migrants en territoire croate se font au ralenti depuis que la Slovénie, devenue le nouveau pays de transit des migrants arrivant de Serbie et de Croatie après la fermeture, vendredi soir, par la Hongrie de sa frontière avec la Croatie, a fait savoir qu'elle limiterait l'entrée de son territoire à 2.500 migrants par jour.

    Un millier de migrants attendaient lundi matin de pouvoir franchir la frontière entre la Croatie et la Slovénie après avoir été empêchés durant la nuit d'entrer sur le territoire slovène par les autorités du pays qui craignent d'être débordées, a-t-on appris de source policière. A la frontière serbo-croate, plusieurs centaines de migrants attendaient d'entrer en Croatie dans une atmosphère rendue plus lourde par le froid et la pluie.


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  • La majorité gouvernementale grecque a adopté dans la nuit de vendredi à samedi de nouvelles mesures de rigueur douloureuses pour la poursuite du versement des prêts internationaux

    Huit jours après le vote de confiance au deuxième gouvernement de gauche d’Alexis Tsipras, la majorité gouvernementale grecque a adopté dans la nuit de vendredi à samedi de nouvelles mesures de rigueur douloureuses, dictées par les créanciers, pour la poursuite du versement des prêts internationaux. 

    La loi-balai prévoyant notamment de nouvelles coupes dans les retraites et des hausses d’impôts a été adoptée «sur le principe» par 154 députés sur 300, ceux de la majorité soutenant la coalition gouvernementale alliant le Syriza de Tsipras (145 députés) à la droite souverainiste Anel de Panos Kammenos (10 députés). 

    Le «oui» communiqué par lettre par une députée Syriza absente n’a pas été comptabilisé, tandis qu’un député Anel a voté contre six articles, portant notamment sur les taxes immobilières. Toute l’opposition des communistes aux néonazis d’Aube Dorée a voté contre la loi dans son ensemble, même si des députés en ont approuvé divers articles en particulier en matière de réforme des retraites. 

    Lors d’un débat houleux, le rival conservateur d'Alexis Tsipras, Vangélis Meïmarakis, a dénoncé une offensive fiscale fauteuse de récession. «Vous demandez à Mme Merkel qu’elle nous gronde», a-t-il ironisé à l’adresse de Tsipras.  Les mesures prévues «ne sont pas nouvelles, vous les connaissiez déjà quand vous avez voté en faveur de l’accord du 13 juillet», conclu in extremis entre la Grèce et les créanciers du pays pour lui éviter d’être poussée en dehors de l’euro, a objecté Tsipras. 

    Ces mesures «difficiles» sont nécessaires pour maintenir le pays sous perfusion financière, «ne pas perdre le train de la recapitalisation bancaire» et ouvrir avec les créanciers «la nécessaire discussion pour une réduction de la dette», a-t-il plaidé. Ce vote était le premier test pour son gouvernement, qui a obtenu la confiance du Parlement la semaine dernière après les législatives anticipées du 20 septembre au cours desquelles son parti Syriza, l’a emporté pour la deuxième fois en huit mois.

    Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans la soirée dans le centre d’Athènes contre l’adoption de cette feuille de route de rigueur et de réformes. La plupart répondait à l’appel du parti communiste, les autres, quelques centaines, à celui du syndicat des fonctionnaires, Adedy.  La loi adoptée met en œuvre et élargit les mesures adoptées à la mi-août par le Parlement dans le sillage de l’accord du 13 juillet. 

    S’assurer le versement des prêts

    En échange du prêt de 86 milliards d’euros sur trois ans alors consenti par ses créanciers, la Grèce doit continuer de réduire les dépenses publiques au détriment de l’État social, une politique appliquée depuis le début de la crise de la dette en 2010.

    L’adoption de la loi était une condition pour la poursuite des versements des prêts à la Grèce, dont une tranche de deux milliards d’euros est attendue d’ici fin octobre. Porté au pouvoir pour la première fois lors des élections de janvier 2015, Alexis Tsipras avait été contraint de démissionner à la mi-août après avoir perdu sa majorité parlementaire, à la suite de la scission du Syriza dont une partie s’opposait au nouveau prêt. Cependant Syriza a su survivre après le départ de l’aile eurosceptique du parti et le parti a été reconduit au pouvoir un mois plus tard.

    Le principal parti d’opposition, la Nouvelle-Démocratie de Meïmarakis, les socialistes du Pasok et le parti de centre gauche libéral To Potami avaient indiqué qu’ils voteraient contre le nouveau projet de loi, dénonçant la poursuite de la rigueur. Les deux premiers, au pouvoir entre 2010 et 2014, avaient voté pourtant en faveur de mesures de rigueur similaires adoptées alors par le Parlement à la suite de deux premiers prêts accordés au pays, d’un total de 240 milliards d’euros.  Et en août, ces trois partis d’opposition ont voté aussi pour le principe du troisième plan de sauvetage financier du pays.

    AFP

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  • Allemagne : une candidate à la mairie de Cologne poignardée

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2015-10-17T18:38:42+02:00" itemprop="datePublished">17.10.2015 à 18h38</time> • Mis à jour le <time datetime="2015-10-17T21:57:52+02:00" itemprop="dateModified">17.10.2015 à 21h57   lien </time>

     

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> Henriette Reker, candidate à la mairie de Cologne, a été poignardée le 17 octobre par un homme disant avoir des "motivations racistes". </figure>

    Henriette Reker, candidate à la mairie de Cologne, a été poignardée, samedi 17 octobre, sur un marché où elle faisait campagne. La femme politique se trouvait sur un stand d’informations de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), le parti d’Angela Merkel qui la soutient pour l’élection, quand elle a été attaquée par un homme qui l’a grièvement blessée au cou.

    Mme Reker, 58 ans, souffre de « blessures sérieuses » mais son état est « stable », a assuré un responsable de la police. Une autre femme a également été grièvement blessée lors de cette attaque, tandis que trois autres personnes l’ont été plus légèrement.

    Ancien membre d’un parti d’extrême droite

    L’agresseur, interpellé juste après les faits, est un Allemand de 44 ans, chômeur de longue durée. Il « a dit qu’il avait commis cet acte avec une motivation raciste », a annoncé la police. Selon le quotidien régional Kölner Stadtanzeiger, l’agresseur a ainsi déclaré aux enquêteurs que « Recker et Merkel nous inondent d’étrangers et de réfugiés ».

    Si la police a indiqué qu’il n’était « pas actif politiquement », l’hebdomadaire Spiegel écrit sur son site que l’homme, originaire de Bonn, était membre au début des années 1990 d’un parti d’extrême droite allemand interdit depuis. Selon les enquêteurs il n’avait plus de contact avec cette mouvance mais aurait été repéré pour ses commentaires xénophobes sur divers forums sur Internet.

    Mme Reker est notamment chargée de l’accueil des réfugiés à la ville de Cologne. Elle est l’une des prétendantes les plus sérieuses au poste de maire de la quatrième ville d’Allemagne, forte de 980 000 habitants, lors de l’élection municipale de dimanche.

    « Stupeur » de Merkel

    Angela Merkel a « exprimé sa stupeur » et condamné cet acte, tandis que le ministre de l’intérieur, Thomas de Maizière, s’est déclaré « profondément choqué » par cette attaque « effroyable et lâche ».

    Samedi soir, des responsables politiques régionaux et des habitants de Colognese sont réunis samedi soir devant l’hôtel de Ville pour afficher leur solidarité avec Mme Reker.

    L’Allemagne attend cette année quelque 800 000 demandeurs d’asile, un record historique. Mais la politique d’ouverture aux réfugiés de la chancelière suscite de vives critiques de toutes parts, y compris dans ses propres rangs.

    Lire aussi : Réfugiés : Angela Merkel de plus en plus isolée en Allemagne


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