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    En déplacement surprise en Corrèze, François Hollande rend visite à Jacques Chirac

    L'actuel chef de l'Etat a trouvé l'ancien président, avec qui il s'est entretenu près d'une heure, "alerte et plaisantant".

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    François Hollande en visite surprise sur le marché de Tulle, le 20 juillet 2013.

    François Hollande en visite surprise sur le marché de Tulle, le 20 juillet 2013. (MAXPPP)

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    Mis à jour le <time datetime="2013-07-20T20:56:59+02:00" itemprop="dateModified">20/07/2013 | 20:56</time> , publié le <time datetime="2013-07-20T20:54:24+02:00" itemprop="datePublished">20/07/2013 | 20:54</time>

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    La visite ne figurait pas à son agenda officiel. François Hollande a effectué, samedi 20 juillet une visite non programmée en Corrèze. Arrivé vers 9h30 sur le marché de Tulle, François Hollande a d'abord simplement déclaré être "là de manière amicale" car "c'est toujours un plaisir de venir à Tulle", une ville dont il a été le maire.

    Son programme n'a ensuite pas été divulgué ni par l'Élysée ni par la préfecture de Corrèze, mais des journalistes de La Montagne et de l'Echo du centre l'ont retrouvé une nouvelle fois dans l'après-midi à Tulle. Le président venait saluer un habitant qui fêtait ses 99 ans et a ensuite rencontré le maire Bernard Combes, avec qui il a inspecté les derniers travaux dans la ville.

    Un Jacques Chirac "alerte et plaisantant"

    C'est lors d'un échange avec ces journalistes qu'il a évoqué sa visite un peu plus tôt dans l'après-midi aux époux Chirac dans leur résidence de Sarran (Corrèze), pendant près d'une heure. "Nous avons parlé de questions internationales, des pays arabes et de la Russie notamment", a déclaré François Hollande, ajoutant avoir trouvé l'ancien chef de l'Etat "alerte et plaisantant". Il a également rappelé être "passé l'an dernier à la même époque pour une visite de politesse".

    "Il a été aimable à mon égard mais nous n'avons pas beaucoup évoqué les affaires intérieures. Nous avons surtout évoqué la place de la France dans le monde", a ajouté le président de la République. François Hollande s'est ensuite rendu à Saint-Hilaire-Peyroux, pour la réunion annuelle de toutes les communes de France portant le nom de Saint-Hilaire, à laquelle ont assisté 900 personnes selon La Montagne. Il ensuite été à la rencontre de Philippe Nauche, député-maire socialiste de Brive, où il a également croisé la chanteuse Olivia Ruiz.


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  • Accueil > TopNews > François Hollande reçoit les grands banquiers français

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    François Hollande reçoit les grands banquiers français

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    <time datetime="2013-07-19T20:00:45" itemprop="dateCreated">Créé le 19-07-2013 à 20h00</time> - <time datetime="2013-07-19T20:00:45" itemprop="dateModified">Mis à jour à 20h00</time>

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    PARIS (Reuters) - François Hollande a reçu vendredi les dirigeants des grandes banques françaises, une première pour celui qui se posait lors de sa campagne électorale en "adversaire de la finance".

    Jean-Paul Chifflet, directeur général de Crédit agricole S.A. et président de la Fédération bancaire française (FBF) a été reçu aux côtés des dirigeants de BNP Paribas, Société générale, BPCE, Crédit Mutuel et la Banque postale.

    "Les banques, qui sont une tour de contrôle formidable, constatent un frémissement de l'économie", a-t-on déclaré dans l'entourage du chef de l'Etat.

    A sa sortie, Jean-Pierre Chifflet a insisté sur l'importance d'aider les banquiers à financer l'économie réelle.

    "Le contexte actuel réglementaire, fiscal, juridique est très important et vient nous contraindre", a-t-il déclaré à la presse, une allusion au durcissement de la réglementation en Europe.

    "Cela pourrait nuire au financement de l'économie et nous souhaitons que cela stoppe, surtout s'il y a une reprise", a-t-il ajouté, plaidant pour "les banques puissent faire ce qu'elles ont envie de faire et qui est leur métier : l'économie. Cela est vital pour notre pays, pour l'emploi et pour la croissance".

    En France, le Parlement a adopté jeudi la loi bancaire promise par François Hollande pendant la campagne présidentielle, un texte très édulcoré selon ses détracteurs.

    La nouvelle loi impose aux banques d'isoler d'ici à 2015 leurs activités pour compte propre et de mettre un terme à des pratiques jugées particulièrement risquées comme le trading à haute fréquence (HFT) ou l'achat-vente de dérivés sur matières premières agricoles.

    Le texte ne prévoit pas de séparation stricte entre les activités de marché et de détail des établissements financiers, et préserve le modèle de "banque universelle", cher aux banques françaises qui ont déployé de gros efforts de lobbying pour adoucir le projet de loi.

    Le projet de taxe européenne sur les transactions financières, auquel les banques sont opposées, le reversement aux banques d'une partie des sommes placées sur le livret A et le livret de développement durable ont été abordés lors de la rencontre, ainsi que l'avenir de la Bourse de Paris.

    "Il y a eu consensus pour dire qu'il doit y avoir une place de Paris forte", a-t-on déclaré dans l'entourage de François Hollande.

    Elizabeth Pineau, avec Matthias Blamont, édité par Jean-Baptiste Vey


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  • Après Ayrault, Hollande veut ressouder sa majorité

    • Home ACTUALITE Politique
      • Par
      • Mis à jour <time data-ago="il y a 4 heures" data-original="le 19/07/2013 à 20:29" datetime="2013-07-19T20:29:50+02:00" itemprop="dateModified">le 19/07/2013 à 20:29</time>
      • Publié <time data-ago="il y a 5 heures" data-original="le 19/07/2013 à 20:18" datetime="2013-07-19T20:18:12+02:00" itemprop="datePublished">le 19/07/2013 à 20:18</time>
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    <figure class="fig-photo"> «Si on veut gagner, si on veut réussir, il faut être à mes côtés», avait lancé François Hollande le 14 juillet.<figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description"></figcaption> </figure>

    Le chef de l'État recevra lundi au Palais de l'Elysée tous les chefs de parti de son camp,

    ce qu'il avait pourtant promis de ne pas faire.

     

    Au tour des chefs de parti. Après la réception, mercredi à Matignon, des parlementaires de la majorité, François Hollande recevra à dîner lundi soir à l'Élysée Harlem Désir pour le PS, Pascal Durand pour Europe Ecologie - les Verts, Jean-Michel Baylet pour le PRG, Jean-Luc Laurent pour le MRC ainsi que Robert Hue pour le MUP. Depuis son élection à l'Élysée l'année dernière, c'est la première fois que le président de la République reçoit les chefs de parti. Décidée il y a quelques semaines, cette réunion vise à «faire un point de l'année écoulée, évoquer les dossiers de la rentrée et aussi les élections municipales», explique une source gouvernementale qui ajoute, pour dédramatiser la rencontre, que «l'idée est de faire un repas par an». Il n'empêche, c'est peu dire que la réforme des retraites à venir en septembre inquiète le pouvoir, tout comme les conséquences électorales qu'elle pourrait avoir lors des prochains scrutins. Or la majorité de François Hollande est fragile.

    Le mois dernier, le chef de l'État l'avait appelée à «s'organiser pour les prochains scrutins, notamment municipaux, pour partir rassemblée». Le problème, c'est que l'éviction de Delphine Batho du ministère de l'Écologie a renforcé la détermination des Verts à présenter des listes autonomes au premier tour. Le problème, c'est aussi qu'au PRG, on se plaint d'avoir été ignoré par le pouvoir depuis le début du quinquennat. Le problème, c'est enfin qu'une partie du PS soutient que la réforme des retraites se traduira par une défaite majeure dans les urnes en 2014 et demande par conséquent à François Hollande de la retirer.

    Pour le chef de l'État, la question de la cohésion de sa majorité tourne à l'obsession. «Si on veut gagner, si on veut réussir, il faut être à mes côtés», avait-il lancé le 14 juillet dernier lors de son intervention télévisée. Voilà sans doute ce qu'il redira aux chefs de parti lundi soir.


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    George Pau-Langevin

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    L'observatoire de la réussite éducative: mieux se connaitre, se comprendre, se coordonner

    Publication: 19/07/2013 06h36
     

    Aujourd'hui sera présentée officiellement aux professionnels de l'éducation et à la presse ce nouvel outil d'évaluation que constitue l'Observatoire de la réussite éducative.
    Suite à la première journée nationale de la réussite éducative le 15 mai dernier, cet observatoire a été conçu dans le cadre d'une relation de travail constante et productive avec le ministère délégué en charge de la Ville et l'Institut Français de l'Education (Ifé).

    La préparation de la journée sur la réussite éducative à la Sorbonne nous a permis de constater la richesse foisonnante des initiatives prises dans les quartiers par l'Education nationale, l'Acse, les communes pour prendre en charge des enfants défavorisés dont les acquisitions ou les comportements pouvaient être affectés par l'environnement global dans lequel ils vivent, qu'il s'agisse des conditions familiales, de la santé,de leur vie dans et hors l'école.

    L'objet du ministère dont j'ai la charge est de soutenir une politique publique qui harmonise l'articulation de tous les temps de l'élève, en prenant en compte l'environnement social, familial, culturel ou encore territorial de l'enfant.

    La réussite éducative est riche de démarches existantes multiples telles que les programmes de réussite éducative dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville, les projets éducatifs locaux, les projets éducatifs et pédagogiques dans les écoles et établissements scolaires et autres. C'est pourquoi la mission première de ce nouvel outil est de recenser les actions menées afin de permettre leur mutualisation, leur valorisation et leur diffusion.

    Cet observatoire sera matérialisé dans un site Internet collaboratif offrant un appui jusqu'alors inexistant aux différents acteurs de la réussite éducative tels que les professionnels de l'éducation nationale et de la Ville, les acteurs associatifs, élus locaux, les parents d'élèves.

    Il leur permettra d'échanger dans le cadre d'un espace commun, de mieux connaître et comprendre le rôle de chacun et ses réalisations. Cet espace aidera donc à mener à bien des projets coordonnés et partenariaux.

    Cette plate-forme interactive mettra à disposition des informations, retours d'expériences et connaissances récentes sur la réussite éducative aussi bien en France qu'au-delà de nos frontières.

    La gouvernance de l'Observatoire sera confiée à un conseil d'orientation composé des acteurs de la réussite éducative dans toute leur diversité: représentants des ministères partenaires (ville, jeunesse et sport), institutions, associations d'éducation populaire, parents d'élèves et collectivités territoriales.

    Ma priorité qui est d'obtenir des résultats concrets pour la réussite du plus grand nombre d'enfants suppose une meilleure coordination entre l'Ecole et ses partenaires. La mise en réseau constitue donc un levier majeur pour atteindre cet objectif commun.


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  • Accueil > Politique > François Hollande dîne à huis clos avec plus de 100 journalistes

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    François Hollande dîne à huis clos

    avec plus de 100 journalistes

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    <time datetime="2013-07-18T16:08:02" itemprop="dateCreated">Créé le 18-07-2013 à 16h08</time> - <time datetime="2013-07-18T16:34:00" itemprop="dateModified">Mis à jour à 16h34</time>

    Ce repas informel est une grande première pour un président de la République.

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    Image d'illustration. (MICHEL EULER / POOL / AFP)

    Image d'illustration. (MICHEL EULER / POOL / AFP)

    François Hollande dîne jeudi 18 juillet, hors micros et caméras, avec près d'une centaine de journalistes qui le suivent au jour le jour, ce qu'aucun de ses prédécesseurs n'avait fait jusque-là, contrairement aux présidents américains, qui ont fait de ce rendez-vous un moment très médiatisé.

    "C'est un évènement inédit, ça ne s'est jamais fait" sous les précédentes présidences, souligne le président de l'Association de la presse présidentielle (APP), Alain Barluet, journaliste au service diplomatique du "Figaro".

    Le dîner, à l'invitation de l'association et auquel participeront près d'une centaine de journalistes, est organisé à la maison des Polytechniciens, un hôtel particulier du VIIe arrondissement de Paris, situé à quelques encablures du siège du PS, de l'Assemblée nationale et du quai d'Orsay.

    "Resserrer les liens" avec la presse

    Nicolas Sarkozy, qui entretenait des relations souvent tendues avec la presse, n'a jamais participé à un tel événement. Sous son quinquennat, les rares repas à l'Elysée avec des journalistes se déroulaient avec ses conseillers. Jacques Chirac avait reçu une invitation du même ordre mais l'avait finalement déclinée, préférant convier les membres du bureau de l'APP à un déjeuner organisé à l'Elysée.

    Cette invitation hors les murs du palais présidentiel avait été faite à François Hollande, il y a un an. Le président nouvellement élu avait aussitôt accepté le principe "d'une rencontre informelle et cordiale" avec la presse avant la trêve estivale. Une façon, selon son entourage, de "resserrer les liens" entre l'Elysée et la presse présidentielle.

    La rencontre, à laquelle sont également conviés quelques proches conseillers du président, notamment ceux chargés de la communication, sera décontractée mais néanmoins organisée.

    Echanges "off"

    Ni robe longue, ni smoking, mais "tenue élégante" de rigueur, stipule l'invitation de l'APP. Les journalistes seront répartis sur dix tables, avec au menu après chaque plat, une séquence de trois questions adressées au chef de l'Etat.

    Les échanges sont censés rester "off" puisque, précise-t-on de part et d'autre, "il ne s'agit pas d'une conférence de presse", mais d'"une rencontre informelle, sans micros ni caméras ou appareils photo".

    L'expérience prouve toutefois que ce genre d'exercice, en présence de nombreux journalistes, demeure rarement totalement confidentiel, et encore moins à l'heure du réseau social Twitter.

    Encore loin des shows à l'américaine

    Rien à voir toutefois avec les dîners de presse ultra-médiatisés des présidents américains qui, chaque année, rassemblent quelque 3.000 convives. Ces grands shows, où se côtoient journalistes accrédités à la Maison Blanche et stars du spectacle, permettent également de lever des fonds de plusieurs dizaines de milliers de dollars en faveur d'œuvres diverses.

    François Hollande, qui à la fin de sa campagne présidentielle avait fait ses adieux aux "Hollande tour" en saluant les "liens de respect" établis avec les journalistes, continue depuis son élection à cultiver avec la presse des relations plutôt confiantes et cordiales, maniant volontiers l'humour à l'occasion.

    Et à la différence de son prédécesseur Nicolas Sarkozy, prompt à dénoncer "l'intolérance et le parti-pris" des médias à son égard, les Unes parfois virulentes de la presse hebdomadaire pour ternir son image présidentielle le laissent en apparence de marbre.


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