• François Hollande «a stoppé le déclin», assure Cambadélis

     

    Publié le 04.05.2014, 12h21 | Mise à jour : 12h53    lien

     Â«On est à la mi-temps du quinquennat et on peut constater que tout ce qui était en place à la fin du quinquennat Sarkozy, toutes les difficultés, ont été affrontées.»

     «On est à la mi-temps du quinquennat et on peut constater que tout ce qui était en place à la fin du quinquennat Sarkozy, toutes les difficultés, ont été affrontées.» | DR

     

    <btn_noimpr></btn_noimpr><btn_noimpr></btn_noimpr>

    Le patron du PS colle à la ligne du président de la République. Alors que ce dernier déclare dans la presse ce dimanche matin croire au «retournement économique», Jean-Christophe Cambadélis affirme au Grand Rendez-Vous Europe 1/iTélé/ Le Monde que François Hollande «a stoppé le déclin. <btn_noimpr> </btn_noimpr>»

    Le premier secrétaire du parti compare le mandat présidentiel à un match. «On est à la mi-temps du quinquennat et on peut constater que tout ce qui était en place à la fin du quinquennat Sarkozy, toutes les difficultés, ont été affrontées. Pas toutes surmontées, mais affrontées». Alors que les sondages catastrophiques prouvent la déception générale des Français à l'égard du président de la République, il défend au contraire son action, en assurant qu'il a tenu ses engagements. 

    «La première partie du quinquennat - il l'avait dit au départ - c'était pour stopper le déclin, essayer d'assainir la situation, créer les conditions d'une remontée de la France, dans la justice. C'est très exactement ce qu'il fait aujourd'hui.»

    Cambadélis souhaite que Hollande se représente

    Dans le même temps, il reconnaît que tout ne se passe pas comme prévu. «Il n'est pas autosatisfait, car il voit que cela a du mal à fonctionner aussi rapidement que les Français le souhaiteraient et que lui-même le souhaiterait.» Pas de quoi pour autant dévier de la ligne : le président est «confiant dans le fait que la politique qu'il mène est une politique de protection des Français, quand on voit ce qu'il se passe dans les autres pays ou les demandes de l'UMP comme plan d'austérité: 130 milliards d'économies et un million de fonctionnaires en moins.»

    Le premier secrétaire du PS souhaite que François Hollande poursuive son action au delà de 2017 : «La réussite de la France et de la gauche, c'est François Hollande qui se représente.» 

    VIDEO. Jean-Christophe Cambadélis sur Europe 1/iTélé

     

    LeParisien.fr


    votre commentaire
  • <header style="margin: 0px 0px 1em; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box; font-family: Georgia, serif; font-size: 16px; background-color: rgb(255, 255, 255);">

    Jérôme Cahuzac : entrer au gouvernement, "l'erreur de ma vie"

    <time style="margin: 0px; padding: 0.6em 1em; border: 0px; list-style: none; vertical-align: top; display: inline-block; width: 19em; font-size: 0.75em; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; box-sizing: border-box;">Publié le 22-04-2014 à 20h43     lien </time>

    Dans une interview donné au magazine "Vanity Fair", Jérôme Cahuzac, ancien ministre du Budget, confie avoir fait une "énorme connerie" en ouvrant un compte en Suisse.

    </header>
    <figure id="ultimedia_image" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;">L'ex-ministre du Budget Jérôme Cahuzac, lors de son audition par la Commission d'enquête de l'Assemblée le 26 juin 2013 WITT/SIPA L'ex-ministre du Budget Jérôme Cahuzac, lors de son audition par la Commission d'enquête de l'Assemblée le 26 juin 2013 WITT/SIPA</figure>
    <aside class="top-outils" style="margin: 0px 0px 1.5em; padding: 0.5em 0px; border-width: 0px 0px 1px; border-bottom-style: solid; border-bottom-color: rgb(204, 204, 204); list-style: none; box-sizing: border-box;">
    </aside><aside class="inside-art" style="margin: 0px 0px 0px 1em; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; width: 200px; float: right; box-sizing: border-box;"><section class="social-buttons js-share-tools" style="margin: 0px; padding: 0px 0px 1em; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;"><header style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; font-size: 0.8em; font-family: raleway-medium, sans-serif; text-transform: uppercase; box-sizing: border-box;">PARTAGER</header>
     
    </section><section class="obs-article-brelated" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;">

    À LIRE AUSSI

    </section></aside>

    Plusieurs mois qu'il garde le silence. Dans le numéro de Vanity Fair qui paraîtra mercredi 22 avril, Jérôme Cahuzac tente de se confesser, et admet avoir commis une "énorme connerie" en ouvrant son compte en Suisse. Mais pour l'ancien ministre du Budget, la vraie "erreur" de sa vie a été d'accepter, dans ces conditions, d'entrer au gouvernement.

    L'ex-ministre, à l'origine du premier grand scandale du quinquennat de François Hollande, revient notamment dans cette interview sur les raisons qui l'ont poussé à ouvrir un compte bancaire. Une activité qui remonte au début des années 1990, lorsqu'il s'est lancé dans les implants capillaires tout en menant des missions de consultant pour des laboratoires pharmaceutiques.

    "Très vite, j'ai gagné bien plus qu'auparavant. Je ne savais pas quoi faire de cet argent (...) et une partie des clients de la clinique - surtout les étrangers - voulaient payer en espèces. Je me suis dit qu'avec un compte en Suisse je serais tranquille. J'ai été complètement inconscient", raconte-t-il.

    Pas "un homme d'argent"

    Mais Jérôme Cahuzac n'y voit pas le tournant de sa vie. Et il assure avoir "tenté", "à cinq ou six reprises", de se "débarrasser" du compte, butant à chaque fois sur le "même obstacle : la rupture de l'anonymat". Finalement, lorsqu'il transfère les fonds à Singapour en 2009, ce n'est pas "pour protéger l'argent mais pour que rien ne se sache jamais", insiste-t-il.

    Au passage, ce chirurgien prêté à la politique affirme n'avoir "jamais été un homme d'argent". "Dans ma vie, tous mes choix ont abouti à me faire gagner moins d'argent que j'aurais pu", dit-il.

    Le vrai tournant, aux yeux de Jérôme Cahuzac, c'est donc lorsqu'il accepte en mai 2012 de devenir ministre délégué au Budget. "C'est à ce moment-là que je fous ma vie en l'air. J'aurais dû répondre non (...) Rien ne serait sorti, le temps que je trouve enfin une solution pour me débarrasser de cette saleté de compte."

    Du scandale à la démission

    Les mois de sa chute politique, depuis les révélations du site d'informationMediapart sur l'existence du compte, le 4 décembre 2012, ses dénégations aussi immédiates que catégoriques, jusqu'à sa démission après l'ouverture d'une information judiciaire le 19 mars 2013 puis ses aveux du 2 avril,Jérôme Cahuzac les décrit comme un calvaire: enfermé dans le mensonge, il raconte son ulcère, ses insomnies, les journées de travail "pour éloigner les terreurs de la nuit".

    Mais il ne dissimule pas un sentiment d'injustice. "J'ai construit ma viepolitique de façon scrupuleusement honnête", avance-t-il. "Je ne peux pas accepter de laisser tout détruire à cause d'une imbécillité qui date d'il y a vingt ans..."


    votre commentaire
  •  

    Pakistan : un bébé de neuf mois

    accusé de tentative de meurtre !

     

    Publié le 04.04.2014, 14h56 | Mise à jour : 18h02    lien 

    Illustration. Accusé de «tentative de meurtre» par un policier, un bébé de neuf mois a comparu devant un tribunal de Lahore ce vendredi au Pakistan.

    Illustration. Accusé de «tentative de meurtre» par un policier, un bébé de neuf mois a comparu devant un tribunal de Lahore ce vendredi au Pakistan. | AAMIR QURESHI/AFP

    Zoom
     
    Ce n'est malheureusement pas une blague. Un  pakistanais a été suspendu pour avoir soupçonné de  un bébé de neuf mois et forcé le poupon à comparaître devant les tribunaux, ont annoncé vendredi des responsables.

    Le bébé, nommé Mohammad Musa, avait été arrêté début février avec d'autres membres de sa famille pour «avoir lancé des pierres» à des représentants d'une compagnie de gaz naturel qui menaient une opération pour traquer des personnes piratant des compteurs de gaz dans les faubourgs de Lahore (est). <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px;">
     
    </btn_noimpr>

    Dans son rapport, l'officier de police Kashif Muhammad avait qualifié ces gestes de tentative de, forçant une trentaine de personnes à comparaître jeudi, incluant le bébé qui, perturbé, pleurait sur l'épaule de son grand-père, Muhammad Yasin.

    «Tout le monde au tribunal se demandait comment un enfant aussi jeune peut-il être impliqué dans une telle affaire judiciaire? Quel genre de police avons-nous», s'est indigné le grand-père qui donnait un biberon à son petit-fils en répondant aux questions des reporters après l'audience.

    Le grand-père, Muhammad Yasin, a accusé la police d'avoir fabriqué les charges contre les accusés parce qu'elle était de connivence avec une famille rivale qui souhaitait les voir expulser de leur terrain et avait obtenu une instruction pour que le gaz leur soit coupé. «Des policiers et des responsables de la compagnie du gaz sont arrivés sans préavis et ont commencé à enlever les compteurs de gaz des maisons», a raconté Muhammad Yasin. «Les gens ont commencé à protester et à bloquer la rue, mais ils ont mis fin à leur protestation lorsque des chefs de la police sont arrivés et leur ont assuré qu'ils ne subiraient aucune injustice. Mais plus tard nous avons découvert que des poursuites avaient été engagées contre nous», a-t-il dit.

    Nouvelle comparution du bébé dans une semaine

    Le juge a ordonné la suspension de l'officier de police en cause et la libération du bébé. Une libération sous caution selon The News of Lahore. L'enfant devrait toutefois comparaître une nouvelle fois, la semaine prochaine, dans cette affaire. «La cour aurait dû simplement acquitter cet enfant innocent car l'âge minimum de la responsabilité criminelle est de sept ans», a déclaré Chaudhry Irfan Sadiq, l'avocat de la famille.

    En réalité, le Pakistan avait fait passer l'an dernier de sept à douze ans, sauf dans les cas de terrorisme, l'âge minimum pour juger une personne responsable d'un crime. 

    Cette affaire «expose au grand jour l'incompétence de notre police et la manière dont elle fonctionne», a déclaré l'avocat de la famille.
     

    <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr><btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr>

    LeParisien.fr 


    votre commentaire
  • <article class="fig-container fig-article fig-article-has-source" id="20140321FILWWW00348" itemprop="mainContentOfPage" itemscope="" itemtype="http://schema.org/Article" style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); margin: 0px auto; padding: 0px; border: 0px; font-family: DroidSansRegular, Verdana, sans-serif; font-size: 10px; line-height: 10px; vertical-align: baseline; position: relative; clear: both; max-width: 1000px; width: 1000px; background-color: rgb(255, 255, 255); -webkit-box-shadow: rgba(50, 50, 50, 0.298039) 0px 3px 5px; box-shadow: rgba(50, 50, 50, 0.298039) 0px 3px 5px; color: rgb(51, 51, 51);">

    A son tour, Fillon s'adresse

    "aux Français"

  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  • Par 
  • Mis à jour <time data-ago="il y a 11 minutes" data-original="le 21/03/2014 à 18:42" datetime="2014-03-21T18:42:03+01:00" itemprop="dateModified" style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline;">le 21/03/2014 à 18:42</time>
  •  Publié <time data-ago="il y a 17 minutes" data-original=" le 21/03/2014 à 18:36" datetime="2014-03-21T18:36:20+01:00" itemprop="datePublished" style="font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; color: rgb(102, 102, 102); text-align: center; -webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; vertical-align: baseline;">le 21/03/2014 à 18:36 </time>lien 

    Dans une « lettre » postée sur son blog, l'ancien premier ministre 
    François Fillon s'adresse à son tour « aux Français » au lendemain de 
    la publication de la tribune de Nicolas Sarkozy, et un peu plus de 24h
    avant le premier tour des municipales. « Alors que le peuple français
    va s'exprimer dimanche pour la première fois depuis 2012, la France
    offre le spectacle inquiétant d'une démocratie mal en point »,
    relève-t-il en guise d'introduction.

    L'UMP manie l'anaphore, comme l'avait fait avant lui le candidat socialiste en 2012 –« Moi président » -, mais cette fois pour relayer,
    à l'avant-veille du premier scrutin depuis les présidentielles, la « colère »
    des Français : « Colère contre le chômage de masse [Â…].Colère contre
    une fiscalité étouffante [Â…].Colère contre l'échec de l'intégration et la
    décomposition de notre modèle républicain. Colère contre un
    gouvernement discrédité [Â…].Colère contre une vie politique qui
    se délite [Â…]. » Il dénonce également « l'instrumentalisation de la
    justice », faisant sans doute référence à la mise sur écoute de
    l'ancien président, qu'il ne nomme pas une seule fois dans son billet.

    François Fillon exhorte les Français à orienter leur colère vers « un vote
    constructif », pointant le danger des extrémismes, dont il brocarde les
    « solutions illusoires et dangereuses qui entraîneraient notre pays vers
    les ravins.» Il accuse François Hollande d'encourager la progression du
    FN pour permettre, par contrecoup, l'élection des candidats de gauche.
    L'ex-premier ministre conclut en demandant aux Français leur confiance: « Pendant ces semaines de campagne, je me suis attaché à apaiser et à rassembler pour convaincre nos
    concitoyens que nous serons, demain, capables de redresser la France.
    C'est avec la conscience que notre famille
    politique a encore beaucoup à prouver que je sollicite, au nom de tous
    nos candidats, la confiance d'un peuple qui gronde. »

    En septembre dernier, et presqu'un an après la bataille qui l'avait
    opposé à Jean-François Copé pour la direction de l'UMP, François Fillon
    avait semé la confusion au sein de son propre camp en appelant à voter
    « pour le moins sectaire » dans l'hypothèse d'un duel PS/FN
    aux municipales.
     
    </article>

    <aside class="fig-article-auteur" id="auteur" style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); margin: 0px; padding: 18px 16px; border: 1px solid rgb(204, 204, 204); font-family: inherit; font-size: 1.2rem; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: 1.28571; vertical-align: baseline; background-color: rgb(247, 247, 247);">
    </aside>

votre commentaire
  • Le dos nu qui fait scandale en Belgique

    <nav class="nav_filariane"> </nav>

    <header>

    Le dos nu qui fait scandale en Belgique

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-02-19T22:44" itemprop="datePublished" pubdate=""> 19/02/2014 à 22:44</time>

    Une émission de télévision belge, qui dévoile le dos dénudé du Premier ministre Elio di Rupo, fait polémique. Les commentateurs wallons se déchaînent.

    lien

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">

    Le Premier ministre belge Elio di Rupo est plus connu pour ses noeuds papillon que sa chute de rein. Et pourtant, c'est bien son dos nu qui fait polémique...

    <figcaption>

    Le Premier ministre belge Elio di Rupo est plus connu pour ses noeuds papillon que sa chute de rein. Et pourtant, c'est bien son dos nu qui fait polémique... © BENOIT DOPPAGNE / BELGA MAG / BELGA / AFP

    </figcaption></figure></header>

    Jamais un dos n'aura tant fait parler. Celui du Premier ministre belge, Elio di Rupo, déchaîne en tout cas les passions chez nos voisins du Nord, comme le souligne Europe 1. Et pourtant, le chef du gouvernement est plus connu pour ses noeuds papillon rouges que sa chute de reins. Dans le teaser de l'émission Kroost, connue pour révéler l'intimité des hommes politiques et diffusée par la télévision flamande "Vier", on aperçoit furtivement le chef du gouvernement de dos, en train de retirer sa chemise.

     © DR Capture d'écran Twitter

    Une séquence d'à peine trois secondes, mais qui n'a pas manqué d'entraîner des analyses très poussées. Le rédacteur en chef du Vif/L'Express y voit une opération séduction pour la Flandre, traditionnellement plus réticente aux hommes politiques wallons. "Dans le fait de montrer ce dos, c'est la symbolique (...) d'un type en top condition. Alors qu'il est censé représenter, en Flandre, -c'est la N-VA (NDLR: parti majoritaire) qui le répète-, tout ce qu'il y a de pire en Wallonie, puisqu'il est socialiste : le laisser-aller, l'ankylosé, le boursoufflé, le périmé", analyse Thierry Fiorilli.

    "C'est le summum de l'indécence"

    "Elio Di Rupo se met à poil à la télé : C'est scandaleux", titrait de son côté RTL TVI le 16 février. Les chroniqueurs et animateurs de la station n'y sont pas allés de main morte dans leurs commentaires, alors que la campagne électorale pour les législatives bat son plein. "Est-ce qu'il accepte de faire ça pour la télévision flamande et pour un public flamand ? Je pense qu'il ne le ferait pas chez nous", avance l'animateur de l'émission, Georges Huercano.

    Une journaliste du Soir, Emmanuelle Praet, est choquée pour sa part de la peopolisation de la vie politique : "C'est le summum de l'indécence. Pourquoi un Premier ministre a besoin de se mettre à poil pour faire parler de lui ? Quel est le message politique ?"

    Le porte-parole d'Elio di Rupo a justifié la scène en expliquant que les images ont été tournées le jour de la fête nationale belge, le 21 juillet. Le Premier ministre aurait profité d'une pause pour se rafraîchir et changer de chemise.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique