• Thaïlande: Il glisse sa tête dans la gueule d’un crocodile et se fait mordre


    Créé le 25/07/2013 à 10h10 -- Mis à jour le 25/07/2013 à 12h53
    Capture d'écran d'une vidéo montrant un dresseur de crocodile thaïlandais se faire mordre par un reptile alors qu’il venait de glisser sa tête dans sa gueule.
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    Capture d'écran d'une vidéo montrant un dresseur de crocodile thaïlandais se faire mordre par un reptile alors qu’il venait de glisser sa tête dans sa gueule. 20 MINUTES

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    ACCIDENT - Selon le propriétaire du parc animalier, cet accident est une première...

    Une prise de risque qui tourne mal. Dimanche, un dresseur de crocodile thaïlandais a été mordu par un reptile alors qu’il venait de glisser sa tête dans sa gueule. L'incident a été filmé par des spectateurs et publié sur YouTube.

    Ce jour-là, Pravit Suebmee, un dresseur âgé de 27 ans, se produisait comme d’habitude au Samutprakan Crocodile Farm and Zoo, un parc animalier thaïlandais. Le dresseur, fort de ses huit années d’expérience dans ce domaine, a commencé par frotter le museau du crocodile avec des bâtons, alors que son partenaire, Sao Saengkit, tenait la queue du reptile. Après une prière, il a commencé à insérer sa tête dans sa gueule, une figure très risquée qu'il avait déjà réalisée auparavant. Mais, à ce moment-là, le reptile a refermé sa mâchoire sur lui.

    Seulement quelques traces de morsures

    Pravit Suebmee a eu beaucoup de chance, et ne doit son salut qu'à la présence d’esprit de Sao Saengkit,  qui a immédiatement tiré sur la queue de l'animal pour le forcer à relâcher sa proie. Le dresseur a pu repartir sur ses deux pieds, alors que le croco s’empressait de filer dans son bassin, et n’a que quelques traces de morsures au visage et au cou, selon le Bangkok Post.

    Selon Uthen Youngprapakorn, propriétaire du parc animalier, cet accident est une première au Samutprakan Crocodile Farm and Zoo. Pour Sao Saengkit, le crocodile aurait pu prendre peur quand la main de son partenaire, qui inclinait déjà la tête, a dérapé sur le sol mouillé et est venue toucher le côté de sa gueule.

    >> Regardez la vidéo de l’accident :

       

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    Si la vidéo ne se lance pas, cliquez ici.

    * Bérénice Dubuc

     


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  • Politiques

    Du grabuge au sein de la commission Cahuzac

    <time datetime="2013-07-24T18:38:41+02:00" itemprop="datePublished">24 juillet 2013 à 18:38   </time>lien

    Le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, devant la Commission d'enquête parlementaire, le 16 juillet.

    Le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, devant la Commission d'enquête parlementaire,
    le 16 juillet. (Photo MARTIN BUREAU. AFP)

    La commission d'enquête parlementaire a décidé, à la majorité, de ne pas entendre le Premier ministre. En réaction, les membres UMP de la commission suspendent leur participation.

    La majorité socialiste de la commission d’enquête parlementaire sur l’affaire Cahuzac a rejeté mercredi la demande de certains de ses membres d’entendre le Premier ministre.

    La veille, l’absence de «souvenir» de l’ancien ministre du Budget concernant un échange le 16 janvier à l’Elysée avec le président François Hollande, Jean-Marc Ayrault et le ministre de l’Economie Pierre Moscovici avait conduit des membres UMP de la commission d’enquête à réitérer leur demande d’audition du chef du gouvernement.

    Selon un membre socialiste de la commission, la décision de ne pas auditionner Jean-Marc Ayrault a été prise par dix voix contre huit. Le président des députés UMP, Christian Jacob, a annoncé ensuite que les membres UMP de la commission «suspendaient» leur participation aux travaux de celle-ci. «Une petite opération politique» a jugé Alain Claeys, rapporteur PS de la commission interrogé par Libération. «Tout cela fait peut-être partie d’une posture.»

    La commission a également rejeté la demande d’audition commune de Cahuzac et Moscovici qu’avaient également formulé les membres UMP de la commission. Ce rejet a été acquis à une plus large majorité, les membres UMP ayant quitté la salle à ce moment en guise de protestation.

    Divergences entre les versions Cahuzac et Moscovici

    Selon un membre socialiste de la commission, la décision de ne pas auditionner Jean-Marc Ayrault a été prise par dix voix contre huit. Le président des députés UMP, Christian Jacob, a annoncé ensuite que les membres UMP de la commission «suspendaient» leur participation aux travaux de celle-ci.

    Cette demande d'une audition de Ayrault faisait suite à l'audition de l'ancien ministre du Budget. Jérôme Cahuzac a affirmé mardi, devant la commission d'enquête parlementaire sur son affaire de fraude fiscale, n'avoir «aucun souvenir» d'une réunion le 16 janvier dans le bureau de François Hollande sur un possible compte bancaire en Suisse. Ajoutant n'avoir pas souvenir non plus d'un échange à l'issue du conseil des ministres à la même date. «Selon moi, cette réunion n'a pas eu lieu», a-t-il ajouté.

    Cahuzac répondait à une question sur une réunion évoquée par le ministre de l'Économie Pierre Moscovici, au cours de laquelle ce dernier aurait en présence de Cahuzac informé le président de la République et le Premier ministre Jean-Marc Ayrault de la possibilité de demander à la Suisse si le ministre avait détenu un compte dans ce pays. Selon le ministre de l’Économie, Cahuzac s’était alors montré «serein» et avait «demandé que la demande puisse couvrir la période la plus large possible».

    Lors de cette audition, le 16 juillet, Moscovici, qui parlait sous serment, a confirmé l’existence de cette rencontre à quatre, révélée par la journaliste Charlotte Chaffanjon dans un ouvrage publié le 4 juillet et intitulé Jérôme Cahuzac Les yeux dans les yeux. A la demande des députés, il a précisé qu’elle avait eu lieu dans une pièce attenante à la salle du conseil des ministres, et non pas dans le bureau présidentiel comme l’a écrit la journaliste.
     

    A plusieurs reprises mardi, Cahuzac a affirmé ne «pas avoir souvenir» d'une conversation à l'issue du conseil des ministres, comme décrite par son ministre de tutelle. «Nous n'avons pas les mêmes souvenirs», a-t-il dit, comme on lui demandait s'il contestait les propos de Moscovici.

    Une telle rencontre met, selon des membres de la commission, en doute la réalité de la «muraille de Chine» qui aurait été érigée dès le 10 décembre autour du ministre délégué au Budget pour l'écarter de tous les développements concernant les révélations du site Mediapart le 4 décembre sur un compte caché en Suisse. Mais pour le rapporteur de la commission, Alain Claeys, les choses sont claires : «Les déclarations de Moscovici et le livre de votre consœur montrent que cette réunion s’est tenue et qu’on en connaît parfaitement les termes.» Inutile donc, à ses yeux, de convoquer Ayrault. «Reste un certain nombre de sujets (comme par exemple, les termes de la demande d'entraide fiscale, ou sur la possible instrumentalisation qui en a été faite avec l’arrivée d’éléments dans la presse – je pense notamment au JDD. On doit pouvoir y travailler et y voir clair.»

    La commission a également rejeté la demande d’audition commune de Cahuzac et Moscovici qu’avaient également formulé les membres UMP de la commission. Ce rejet a été acquis à une plus large majorité, les membres UMP ayant quitté la salle à ce moment en guise de protestation.


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    Des "apéros" à répétition dans les locaux

    de la police municipale de Cogolin

    le Mercredi 17 Juillet 2013 à 07:15 mis à jour à 12:48
    Par Ouafia Kheniche, Laurent Gauriat

    A u local de la police munipale de Cogolin, tout est prétexte à boire quelques verres © Maxppp

    Dans le Var, des policiers municipaux sont dans le viseur de la justice. Les agents de la police municipale de Cogolin auraient tendance à multiplier les "apéros". Une enquête de l'IGPN a été diligentée.

    Le poste de police avait tout d'un bistrot. "Ne manquait plus que la licence 4 pour écouler la cinquantaine de bouteilles stockées dans les casiers" affirme le délégué syndical local de Force ouvrière. "Tout était prétexte à boire quelques verres", selon lui.

    D'ailleurs, la réputation de bons vivants des cadres avait largement franchi les murs de la ville. Frédéric Foncel, secrétaire général du syndicat national des policiers municipaux Force ouvrière, dénonce ces beuveries et demande une autorité de contrôle. "Il n'y a pas de garde-fou en police municipale."

    "Aujourd'hui, ça continue à dériver"

    "Hier c'était Biarritz, avant-hier Levallois ou Nantes, aujourd'hui Cogolin...Quand est-ce que le ministère de l'Intérieur va comprendre qu'il faut un service de contrôle et une commission nationale de contrôle pour la police municipale ? Moi, je n'aimerais pas tomber sur ce genre d'individus en patrouille avec mes enfants et je ne vous le souhaite pas à vous non plus".

    Pour enfoncer le clou, ce délégué syndical ajoute que mi-juin, le chef de la police municipale de Cogolin s'est vu retirer son permis de conduire lors d'un contrôle routier. Il était en tournée et au volant de sa voiture de fonction.  

    Par Ouafia Kheniche, Laurent Gauriat


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  • 14 Juillet : le compagnon de Cécile Duflot «fier» d'avoir boycotté le défilé

     

    Publié le 14.07.2013, 16h06 | Mise à jour : 22h00   lien

    ARCHIVES.Xavier Cantat, militant actif d'EELV et compagnon de la ministre du Logement Cécile Duflot, s'est dit « fier » sur Twitter d'avoir boycotté le défilé du 14 Juillet, déclenchant une véritable bronca sur le réseau social.

    ARCHIVES.Xavier Cantat, militant actif d'EELV et compagnon de la ministre du Logement Cécile Duflot, s'est dit « fier » sur Twitter d'avoir boycotté le défilé du 14 Juillet, déclenchant une véritable bronca sur le réseau social. | PHILIPPE WOJAZER / POOL / AFP

    Zoom

     

    Dans un pays où 91% des Français font confiance à learmée, selon un sondage publié ce dimanche par «Le Journal du Dimanche» ,il ne fait pas bon la critiquer. Xavier Cantat, actif d'EELV et compagnon de la ministre du Cécile Duflot en a fait l'expérience ce dimanche. Se disant « fier » sur Twitter d'avoir boycotté le défilé du 14 Juillet, le frère de l'ancien leader de Noir Désir a déclenché une véritable bronca sur le réseau social. Dans la soirée, Jean-Vincent Placé, sénateur EELV a de son côté defendu ce défilé, qu'Eva Joly voulait pourtant abolir il y a deux ans...

    Il faut dire que Xavier Cantat n'y est pas allé de main morte. Dès le matin, il a publié plusieurs tweets moqueurs, voire antimilitaristes.


    Volontiers provocateur il a ensuite annoncé sa « fierté » de ne pas être allé assister au défilé aux côtés de la ministre dont il partage la vie.
    Xavier Cantat @xaviercantat

    Auj on fête sur les Champs Elysées le centenaire de la dernière année de paix avant la Grande Boucherie des revanchards


    Xavier Cantat @xaviercantat

    Fier que la chaise à mon nom reste vide au défilé de bottes des Champs Elysées


    Xavier Cantat @xaviercantat

    Sur @France2tv la glorification de l'armée française,sur @France3tv Titi et Grosminet mènent l'enquête . J'hesite


    Un tweet qui est resté en travers de la gorge de nombreux internautes, qui ne se sont pas privés de lui faire savoir, parfois violemment, entraînant un sympathique échange de politesses avec Xavier Cantat.

    koz @koztoujours

    .@xaviercantat ce serait bien la première fois qu'un Cantat aurait les honneurs de la République.

    @koztoujours Pauvre connard!Mon père a la Légion d'Honneur,lui




    Grégoire Piras @Gregprs

    Checkez le compte de @xaviercantat c'est juste à mourir de rire, entre démago et gaucho attardé

    @Gregprs Mais t'as quelle âge toi pour parler d'adolescent attardé?:-)



    Une polémique qui n'est pas sans rappeler la sortie d'Eva Joly en 2011, quand, candidate EELV à la présidentielle, elle avait proposé d'abolir le défilé du 14 juillet, cultivant selon elle une nostalgie guerrière nauséabonde. Cette idée, qui n'est pourtant pas nouvelle dans le mouvement écologique, avait provoqué une levée de bouclier, à droite comme à gauche.

    Placé défend le défilé, mais ne 
    Du côté des Verts, on ne s'est pas bousculé pour défendre Xavier Cantat, et le chef de file des sénateurs écologistes Jean-Vincent Placé a même défendu dimanche le défilé du 14 juillet soulignant que ce n'était «pas un évènement militariste» mais «la commémoration de la fête de la fédération de 1790». «C'est un beau défilé» avec «pour la première fois le service civique qui est présent», a-t-il aussi souligné, mettant en avant le côté «vraiment digne» de cet évènement alors que «nos troupes sont intervenues au Mali, où des soldats français sont morts».

    «Heureusement que dans ce pays on a bien sûr notre armée, et heureusement aussi nos sapeurs pompiers, notre gendarmerie, notre police» face à des drames comme l'accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge (Essonne), a-t-il poursuivi. Il  n'a en revanche pas souhaité commenter les propos de Xavier Cantat.  «Je me tiens à une ligne très précise, c'est que je ne commente pas les tweets des compagnons des responsables politiques, je m'occupe de ce que disent les responsables politiques», a expliqué le sénateur.

    LeParisien.fr


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  • La Colombie expulse un trafiquant de drogue italien

    Créé le 06/07/2013 à 18h27 -- Mis à jour le 06/07/2013 à 19h45
    Deux policiers colombiens encadrent l'Italien Roberto Pannunzi, arrêté à Bogota le 5 juillet 2013
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    Deux policiers colombiens encadrent l'Italien Roberto Pannunzi, arrêté à Bogota le 5 juillet 2013 - Police colombienne

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    Bogota - Le gouvernement colombien a expulsé le chef de la mafia italienne Roberto Pannunzi, considéré comme le plus grand trafiquant de cocaïne du monde, quelques heures seulement après son arrestation vendredi à Bogota, a appris l'AFP samedi de source policière.

    "Il a été expulsé vendredi à 22H00, heure locale (samedi à 03H00 GMT), et devrait arriver en Italie à 20H00" (18h00 GMT), a précisé cette source sans fournir davantage de détails sur l'expulsion de Pannunzi, que les autorités colombiennes ont présenté comme "le trafiquant de drogue le plus recherché d'Europe".

    Son arrestation, réalisée au cours d'une opération de police commune de la Colombie avec l'Agence américaine de lutte contre la drogue (DEA), a eu lieu dans un centre commercial situé dans le nord de la capitale colombienne.

    Au moment de sa capture, Pannunzio était porteur d'une fausse carte d'identité vénézuélienne au nom de Silvano Martino, selon le ministère de la Défense.

    Le directeur de la police colombienne, le général José Roberto León, a révélé samedi au cours d'une conférence de presse que Pannunzi "faisait l'objet d'une surveillance constante" à la demande des autorités italiennes.

    Il a précisé que l'expulsion rapide du trafiquant de drogue avait eu lieu à la "demande express" du gouvernement italien.

    Selon les autorités colombiennes, l'Italien faisait l'objet de quatre mandats d'arrêt pour trafic de drogue et association criminelle avec la mafia.

    "Il est réclamé par la justice italienne par le biais d'une circulaire rouge d'Interpol", a déclaré le ministère.

    Pour sa part, la police a indiqué samedi dans un communiqué que Pannunzi "était considéré comme l'un des principaux acteurs de l'organisation criminelle italienne appelée la 'Ndrangheta' (qui opère en Calabre, dans le sud de l'Italie), laquelle a diverses ramifications à l'étranger".

    "Il est signalé également comme ayant introduit deux tonnes de cocaïne par mois en Europe", ajoute la police, précisant qu'il est un intermédiaire dans le secteur du trafic de drogue international et qu'il travaille pour les cartels les plus importants du crime organisé en Italie, en particulier ceux de Calabre".

    © 2013 AFP

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