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    5 Nouvelles roquettes tirées depuis Gaza

    Israël donne un ultimatum de 48 heures au Hamas pour cesser les attaques ou faire face à une frappe massive

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    TIMES OF ISRAEL STAFF 4 juillet 2014, 09:24 
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    Tirs de roquettes de la bande de Gaza sur Israël (Crédit : Edi Israel /Flash 90)
    Tirs de roquettes de la bande de Gaza sur Israël (Crédit : Edi Israel /Flash 90)
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    Les sirènes ont retenti dans la ville de Sderot, à Sdot Néguev et dans la région d’Eshkol tôt vendredi matin suite à des tirs de roquettes à partir de Gaza.

     

    Cinq roquettes ont été tirées sur Israël, l’une d’entre elles tombant en territoire palestinien. Le Dôme de Fer en a intercepté une autre. Aucun blessé ou dégât n’a été signalé alors que les projectiles ont frappé des zones ouvertes.

    La nouvelle salve de vendredi intervient après que plus de 15 roquettes aient été tirées depuis la bande de Gaza jeudi soir, laissant un soldat légèrement blessé. Comme la frontière sud a continué à chauffer jeudi, avec des tirs de roquettes intermittents frappant le sud d’Israël, les résidents ont été invités à se nicher dans les abris dans les 15 secondes.

    Jeudi, Israël aurait adressé un ultimatum de 48 heures au Hamas dans la bande de Gaza pour stopper les tirs ou faire face à une frappe massive israélienne. L’ultimatum aurait été transmis aux dirigeants du Hamas par l’intermédiaire de services de renseignements égyptiens.

    Le Hamas a déclaré que dans le cas d’une escalade, Israël serait « surpris » par son arsenal de roquettes et par sa portée.

    « Nous promettons qu’un seul geste stupide de vos dirigeants constituera un motif suffisant pour mettre toutes vos villes, même celles auxquelles vous ne vous attendez pas, dans les cibles et dans les cendres brûlantes », a déclaré Abou Ubaida, un porte-parole des brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas. Israël peut initier à l’escalade, « mais il ne sait pas comment cela va se poursuivre et comment cela va finir », a-t-il menacé.

    Ubaida a déclaré que la nouvelle arrestation par Israël – lors de l’opération pour trouver les trois adolescents kidnappés puis tués – des prisonniers libérés lors de l’échange de 2011 lié au deal Shalit a « franchi une ligne et nous ne resterons pas silencieux à ce sujet ».

    L’armée israélienne a renforcé ses forces terrestres autour de la bande de Gaza jeudi, alors que les tensions ont continué à augmenter le long de la région frontalière du Sud, ainsi qu’à Jérusalem-Est, où le récent assassinat d’un adolescent musulman, dans ce qui pourrait être une attaque de vengeance suite aux meurtres des adolescents israéliens, a déclenché des émeutes généralisées mercredi.

    Mais cette évolution s’est déroulée en conjonction avec des messages de l’armée visant à revenir au calme. « Nous voulons désamorcer la situation et rétablir le calme », a déclaré le lieutenant-colonel Peter Lerner, qui a décrit ce déploiement dans un but purement défensif.

    Le Hamas, qui a repris les tirs de roquettes apparemment pour la première fois depuis 2012, a échoué dans sa tentative d’enlèvement et d’échanger les adolescents israéliens pour des prisonniers palestiniens, a expliqué Lerner, et a donc été « poussé dans un coin ».

    En Cisjordanie, a-t-il ajouté, la stratégie actuelle de l’armée comprend trois composantes principales : trouver les responsables de l’assassinat de Eyal Yifrach, Gil-ad Shaar, et Naftali Fraenkel ; trouver ceux qui ont tué Mohammed Abu Khdeir, le garçon de 16 ans qui a été enlevé de Beit Hanina mercredi ; et éviter la violence pour le premier vendredi du Ramadan.

    Le chef d’état-major Benny Gantz a demandé aux troupes de « limiter les points de friction » avant les rassemblements de prière de masse de vendredi, a déclaré Lerner.

    Le cabinet israélien, quant à lui, est resté muet sur d’éventuelles opérations anti-Hamas à la suite de l’assassinat des trois adolescents israéliens par des membres du Hamas basés à Hébron.

    Qu’une opération de l’armée israélienne soit imminente, les renforts autour de Gaza sont un message au Hamas – outre la pression de la fermeture de sa frontière avec l’Egypte, un siège de plusieurs années sur sa frontière israélienne et un effondrement de l’économie dans la bande – que l’escalade pourrait signifier des dommages importants pour Gaza et ses dirigeants.

    Les tirs de roquettes à partir de Gaza ont endommagé deux bâtiments de Sderot jeudi matin. Aucun blessé n’a été signalé. L’une des roquettes a frappé le côté d’un bâtiment qui contient une école maternelle, mais n’a pas explosé (les ogives ont été désamorcées). Le système « Dôme de Fer » israélien a abattu deux roquettes tirées depuis Gaza en direction de la ville méridionale de Netivot tôt jeudi matin.

    L’équipe du Times of Israel a contribué à cet article


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    Le meurtre d'un jeune Palestinien à Jérusalem unanimement condamné

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | <time datetime="2014-07-02T07:42:40+02:00" itemprop="datePublished">02.07.2014 à 07h42</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-07-02T16:42:25+02:00" itemprop="dateModified">02.07.2014 à 16h42   </time>lien

     
    <figure>L'adolescent a été kidnappé alors qu'il faisait du stop dans le quartier de Shoafat, à Jérusalem-Est occupé et annexé, et son corps, découvert plusieurs heures après dans la partie ouest de la ville.<figcaption data-caption="L'adolescent a été kidnappé alors qu'il faisait du stop dans le quartier de Shoafat, à Jérusalem-Est occupé et annexé, et son corps, découvert plusieurs heures après dans la partie ouest de la ville. | REUTERS/RONEN ZVULUN">L'adolescent a été kidnappé alors qu'il faisait du stop dans le quartier de Shoafat, à Jérusalem-Est occupé et annexé, et son corps, découvert plusieurs heures après dans la partie ouest de la ville. | REUTERS/RONEN ZVULUN</figcaption></figure>

    Après le meurtre de trois Israéliens en Cisjordanie, un jeune Palestinien de 17 ans a été enlevé à Jérusalem-Est annexée et tué, indique, mercredi 2 juillet, la radio militaire israélienne, qui parle d'« un acte de vengeance présumé ».

    Mohammad Abou Khdeir, âgé de 16 ans, a été kidnappé alors qu'il faisait du stop dans le quartier de Shoafat, à Jérusalem-Est, occupé et annexé. Son corps a été découvert plusieurs heures après « portant des marques de violences » dans la partie ouest de la ville.

    « UN CORPS DANS UNE FORÊT »

    Des Palestiniens ont déclaré qu'ils avaient vu un adolescent poussé à bord d'un véhicule devant un supermarché. Micky Rosenfeld, porte-parole de la policeisraélienne, a déclaré que les forces de l'ordre avaient été prévenues qu'un jeune homme avait été « poussé dans une voiture et peut-être kidnappé ». Des barrages routiers ont été mis en place. La police a découvert plus tard « un corps dans une forêt de Jérusalem et regarde s'il existe un lien » entre les deux événements, a ajouté M. Rosenfeld.

     

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    En début de matinée, des heurts ont éclaté dans le camp de réfugiés de Shuafat. Les incidents, opposant environ 200 Palestiniens à la police israélienne, ont éclaté peu après l'annonce de la mort de Mohammad Abou Khdeir. Les habitants de ce quartier résidentiel se sont pressés aux abords de la maison de la 

    famille Abou Khdeir, mais le rassemblement a rapidement été réprimé par les gardes-frontières israéliens, des scènes rappelant les intifadas (soulèvements) palestiniennes, selon des témoins.

     

    « VOUS PAIEREZ LE PRIX »

    « Notre peuple ne restera pas inerte face à ce crime ni à aucun autre crime d'assassinat, d'incendie ou de démolition commis par les hordes de colons et vous paierez le prix de tous ces crimes », a réagi le mouvement islamiste palestinien Hamas, s'adressant aux dirigeants israéliens « qui en portent la responsabilité directe ».

    Mercredi, la famille de Naftali Frankel, un des adolescents israéliens, a de son côtédéclaré qu'il serait « horrible et méprisable » que Mohammad Abou Khdeir ait été tué pour une vengeance. « Il n'y a pas de différence entre les sangs versés. Un meurtre est un meurtre, quels que soient la nationalité et l'âge. Il n'y a aucune justification, pas de pardon ou d'expiation », ajoute la famille.

    ABBAS VEUT « PRENDRE DES MESURES CONCRÈTES  »

    Le président palestinien, Mahmoud Abbas, a demandé au premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de condamner ce meurtre, comme il l'avait fait lui-même pour les trois jeunes Israéliens, et a appelé Israël à « prendre des mesures concrètes sur le terrain pour arrêter les attaques de colons et le chaos qui résulte de ces agressions ».

    « Le premier ministre s'est entretenu avec le ministre de la sécurité intérieure, Yitzhak Aharonovitch, et a demandé l'ouverture d'une enquête pour retrouver dans les meilleurs délais les auteurs de ce crime abominable et en déterminer le circonstances », a indiqué le bureau de M. Nétanyahou.

    <figure>Des dizaines de milliers d'Israéliens ont assisté mardi aux funérailles des trois jeunes enlevés et assassinés en Cisjordanie occupée.</figure>

    Les trois étudiants d'écoles religieuses de colonies juives Eyal Yifrach, 19 ans, Naftali Frankel et Gilad Shaer, 16 ans tous les deux, avaient été retrouvés morts lundi près de la localité de Halhoul, non loin de la route où ils ont été vus pour la dernière fois faisant de l'auto-stop dans le sud de la Cisjordanie. Des dizaines de milliers d'Israéliens ont assisté à leurs funérailles, mardi.

    Israël, qui a mené mardi une série de raids dans la bande de Gaza, a accusé le mouvement islamiste palestinien Hamas d'être responsable des meurtres. M. Nétanyahou a promis que « le Hamas paiera » pour avoir « kidnappé puis tué »les victimes. Pendant les obsèques, des manifestants scandant « Mort aux Arabes ! » se sont rassemblés dans une rue de Jérusalem.

    Lire l'entretien avec Shlomo Brom, chercheur à l'Institut pour les études sur la sécurité nationale (INSS) : « Le Hamas se trouve dans un moment de faiblesse historique »

    <figure>Un véhicule de la police israélienne à proximité d'un véhicule sur lequel a été peint un slogan xénophobe ("Tous les Arabes sont des ennemis") en hébreu, à Jérusalem-Est, le 23 juin.</figure>
     
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    Abbas accuse les ravisseurs de vouloir "détruire" les Palestiniens

    Publié le <time datetime="2014-06-18 11:26:54" title="mercredi 18 juin 2014 à 11h26">18 juin 2014 à 11h26</time>

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    Jeddah (Arabie saoudite) (AFP)     lien 

     

    Le président palestinien Mahmoud Abbas a accusé mercredi les responsables de l'enlèvement de trois Israéliens, imputé par Israël au mouvement islamiste Hamas, de vouloir "détruire les Palestiniens".

    "Celui qui a enlevé les trois jeunes Israéliens cherche à nous détruire et on va lui demander des comptes", a déclaré M. Abbas à l'ouverture à Jeddah, en Arabie saoudite, d'une réunion de l'Organisation de la coopération islamique (OCI).

    Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a accusé le Hamas, au pouvoir à Gaza, d'avoir enlevé le 12 juin les trois étudiants israéliens près d'un bloc de colonies de Cisjordanie, et répété qu'il tenait M. Abbas pour "responsable de toute attaque émanant d'un territoire sous contrôle palestinien".

    L'Autorité palestinienne de M. Abbas administre les secteurs autonomes en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël et où habitent quelque 375.000 colons dans les implantations israéliennes.

    Israël a poursuivi mercredi son coup de filet contre les activistes du Hamas en Cisjordanie au sixième jour de son opération "Gardien de nos frères" pour retrouver les trois Israéliens. Au total 240 Palestiniens ont été déjà arrêtés, dont 65 dans la nuit de mardi à mercredi.

    Parmi les 65, "figurent 51 ayant fait partie de l'échange Gilad Shalit", a annoncé l'armée israélienne, en allusion au soldat israélien qui avait été libéré en 2011 en échange de centaines de Palestiniens, après avoir été enlevé en 2006 et détenu par le Hamas à Gaza.

    M. Abbas a déjà condamné lundi l'enlèvement des trois Israéliens ainsi que les "violations israéliennes qui ont suivi".

    Par ailleurs, le président palestinien s'est engagé à ne pas recourir aux armes contre les Israéliens. "Il est dans notre intérêt d'avoir une coordination en matière de sécurité avec Israël car cela nous protège".

    "Je le dis franchement, nous n'aurons jamais une autre intifada (soulèvement) qui pourrait nous détruire", a-t-il insisté alors que le processus de paix israélo-palestinien est au point mort.

    © 2014 AFP. Tous droits de reproduction et de représentation réservés. Toutes les informations reproduites dans cette rubrique (dépêches, photos, logos) sont protégées par des droits de propriété intellectuelle détenus par l'AFP. Par conséquent, aucune de ces informations ne peut être reproduite, modifiée, rediffusée, traduite, exploitée commercialement ou réutilisée de quelque manière que ce soit sans l'accord préalable écrit de l'AFP.

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    L'union palestinienne à l'épreuve de

    l'enlèvement

    des trois jeunes Israéliens

     

    Publié le 18.06.2014, 15h34 | Mise à jour : 18h05       lien

     
    Jeddah (Arabie saoudite), 18 juin 2014. Le président palestinien Mahmoud Abbas, ici, à gauche, avec le ministre saoudien de la Défense Salmane ben Abdelaziz Al Saoud, a plaidé en faveur d'une coordination en matière de sécurité avec Israël. 

    Jeddah (Arabie saoudite), 18 juin 2014. Le président palestinien Mahmoud Abbas, ici, à gauche, avec le ministre saoudien de la Défense Salmane ben Abdelaziz Al Saoud, a plaidé en faveur d'une coordination en matière de sécurité avec Israël.  | AFP

     
    L'enlèvement, jeudi 12 juin, de trois jeunes Israéliens va-t-il mettre fin au «gouvernement de consensus» palestinien mis en place dix jours plus tôt ? Longtemps déchirés, les islamistes du Hamas et l'historique Organisation de libération de la Palestine (OLP) avaient décidé, fin avril, degouverner ensemble. <btn_noimpr> </btn_noimpr>Le Hamas a vivement dénoncé les déclarations du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas qui a plaidé, mercredi, en faveur d'une coordination en matière de sécurité avec Israël. L'Etat hébreu, lui, entend tirer parti de l'opération de répression en cours, afin de briser une fragile réconciliation. 

    «Celui qui a enlevé les trois jeunes Israéliens cherche à nous détruire et on va lui demander des comptes», a déclaré par ailleurs le président palestinien à l'ouverture à Jeddah, en Arabie saoudite, d'une réunion de l'Organisation de la coopération islamique (OCI). Il avait déjà condamné lundi l'enlèvement. 

    Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avait accusé le Hamas --qui contrôle sur le plan sécuritaire la bande de Gaza-- d'avoir enlevé  les trois étudiants israéliens et répété qu'il tenait Mahmoud Abbas pour «responsable de toute attaque émanant d'un territoire sous contrôle palestinien». Mais l'enlèvement s'est produit près du Gush Etzion, près d'Hébron, dans une zone entièrement sous contrôle civil et militaire israélien.

    Dans sa traque lancée après l'enlèvement des trois jeunes israéliens, Israël a arrêté mercredi des dizaines de Palestiniens qui avaient été libérés en 2011 dans un échange avec le Hamas contre le soldat Shalit. Au sixième jour de son opération baptisée Gardien de nos frères, l'armée a ainsi capturé dans la nuit de mardi à mercredi 65 Palestiniens, portant à plus de 240 le nombre d'arrestations depuis l'enlèvement le 12 juin. Il s'agit en majorité de militants et dirigeants du parti islamiste, dont le président du Parlement palestinien Aziz Dweik.

    Abbas : «Une autre Intifada pourrait nous détruire»
    Lors de la réunion de l'Organisation de la coopération islamique (OCI), Mahmoud Abbas a déclaré : «Je le dis franchement, nous n'aurons jamais une autre Intifada (soulèvement, Ndlr) qui pourrait nous détruire», a-t-il insisté alors que le processus de paix israélo-palestinien est au point mort. Il a dans, ce contexte, défendu un règlement «politique» du conflit.

    «Nous n'allons pas recourir aux armes et c'est un choix. Nous allons affronter Israël en nous adressant aux tribunes internationales, et cela est plus efficace», a-t-il ajouté. Il a enfin appelé les pays arabes et islamiques à soutenir les habitants de Jérusalem dans leur résistance à «la judaïsation» de la ville sainte par Israël. «Al-Qods (Jérusalem) est en danger», a-t-il mis en garde.

    Les déclarations du président Abbas nuisent «au consensus national et blessent les milliers de prisonniers palestiniens qui font face à une mort lente dans les prisons de l'occupant (israélien)», a estimé un porte-parole du Hamas à Gaza, Sami Abou Zouhri.


    Une occasion pour Israël de démanteler les réseaux du Hamas

    Selon des commentateurs, Israël, déterminé à faire échouer la réconciliation, tire parti de l'opération en cours, son plus important déploiement en Cisjordanie depuis la fin de la deuxième Intifada en 2005, pour y démanteler les réseaux du Hamas. Près de 800 bâtiments ont déjà été fouillés, avec une attention particulière portée aux institutions économiques et sociales du Hamas, parallèlement aux opérations de recherche des trois jeunes Israéliens.

    «Nous avons deux opérations en parallèle, la première vise à ramener les garçons, la deuxième consiste à porter un coup substantiel aux infrastructures et aux institutions terroristes du Hamas», a expliqué mercredi le porte-parole de l'armée, le lieutenant-colonel Peter Lerner, affirmant que l'armée tablait sur le fait que les trois jeunes étaient «toujours vivants». 

    Amnesty International a appelé dans un communiqué à «la libération immédiate et inconditionnelle des trois adolescents israéliens», tout en exhortant Israël à «cesser toutes les mesures constituant un châtiment collectif infligées à la population palestinienne depuis le rapt», notamment le bouclage de Hébron et l'interdiction pour les travailleurs palestiniens d'entrer en Israël.

    VIDEO. Gaza : les factions armées condamnent l'opération israélienne



     

     

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    LeParisien.fr 


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    Raid aérien israélien sur le nord de Gaza, un Palestinien tué

    AFP<time datetime="2014-06-11T22:33:38" itemprop="datePublished" style="color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial; font-size: 13px; background-color: rgb(255, 255, 255);"> 11 JUIN 2014 À 22:33</time>

    <aside> </aside><figure itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">De la fumée s'élève de la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, après une frappe aérienne israélienne, le 13 mars 2014<figcaption itemprop="description">De la fumée s'élève de la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, après une frappe aérienne israélienne, le 13 mars 2014 (Photo Said Khatib. AFP)</figcaption></figure>
     
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    Un Palestinien a été tué et deux autres blessés mercredi soir après un raid aérien israélien sur le nord de la bande de Gaza, ont indiqué les services d’urgence du territoire.

    Deux des victimes -- dont l’homme décédé -- circulaient à moto lors de la frappe israélienne, ont précisé les services d’urgence. Le second blessé est un jeune garçon qui passait à pied à proximité, selon la même source.


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