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    Presidentielle

    Présidentielle 2017: pourquoi Fillon accélère

    Par , publié le <time datetime="2013-05-09 11:29:00" itemprop="datePublished" pubdate="">09/05/2013 à 11:29</time><time datetime="2013-05-09 13:34:23" itemprop="dateModified">, mis à jour à 13:34</time>

     

    Alors que Nicolas Sarkozy reste haut dans les sondages, l'ancien Premier ministre François Fillon a intérêt à ne pas perdre de temps. 

    <aside class="toolbar"> </aside> <figure class="ouverture"> Présidentielle 2017: pourquoi Fillon accélère <figcaption>

    Depuis Tokyo, François Fillon a réitéré sa volonté d'être candidat à la primaire UMP pour la présidentielle 2017.

    AFP PHOTO/FREDERICK FLORIN

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    Pour François Fillon, c'est maintenant ou jamais. C'est maintenant qu'il doit s'imposer à droite et rendre impossible le retour de Nicolas Sarkozy d'ici à la primaire de 2016. Tâche ardue, certes, mais qui le sera chaque jour un peu plus.  

    Si l'ancien Premier ministre ne persuade pas le président battu de 2012 des vertus de la retraite, il aura du mal à résister une fois que la machine sarkozyste se sera remise en marche. Car Fillon est libre de parole, actif sur la scène publique, alors que Nicolas Sarkozy, parti de l'Elysée il y a à peine un an, s'astreint à une cure de silence, d'autant qu'il s'était engagé en cas de défaite: "Vous n'entendrez plus jamais parler de moi..." Il semblerait que ce ne soit pas tout à fait le cas. 

    <aside class="encadre encadre_text"> <figure> Depuis le Japon, François Fillon a précisé sur Twitter que sa candidature s'inscrirait dans le processus de la primaire UMP.. <figcaption>

    Depuis le Japon, François Fillon a précisé sur Twitter que sa candidature s'inscrirait dans le processus de la primaire UMP..

    Twitter

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    Certes, l'histoire parle pour François Fillon. Il n'existe aucun précédent où un chef de l'Etat défait à la présidentielle réussit à se représenter. "C''est très difficile, il faut une situation exceptionnelle, par exemple que les échéances électorales ne soient pas respectées", confiait-il il y a quelques jours. Mais il sait qu'avec Sarkozy, il est impossible de dire jamais. 

    >> Regardez les deux extraits d'un documentaire consacré à Nicolas Sarkozy

    La confiance n'existe plus entre les deux hommes. Après avoir marqué ses distances, y compris publiquement, avec l'ex-président, le député de Paris va au bout de sa logique: la course interne à l'UMP, dont la base est restée particulièrement sarkozyste, ne l'intéresse plus; c'est à l'opinion toute entière qu'il veut s'adresser. 

    En se déclarant candidat "quoi qu'il arrive", Fillon affiche aussi sa détermination, ce qui ne lui fera pas de mal. Son procès en balladurisation avait commencé. Il lui faut démontrer sa puissance et sa force de frappe. La droite a besoin d'un chef, la droite aime avoir un chef. Soit Fillon réussit à montrer qu'il peut être celui-là, soit il regardera Sarkozy s'imposer à tous avant 2017.


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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-05-07T21:05" itemprop="datePublished" pubdate=""> 07/05/2013 à 21:05</time> - Modifié le <time datetime="2013-05-07T21:20" itemprop="dateModified"> 07/05/2013 à 21:20</time>

    La présidente du Front national a proposé "d'organiser la destruction des cités" pour les remplacer par "un habitat de taille et d'esthétique traditionnelles".

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> Marine Le Pen, présidente du Front National <figcaption>Marine Le Pen, présidente du Front National © VILLALONGA / sipa </figcaption> </figure>
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    Le président du Conseil général de Seine-Saint-Denis a réagi aux propos de la présidente du FN en déclarant : "on atteint un niveau rare de bêtise, d'incompétence et de violence". Lors d'une conférence de presse sur le thème du logement, organisée mardi à Rozay-en-Brie, la présidente du Front national a estimé qu'il était "impératif d'organiser (...) la destruction des cités construites dans les années 55 à 70 et leur remplacement par un habitat de taille et d'esthétique traditionnelles". Selon Marine Le Pen, le caractère traditionnel de ces nouveaux logements dépend de "la culture de la région". "Vous n'allez pas mettre une maison alsacienne en Bretagne, une maison bretonne en Provence et une maison provençale en Alsace", a-t-elle détaillé.

    "Il y a des municipalités qui sont exigeantes, (...) qui déterminent en conseil municipal un cahier des charges qui permet de respecter (...) une unité esthétique dans les villes en fonction de l'architecture traditionnelle des régions françaises", a-t-elle poursuivi. "En Seine-Saint-Denis, il y a moins de culture architecturale que dans d'autres régions", a cependant ajouté Marine Le Pen en réponse à une question sur l'architecture traditionnelle de ce département, le plus pauvre de France et qui concentre de nombreuses cités. "Mais on peut déjà éviter (...) de donner à la Seine-Saint-Denis une architecture traditionnelle de bétonnage, parce qu'en fait, c'est ça le problème", a-t-elle dit.

    Le président du conseil général dénonce des "idées simplistes"

    Le président du conseil général de Seine-Saint-Denis a répliqué mardi soir à Marine Le Pen qui avait estimé que dans ce département "il y a moins de culture architecturale que dans d'autres régions", en lui lançant: "Non, l'histoire de l'architecture ne s'est pas arrêtée aux huttes gauloises !" "Comme à son habitude, Mme Le Pen répond à des questions complexes par des idées simplistes", écrit Stéphane Troussel (PS) dans un communiqué. "En proposant de +détruire les cités+ pour les remplacer par un +habitat traditionnel+, on atteint un niveau rare de bêtise, d'incompétence et de violence", poursuit-il. "Sans doute n'a-t-elle jamais entendu parler de Le Corbusier ou de Niemeyer. Peut-être pourrions-nous résoudre aussi la question énergétique en revenant au silex et au feu de bois", ajoute l'élu socialiste.


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    - Publié le <time datetime="2013-05-07T18:21" itemprop="datePublished" pubdate=""> 07/05/2013 à 18:21</time>

     
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    La liste autonomiste menée par Gaston Flosse est arrivée largement en tête des élections territoriales en Polynésie française avec plus de 45% des voix, devant son rival de toujours l'indépendantiste Oscar Temaru et leur cadet en politique Teva Rohfritsch, selon les résultats définitifs publiés mardi (lundi localement) par le haut commissariat à Papeete.

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    La liste autonomiste menée par Gaston Flosse est arrivée largement en tête des élections territoriales en Polynésie française avec plus de 45% des voix, devant son rival de toujours l'indépendantiste Oscar Temaru et leur cadet en politique Teva Rohfritsch, selon les résultats définitifs publiés mardi (lundi localement) par le haut commissariat à Papeete.

    Selon le décompte arrêté des 233 bureaux de votes des 48 communes de la collectivité du Pacifique sud, la répartition des voix lors du second tour de cette élection phare est conforme aux résultats provisoires, avec un taux de participation de 72,79%.

    La liste du Tahoeraa Huiraatira du vieil ami de Jacques Chirac, l'insubmersible Gaston Flosse, a recueilli 45,11% des suffrages (62.340 voix); celle de l'UPLD du président sortant Oscar Temaru 29,26% (40.441 voix) et celle de A Ti'a Porinetia de Teva Rohfritsch 25,63% (35.421 voix).

    Même s'il a réalisé un score tout à fait notable, M. Rohfritsch, 38 ans, n'a donc pas réussi à s'imposer comme la troisième voie, entre les deux adversaires de toujours que sont MM. Flosse (81 ans) et Temaru (68 ans).

    Ces élections territoriales, en scrutin de listes, permettent d'élire 57 représentants à l'Assemblée de la Polynésie française. Avec la forte prime majoritaire (19 sièges) attribuée au vainqueur pour assurer une stabilité politique à la Polynésie qui a connu 13 gouvernements en 9 ans, le Tahoeraa disposera désormais de 38 sièges, contre 11 sièges à l'UPLD et 8 sièges à A Ti'a Porinetia.

    Le 16 mai, les conseillers territoriaux éliront le président de leur Assemblée, un poste où est pressenti Edouard Fritch, le dauphin de Flosse.

    La semaine suivante, ils éliront le président de la Polynésie, chef de l'exécutif qui constituera ensuite son gouvernement. Sauf énorme surprise, Gaston Flosse devrait retrouver le fauteuil (et le palais) qu'il n'avait plus occupé depuis un bref passage entre février et avril 2008, et surtout après un règne sans partage de 1991 à 2004.

    Le futur président devra s'attaquer à la grave crise économique et sociale qui affecte cette collectivité à la très large autonomie où il n'existe pas d'assurance chômage, alors que le chômage touche entre 20 et 30% de la population.

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  • 05 mai 2013 - 22H38  lien

     

    Bayrou pour "un accord d'unité nationale" entre "réformistes des deux rives"

    Le président du MoDem, François Bayrou, plaide pour un "accord d'unité nationale", limité dans le temps, entre "les réformistes républicains des deux rives" afin de redresser le pays.

    Le président du MoDem, François Bayrou, plaide pour un "accord d'unité nationale", limité dans le temps, entre "les réformistes républicains des deux rives" afin de redresser le pays.

    AFP - Le président du MoDem, François Bayrou, plaide pour un "accord d'unité nationale", limité dans le temps, entre "les réformistes républicains des deux rives" afin de redresser le pays.

    Dans un interview à la République des Pyrénées à paraître lundi, M. Bayrou estime qu'il y a "un certain nombre de réformes qui ne peuvent pas entrer dans la réalité sans un accord transpartisan".

    Il s'agirait, selon lui, de mettre en oeuvre "l'ensemble des réformes à faire pour que les emplois se créent et pour provoquer un choc de confiance qui rassurent ceux qui entreprennent, signent les contrats de travail".

    "La confiance", poursuit-il, "sera plus grande si les réformes sont soutenues au-delà des frontières des camps politiques". Il estime aussi que "réformer l'Etat pour qu'il soit plus efficace et moins cher ne peut s'imposer avec le soutien d'un seul camp". Même chose pour la réforme des retraites et la transparence de la vie politique. "Tous les grands courants politiques doivent y participer si l'on veut aboutir".

    Alors que plusieurs responsables politiques ont évoqué l'idée d'un gouvernement "d'union nationale", M. Bayrou juge "le mot union inadapté, parce qu'il laisse entendre qu'on pourrait associer dans un gouvernement Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon".

    En revanche, poursuit-il, "l'esprit d'unité nationale qui permet de s'accorder sur de grands choix, pour une période donnée, est crucial". "L'esprit d'unité conduit à ce que les grandes forces se mettent d'accord sur l'essentiel des réformes à faire pour que nous retrouvions notre place en Europe".

    Pour lui, "on peut accepter des accords pour un temps limité sans perdre son identité, de gauche, de droite ou du centre". Il évoque la possibilité de "se mettre d'accord sur une période de trois ans pendant laquelle on va soutenir des projets d'intérêt national comme les décisions à prendre pour aider l'emploi".

    "Sur tous ces thèmes de redressement, on peut trouver un accord entre les réformistes républicains des deux rives", affirme le leader centriste.

    A propos de l'idée d'une Ve République, il répond: "Si c'est un retour à la IVe République, je suis contre (...). Mais une vraie séparation des pouvoirs, un parlement qui représente vraiment les Français, cela, c'est vital, et cela s'imposera".

    "Quand on aura constaté le double échec des politiques menées depuis dix ans, qu'est-ce qui pourra tirer la France de l'ornière? Soit ce seront les extrêmes, porteurs de risques très graves comme la sortie de l'euro, et un mythique retour au Franc (...) et nous serions dans une terrible déstabilisation que les plus pauvres paieraient les premiers". "La seule solution", insiste-t-il, "c'est ce choc de confiance, cet accord entre réformistes qui permettra de franchir les obstacles infranchissables".


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  • Dernière modification : 04/05/2013 

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    L’UMP lance sa "révolution civique" en proposant

    des cours de soutien scolaire

    L’UMP lance  sa "révolution civique" en proposant des cours de soutien scolaire
    © AFP

    La "révolution civique", initiée par le président de l’UMP Jean-François Copé depuis le mois d’avril, a pour but d’offrir aux plus démunis des réponses concrètes, en proposant notamment des cours de soutien scolaire. La gauche s'indigne.

    Par Aude MAZOUÉ (texte)
     

    La "révolution civique" est en marche à l’UMP. Depuis le mois d’avril, le parti politique de droite a lancé, à l’initiative de son président Jean-François Copé, un vaste mouvement de volontaires bénévoles prêts à se "mettre au service des Français". Ainsi, le soutien scolaire proposé par l’UMP existe déjà dans une vingtaine de départements.

    La fédération de l'UMP de Haute-Garonne a elle aussi récemment mis en place un projet de soutien scolaire gratuit, soulevant un vent d’indignation au sein des partis de gauche et des associations de parents d’élèves. Les cours, qui se dérouleront dans les locaux de la fédération UMP de Haute-Garonne, pourraient se mettre en place dès le 25 mai pour "un galop d'essai" avant les vacances scolaires, puis seront vraiment lancés à la rentrée, en septembre.

    Olivier Ronan Rivat, secrétaire général de la Ligue de l'enseignement de Haute-Garonne, dénonce "une manœuvre politique" destinée à "manipuler les esprits". "Un parti politique, quel qu'il soit, n'a pas cette mission", s’insurge l’enseignant questionné par l'AFP. "On peut s'interroger sur la motivation d'une telle démarche", conclut-il.

    Le PS vent debout

    Yannick Trigance, conseiller régional et secrétaire national adjoint à l’éducation au PS,

    Tweet posté le 4 mai 2013 par Yannick Trigance, secrétaire national adjoint au PS, en charge de l'éducation

    n’est pas surpris par l’initiative. "Ça fait bien longtemps que l’UMP ne croit plus en l’Éducation nationale", confie l’élu à FRANCE 24. "Monter un tel projet démontre à la fois la totale ignorance de l’UMP concernant les structures d’aides scolaires déjà existantes de l’Éducation nationale. Cela est par ailleurs dangereux pour la laïcité de notre pays", s’inquiète le socialiste. "C’est, enfin, nier la liberté de conscience des élèves et mépriser, dans le même temps, les partenaires sociaux qui travaillent déjà depuis de longues années dans ce domaine", ajoute-t-il.

    La députée socialiste de Haute-Garonne Carole Delga s’inquiète elle aussi d’une telle démarche. "Après cinq années de pillage de l'Éducation nationale, l'UMP s'intéresse à la réussite scolaire", ironise l’élue, tout en rappelant la suppression de 80 000 postes voulue par le gouvernement Fillon. Et le Parti socialiste, dans un communiqué, de s’interroger.  "Est-ce le bilan catastrophique de ses dix années passées à détruire l’école de la République qui inspire [à l'UMP] ce reniement ?"

    De son côté, la fédération de l'UMP de Haute-Garonne se félicite de l’opération. "Nous

    Tweet de Camille Bedin, secrétaire adjointe de l'UMP, posté le 3 mai 2013

    avons déjà 15 volontaires et d'autres se proposent tous les jours", a déclaré le 3 mai la conseillère régionale UMP Élisabeth Pouchelon, en charge de l'organisation de la "révolution". Malgré les critiques formulés par le PS, le parti d’opposition ne compte pas s'arrêter là dans son programme, estimant qu’il est fait dans la "transparence" et qu’ "il ne coûte pas un euro à qui que ce soit".

    Pour Camille Bedin, secrétaire générale adjointe de l'UMP en charge de cette "révolution civique" au niveau national, il s’agit avant tout d’une action solidaire. "Oui, l'UMP fait du soutien scolaire. Nous sommes le réseau de ceux qui n'en ont pas. Et alors ? Si c'est utile ? Que vive la solidarité !" lance-t-elle sur son compte Twitter. " Personne n'oblige le PS à participer au soutien scolaire", surenchérit sur le site de microblogging Laurence Arribagé, secrétaire départementale UMP et conseillère régionale.

    " L’État ne peut pas tout"

    L’UMP, en outre, ne limite pas son action volontariste à l’éducation. " La révolution civique" s’inscrit dans un mouvement plus large. Un millier de bénévoles et 32 fédérations UMP se sont déjà portées "volontaires" pour participer aux programmes expérimentaux du parti. À l’instar de la Haute-Garonne, les départements de Sarthe et de la Haute-Loire vont instaurer dans les semaines à venir des programmes de coaching et d’aides d'orientation et de retour à l'emploi, de soutien aux démarches administratives ou encore d’accompagnement des personnes âgées isolées. D’autres champs d’action sont encore proposés sur le site www.revolution.civique.fr.

    Pour Émeric Bréhier, député PS de Seine-et-Marne, l’UMP mène la même politique que celle du Premier ministre britannique David Cameron ou celle que menait Margaret Thatcher en son temps. "L’UMP entend se substituer à l’État. C’est le retour de la ‘pilorisation’ de l’État, quand, en Europe au début du XXe siècle, la religion et les partis politiques prenaient en charge un pilier de la société", explique l’élu socialiste à FRANCE 24.

    Élisabeth Pouchelon, conseillère régionale de Midi-Pyrénées et déléguée UMP de la 9e circonscription de Haute-Garonne, ne voit pas dans cette initiative de substitution à l’État. "Il s’agit d’une action solidaire complémentaire à l’État, comme le font toutes les associations, car l’État à lui seul ne peut pas tout", se défend l’élue dans un entretien accordé à FRANCE 24. " Le but de la ‘révolution civique’ n’est pas de convertir les électeurs à l’UMP mais d’apporter notre soutien à la population qui en a besoin et de redorer l’image de la politique par des actions concrètes."


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