• Dernière modification : 01/11/2013 

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    Les Taliban pakistanais confirment la mort

    de leur chef Hakimullah Mehsud

    Les Taliban pakistanais confirment la mort de leur chef Hakimullah Mehsud

    Le chef du mouvement des Taliban pakistanais, Hakimullah Mehsud, a été abattu par un drone américain vendredi au Pakistan, selon les services de sécurité. Une source des Taliban a confirmé l’information.

    Par FRANCE 24 (texte)
     

    Hakimullah Mehsud, leader du mouvement des Taliban pakistanais, opérant au Waziristan du Sud, aurait été tué à la suite d’une frappe menée par un drone américain, vendredi 1er novembre, au Pakistan, selon plusieurs services de sécurité.

    "Nous pouvons confirmer que Hakimullah Mehsud a été tué dans un tir de drone", avait déclaré plus tôt un haut responsable de la sécurité.

    La mort de ce responsable clé des Taliban au Pakistan, également connu sous le nom de Zulfiqar, a déjà été annoncée à plusieurs reprises. L’information de vendredi a été confirmée par une source au sein de la mouvance islamiste, qui a  précisé que ses funérailles se tiendraient samedi 2 novembre à 15h, heure locale, à Miranshah, la principale localité de la région.

    La veille, le Premier ministre pakistanais, Nawaz Sharif, en visite à Londres, avait annoncé au gouvernement britannique que des discussions avaient été engagées avec le Tehrik-e-Taliban Pakistan [TTP], le mouvement des Taliban pakistanais.


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  • VIDEO. Attentat en Russie : Les images d'une vidéo amateur sur WAT.tv

    Une kamikaze fait sauter un bus

    en Russie : les images

    Nicoals FERTIN par avec
    le 21 octobre 2013 à 13h40 , mis à jour le 21 octobre 2013 à 20h05.
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    <aside class="sz12 tag c1 aside166896 ombre1">lien </aside> </section>

    EuropeUn engin a explosé dans un bus de la ville de Volgograd ce lundi. Selon un dernier bilan, au moins six personnes sont mortes. Une vingtaine de personnes sont en outre blessées, dont sept sont dans un état grave.

     

     

    Six personnes ont été tuées ce lundi lors d'un attentat suicide commis par une passagère d'un bus à Volgograd, grande ville industrielle du sud de la Russie, rapportent les autorités. Il s'agit de l'attentat le plus meurtrier en près de trois ans en Russie, hormis dans la région du Nord-Caucase où sont actifs des séparatistes islamistes. Il a été attribué par les enquêteurs fédéraux à une femme de 30 ans, nommée Naïda Asiyalova et originaire du Daguestan, épicentre de l'insurrection.

    "Cette femme est montée dans le bus à un arrêt et l'explosion s'est produite presque immédiatement", a expliqué Vladimir Markine, porte-parole du Comité d'enquête fédéral. "Les passagers survivants ont confirmé cela." L'attaque, qui a fait en outre 32 blessés dont huit dans un état grave, a été menée quatre mois avant les Jeux olympiques d'hiver de 2014 à Sotchi, sur la mer Noire, que sa proximité avec le Nord-Caucase rend vulnérable à d'éventuelles nouvelles actions de ce type.

    Le président Vladimir Poutine a demandé aux autorités de renforcer les mesures de sécurité dans la région en prévision des JO. La télévision publique a montré des images filmées par une caméra installée sur le tableau de bord d'un véhicule qui suivait le bus. On y voit une explosion projetant des éclats de verre et de métal et des passagers du bus sautant par les portes et les fenêtres lorsqu'il s'est arrêté.
     
    L'attentat n'a pas été revendiqué

    "Il y a eu une explosion, une détonation, et tout le verre a volé hors de la fenêtre", a raconté Ivan, un automobiliste qui suivait le bus, à la chaîne publique Rossiya-24. "Le nuage de fumée s'est vite dissipé, et j'ai alors vu des gens tomber et courir pour s'échapper du bus. C'était une vision d'horreur." L'attentat n'a pas été revendiqué.

    Volgograd, qui compte environ un million d'habitants, se trouve à 900 km au sud-est de Moscou et à quelques centaines de kilomètres au nord du Nord-Caucase et de Sotchi. Les insurgés du Nord-Caucase, qui souhaitent créer un Etat islamique dans cette région, ont revendiqué ces dernières années un attentat suicide à la bombe qui a tué 37 personnes à l'aéroport de Moscou en 2011, et deux attentats simultanés dans le métro de la capitale en 2010, qui ont fait 40 morts.

    L'attaque du métro avait été menée par des femmes, surnommées les "veuves noires" en Russie, car leurs époux et leurs proches masculins ont souvent été tués par les forces russes. En 2002, des femmes tchétchènes, qui portaient des ceintures d'explosifs, avaient participé à une prise d'otages dans un théâtre de Moscou, à l'issue de laquelle 130 personnes avaient été tuées après un assaut des forces de sécurité.


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  • 16 Octobre 2013 - 17H22  lien

    Pakistan: un ministre tué dans un attentat sanglant

    Le ministre de la Justice de la province pakistanaise instable du Khyber Pakhtunkhwa, un refuge de talibans près de la frontière afghane, a perdu la vie dans un attentat suicide ayant fait au moins huit morts au premier jour au Pakistan de l'Aïd al-Adha, la fête musulmane du sacrifice, ont annoncé les autorités. 

    Le ministre de la Justice de la province pakistanaise instable du Khyber Pakhtunkhwa, un refuge de talibans près de la frontière afghane, a perdu la vie dans un attentat suicide ayant fait au moins huit morts au premier jour au Pakistan de l'Aïd al-Adha, la fête musulmane du sacrifice, ont annoncé les autorités. 

    Infographie localisant Dera Ismaïl Khan où un kamikaze s'est fait exploser à côté d'un ministre de la province du Khyber Pakhtunkhwa

    Infographie localisant Dera Ismaïl Khan où un kamikaze s'est fait exploser à côté d'un ministre de la province du Khyber Pakhtunkhwa

    AFP - Le ministre de la Justice de la province pakistanaise instable du Khyber Pakhtunkhwa, un refuge de talibans près de la frontière afghane, a perdu la vie dans un attentat suicide ayant fait au moins huit morts au premier jour au Pakistan de l'Aïd al-Adha, la fête musulmane du sacrifice, ont annoncé les autorités.

    Israr Ullah Khan Gandapur, 38 ans, recevait des invités dans sa résidence située près de la ville de Dera Ismaïl Khan (nord-ouest) lorsqu'un kamikaze s'est approché de lui et a actionné sa ceinture explosive.

    "Le frère du ministre m'a dit qu'il était mort", a déclaré à l'AFP le ministre provincial de la Santé, Shaukat Yousafzaï. "J'ai vu son cadavre", a déclaré Mohammad Yousaf Khan, un haut responsable de la police locale qui a fait état d'au moins huit morts, dont le ministre, et de plus de 25 blessés.

    "Malgré un dispositif de sécurité renforcé, le kamikaze a réussi à entrer dans la résidence et à se faire exploser", a regretté Mushtaq Khan, un autre responsable de la police de Dera Ismaïl Khan, ville du Khyber Pakhtunkhwa, située à proximité des zones tribales, un sanctuaire d'Al-Qaïda et des talibans régulièrement bombardé par des drones américains.

    M. Gandapur, élu aux législatives de mai avant d'être nommé ministre de la Justice dans le gouvernement provincial dirigé par le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI), formation de l'ex-gloire du cricket Imran Khan, est le troisième député de cette province assassiné depuis le début de l'année.

    Sur son compte Twitter, Imran Khan s'est dit "choqué et attristé" par la mort de son collègue et de sept autres personnes, preuve que la population et les responsables gouvernementaux du nord-ouest du Pakistan sont des "cibles" sur la "ligne de front" dans la guerre livrée par des groupes islamistes armés.

    Cet attentat suicide n'avait pas été revendiqué mercredi en soirée, mais il pourrait porter la marque des talibans pakistanais du TTP qui multiplient depuis six ans les attaques meurtrières contre le pouvoir et les forces de l'ordre.

    Le gouvernement pakistanais, l'armée et l'administration du Khyber Pakhtunkhwa ont récemment proposé aux insurgés d'ouvrir des pourparlers de paix. Les talibans pakistanais ont toutefois posé une série de conditions telles que la libération des prisonniers du TTP et la fin des tirs de drones américains dans la région pour amorcer toute discussion.

    Les insurgés se sont en outre engagés à poursuivre leurs attaques, tant que les autorités ne donneraient pas suite à leurs demandes. Au cours du dernier mois, des factions talibanes ont perpétré des attentats ayant fait plus de 140 morts dans le nord-ouest.


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  • Trois arrestations antiterroristes

    dans la région cannoise

    Le Monde.fr avec Reuters | <time datetime="2013-10-15T11:46:40+02:00" itemprop="datePublished">15.10.2013 à 11h46</time>

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    Trois personnes soupçonnées d'être liées au réseau impliqué dans l'attentat commis dans une épicerie juive de Sarcelles (Val-d'Oise) en 2012 ont été interpellées dans la région de Cannes.

    Les arrestations ont été effectuées la veille par les policiers antiterroristes appuyés par la police judiciaire de Nice, a-t-on appris, mardi 15 octobre, de source proche du dossier. "Les trois hommes sont liés au groupe de Cannes et avaient notamment fréquenté Jérémie Louis-Sidney", explique cette même source. Ils sont actuellement en garde à vue.

    Jérémie Louis-Sidney, domicilié à Cannes, avait été abattu en octobre 2012 à Strasbourg par la police. Son empreinte ADN avait été retrouvée sur la cuillère de la grenade défensive lancée quelques semaines plus tôt dans un commerce de produits casher à Sarcelles.

    Après cet attentat, plusieurs coups de filet avaient été effectués dans les milieux de l'islam radical, notamment à Cannes et à Torcy (Seine-et-Marne).

     
     

    Lire : "Cellule islamiste démantelée : quatre hommes déférés"


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  • Abou Anas Al-Libi, membre présumé d'Al-Qaïda, transféré à New York

    Créé le 14/10/2013 à 22h08 -- Mis à jour le 14/10/2013 à 22h10
    Un hélicoptère se pose sur le navire de guerre américain USS San Antonio croisant en Méditerranée, le 10 septembre 2013
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    Un hélicoptère se pose sur le navire de guerre américain USS San Antonio croisant en Méditerranée, le 10 septembre 2013 Navy Media Content Services

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    New York - Le Libyen Abou Anas Al-Libi, membre présumé d'Al-Qaïda capturé la semaine dernière à Tripoli par les forces spéciales américaines, a été transféré ce week-end à New York, a annoncé le bureau du procureur fédéral lundi.

    Libi, inculpé à New York en 2000 pour les attentats contre les ambassades américaines en Tanzanie et au Kenya, pourrait comparaître dès mardi devant un juge, a précisé une porte-parole dans un communiqué.

    Il a été «transféré directement à New York où il est inculpé depuis plus de dix ans. Le gouvernement pense qu'il sera présenté à un officier de justice demain», mardi, précise le communiqué.

    Abou Anas al-Libi avait été capturé le 5 octobre devant chez lui à Tripoli, et ensuite transféré à bord d'un navire de l'US Navy en Méditerranée pour y être interrogé.

    Il avait été mis en accusation à New York en 2000 devant le tribunal fédéral de Manhattan avec 20 autres membres présumés d'Al-Qaïda, notamment de complot visant à tuer des citoyens américains et complot visant à détruire des bâtiments et propriétés des Etats-Unis, en liaison avec les attentats de Tanzanie et du Kenya.

    Ces attentats avaient tué plus de 200 personnes, dont 12 Américains, le 7 août 1998.

    Abou Anas figurait sur la liste des personnes les plus recherchées par le FBI, qui offrait «jusqu'à 5 millions de dollars» pour toute information permettant son arrestation ou sa condamnation.

    De son vrai nom Nazih Abdul Hamed al-Raghie, il avait été membre du Groupe islamique de combat libyen (Gicl) avant de rejoindre Al-Qaïda.

    Tripoli a dénoncé sa capture, estimant qu'il s'agissait d'un «enlèvement», et affirmé ne pas avoir été prévenu.

    Tripoli avait annoncé mardi dernier avoir convoqué l'ambassadrice des Etats-Unis après la capture, pour lui poser des questions.

    © 2013 AFP

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